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Dies ist der neunte Artikel unseres Blogfokus „Salafismus in Deutschland“.
Salafismus in Deutschland ist ein importiertes religiöses Phänomen, welches seine Wurzeln im arabischen Raum hat. Beobachtet man die deutsche Salafisten empirisch in ihren Predigten und Videoauftritten stellt man fest, dass sie ausschließlich arabisch-sprachige religiöse Auffassungen verwenden. Alle salafistischen transnationalen Schlüsselfiguren (mit wenigen Ausnahmen) sind ausschließlich arabische Muttersprachler und publizieren ihre Werke in arabischer Sprache. Die national und lokal wirkenden Akteure in Deutschland sind auf diese Werke bzw. Informationsquellen in ihren Predigten und ihrer Ausbildung angewiesen. Sie müssen daher der arabischen Sprache mächtig sein, damit sie ihre Autorität durch diese Werke legitimeren können. In diesem Zusammenhang stellen sich wichtige Fragen: Was lesen deutsche Salafisten, die kein Arabisch können, wenn sie sich mit authentischen Quellen über die salafistischen Ideologie oder Theologie beschäftigen wollen? Wo findet man Übersetzungen der Hauptwerke der salafistischen Ideologien? Welches authentische Lesematerial zu ideologischen oder theologischen Ansätzen kann beispielsweise ein Berliner Salafist bekommen?...
Sans qu'il soit besoin de faire la ronde des romans de la dernière période, force est de constater qu'aucun auteur ne prend le risque d'aller au-devant de ce qu'ils semblent tous considérer comme des «sujets de danger», de ces sujets qui touchent à la politique et à la vie de leurs acteurs. La problématique des romans gabonais se construit alors sur la base du consensus de la peur. Écrire sur les politiques crée une névrose dont aucun écrivain ne voudrait payer les frais. À noter pour conclure que le silence du romancier gabonais pourrait bien sourdre du « prince », lui-même écrivain et capable comme tel d'influencer le monde de l'écriture. Dire le politique dans le roman pourrait porter à contredire les publications dithyrambiques qui font l'apologie de ce que les poètes souhaitent voir se concrétiser en vain. Alors, qui prendra le risque de faire le démenti?
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
L’analyse qui suit a pour objet la notion du double chez Alain Mabanckou. Cette notion est étudiée telle qu’elle se donne à lire dans Mémoire de porc-épic, roman paru en 2006 aux éditions du Seuil. Ce qui nous intéresse ici c’est le rapport possible existant entre double, parole et ponctuation. Présenté ainsi, nous cherchons à comprendre cette particularité du texte de Mabanckou qui est une longue phrase sans ponctuation, sinon n’étant ponctuée que par des virgules.
Tagungsbericht: Unter dem Titel 'National - postnational - transnational? Neuere Perspektiven auf die deutschsprachige Gegenwartsliteratur aus Mittel- und Osteuropa' fand vom 10. bis 13. Mai 2012 in Ústí nad Labem eine internationale Tagung statt, die von Renata Cornejo vom Lehrstuhl für Germanistik an der dortigen Jan Evangelista Purkynĕ-Universität in Zusammenarbeit mit Sławomir Piontek von der Adam Mickiewicz-Universität in Poznań (Polen) und Sandra Vlasta von der Universität Wien (Österreich) veranstaltet wurde. In zahlreichen Vorträgen wurde das Werk von AutorInnen, die aus unterschiedlichen Gründen zu verschiedenen Zeitpunkten in ihrem Leben in den deutschsprachigen Raum eingewandert sind und die Deutsch, obwohl nicht ihre Erstsprache, als ihre Literatursprache gewählt haben, untersucht. Der Schwerpunkt lag dabei auf AutorInnen aus Mittel- und Osteuropa, die zur Entwicklung der deutschsprachigen Gegenwartsliteratur der letzten Jahrzehnte mit wichtigen Impulsen beigetragen haben.
Organisation: Achim Hölter (Münster), Volker Pantenburg Berlin) und Susanne Stemmler (Berlin)
Brecht-Haus, Berlin, 16. bis 18. März 2007
Nach dem 'linguistic turn' oder dem 'pictorial turn', in denen die Textualität und Bildlichkeit kultureller Artefakte ins Zentrum gerückt wurden, liegt das Augenmerk in den Literatur- und Kulturwissenschaften verstärkt auf deren Räumlichkeit: In den letzten Jahren ist demnach vermehrt vom 'spatial turn' die Rede gewesen. Der visuellen Umcodierung von Gegenwartskultur Rechnung tragend, wendeten die Beiträge der Tagung 'Metropolen im Maßstab' ihre Aufmerksamkeit auf die moderne literarische und künstlerische Auseinandersetzung mit dem Thema (Groß-)Stadt.
Dès 1980, on assiste à des publications qui séduisent par l'esthétique du verbe, le charme surréaliste de la description des unités de temps, de lieux, de personnages, d'intérêts et une certaine charge évocatrice de l'histoire et de la philosophie des peuples du Gabon. C'est le début d'un certain éveil de la conscience littéraire.