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Nele Graf, Khayal Gasimli

• Das urogenitale Menopausensyndrom (UGMS), welches den alten Begriff der vulvovaginalen Atrophie ersetzt und somit auch vesikourethrale Beschwerden umfasst, geht mit einer Vielzahl von Symptomen, wie unter anderem vaginaler Trockenheit, Dyspareunie, vaginalem Brennen, aber auch Dysurie und rezidivierenden Harnwegsinfekten, einher. Obwohl dies zu einer deutlichen Einschränkung der Lebensqualität der Patientinnen führt, steht häufig die Therapie vasomotorischer peri- und postmenopausaler Symptome im Vordergrund. Die Prävalenz des urogenitalen Menopausensyndroms wird mit Werten bis zu 84 % angegeben. Da der Urogenitalbereich reich an Östrogenrezeptoren ist, liegt dem urogenitalen Menopausensyndrom pathophysiologisch der peri- und postmenopausale Hypoöstrogenismus zugrunde, was zu einer Abnahme der vaginalen Epitheldicke und zu einer Erhöhung des vaginalen pH-Werts führt. Zur Diagnosestellung haben vor allem eine ausführliche Anamneseerhebung mit aktivem Abfragen der Symptome, sowie eine gründliche klinische Untersuchung Priorität. Therapeutisch steht neben nichthormonellen Therapien, wie Feuchthaltecremes und Emollienzien, vor allem die nebenwirkungsarme und effektive lokale Östrogentherapie im Vordergrund, welche in der Regel nicht zu relevant erhöhten Östrogenspiegeln im Serum führt. Der standardmässige Einsatz von Ospemifen, einem selektiven Östrogenrezeptormodulator, oder die vaginale Anwendung von Dehydroepiandrosteron als weitere alternative Therapieoption ist klinisch noch nicht etabliert. Auch nichtmedikamentöse Therapieverfahren, wie die Lasertherapie, können – je nach Symptomlast – in Betracht gezogen werden.
• Le syndrome génito-urinaire de la ménopause, terme qui remplace celui d’atrophie vulvo-vaginale parce que ce syndrome inclut aussi des symptômes vésico-urétraux, est associé à de nombreux symptômes tels que par exemple sécheresse vaginale, dyspareunie et sensation de brûlure vaginale, mais aussi à une dysurie et à des infections récidivantes de l’appareil urinaire. Bien que cela cause une nette détérioration de la qualité de vie des patientes, on prête souvent plus d’attention au traitement des symptômes vasomoteurs de la péri- et post-ménopause. Les taux de prévalence indiqués pour le syndrome génito-urinaire de la ménopause vont jusqu’à 84 %. La zone génito-urinaire étant riche en récepteurs œstrogéniques, le syndrome génito-urinaire de la ménopause provient physiopathologiquement du déficit œstrogénique péri- et post-ménopausique qui entraîne une amincissement de l’épithélium vaginal et une augmentation du pH vaginal. Pour l’établissement du diagnostic, la priorité revient surtout à une anamnèse détaillée avec questionnement actif sur les symptômes ainsi qu’à un examen clinique méticuleux. À côté de traitements non hormonaux tels que crèmes hydratantes et émollientes, l’œstrogénothérapie locale est le traitement favorisé parce qu’elle est efficace, a peu d’effets indésirables et ne cause généralement pas d’augmentation notable du taux sérique d’œstrogène. L’utilisation systématique d’ospémifène, un modulateur sélectif du récepteur œstrogénique, ou l’application vaginale de déhydroépiandrostérone en tant qu’autre option thérapeutique alternative n’est pas encore établie cliniquement. Selon la sévérité des symptômes, on peut envisager aussi des interventions non médicamenteuses telles que le traitment au laser.