910 Geografie, Reisen
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Der ständig steigende Wasserbedarf stellt in den semiariden Tropen ein großes Problem dar, dem man außer durch die Nutzung von fossilem Grundwasser immer wieder durch die Anlage von Staudämmen begegnen will. In diesem Zusammenhang entstanden in den 70er Jahren auch die Pläne für das Alau-Damm-Projekt bei Maiduguri in Nordost-Nigeria. Realisiert wurde das Projekt Mitte der 80er Jahre; 1989 wurde die Anlage in Betneb genommen. Das dort gestaute Wasser sollte zum einen zur Trinkwasserversorgung der schnell wachsenden Großstadt Maiduguri dienen, zum anderen war die Intensivierung des Reisanbaus in einem auch schon traditionell für diese Kultur genutzten regenzeitlichen Überflutungsgebiet, das flußabwärts am selben Fluß liegt, geplant. Der Ausbau eines in diesem semiariden Raum liegenden Flachwassersees zu einem Wasserreservoir stellt einen tiefen Eingriff in das Landnutzungsgefüge dar.
Um die Landnutzungsveränderungen zu erfassen, wurden LANDSAT-TM-Aufnahmen von 1987 und 1992 - also vor und nach Inbetriebnahme des Staudammes - ausgewertet. Geländeerhebungen wurden im Oktober und November 1992 durchgeführt. Heute, im Herbst 1994, erhält das Thema nach Abschluß der Untersuchungen besondere Brisanz dadurch, daß es im Bereich der den Stausee ergänzend abriegelnden Erddämme am Ende der diesjährigen Regenzeit Unterspülungen gegeben hat, wodurch es zu einer starken Flut aus dem Lake Alau in das Flußbett des Ngadda nach Maiduguri gekommen ist. Jedoch sind zu dieser veränderten Situation noch keine Satellitendaten ausgewertet worden.
The land use in the Tangale-Waja area is analysed according to the two basic categories of geography: Firstly the manifold interaction between men and environment which form the spatial characteristics of an area, and secondly the decrease of influence with increasing distance. The importance of these two elementary factors is described by indicators as accessibility for the period from the precolonial situation until the time after World War II, when new roads were constructed through the mountainous area. Living in a hilly environment the self contained population (formerly called "hill pagans") had developed special agricultural techniques which can be considered ecologically well adapted. The opening up of the area after the pacification, Christianity and education, led to a considerable increase in population, the expansion of land under cultivation, and the change of settlement structure by down-hill population movement. This resulted in overuse of the fragile natural resources. The size of farm steads became too small for the family unit and the still low accessibility of the hinterland of the main interregional roads as well as inappropriate techniques of agricultural production are shortcomings causing heavy damage to the physical environment and decreasing living standards of the local population.
Occupation du sol et potentiel de l'environnement chez les Gulmance dans l'est du Burkina Faso
(1993)
Dans l'est de Burkina Faso, dans le pays Gulma, le potentiel naturel, c'est à dire la géologie, le relief, les sols, l'hydrologie, la végétation et l'utilisation par l'homme est l'objet d'un levé scientifique. Les conditions données sont mises en évidence pour rendre claire le modèle de colonisation du peuple dans son cadre naturel. Dans ce sens il est particulièrement important de savoir quelle connaissance exacte les paysans ont de leur environnemt et quels facteurs ils font intervenir dans l'exploitation de cet environnement. Dans l'ensemble il apparait une différenciation selon la répartition de la densité du pays; à côté des zones fortement peuplées, d'autres restent pratiquement vides. De là découle aussi la densité et la nature des savanes.
Depuis l’indépendance du Burkina Faso et une nouvelle fois après la révolution, plusieurs ébauches pour réformer les lois nationales sur la terre ont échoué (pour passer du droit foncier coutumier à une tenure individuelle et codifiée). Même dans les environs de la boucle du Mouhoun, notre zone d’étude, comme dans d’autres régions rurales du Burkina Faso, des réformes n’ont pu prendre pied. Face à l’échec des tentatives de gestion étatique du foncier, une meilleure compréhension des systèmes fonciers coutumiers est nécessaire. A l’aide d’exemples historiques et des conflits fonciers récents tirés de l’histoire du peuplement régional, la logique et les mécanismes de régulation politiques et sociaux de distribution des terres sont documentés et analysés dans cet article.
Yerwa is the last of the Borno capitals. Although established in the first decade of colonial administration, it cannot be compared with the many other towns like Fort Lamy, Jos, Kaduna, Niamey et al. which all developed about the same time. Colonial interference with the development of Yerwa appears restricted, mainly, to insistence upon wider roads than a Borno town otherwise would have featured and resettlement schemes, e.g. Mafoni, Ari Askeri. The following is based on the premise that as the town - despite time and political circumstances of its emergence - is a distinctive Borno town, also occupational diversification and structure are distinctively related to urban Borno culture.
L’histoire du peuplement demeure au Burkina Faso un sujet de préoccupation pour les historiens. Les mouvements migratoires et la mise en place des différents groupes ethniques restent très peu précis même pour les populations les mieux connues (Moose, Peul, Gulmanceba). Les limites des données historiques conduisent à l’utilisation de légendes pour expliquer les origines des formations sociales. La légende de la princesse Yennega fonde l’histoire des Moose; celle de Diaba Lompo, l’ancêtre eponyme descendu du ciel avec son cheval à Lompotangou constitue la base des dynasties du pays gulmance selon encore la légende. La séparation entre les Sana et leurs cousins Bisana serait intervenue pour une tête de chien. L’histoire du peuplement des populations à organisation lignagère comme le groupe dagara est encore plus difficile à établir. Il faut en effet, collecter les données sur les mouvements migratoires de chaque lignage pour espérer cerner les origines des familles respectives.
Anlaß für die exemplarische Untersuchung des Siedlungsmusters der Gulmance-Siedlungen südlich der Chaîne de Gobnangou waren die augenfälligen Siedlungsdisparitäten und die unübersehbaren Kongruenzen zu den naturräumlichen Gegebenheiten in der Region. Schon der Blick auf eine Karte der Bevölkerungsdichten in den einzelnen Provinzen Burkina Fasos zeigt, daß die Siedlungsdichte in den nahezu ausschließlich von Gulmance besiedelten Provinzen Gourma und Tapoa weit unter dem Landesdurchschnitt liegt. Innerhalb der Provinz Tapoa wiederum fällt auf, daß Gebieten mit relativ hoher Bevölkerungsdichte nahezu unbewohnte Regionen gegenüberstehen. So reihen sich die Ortschaften der Gulmance in den Vorländern des Höhenzuges von Gobnangou dicht an dicht, während die Flachlandschaft rund um die Provinzhauptstadt Diapaga äußerst dünn besiedelt ist. Ebenso ist die südlich des Gobnangou-Massivs liegende Pendjari-Ebene, deren überwiegender Flächenanteil von Nationalparks eingenommen wird, nahezu unbesiedelt.
Zentrum und Peripherie : Prinzipien der Landverteilung bei den Mosi im Raum Tenkodogo (Burkina Faso)
(1995)
Die Stadt Tenkodogo liegt auf der Siedlungsgrenze zweier Ethnien - der Mosi im Norden und Nordwesten und der Bisa im Süden - und zugleich am nördlichen Rand des Mosistaates Tenkodogo, dessen Hauptstadt sie auch ist. Der südlichste Staat der Mosi liegt somit überwiegend nicht auf Mosi-, sondern auf Bisaterritorium. Die Untersuchungen in diesem Gebiet konzentrierten sich auf zwei Siedlungen, die sich unter unterschiedlichen Aspekten für einen Vergleich besonders gut anboten. Anhand dieser beiden Siedlungen soll den Kriterien der Raumaufteilung und Landverteilung in diesem Gebiet nachgegangen werden. Wichtige Fragen dabei sind: Gibt es Erklärungen für die Lage der beiden Siedlungen im Raum? Wie wird das Land verteilt? Wie gestaltet sich die Landzuteilung und die Arbeitsorganisation innerhalb der einzelnen Familien, bzw. der Bewohner der verschiedenen Gehöfte? Lassen sich aus all dem schließlich übergeordnete Prinzipien und Präferenzen ablesen, die über die konkrete Frage der Landverteilung hinaus Rückschlüsse auf andere gesellschaftliche und politische Bereiche ermöglichen?
Nos travaux dans les villages mosi de la région de Tenkodogo, au centreest du Burkina Faso, portent directement sur le thème central du Projet de Recherche de l'Université de Francfort: Les relations mutuelles entre la culture d'une population et son milieu naturel. Sur la base d'une étude approfondie de l'environnement naturel, on devrait répondre à la question suivante: comment les Hommes conçoivent et estimentils ce milieu, quelles valeurs lui attribueton; en outre, sur la base de quels principes et d'après quels critères de préférence utilisentils leurs sols en tant que cultivateurs; quelles raisons déterminent-elles l'expansion des Mosi méridionaux dans cette aire géographique, la fondation des villages ainsi que leur dévéloppement démographique. Enfin quel est l'impact de tout cela sur l'environnement naturel, c'est-à-dire quelles sont les conséquences écologiques des conceptions et comportements susmentionnés. Nos recherches sur le terrain débutèrent en 1991 sous la forme d'une collaboration interdisciplinaire étroite entre l'ethnologie, la géographie physique et la botanique. L'objectif à long terme est une comparaison entre les Mosi méridionaux, leurs voisins bisa, les Gulmance et enfin un groupe mosi du nord.
Dans la géographie linguistique et culturelle de l’Afrique de l’Ouest le monde mandé est situé dans la partie Ouest du continent avec son point capital au cours supérieur du Niger. Au Burkina Faso, les groupes mandés ne sont qu’une petite minorité. Vu de tous ces deux coté, le Mandé au Burkina Faso semble donc être un sujet marginal: avec le Burkina se trouvant au bord du monde mandé et avec les groupes mandés étant une minorité dans les sociétés burkinabé. Donc, pourquoi est-ce que nous avons quand même posé les groupes mandés du Burkina Faso au milieu d’un projet pluridisciplinaire et pourquoi est-ce que nous tendons à présenter ici nos élaborations sur ces groupes?