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Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Internationales Kolloquium „Migration, kulturelle Identität und deutschtschechische Beziehungen im grenznahen Raum“ in Ústí nad Labem, 04.–05. Oktober 2011 (Gerd Ulrich Bauer)
Franz Werfel. Werk und Wirkung. Internationale Tagung der Absolventinnen und Absolventen des Franz Werfel-Stipendienprogramms in Wien, 23.–24. März 2012 (Sławomir Piontek)
National – postnational – transnational? Neuere Perspektiven auf die deutschsprachige Gegenwartsliteratur aus Mittel- und Osteuropa. Internationale Tagung am Lehrstuhl für Germanistik in Ústí nad Labem, 10.–13. Mai 2012 (Zdenka Konečná)
Tagung des Germanistenverbandes der Tschechischen Republik und Konferenz „Deutsch als Sprache der (Geistes-)Wissenschaften“ in Olomouc, 17.–18. Mai 2012 (Veronika Opletalová)
IX. Kongress der Germanisten Rumäniens, Sektion 3: „Differenzen und Überschneidungen. Deutschsprachige Literatur in und aus Ostmitteleuropa und kulturelle Differenz“ in Bukarest, 04.–07. Juni 2012 (René Kegelmann)
Projekt „Literature on the Move“, gefördert vom Wiener Wissenschafts-, Forschungs- und Technologiefonds (WWTF) (Wiebke Sievers / Sandra Vlasta)
Projekt „Literatur und Wissen“. Ein neues internationales Projekt im Slawischen Institut der Akademie der Wissenschaften der Tschechischen Republik (Helena Ulbrechtová)
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Organisation: Achim Hölter (Münster), Volker Pantenburg Berlin) und Susanne Stemmler (Berlin)
Brecht-Haus, Berlin, 16. bis 18. März 2007
Nach dem 'linguistic turn' oder dem 'pictorial turn', in denen die Textualität und Bildlichkeit kultureller Artefakte ins Zentrum gerückt wurden, liegt das Augenmerk in den Literatur- und Kulturwissenschaften verstärkt auf deren Räumlichkeit: In den letzten Jahren ist demnach vermehrt vom 'spatial turn' die Rede gewesen. Der visuellen Umcodierung von Gegenwartskultur Rechnung tragend, wendeten die Beiträge der Tagung 'Metropolen im Maßstab' ihre Aufmerksamkeit auf die moderne literarische und künstlerische Auseinandersetzung mit dem Thema (Groß-)Stadt.
INTRODUCTION I- POURQUOI L’IMMIGRATION ? 1°) La quête du mieux-être 2°) La quête de l’exutoi re 3°) La quête de la personnalité II- QUE DIRE DE L’IMMIGRATION ? 1°) L’immigration comme avatar 2°) L’immigration co mme perte de repères 3°) L’immigration comme échec III- QUE FAIRE DE L’IMMIGRATION ? 1°) La Prise de conscience 2°) La création de condit ions optimales de vie 3°) Le retour aux sources ------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Dies ist der neunte Artikel unseres Blogfokus „Salafismus in Deutschland“.
Salafismus in Deutschland ist ein importiertes religiöses Phänomen, welches seine Wurzeln im arabischen Raum hat. Beobachtet man die deutsche Salafisten empirisch in ihren Predigten und Videoauftritten stellt man fest, dass sie ausschließlich arabisch-sprachige religiöse Auffassungen verwenden. Alle salafistischen transnationalen Schlüsselfiguren (mit wenigen Ausnahmen) sind ausschließlich arabische Muttersprachler und publizieren ihre Werke in arabischer Sprache. Die national und lokal wirkenden Akteure in Deutschland sind auf diese Werke bzw. Informationsquellen in ihren Predigten und ihrer Ausbildung angewiesen. Sie müssen daher der arabischen Sprache mächtig sein, damit sie ihre Autorität durch diese Werke legitimeren können. In diesem Zusammenhang stellen sich wichtige Fragen: Was lesen deutsche Salafisten, die kein Arabisch können, wenn sie sich mit authentischen Quellen über die salafistischen Ideologie oder Theologie beschäftigen wollen? Wo findet man Übersetzungen der Hauptwerke der salafistischen Ideologien? Welches authentische Lesematerial zu ideologischen oder theologischen Ansätzen kann beispielsweise ein Berliner Salafist bekommen?...
Obwohl sie in einer neusten Arbeit über „Theologisches in den großen Romanen Thomas Manns“ ganz fehlen – als ob sie nicht zu seinen größten Werken überhaupt gehörten – , legt schon das allererste Wort ihres Titels nahe, die Bekenntnisse des Hochstaplers Felix Krull auf die Rolle hin zu befragen, die Religion darin spielt oder nicht spielt: „Bekenntnisse“, lateinisch „Confessiones“ und ins Deutsche rückübersetzt „Beichte“. Aus seiner Nähe zur religiösen Literatur kann der Paratext Erwartungen wecken, denen der so überschriebene Text bei einer darauf eingestellten Lektüre zunächst durchaus zu entsprechen scheint. Und zwar entspricht er ihnen scheinbar bis zu seinem Ende, ja an seinem Ende sogar ganz besonders. Denn die letzten Kapitel des Fragments stehen förmlich im Zeichen des Kreuzes.
En écho et en complément au dossier "Où va le livre en Afrique ?" (Africultures 57: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=livre&no=1889), l’écrivain gabonais Ludovic Obiang interroge les choix faits dans les titres de littérature étudiés à l’école. ------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Sommaire Exergue………….4 Dédicaces….………..5 Gratitudes…………..6 Introduction générale..........................7 Première partie : Identification de la figure de l’exclu 0.Prolégomènes.......................14 0.1.Qu’est-ce que l’exclusion ?..................14 0.2.Qu’est-ce qu’un « exclu » ?......................14 I :Identification de la figure de l’exclu : I.1.L’initié...................................................15 I.2.L’intellectuel..........................16 I.3.Le pauvre...........................17 Deuxième partie : Essai d’herméneutique : II.4.L’exclu, une âme dans la tourmente....................20 II.5.L’exclu, face à l’école « dénaturée ».................22 II.6.L’exclu face à la problématique des Institutions.............24 Troisième partie : Exclusion et réalités sociales : III.7.L’univers socio-textuel.....................26 III.8.L’éternel fossé entre les « in » et les « out ».................28 Conclusion générale.....................30 Bibliographie et indexes des auteurs...................32 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon