Refine
Year of publication
- 2008 (15) (remove)
Document Type
- Report (15) (remove)
Language
- French (9)
- German (3)
- Portuguese (3)
Has Fulltext
- yes (15)
Is part of the Bibliography
- no (15) (remove)
Keywords
- Gabon (4)
- Gabun (4)
- Literatur (4)
- Angola (3)
- Herkunft (3)
- literature (3)
- origin (3)
- Entstehung (2)
- Mbundu (2)
- Politik (2)
Institute
- Extern (15) (remove)
Pour Eric Joël Békalé, la chasse illustre « le parcours de l’homme sur terre ». Ce parcours vise la réalisation de l’homme véritable. L’homme véritable, se conçoit comme « un être pas comme les autres1 ». A la base, il prend conscience que l’homme est un état qui se construit. Au final il n’a plus rien de commun car il devient « le début et la fin de toute chose». La chasse comme processus de réalisation de l’humain dans sa propriété, est aussi l’opération par laquelle l’homme quête son bonheur par le plaisir, le savoir et le pouvoir. Il doit pour se faire réduire la peur et trouver sa place. Car celui qui a peur n’est pas un homme et celui qui n’est pas un homme se prive l’accès au bonheur. « La chasse est une affaire d'homme. Que celui qui a peur de mourir mange les feuilles de manioc ».
Le présent ouvrage représente la version électronique d’un numéro spécial des Cahiers du Centre d’Études et de Recherche en Lettres Sciences Humaines et Sociales, publié en 2001 par la Direction des Presses Universitaires de l’Université de Ouagadougou, pour l’Unité de Formation et de Recherche (UFR/LAC & UFR/SH)
La documentation démographique concernant les populations rurales de l’Ouest-Africain ne s’est vraiment développée qu’à une époque très récente. On remarque une disparité entre les données relatives aux villes et escales, et celles qui ont trait à la situation rurale. La population urbaine a pu faire l’objet de véritables études démographiques, dès avant les indépendances, alors qu’en milieu rural, on s’est contenté des dénombrements effectués à des fins administratives et fiscales.
Mehrere Werke Christian Boltanskis zitieren das Arrangement der Photowand mit den Bildern von Familienangehörigen. Ein Beispiel dafür ist die Installation "Album de photos de la famille D. entre 1939 et 1964" (1971): Rund 180 Schwarzweiß-Familienaufnahmen aus dem Besitz von Boltanskis Freund Marcel Durand wurden abphotographiert, geordnet und ohne Kommentar aufgehängt. Doch wer diese Installation betrachtet, kennt – anders als die korsischen Trauernden in der Gesellschaft ihrer photographierten Ahnen-Gespenster – die dargestellten Personen nicht. Sie haben für uns keine Namen, keinen Status, keine Geschichten. Die Installation steht metaphorisch für ein beliebiges Familien-Gedächtnis, hat eben darum aber keine memoriale Kraft. In einem Selbstkommentar bekräftigt der Künstler, dass es ihm nicht darum ging, einer bestimmten Familie ein Denkmal zu errichten, die Gesichter bestimmter Personen aus der Vergangenheit in die Gegenwart ›blicken‹ zu lassen. Im Gegenteil stehe hier eine Familienphotosammlung für alle möglichen anderen, und Voraussetzung dafür sei die Unbestimmtheit der Abgebildeten: »Warum es gerade dieses Album sein musste? Durand ist ein echter Franzose, trägt den geläufigsten Namen Frankreichs und hat eine total normale Kindheit erlebt – anscheinend. Natürlich hätte ich auch mein eigenes Fotoalbum nehmen können. Aber das wäre viel zu speziell gewesen. Deshalb habe ich ein völlig austauschbares Album ausgewählt.«