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Plan Introduction I/ La localisation des dichotomies saussuriennes dans les deux oeuvres 1)le langage 2)la langue 3)la parole II./ Les composantes textuelles 1)L’instance narrative 2)Les descriptions 3)Les procédés de rhétorique III/ Le langage et l’expression littéraire : Entre appropriation et créativité 1)Les techniques narratives locales 2)L’écriture de l’humour comme stratégie de révolte Conclusion -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Dans ce travail, nous avons le dessein de traduire le caractère ambiguë de la langue, du langage à travers un projet oecuménique orienté vers la diversité dans l’unicité. Ahmadou KOUROUMA nous propose, à travers la bouche de son protagoniste, BIRAHIMA, de raconter un « blablabla » qui, en fin de compte, est complexe et fort enrichissant. Car sa mission est d’illustrer en filigrane la différence linguistique entre le français et le malinké. De même, Ytsia-MOON et les autres protagonistes de Parole de vivant semblent ne pas vouloir se laisser piéger par les incohérences de la langue française et complètent parfois leurs propos avec leur langue propre : le Ipunu. Ce travail, axé sur le langage à travers la langue d’ Ahmadou KOUROUMA et de Auguste MOUSSIROU MOUYAMA, n’est qu’un jalon. C’est assurément un thème que nous envisageons orienter vers l’exploration de toute la littérature africaine écrite, c’est-à-dire celle en langue anglaise et celle en langue française. Avant tout, nous tenons à avertir la classe littéraire du fait que ce travail que nous commençons fut entamé par Nicolas MBA ZUE2 lors de la journée du 24 janvier 20043 en hommage à Ahmadou KOUROUMA. Cela aurait pu nous détourner ou décourager du choix de ce thème. Mais une telle solution aurait été une fuite en avant. La métadiscursivité est un champ si vaste qu’au regard de cette première ébauche, on pourrait simplement parler d' « écorchure ». C’est ce qui fait en sorte que nous restions attachés à notre dessein d’en faire un thème d’étude pour les années à venir.
Mit Erstaunen stellen LinguistInnen aus Deutschland, Österreich und der Schweiz immer wieder fest, dass sich in der "kleinen" Schweiz der geschlechtergerechte Sprachgebrauch in Öffentlichkeit und Alltag weit stärker durchgesetzt hat als in den anderen deutschsprachigen Ländern. Diese Einschätzung gilt es hier zu überprüfen und, falls sie zutrifft, zu belegen. Ausserdem werden - als erster Schritt fur weitere Untersuchungen - Thesen formuliert, die Erklärungen liefern, worauf diese Entwicklung zurückgeführt werden kann. Mit diesem Artikel geben wir anband von ausgewählten, konkreten Beispielen einen Einblick in die Situation, wie sie sich zur Zeit in der Schweiz präsentiert. Wir konzentrieren uns - unter sprachsoziologischer Perspektive - auf eine erste Bestandesaufnahme mit dem Blick auf die Diskussion in den Medien, die Institutionalisierung und die Einstellungen, die die spezifische sprachliche Situation in der Deutschschweiz prägen. Einen Rahmen fur unsere Untersuchung bilden die Überlegungen von Schräpel (SCHRÄPEL 1986), die die Auseinandersetzung um nichtsexistische Sprache als ein besonderes Sprachwandelphänomen untersucht. Sprachwandel im Vollzug ist einerseits einfacher zu erfassen als einer, der weiter zurückliegt, andererseits erschwert die Fülle des greifbaren Materials auch den Durchblick und das klare Erkennen von Tendenzen. Aus diesem Grund werten wir unser Datenmaterial nicht quantitativ aus, sondern konzentrieren uns darauf, für verschiedene Aspekte typische Beispiele zu geben und so den Stand der öffentlichen Diskussion und die Breite der vertretenen Meinungen darzustellen. Es wäre verlockend, das hier vorliegende Material auch allgemeinerer Form unter der Thematik "Sprachkritik" oder "Einstellungen" zu analysieren. Dies ist jedoch nicht im Zentrum unserer Fragestellung, weshalb wir bei einigen Beispielen auf entsprechende Untersuchungen (z.B. BLAUBERGS 1980, SCHOENTHAL 1989) verweisen.