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Many contemporary African writers remain trapped in the quest for a worldview, philosophy, supposing a single 'African' demesne to explain the entire continent, referring to a mythical past. Paulin Hountondji shows how these strange conceptual constructions have played a positive role in the resistance led by intellectuals of colonial rule: they responded to the negation of the oppression that it comprised of, but it was an ambiguous answer, especially because it was built on the principles derived from the works of European ethnologists, particularly the Père Tempels. Independence opened a new historical period; these philosophical elaborations changed direction: once an expression of anti-colonial resistance, they are nowadays an ideology that justifies and reinforces the dominance of the contemporary state; the intellectuals who create them are today only the 'griots' of the regimes in place. Analysing without complacency the work of Nkrumah, of the Cameroonian Towa, and of the Rwandan Kagamé, amongst others, Hountondji exposes and denounces this antagonism. To him, the critical project proposed in this book seems a necessary step on the way to 'the liberation of theoretical creativity,' the peoples of Africa and their full participation in the universal intellectual debate!
The poems in this collection are a mirror reflecting the goings-on in the nooks and crannies of the Republic of Cameroon. Crafted in the lingo of the man in the street, these poems speak for the voiceless in Cameroon, for all those who live on the fringe of a rich Cameroonian society. The themes broached are numerous, namely the culture of impunity, the vicious cycle of corruption, abuse of power, influence peddling, rape of the constitution, electoral gerrymandering, and the ineptitude of national bourgeoisie to name but a few. In sum, Speak camfranglais pour un renouveau ongolais is a clarion call for a new deal in Cameroon.
La fête peut être décrite comme un mode spécifique d’inclusion sociale qui se distingue par une occasion spécifique, sa mise en relief démonstrative par rapport au quotidien tout comme le caractère collectif et la dimension de représentation ostentatoire qui lui sont propres. Dans la fête se constituent des cadres d’actions tels que la cour princière, la ville, la commune ou la paroisse en tant que structures sociales et politiques. Les fêtes sont des événements de communication dont des actes symboliques définissent clairement la durée, pendant laquelle les activités habituelles du quotidien sont en sommeil. Par l’action commune des participants, des appartenances sont définies, des hiérarchies établies et des valeurs transmises. Mais les fêtes peuvent également servir à se libérer de contraintes, à surmonter des menaces ou à se régénérer après des défis particuliers. Leur caractère extraordinaire est souligné par une mise en scène originale qui doit agir en retour sur le comportement et la disposition mentale des acteurs concernés. Car chaque fête suppose une disposition d’esprit précise des participants, tout comme elle tente de créer une disposition d’esprit spécifique. À la différence des cérémonies, les fêtes sont en général connotées positivement – en particulier parce qu’elles sont associées à des actes de sustentation et d’échange de cadeaux. ...
Le fait de savoir si le Saint-Empire romain germanique constituait un État est, en soi, une question peu stimulante, la réponse dépendant qui plus est des représentations fondamentales que l’on se fait de l’État. La recherche allemande, obsédée par le modèle de l’État national souverain, s’est accordée à penser pendant près d’un siècle et demi et en dépit de toutes les ruptures institutionnelles que l’Empire ne formait pas un État. En référence à cette tradition, l’introduction du concept d’« Empire-État complémentaire » (« komplementärer Reichs-Staat ») a mis en émoi une partie de la communauté des historiens modernistes germanophones, tandis qu’une autre part accueillait avec sérénité ou bienveillance ce nouveau modèle interprétatif. On pourrait ce faisant et en s’appuyant sur l’historicité de la formation de « l’État » procéder à l’analyse de l’Empire à partir de divers modèles. Mais une telle approche n’est pas sans conséquences sur l’appréciation de l’histoire allemande dans son ensemble. Définir l’Empire comme État et nation bouscule sensiblement le « grand récit » traditionnel : l’écart par rapport à une voie réputée normale de l’histoire européenne a jusqu’à présent conféré au passé allemand une signification pourvue d’une finalité tantôt légitimante tantôt déstructurante, mais toujours facteur d’intégration politique. Le concept d’Empire-État complémentaire ébranle l’idée de la singularité de l’histoire allemande moderne* sur un point capital, car il facilite la comparaison avec d’autres pays et oblige à considérer l’Allemagne comme partie prenante de l’Europe des États modernes. La notion d’Empire-État complémentaire ne peut dès lors servir ni de point de départ d’une « voie allemande particulière », ni d’archétype ou de modèle supra-étatique et supranational, ou d’équivalent fonctionnel de l’Europe contemporaine. ...
Les Vosges appartiennent, du point de vue bryologique, aux régions de l’Europe moyenne les plus riches et les plus intéressantes en espèces. Malheureusement, il manquait pour les présenter une flore synthétique. En 1989, l’auteur avait publié à son compte une première édition en 100 exemplaires d’une Bryoflore des Vosges dans laquelle, pour la première fois, toute la littérature bryologique avait été exploitée et enrichie par ses données personnelles. Celle-ci avait été complétée par un carroyage qui donnait ainsi un aperçu de la connaissance bryologique de cette région. Treize ans plus tard, une deuxième édition de ce travail fut publiée dans la revue « Limprichtia ». Les deux éditions furent traduites en français parce qu’il était important qu’une flore régionale portant sur une partie du territoire de la France soit publiée dans la langue de ce pays. Le texte de la première édition avait été traduit par une collaboratrice de l’auteur et fut revue par René Schumacker. Les compléments apportés au texte de la deuxième édition ont été traduits par Michael Häussler , René Schumacker en ayant à nouveau revu la traduction. Francis Bick a revu le texte et a traduit les nouvelles adjonctions apportées à la Bryoflore des Vosges à l’occasion de cette troisième édition.
En 1989, la première compilation de la bryoflore des Vosges et des zone limitrophes paru avec la collaboration de D. Lamy, G. Philippi, V. Rastetter, R. Schumacker et J. Werner (FRAHM 1989). Pour la première fois elle contenait une présentation de la bryoflore d'une partie de la France avec des cartes de distribution en réseau. Cette première vue d´ensemble fut complétée par RASTETTER (1990), WERNER (1990) et FRAHM (1991), traveaux incluant d´autres espèces nouvelles pour les Vosges. 5 ans plus tard FRAHM (1994) ajoutait de nombreuses informations sur la bryoflore et surtout indiquait 16 espèces nouvelles pour la région.