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Pendant plusieurs décennies, la littérature congolaise s’est fait remarquer au niveau continental. Beaucoup d’auteurs et particulièrement les romanciers ont intéressé la critique littéraire tant qu’ils se sont distingués des autres écrivains africains par leur « façon d’écrire ». Par sa taille et le nombre de ses habitants, le Congo au XXè siècle peut être considéré comme le pays qui a le plus d’écrivains, en particulier les romanciers dont la qualité des oeuvres est manifeste. Et comme l’affirment Alain Rouch et Gérard Clavreuil, "la littérature congolaise compte actuellement parmi les meilleures, les plus prolifiques et les plus homogènes d’Afrique noire"[1] De son côté, Roger Chemain renchérit dans la préface à Tarentelle noire et diable blanc de Sylvain Bemba. Pour lui , le Congo en Afrique francophone « compte le plus fort pourcentage d’écrivains par rapport à l’ensemble de la population »[2]. Parmi les écrivains qui ont marqué l’histoire du roman congolais, on peut citer des noms célèbres tels Jean Malonga, Guy Menga, Sylvain Bemba, Jean Pierre Makouta MBoukou, Henri Lopes, Sony Labou Tansi, Emmanuel Dongala, Tchichélé Tchivéla, Tchicaya U Tam’Si... qui sont devenus aujourd’hui des classiques de la littérature (négro) africaine d’expression française. D’une façon générale, l’histoire du roman congolais se fonde sur un itinéraire marqué par deux « mouvements », deux façons d’écrire. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Der junge Ödipus, so […] Dürrenmatt […], […] wusste, dass er als Findelkind nach Korinth gekommen war. […] Apollon[s] […] Spruch gläubig annehmend, erfüllte er in heiliger Raserei das Verheißene […]. Durch das Pestorakel […] verstand er endlich den Sinn des verhängten Schicksals […]. Im Triumph führte er den Prozess gegen sich selbst, und im Triumph verstümmelte er sich. […] Dass es sich […] um eine Mythenkorrektur handelt, ist auf den ersten Blick evident. […] Aus der Tragödie des Unwissens wird ein Drama des Wissens. […]Da für das Wirken des Schicksals […] Ödipus’ Unwissen aber konstitutiv ist, dreht sich, wenn Ödipus weiß und trotzdem handelt, die Priorität zwischen Schicksal und Wille um: Ödipus […] will das als Schicksal Verhängte erfüllen. […] Wissen statt Unwissen, Zufall statt Schicksal – so lauten die Gesichtspunkte, die den ersten Teil der folgenden Untersuchung leiten sollen. Der zweite Teil zielt auf die Bedeutung der Mythenkorrektur […]. Sieht man genauer auf die referierte Ödipus-Variante, so muss man sich Sophokles’ und Dürrenmatts Fassung als ‚mythos‘ im Aristotelischen Sinne identisch vorstellen. […] Wir stehen vor dem paradoxen Befund, dass der Mythos, obwohl er in seinem Kern verändert wird, auf seiner Handlungsgestalt beharrt, und sich […] der tragische Ausgang der Geschichte behauptet. Die alte Geschichte scheint […] einen modernen Sinn ergeben zu können, für den es genügt, die Prämissen, nicht jedoch die Fatalität des Verlaufs zu korrigieren.
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Sommaire Exergue………….4 Dédicaces….………..5 Gratitudes…………..6 Introduction générale..........................7 Première partie : Identification de la figure de l’exclu 0.Prolégomènes.......................14 0.1.Qu’est-ce que l’exclusion ?..................14 0.2.Qu’est-ce qu’un « exclu » ?......................14 I :Identification de la figure de l’exclu : I.1.L’initié...................................................15 I.2.L’intellectuel..........................16 I.3.Le pauvre...........................17 Deuxième partie : Essai d’herméneutique : II.4.L’exclu, une âme dans la tourmente....................20 II.5.L’exclu, face à l’école « dénaturée ».................22 II.6.L’exclu face à la problématique des Institutions.............24 Troisième partie : Exclusion et réalités sociales : III.7.L’univers socio-textuel.....................26 III.8.L’éternel fossé entre les « in » et les « out ».................28 Conclusion générale.....................30 Bibliographie et indexes des auteurs...................32 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
DEDICACES GRATITUDES INTRODUCTION- - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -7 Formulation, délimitation et choix du sujet- - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 9 Hypothèse de recherche- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -11 Cadre méthodologique- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 13 PREMIERE PARTIE : INSCRIPTION DU DON DANS L’OEUVRE D’AMINATA SOW FALL CHAPITRE I : TYPOLOGIE DES DONS- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 17 I.1.Le don des biens et services I.2.Le don de soi et de temps CHAPITRE II : ACTEURS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 19 II.1.Le donateur II.2.Le donataire II.3.L’intermédiaire CHAPITRE III : AUTOUR DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -21 III.1.Le don comme forme d’échange III.2.Le don comme facteur d’intérêt DEUXIEME PARTIE : DON ET SOCIETE CHAPITRE IV : MOTIVATIONS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -25 IV.1.La religion et l’indigence IV.2.La culture africaine CHAPITRE V : AVANTAGES DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27 V.1.Le don comme acte humanitaire V.2.Le don comme vecteur du lien social CHAPITRE VI : DESAGREMENTS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -29 VI.1.L’émergence des classes VI.2.La dette morale CONCLUSION- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 31 BIBLIOGRAPHIE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 32 -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Als 1983 der Roman "Die Klavierspielerin" erschien, war Elfriede Jelinek längst keine unbekannte Größe mehr. Der Roman beginnt damit, dass die Klavierspielerin Erika Kohut "wie ein Wirbelsturm in die Wohnung" "stürzt", "die sie mit ihrer Mutter teilt". Es gibt Sätze, deren Gehalt sich geradezu in einer Disproportion zu ihrer Länge befindet, so auch dieser Satz -naturgemäß, weil er der erste des Buchs ist und dadurch das Privileg hat, das Meiste zu sagen und in die riesige Einheit eines Romantextes einzustimmen, und wir die Stimme des Romans an der Stimme dieses ersten Satzes messen. Jedes Satzglied ist mit so viel Information geladen, dass die Aussagekraft des Satzganzen seinen syntaktisch-strukturellen Rahmen sprengt und Sinnsignale in seine nächste Umgebung bzw. über diese hinaus sendet. "Sie ist Nichts. Und nichts gibt es mehr für sie", heißt es im Roman "Die Klavierspielerin" von der Protagonistin Erika Kohut. Je ferner man im Abseits ist, desto näher befindet man sich an dem Abgrund, der "Nichts" heißt. "Die Klavierspielerin" ist ein Roman über das Außenseitertum darüber, wie man ins Abseits kommt. Das Abseits liegt zwischen dem Weg und dem Nichts: hier das Leben, dort der Abgrund.
The current study was part of a series of environment related studies of the Jabal Akhdar sponsored by the Sultan Qaboos University, Al Khoud, Sultanate of Oman. The present study aimed to establish the range, habitat, status and population of breeding species in the area, review the historical perspective and list migrant and visitor species noted during the survey.
Man kann die Menschheit in zwei Gruppen teilen: in solche, die sich an fremden Orten verbal anschmiegen und die lokale Sprache in sich aufnehmen als wäre es schon immer die eigene gewesen und solche, die ihre Sprache an einem fremden Ort beibehalten und sich kaum merklich oder gar nicht von ihrer neuen Umgebung sprachlich beeinflussen lassen. Daher fällt einem meist auf, ob jemand beispielsweise in Solothurn seinen Berner, Basler oder Thurgauer Dialekt beibehalten hat, oder aber man beobachtet – vielleicht sodann mit einer gewissen Skepsis –, dass ein zugezogener Mensch das Solothurnische langsam annimmt und seinen eigenen Dialekt nach und nach zu verlernen scheint. ...
Defoes großer, dreibändiger Versuch, das Licht der Aufklärung in die Welt zu tragen, unter anderem für religiöse Toleranz, gegen die Sklaverei, für Humanismus und besonders für die Anerkennung der ›Wilden‹ aus der Karibik und aus Afrika als Menschen einzutreten, wurde vielfach heruntergespielt auf eine spannende Abenteuergeschichte, von deren eigentlichem Wesen fast gar nichts mehr übrig geblieben ist. Aber immerhin einen Vorteil hat diese rezeptionsgeschichtliche Dauerflut: Die Handlung des Robinson Crusoe braucht man nicht nachzuerzählen – sie gehört fest ins kulturelle Gedächtnis, und es ist auch heute reichlich schwer, jemand zu finden, der gar nichts weiß von Robinsons Insel, von seinem Gefährten Freitag und den Kannibalen, vor denen Robinson ihn rettet. Wenngleich heute nur ein winziger Detailaspekt aus der unübersehbaren Fülle dieser Rezeptionsgeschichte angesprochen werden soll, so macht das doch ein relativ weites Ausholen und einen relativ langen Atem notwendig. Denn das Bild von Robinsons Freitag, wie es die Kinderbücher der deutschen Nachkriegsjahre vermitteln, steht in einem Diskurs, der eine lange Geschichte hat – und von dieser Geschichte gilt es zunächst ein wenig zu sprechen.
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...