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Queertheorie bestimmt sich über Vorläufigkeit, die sich nicht als fixiertes System versteht, sondern als eines, das lediglich ein Instrumentarium zur Verfügung stellt, um die Logik der Spezifität von Machtbeziehungen und Machtkämpfen, etwa in literarischen Texten, zu analysieren. Insofern jeder kritischen Theorie die Verpflichtung aufgegeben ist, kritisch gegen sich selbst gewendet, auch die Möglichkeit zu denken, dass sie nicht immer da sein wird, gilt es, sich nicht im eigenen Moment einzurichten. So möchte ich im Sinne einer vorläufigen und zugleich einer strategischen Kanonisierung vorschlagen: Die germanistische Literaturwissenschaft sowohl mit postkolonialen Theorien als auch mit Gender- und Queertheorien momenthaft und gleichsam verschränkt zu perspektivieren, um dadurch neue Realisationen von Texten zum Entstehen zu bringen.
Dès 1980, on assiste à des publications qui séduisent par l'esthétique du verbe, le charme surréaliste de la description des unités de temps, de lieux, de personnages, d'intérêts et une certaine charge évocatrice de l'histoire et de la philosophie des peuples du Gabon. C'est le début d'un certain éveil de la conscience littéraire.
Die „Schöne Jüdin“ ist ein Begriff, ein Themenkomplex, der sofort und unmittelbar eine starke Suggestivkraft entwickelt und wohl im Kopf eines jeden Bilder entstehen lässt, die in dem Spannungsfeld zwischen Hure und Heiliger angesiedelt sind. Mit diesem Phänomen hat sich auch Jean-Paul Sartre in seinen 1946 erstmals erschienenen „Réflexions sur la question juive“ („Betrachtungen zur Judenfrage“) beschäftigt und seine Gedanken in einem ebenso kurzen wie viel zitierten Abschnitt zusammengefasst: ...
Sans qu'il soit besoin de faire la ronde des romans de la dernière période, force est de constater qu'aucun auteur ne prend le risque d'aller au-devant de ce qu'ils semblent tous considérer comme des «sujets de danger», de ces sujets qui touchent à la politique et à la vie de leurs acteurs. La problématique des romans gabonais se construit alors sur la base du consensus de la peur. Écrire sur les politiques crée une névrose dont aucun écrivain ne voudrait payer les frais. À noter pour conclure que le silence du romancier gabonais pourrait bien sourdre du « prince », lui-même écrivain et capable comme tel d'influencer le monde de l'écriture. Dire le politique dans le roman pourrait porter à contredire les publications dithyrambiques qui font l'apologie de ce que les poètes souhaitent voir se concrétiser en vain. Alors, qui prendra le risque de faire le démenti?
Un moment de ma vie
(2008)
Pour Eric Joël Békalé, la chasse illustre « le parcours de l’homme sur terre ». Ce parcours vise la réalisation de l’homme véritable. L’homme véritable, se conçoit comme « un être pas comme les autres1 ». A la base, il prend conscience que l’homme est un état qui se construit. Au final il n’a plus rien de commun car il devient « le début et la fin de toute chose». La chasse comme processus de réalisation de l’humain dans sa propriété, est aussi l’opération par laquelle l’homme quête son bonheur par le plaisir, le savoir et le pouvoir. Il doit pour se faire réduire la peur et trouver sa place. Car celui qui a peur n’est pas un homme et celui qui n’est pas un homme se prive l’accès au bonheur. « La chasse est une affaire d'homme. Que celui qui a peur de mourir mange les feuilles de manioc ».
In der Zeitschrift Studia Germanistica werden Forschungsergebnisse zu aktuellen Themen auf dem Gebiet der germanistischen Linguistik, Literaturwissenschaft und DaF-Didaktik publiziert, die den Stand der Forschung in Tschechien sowie im Ausland dokumentieren. Bestandteile der Zeitschrift sind kulturwissenschaftliche Studien und Rezensionen.
Mit dem Erscheinen der dritten Nummer werden die "Studia Germanistica" zu einem Periodikum: Ihr Ziel ist es nach wie vor, zum wissenschaftlichen Austausch beizutragen, und zwar nicht nur im nationalen, sondern auch im internationalen Rahmen.
Die Erfahrung ist wohl jedem bekannt, der schreibt und liest, daß ein Satz dann verstanden ist, wenn man das, was er besagt, auch anders formulieren könne. Andererseits gibt es eine eigentümliche Resistenz auch verstandener Worte, ihren Gehalt einfach in neue Formen umzugießen - es gibt zumal im poetischen Text eine Verschmelzung von Evidenz und Einzigkeit, und zwar auch für den Verfasser eines solchen Textes. Nicht ohne Grund scheidet man die "intentio auctoris" von der "intentio operis", gerade am eigenen Text ist dieses Sich-Entziehen des Wortes vielleicht sogar am drastischsten und geradezu bestürzendsten zu sehen.