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Regeln der digitalen Kommunikation: die Goethe-Universität Frankfurt am Main versteht sich als Ort einer wertschätzenden Kommunikation und eines respektvollen Umgangs aller Beschäftigten, Studierenden und Gäste untereinander, an dem die persönliche Integrität und die Selbstachtung gewahrt wird. Dies gilt auch bei der Verständigung in den digitalen Kommunikationsräumen und Social-Media-Kanälen. Alle Mitglieder, Angehörige und Gäste der Goethe-Universität verpflichten sich zur Einhaltung der folgenden Regeln für die digitale Kommunikation.
Der Architekt, Hochschullehrer, Juror und Kritiker Max Bächer traf 1973 auf Albert Speer, den Architekten, NS-Rüstungsminister und verurteilten Kriegsverbrecher. Das bisher unveröffentlichte Protokoll dieser Begegnung ist für Frederike Lausch der Ausgangspunkt, Max Bächers intensive Beschäftigung mit der Architektur im Faschismus zu analysieren. Bächer hielt ab 1971 mehrere Vorträge zur Architektur der NS-Zeit, in denen er auch vor den Gefahren gegenwärtiger faschistischer Tendenzen warnte. Das Gespräch mit Albert Speer mündete in eine scharf formulierte Abrechnung, nachdem dieser 1978 seine Entwürfe ohne Selbstkritik als Bildband veröffentlicht hatte. Als Speers Buch Mitte der 1980er Jahre erneut debattiert wird, fordert Bächer eine ideologiefreie Diskussionskultur ein.
Freie, öffentlichen Meinungsbildung ist das Herzstück der Demokratie. Doch digitale Kommunikation und datengetriebene Kuratierung von Inhalten verändern das der Demokratie eigene Konzept von Öffentlichkeit und erfordern neue gesetzliche Rahmenbedingungen. In diesem Sammelband führen Expert:innen der Rechts- und Politikwissenschaften, der Soziologie und Datenwissenschaft in die Materie ein und weisen Wege zur Stärkung der Demokratie in der Digitalisierung.
In dem vorliegenden Band mit dem Titel „Prähistorische Konfliktforschung – Bronzezeitliche Burgen zwischen Taunus und Karpaten“ werden die Beiträge der Ersten Internationalen Tagung zum LOEWE-Schwerpunkt „Prähistorische Konfliktforschung“ in Frankfurt/a. M. vom 7. bis 9. Dezember 2016 vorgelegt (https://www.unifrankfurt.de/61564916/LOEWE-Schwerpunkt).
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.