Sondersammelgebiets-Volltexte
Filtern
Erscheinungsjahr
Dokumenttyp
Sprache
- Mehrsprachig (45) (entfernen)
Volltext vorhanden
- ja (45) (entfernen)
Gehört zur Bibliographie
- nein (45)
Schlagworte
- Benthos (1)
- Expedition Brochure (1)
- Expeditionsbericht (1)
- Lebensgemeinschaft (1)
- Polarforschung (1)
- QUEST (1)
- ROV surveys (1)
- ROV-Kartierungen (1)
- Seep-Ökosytemen (1)
- benthic communities (1)
Institut
Table of contents:
Hospice Gbèwonmèdéa Dassou, Rodrigue Idohou, Aristide Cossi Adomou,
Jéronime Marie-Ange Sènami Ouachinou, Hounnankpon Yédomonhan : Indigenous knowledge and local practices concerning the endemic plant Ipomoea beninensis Akoègn., Lisowski & Sinsin (Convolvulaceae): an initial assessment for its conservation in Benin
Jesugnon Fifamè Murielle Féty Tonouéwa, Eméline Sèssi Pélagie Assèdé, Samadori Sorotori Honoré Biaou : The use determinants of Acacia auriculiformis wood as timber in West Africa
Idriss Tourgou Kanika, Christophe Djekota, Elvire Hortense Biye : Characterization of Tapinanthus dodonaeifolius (Loranthaceae) infestation of shea butter tress in Chad
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
Heft 2 enthält Fachbeiträge rund um die AFSV-Tagungen in Polen (Herbst 2004) und Bayern (geplant für Herbst 2006). Zudem werden wichtige Themen der Arbeitsgruppe Wald- Naturschutz (Naturnähe, Naturwaldreservate) und der Arbeitsgruppe GIS (Belange, die aus der herkömmlichen Standortkartierung resultieren, Belange der Modellierung / Regionalisierung, Belange der Fernerkundung) angesprochen. Die internationale Ausrrichtung wird mit Blick auf eine stärkere grenzübergreifende Vernetzung europäischer Regionen verstärkt.
Heft 11 von WLN (Waldökologie, Landschaftsforschung und Naturschutz – Forest Ecology, Landscape Research and Nature Conservation) behandelt erneut ein Themenspektrum von hoher Relevanz. Forstwirtschaft auf standörtlich-vegetationskundlicher Grundlage bedeutet die Individualität der Lebensräume zu berücksichtigen und gleichzeitig das Leistungspotential der Natur optimal zu nutzen. Wichtige Aspekte des Naturschutzes einzubeziehen und die Biodiversität langfristig zu erhalten, sind weitere wichtige Anliegen einer ökologisch nachhaltigen Landnutzung. In der neuen Ausgabe werden einmal mehr vielseitige Möglichkeiten aufgezeigt, aktuellen Fragestellungen im In- und Ausland mit innovativen Methodenansätzen nachzugehen. Sie beinhaltet die Bereiche forstliche Standorts- und Vegetationskunde, Einsatz moderner Technologien für waldkundliche Erhebungen, Biodiversitätsforschung sowie Naturschutz.
Mit Heft 10 von WLN (Waldökologie, Landschaftsforschung und Naturschutz) setzen wir die erfolgreiche Tradition von thematisch fokussierten Sonderheften fort, die sich mit ihren Beiträgen einem aktuellen Forschungskomplex der Landschaftsforschung widmen. Im vorliegenden Heft finden Sie ausgewählte Fachbeiträge zum Thema Ökosystemrenaturierung und nachhaltiges Management von Flüssen und Feuchtgebieten, die einer Tagung an der Hochschule Magdeburg-Stendal im Juni 2009 entstammen. Der geographische Fokus der vorgestellten Arbeiten reicht von Mitteleuropa bis Südamerika und Zentralasien und die inhaltliche Breite bewegt sich von Feuchtgebieten zu Fließgewässern und von der Erfassung natürlicher Prozesse bis zum intensiven Management von Ökosystemen. Da Naturschutz in unserer anthropogen überprägten Welt neben der Bewahrung der „Restnatur“ auch in starkem Maße die Wiederherstellung der Funktionsfähigkeit der Ökosysteme beinhaltet, freuen wir uns, dass sich Heft 10 diesem Thema in besonderer Weise widmet.
Die Meteor Expedition M70 erforscht spezielle Tiefenwasserökosysteme am Meeresboden von submarinen Bergen und den Kontinentalrändern des zentralen und östlichen Mittelmeers. Im Rahmen des EU Projekts HERMES werden bathyale Korallenökosysteme im westlichen Tyrrhenischen Meer, dem Ionischen Meer sowie der südlichen Adria untersucht (Fahrtabschnitt M 70/1 unter Leitung Prof. Dr. A. Freiwald). Anschließend werden erst kürzlich entdeckte Ökosysteme an Methanquellen des tiefen Nilfächers in einer gemeinsamen Aktivität des ESF EUROCORES-Projekts MEDIFLUX und des deutschen Geotechnologien-Projekts MUMM II erforscht (Fahrtabschnitt M 70/2 unter Leitung Prof Dr. A. Boetius). Schließlich stehen Prozesse von submarinen Fluidzirkulation an Gas- und Fluidaustritten vor Israel und an den "Anaximander Seebergen" südlich der Türkeiküste im Fordergrund der Forschung (Fahrtabschnitt M70/3 unter Leitung von Prof. Dr. G. Bohrmann). Die Reise wird am 24.09.2006 in La Valetta (Malta) beginnen und am 09.12.2006 in Limassol (Zypern) enden.
Die zweite Reise des FS MARIA S. MERIAN setzt sich aus physikalisch-ozeanographischen und biologischen Programmen zusammen. Der erste Fahrtabschnitt (Leitung Lherminier) führt ein französisches Langzeitprogramm zur Erfassung der atlantischen Umwälzbewegung (OVIDE) fort, bei dem ein hydrographischer Schnitt mit einem umfangreichen Tracerprogramm zwischen Portugal und dem südlichen Grönland aufgenommen wird. Der zweite Abschnitt (Leitung Meincke) ist ein Beitrag zum Hamburger Sonder-forschungsbereich 512, Teilprojekt „Der Ostgrönlandstrom – Indikator niederfrequenter Veränderlichkeit des Ausstroms aus dem System Arktischer Ozean/Europäisches Nordmeer“ und zum Grundprogramm des Alfred-Wegener-Institutes zum Thema „Langzeit-variabilität von Konvektion und Transporten in der Grönlandsee“. Auf dem dritten Abschnitt (Leitung Freiwald) werden neben einer polarforschungshistorischen Studie auf Spitsbergen biosedimentäre Systeme polarer Karbonatvorkommen auf den Schelfen Svalbards im Zusammenhang mit rezenter Klimavariabilität analysiert. Im letzten Abschnitt (Leitung Schauer) werden Langzeitmessungen zum Wassermassenaustausch zwischen Nordatlantik und dem Nordpolarmeer durch die Framstraße und zur Ökologie der polaren Tiefsee fortgeführt. MSM02/1 Im Rahmen eines 2002 begonnenen Langzeitprogramms OVIDE zur Erfassung der atlantischen Umwälzbewegung wird alle 2 Jahre ein hydrographischer Schnitt zwischen Portugal und dem südlichen Grönland aufgenommen. Der Schnitt besteht aus 95 CTD-Stationen und einem umfangreichen Tracer-Programm Begleitet werden die Messungen durch direkte Strömungsmessungen mit ADCPs, - einem im Schiff verankerten sowie einem mit der Rosette gefierten Gerät. Das Programm ist Teil des französischen Programms PNEDC und des inter-nationalen Programms CLIVAR. MSM02/2 Der Fahrtabschnitt MSM02 dient der Fortführung von zwei längerfristigen physikalisch-ozeanographischen Beobachtungsprogrammen der Universität Hamburg und des Alfred-Wegener-Institutes für Polar- und Meeresforschung. Mit Hilfe von in situ Messungen und realitätsnaher Model-lierung soll die saisonale bis zwischenjährliche Veränderlichkeit der Wassermassenzusammensetzung und –transporte sowohl des oberflächennahen und tiefen Ostgrönlandstromes als auch des Grönlandsee-Wirbels untersucht werden. Sie liefern die Daten zur Rolle der Prozesse im Europäischen Nordmeer, die den Eintrag von oberflächennahem Süßwasser und tiefen Overflows in den Nordatlantischen Ozean kontrollieren und damit die für das europäische Klima wichtige atlantische thermohaline Umwälzzirkulation steuern. MSM02/3 Die wissenschaftliche Zielsetzung der Reise MSM02/3 widmet sich der postglazialen Entwicklung benthischer Lebensgemeinschaften auf den Schelfen um Spitzbergen. Die Integration geologischer, biologischer, meeres-chemischer und ozeanographischer Fragestellungen ist durch die Expertise der Fahrtteilnehmer gesichert. Zusätzlich wird das Schicksal der gescheiterten Deutschen Arktis Expedition und ihrer Rettungsexpedition in den Jahren 1912 und 1913 erforscht und ein wichtiges, wenngleich tragisches Kapitel in der deutschen Polarforschung geschlossen. MSM02/4 Das Programm dient ozeanographischen und biologischen Langzeitstudien in der Framstraße. Im Rahmen des EU-geförderten Programms „DAMOCLES“ wird der ozeanische Austausch zwischen dem Nordatlantik und dem Nord-polarmeer bestimmt. Dazu wird seit 1997 auf 79°N ein Verankerungsarray betrieben, das jährlich ausgetauscht wird. Um die räumlichen Skalen besser aufzulösen, werden parallel dazu CTD-Messungen durchgeführt. Über den gleichen Zeitraum währen multidisziplinäre Untersuchungen im Bereich der Tiefsee-Langzeitstation AWI-„Hausgarten“. Neben einem zentralen Experimentierfeld in 2500 m Wassertiefe werden Stationen entlang zweier Transekte in 1000 - 5500 m Wassertiefe aufgesucht, um in biologischen, geochemischen und sedimentologischen Untersuchungen saisonale und mehrjährige Veränderungen identifizieren zu können. Dabei werden neben schiffsgebundenen Proben-nahmegeräten Lander und Verankerungen eingesetzt. Im Rahmen des DFG-Projekts “Biodiversity and ecology of deepsea copepods in polar seas – speciation processes and ecological niches in the homogeneous environment of the pelagic realm” werden die Biodiversität und die Ernährungsökologie dominanter Cope-podenarten der arktischen Tiefsee untersucht.