Afrika südlich der Sahara
Refine
Year of publication
Document Type
- Report (48) (remove)
Language
- French (32)
- Portuguese (13)
- English (3)
Has Fulltext
- yes (48)
Is part of the Bibliography
- no (48)
Keywords
- Gabon (23)
- Gabun (23)
- Literatur (23)
- literature (22)
- Literaturwissenschaft (13)
- Angola (12)
- literary studies (9)
- Politik (5)
- politics (5)
- Ethnische Gruppe (4)
Institute
- Extern (48) (remove)
Sans qu'il soit besoin de faire la ronde des romans de la dernière période, force est de constater qu'aucun auteur ne prend le risque d'aller au-devant de ce qu'ils semblent tous considérer comme des «sujets de danger», de ces sujets qui touchent à la politique et à la vie de leurs acteurs. La problématique des romans gabonais se construit alors sur la base du consensus de la peur. Écrire sur les politiques crée une névrose dont aucun écrivain ne voudrait payer les frais. À noter pour conclure que le silence du romancier gabonais pourrait bien sourdre du « prince », lui-même écrivain et capable comme tel d'influencer le monde de l'écriture. Dire le politique dans le roman pourrait porter à contredire les publications dithyrambiques qui font l'apologie de ce que les poètes souhaitent voir se concrétiser en vain. Alors, qui prendra le risque de faire le démenti?
Le présent ouvrage représente la version électronique d’un numéro spécial des Cahiers du Centre d’Études et de Recherche en Lettres Sciences Humaines et Sociales, publié en 2001 par la Direction des Presses Universitaires de l’Université de Ouagadougou, pour l’Unité de Formation et de Recherche (UFR/LAC & UFR/SH)
Répertoire des archives : sous-série 2 G ; rapports périodiques ; première tranche ; 1895 - 1940
(2008)
This report arises from research carried out in Iganga and Namutumba districts in late 2006/early 2007 by the Cultural Research Centre (CRC), based in Jinja. Our research focus was to gauge the impact of using Lusoga as a medium of instruction (since 2005 in "pilot" lower primary classes) within and outside the classroom. This initiative was in response to a new set of circumstances in the education sector in Uganda, especially the introduction by Government of teaching in local languages in lower primary countrywide from February 2007. This followed an experimental period, in selected pilot districts, including Iganga, where fifteen pilot schools had been chosen: all these became part of this study.
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
O trabalho aqui apresentado tem como objectivo elaborar um estudo sobre um bairro de um país africano e, consequentemente realizar um projecto sob a forma de plano para essa mesma área. O país em causa é a Guiné-Bissau e o bairro escolhido foi o de Quelélé, um bairro dentro do perímetro da grande Bissau com uma evolução típica de bairro suburbano, com todas as vantagens e desvantagens que daí advêm. Esta escolha não foi aleatória, muito pelo contrário, fazer um plano para um bairro de Bissau sempre foi um desejo meu desde quecomecei a sentir o que é o Urbanismo. Mais importante do que isso será sem dúvida a relação e o sentimento que tenho para com muitas pessoas daquele país. Tive a oportunidade de conhecer um pouco do que é a Guiné-Bissau numa primeira fase quando vivi por um período de ano e meio em Bissau durante os anos de 90 e 91, e durante os últimos anos nas viagens que espaçadamente me são possibilitadas. Infelizmente no decorrer dos anos 97 e 98 a Guiné-Bissau viu-se a braços com uma guerra interna que mergulhou o país outra vez nos limites de pobreza e sobrevivência. Os motivos não são alvo de minha preocupação para este trabalho, mas sim o estado em que ficou o país tanto a nível humano como a nível de infraestruturas. É assim que nasce o Plano de Urbanização para o Bairro do Quelélé. Este bairro encontrava-se na linha da frente durante a guerra e foi, infelizmente bastante massacrado. Podia ter escolhido outro dos tantos bairros quesofreram com a guerra, mas é com este bairro que tenho uma relação especial. Foi me dada a oportunidade de lá passar muitas horas a viver e a confraternizar com muitas pessoas que hoje vivem horas particularmente difíceis. É a essas pessoas que dedico este trabalho.