Afrika südlich der Sahara
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Fespaco Newsletter N°27
(2008)
Nous abordons cette nouvelle année avec beaucoup d’espoir pour le cinéma africain. Comme on dit : l’essentiel n’est pas d’exister, mais de faire dans la durée, et malgré les écueils divers, résister en continuant de créer pour avancer. Les cinéastes se sont appropriés les nouvelles technologies et oeuvrent en visant la continuité non seulement au plan national, c'est-à-dire un cinéma africain pour les africains, mais aussi aux plans régional et international. En s’organisant, les réalisateurs donnent une ouverture au cinéma africain qui s’exporte et s’apprécie de plus en plus dans le monde entier. Ce numéro fait entre autres, une part belle aux Etalons d’or, de bronze et d’argent, Lucie A. Kéré aux différents Poulains (or, argent, bronze), ainsi qu’aux meilleurs documentaires, au Prix Paul Robeson et à celui d’Oumarou Ganda, de la vingtième édition.
Un moment de ma vie
(2008)
Pour Eric Joël Békalé, la chasse illustre « le parcours de l’homme sur terre ». Ce parcours vise la réalisation de l’homme véritable. L’homme véritable, se conçoit comme « un être pas comme les autres1 ». A la base, il prend conscience que l’homme est un état qui se construit. Au final il n’a plus rien de commun car il devient « le début et la fin de toute chose». La chasse comme processus de réalisation de l’humain dans sa propriété, est aussi l’opération par laquelle l’homme quête son bonheur par le plaisir, le savoir et le pouvoir. Il doit pour se faire réduire la peur et trouver sa place. Car celui qui a peur n’est pas un homme et celui qui n’est pas un homme se prive l’accès au bonheur. « La chasse est une affaire d'homme. Que celui qui a peur de mourir mange les feuilles de manioc ».
Le présent ouvrage représente la version électronique d’un numéro spécial des Cahiers du Centre d’Études et de Recherche en Lettres Sciences Humaines et Sociales, publié en 2001 par la Direction des Presses Universitaires de l’Université de Ouagadougou, pour l’Unité de Formation et de Recherche (UFR/LAC & UFR/SH)
La documentation démographique concernant les populations rurales de l’Ouest-Africain ne s’est vraiment développée qu’à une époque très récente. On remarque une disparité entre les données relatives aux villes et escales, et celles qui ont trait à la situation rurale. La population urbaine a pu faire l’objet de véritables études démographiques, dès avant les indépendances, alors qu’en milieu rural, on s’est contenté des dénombrements effectués à des fins administratives et fiscales.
1 Introdução Os falantes da língua Xingoni são os descendentes do grupo etnolinguístico oriundo das migrações dos Nguni. No mfecane, causado pelas guerras do Shaka Zulu e Dingiswayo, numerosas populações foram movimentadas em vastas zonas geográficas de África Austral. Essas ondas demográficas chegaram até a província de Cabo Delgado. Xingoni é a variante de referência, falada nos distritos de Montepuez, Nangade, Meluco, Mueda, Muidumbe e Nangade. Existe a probabilidade da existência de mais falantes do Xingoni na província do Niassa, no distrito de Milepa e na província de Tete, concretamente no distrito de Angônia. Fora do território nacional, o Xingoni é também falado no Malawi e na Tanzânia. Também se ouve falar duma língua Xingoni na Zâmbia. Dado que a língua Xingoni pertence às línguas moçambicanas menos estudadas, achei oportuno convidar um grupo de falantes ao workshop “Descubra a sua língua” que teve lugar em Abril deste ano. Juntaram-se aos outros participantes e desenvolveram actividades que culminaram na produção desta versão experimental daquilo que mais tarde se possam tornar “Algumas Notas gramaticais sobre a língua Xingoni.” O modelo da descrição segue os mesmos princípios que norteavam as notas gramaticais das línguas Emakhuwa, Etakwane, Imarenje e Ekoti. Espero que essas notas possam servir de modelo e inspiração para elaborar mais descrições gramaticais nas línguas menos estudadas. Oliver Kröger Assessor linguístico da SIL Moçambique Nampula, dia 3 de Agosto de 2006