840 Literaturen romanischer Sprachen; Französische Literatur
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Dans ce travail, nous avons le dessein de traduire le caractère ambiguë de la langue, du langage à travers un projet oecuménique orienté vers la diversité dans l’unicité. Ahmadou KOUROUMA nous propose, à travers la bouche de son protagoniste, BIRAHIMA, de raconter un « blablabla » qui, en fin de compte, est complexe et fort enrichissant. Car sa mission est d’illustrer en filigrane la différence linguistique entre le français et le malinké. De même, Ytsia-MOON et les autres protagonistes de Parole de vivant semblent ne pas vouloir se laisser piéger par les incohérences de la langue française et complètent parfois leurs propos avec leur langue propre : le Ipunu. Ce travail, axé sur le langage à travers la langue d’ Ahmadou KOUROUMA et de Auguste MOUSSIROU MOUYAMA, n’est qu’un jalon. C’est assurément un thème que nous envisageons orienter vers l’exploration de toute la littérature africaine écrite, c’est-à-dire celle en langue anglaise et celle en langue française. Avant tout, nous tenons à avertir la classe littéraire du fait que ce travail que nous commençons fut entamé par Nicolas MBA ZUE2 lors de la journée du 24 janvier 20043 en hommage à Ahmadou KOUROUMA. Cela aurait pu nous détourner ou décourager du choix de ce thème. Mais une telle solution aurait été une fuite en avant. La métadiscursivité est un champ si vaste qu’au regard de cette première ébauche, on pourrait simplement parler d' « écorchure ». C’est ce qui fait en sorte que nous restions attachés à notre dessein d’en faire un thème d’étude pour les années à venir.
Houllebecqs Science-Fiction : "Unterwerfung" und "Die zweite Invasion der Marsianer" der Strugatzkis
(2018)
Am 6. Juni 2018 wurde die deutsche Fernsehverfilmung von Michel Houellebecqs Roman "Unterwerfung" in der ARD gesendet. Auf die Erstausstrahlung folgte eine Gesprächsrunde zum Thema "Die Islamdebatte: Wo endet die Toleranz?" An der Programmzusammenstellung wird das Missverständnis deutlich, das sich in der öffentlichen Diskussion von "Unterwerfung" etabliert hat. Dieses Missverständnis besteht darin, die "Islamdebatte" als Thema des Romans zu begreifen und deshalb dessen Szenario zum Gegenstand einer politischen Debatte zu machen. [...] "Unterwerfung" (2015) ist kein Roman über die Auseinandersetzung mit dem Fremden, sondern über das Verhältnis zur eigenen Geschichte. Der exemplarische Fall materialisierter Geschichte ist in "Unterwerfung" die Literatur. Dass der Protagonist und Erzähler François ein Literaturwissenschaftler ist, der sich vorwiegend mit Texten von Joris-Karl Huysmans befasst, ist dem Roman dabei Mittel zum Zweck, die Literatur thematisch ins Zentrum zu rücken. [...] Der neuere literaturgeschichtliche Hintergrund für Houellebecqs Arbeit ist die Science-Fiction. Und tatsächlich lässt sich "Unterwerfung" als Hypertext eines Science-Fiction-Romans lesen. Dieser trägt im Deutschen den Titel "Die zweite Invasion der Marsianer", wurde von Arkadi und Boris Strugatzki erstmals im Jahr 1967 auf Russisch veröffentlicht und liegt in einer trashigen französischen Taschenbuchausgabe von 1983 als "La seconde invasion des Martiens" in der Reihe "Science-fiction soviétique" vor.
Wenn in Frankreich, wie Curtius schreibt, die Literatur zum repräsentativen Ausdruck der Nation geworden war, so hatte das historische Gründe, die auf das Zeitalter der Klassik und der absoluten Monarchie zurückgehen. Im heutigen Frankreich ist in der Tat die Klassik, namentlich das Zeitalter Ludwigs XIV., die entscheidende kulturelle Referenz. Die wichtigen Werke dieser Zeit sind im kulturellen Gedächtnis der Franzosen präsent, bilden einen bedeutenden Teil eines lebendigen Erbes. Der Höhepunkt der politischen Macht unter Ludwig XIV. war gleichzeitig eine kulturelle Blütezeit. Die Kultur war schon seit der Renaissance in das nationale Leben integriert. Dieser Integrationsprozess verdichtete sich indes in der zweiten Hälfte des 17. Jahrhunderts. Peter Burke und Louis Marin haben aufgezeigt, wie alle Künste, die Literatur, die Malerei, die Bildhauerei und die Architektur, dazu beitrugen, die symbolische Macht der absoluten Monarchie zu konstituieren, und zwar im zentralen Bereich der Zeichen und der Imagination, eine Macht, die vor allem in der Re-Präsentation bestand. Man wird sich aber vor der Vorstellung hüten müssen, die Künste seien vom Sonnenkönig nur instrumentalisiert worden. Wegen ihrer Integration in die zentralen Sphären der Gesellschaft erreichten sie gleichzeitig einen bedeutenden sozialen Status. Wenn der König sein Zeitalter immer wieder mit demjenigen von Augustus vergleichen ließ, dann war das gleichzeitig ein Anstoß und eine Verpflichtung zur Förderung der Künste.
Es handelt sich beim kulturellen Transfer um ein höchst komplexes Feld von Interaktionen, die keineswegs in linear-einsinniger Weise beschreibbar sind, sondern eingebunden bleiben in gesellschaftliche Dynamiken und deshalb historisch variabel sind. Eine solche historische Variable, die Einfluss auch auf die Transferprozesse zwischen Deutschland und Frankreich nimmt, ist die zu verschiedenen historischen Zeitpunkten jeweils unterschiedliche Wahrnehmung der französischen Gegenwartsliteratur. Einige Aspekte dieser Wahrnehmung im deutschen Vormärz untersucht Bernd Kortländer im Folgenden.
Vorwort
(2008)
Die historische Übersetzungsforschung ist eine Disziplin, die sich noch ziemlich in den Anfängen befindet. Es fehlen wichtige Dinge sowohl hinsichtlich der bibliographischen Aufarbeitung (wenngleich die Bibliographie von Hans Fromm aus den 1950er Jahren hier immer noch gute Dienste leistet), besonders aber hinsichtlich der Personen der Übersetzer, über die häufig gar nichts bekannt ist. Zu vielen sehr unbedeutenden und gar nicht gelesenen Schriftstellern der Zeit liegen mehr Informationen vor als zu Übersetzern, die eine ganze Fülle von Werken vor ein deutsches Massenpublikum gebracht haben. Dabei kann man aus der Untersuchung von historischen Übersetzungen eine Menge lernen. Nicht nur, was die praktische Übersetzungsarbeit angeht, sondern vor allem in Blick auf unsere eigene Kultur- und Literaturgeschichte.
« Et si les crocodiles pleuraient pour de vrai… » est une nouvelle dans laquelle, semblet-il, l’écrivain et théoricien Ludovic Emane Obiang paraît asseoir une conception du monde et de la littérature basée sur une figure profonde de même qu’un phénomène essentiel que sont la figure du crocodile et le phénomène de la reconstruction. Sa nouvelle paraît nous plonger au coeur d’une question essentielle source de véritables angoisses. Les crocodiles pleurent-ils ? Et s’ils pleurent, pleurent-ils pour de vrai ? A quoi devons nous faire attention lorsqu’on nous invite à penser à partir de la figure du crocodile ? Ensuite, en quoi cette figue de crocodile a-t-elle rapport avec quelque chose de l’ordre de la reconstruction, car comme le souligne Ludovic Obiang, le maître mot de sa nouvelle est le phénomène de la reconstruction ? Qu’est-ce que la reconstruction ? A quoi renvoie la réalité du crocodile ?
Un moment de ma vie
(2008)
Pour Eric Joël Békalé, la chasse illustre « le parcours de l’homme sur terre ». Ce parcours vise la réalisation de l’homme véritable. L’homme véritable, se conçoit comme « un être pas comme les autres1 ». A la base, il prend conscience que l’homme est un état qui se construit. Au final il n’a plus rien de commun car il devient « le début et la fin de toute chose». La chasse comme processus de réalisation de l’humain dans sa propriété, est aussi l’opération par laquelle l’homme quête son bonheur par le plaisir, le savoir et le pouvoir. Il doit pour se faire réduire la peur et trouver sa place. Car celui qui a peur n’est pas un homme et celui qui n’est pas un homme se prive l’accès au bonheur. « La chasse est une affaire d'homme. Que celui qui a peur de mourir mange les feuilles de manioc ».
L’analyse qui suit a pour objet la notion du double chez Alain Mabanckou. Cette notion est étudiée telle qu’elle se donne à lire dans Mémoire de porc-épic, roman paru en 2006 aux éditions du Seuil. Ce qui nous intéresse ici c’est le rapport possible existant entre double, parole et ponctuation. Présenté ainsi, nous cherchons à comprendre cette particularité du texte de Mabanckou qui est une longue phrase sans ponctuation, sinon n’étant ponctuée que par des virgules.