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Zukunft betrifft alle Lebewesen - dennoch ist das Nachdenken über Zukünftiges etwas genuin Menschliches: Literatur kann dieses Nachdenken, diese Vorfreude, diese Sorgen antizipieren, materialisieren und erfahrbar machen. Sie bietet eine Leinwand für die Fragen nach der Konstruktion von Zukunft und ihrer Interdependenz zu Vergangenheit und Gegenwart. Damit verbundene Reflexionen reichen von den Folgen des Klimawandels über die Bewältigung persönlicher und gesellschaftlicher Krisen bis hin zur Auseinandersetzung mit technischen Entwicklungen. Texte - im weitesten Sinne - gestalten Möglichkeitsräume ungewisser Zukünfte aus. Daher stehen die Geisteswissenschaften in der Verantwortung, das vorhandene Potenzial auszuloten. Dieser Band ist das Ergebnis des 13. Studierendenkongresses der Komparatistik mit dem Thema "Literatur & Zukunft", der am 27. und 28. Mai 2022 an der Bergischen Universität Wuppertal stattgefunden hat und Beiträge einer neuen Generation von Literaturwissenschaftler:innen versammelt.
Das Forum Interdisziplinäre Begriffsgeschichte hat in seiner zwölfjährigen Geschichte immer wieder Begriffe an der Schnittstelle von Biologie sowie Gesellschaft und Kultur, insbesondere aber solche des ökologischen Diskurses thematisiert. [...] Das vorliegende, von der Slawistin Tatjana Petzer (Universität Graz) als Gastherausgeberin gestaltete Schwerpunktthema "Ecology in Eastern European Terminology" lässt sich als Fortsetzung dieser Thematiken verstehen. Die Beiträge verdeutlichen, wie Wissenschaftlerinnen und Wissenschaftler osteuropäischer Länder und der Sowjetunion, die oftmals zunächst im engen Kontakt mit westeuropäischen Wissenschaftsentwicklungen standen, aufgrund der späteren, vor allem im Kalten Krieg forcierten Abkoppelung eigenständige Terminologien und Konzepte entwickelten, deren Zusammenhang mit westlichen Ideen dadurch verdeckt waren, und doch mitunter auch wieder auf sie zurückwirkten. Viele der behandelten interdisziplinären Begriffe (Biogeochemie, Biogeozönose, Metabolismus, Regulation oder Geocryologie) thematisieren den heute so intensiv diskutierten Zusammenhang zwischen Ökologie und Geologie.
Diese Ausgabe des "Forums Interdisziplinäre Begriffsgeschichte" vereint zwei Themenschwerpunkte, die, unabhängig voneinander entstanden, auch inhaltlich zunächst nichts miteinander zu tun zu haben scheinen. In drei englischsprachigen Beiträgen des ersten Teils geht es um die sich semantisch und in ihrer historischen Genese überlappenden Begriffe 'Energie', 'Entropie' und 'Anthropozän'. Der zweite Themenschwerpunkt behandelt begriffshistorische Verschiebungen im Theoriegebäude der Sprachwissenschaft. Die Ausgabe wird beschlossen durch den Politikwissenschaftler Kari Palonen (Universität Jyväskylä, Finnland), der einen Band zur Geschichte der politischen Ideengeschichte rezensiert.
Academies and the defence of European national languages (mit einer selbstkritischen Vorbemerkung)
(2020)
Um das Problem der einzelnen Nationalsprachen geht es Jürgen Trabant in seinem Beitrag. Er plädiert für die Bewahrung der Mehrsprachigkeit in den Wissenschaften und die Förderung der unterschiedlichen Nationalsprachen in der wissenschaftlichen Lehre und Forschung - hier vor allem an die Adresse der jeweiligen nationalen Akademien der Wissenschaften gerichtet. Trabant warnt vor den Verlusten, die man zwangsläufig in Kauf nimmt, wenn - zumal in den Kultur- und Geisteswissenschaften - nur noch eine wissenschaftliche lingua franca den Ton angibt und andere Sprachen aus dem Wissenschaftsdiskurs ausgegrenzt werden.
Kathrin Ackermann: Kunstfälschung und Kunstpolemik in Romanen von William Gaddis, Georges Perec und Sergio Kokis - Annette Simonis: Katzen als tierliche Akteure und 'companion animals' in der neueren japanischen Literatur - Dagmar Burkhart: Komparatistik und Cultural Animal Studies - Andreas Mahler: Pfeifen im Weltdunkel - Stefan Bub: Quell' immenso baratro di stelle - Reinhard Krüger: Major Tom und die Einsamkeit des Kosmonauten - Alexandra Müller: Netzkommunikation, Ablenkungskultur und Informationsexzess - Corinna Dziudzia: Zum Verhältnis von Kunst und Politik - Michael Berger: Der Höllensammler - Peter Schuck: Auskreuzen/ Einklammern - Dennis Friedrichsen: Evoking Empathy in China Miéville's "Perdido Street Station"
Le présent volume s'ouvre sur l'article programmatique d'Yvette Sánchez (Saint-Gall), qui se penche ici sur le faux entendu comme forgerie ou tromperie, tel que l’ont pratiqué à tour de rôle Cervantès, Borges et Max Aub en rappelant les liens étroits que le faux entretient avec la notion de fictionalisation. Si la traduction fait depuis plusieurs années l'objet d'une attention accrue de la part des littéraires, Martine Hennard Dutheil de la Rochère (Lausanne) montre dans sa contribution que la poétique traductive d'Angela Carter accorde une place particulièrement riche aux fautes de traduction dans son travail de réécriture des contes de fées de Perrault. Dans une perspective similaire, Angela Daiana Langone (Cagliari) montre que l'émergence du théâtre arabe moderne est jalonnée non seulement de fautes de traduction, mais également d’autres malentendus lorsqu'il s'agit d’adapter les exemples occidentaux, en l'occurrence Molière, à un contexte culturel pour lequel le théâtre est synonyme non seulement de modernité, mais aussi d'émancipation ; un fait que la contribution d'Oliver Kohns (Luxembourg) qui porte sur les enjeux de la modernisation dans la Turquie d'Orhan Pamuk vient illustrer à propos de son célèbre roman Le Musée de l'innocence, qui entretient lui aussi une relation marquée par des malentendus productifs avec la littérature occidentale. Que le contresens n'est pas seulement un moteur de la création, mais aussi un indicateur des aléas auxquels est soumis le savoir dès que l'écriture de création s'en saisit fait l'objet de la contribution de Sophie Jaussi (Fribourg), consacrée à l'écrivain contemporain Philippe Forest. Les malentendus sont en effet susceptibles de devenir les instruments de l'expression d'une résistance à toute forme d'hégémonie, que ce soit de la langue ou du pouvoir : telle est la thèse que défend Vidya Ravi Allemann (Fribourg) à partir d’une lecture croisée de deux nouvellistes postcoloniales, à savoir Nadine Gordimer et Anita Desai. Karl-Werner Modler (Baden) montre dans sa contribution que ce sont souvent des détails d'apparence anodine, comme la pantoufle de verre de la Cendrillon de Perrault qui se mue sous la plume de Balzac en une pantoufle de vair, qui permettent d'observer le travail d'une logique de substitution qui marque le régime de la littérarité. Dans l'article de Dimitri Tokarev (Saint Pétersbourg), ce sont les contacts culturels entre Russes et Français dans les années 1930, en l'occurrence le travail du Studio franco-russe, qui témoignent de la productivité des malentendus lorsqu'il s'agit de réfléchir ensemble sur des notions apparemment aussi universelles que celles d'humanisme ou d'intellectualisme. Le jeu avec des étymologies souvent fantaisistes et parfois même fausses est au centre de la contribution que Stefanie Heine (Zurich) consacre au poète américain Charles Olson et à sa production de projective verse qui est censée capter une langue en action qui crée de nouvelles significations. Que l'erreur peut même constituer un aspect essentiel de toute forme d’apprentissage, dans la mesure où il s'agit de transformer l'erreur en une occasion, pour l'enseignant, d'entrer dans la pensée de l'élève, est la thèse que défend Thomas Vercruysse (Genève) dans son article consacré au kairos en contexte pédagogique. Enfin, le dossier consacré à l'erreur productive se ferme avec la contribution de Sandro Zanetti (Zurich), qui évoque à partir de quelques exemples de Walter Benjamin et de Josef Guggenmos la créativité intrinsèque de l'acte d'entendre, puis de lire, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Dans une seconde section, plus courte, le présent numéro de Colloquium Helveticum accueille, éditées par Sophie Jaussi, des contributions choisies des journées du programme doctoral suisse en littérature générale et comparée, qui ont eu lieu en novembre 2015. Ces contributions, présentées plus en détail en tête de la seconde section, sont dues à Valérie Hantzsche, Lukas Gloor, Joëlle Légeret et Tea Jankovic. La rubrique "Varia" accueille quant à elle un essai de Monika Kasper, consacré à l'un des derniers poèmes de Celan, EINKANTER, qui donne forme à la rencontre entre la peinture de Rembrandt et la poésie de Celan. Enfin, le Colloquium Helveticum accueille Thomas Hunkeler désormais une section consacrée à de nouvelles parutions d'intérêt comparatiste. Cette dernière section, qui est appelée à se développer ces prochaines années, est dirigée par Joëlle Légeret.