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FRAUEN.SCHREIBEN. So hieß das Thema des Symposiums, in dessen Zusammenhang dieser Text entstand. Die Frage, wie "Frau" in Texten von Schriftstellerinnen aus Österreich und China "geschrieben" wird, sollte dabei in den Blick genommen werden - Elfriede Jelinek stand dabei mit im Fokus der Analysen und ist auch meine Wahl im nachfolgenden Text. Diese Frage, nach dem "Wie-Frauen-Schreiben", die zunächst scheinbar recht simpel und unproblematisch gestellt werden kann, evoziert eine komplexe Auseinandersetzung mit Themen und Problemen, die der Literaturwissenschaft und Literaturtheorie konstitutiv zugrunde liegen - Fragen etwa nach einer potentiellen ('weiblichen') Autorschaft, einer 'weiblichen' Ästhetik, Fragen der Repräsentation 'von Frauen', hier im Besonderen 'in Texten von Frauen'.
"What characterizes the literature of the transition? ln the late medieval period the forms and aspirations of literary endeavor stood in clear continuity with those of the High Middle Ages; but they were also rapidly expanding in scope, with many innovations that would become important for the Renaissance and the Rcformation. [...] Bringing all these elements under a common denominator we may say that the intellectual life of the centuries of transition showed a great openness to new ideas - an openness that stands in contrast both to the more rigid cognitive hierarchies of the High Middle Ages and to the entrenched positions of the Reformation. The resulting diversification of German literature reveals itself in the new forms of writing pioneered by new classes of writers for ever-widening circles of readers. We shall observe this increased diversity in the traditional centers of literary production, the court and the cloister, but even more so in the new literary world of the cities. And we shall see the parallel rise of Iewish literary awareness as belonging in die same broad context."
The reason is not small
(2010)
"Don’t forget the sugar!" my husband called after our son who was already running down the road, hopping across puddles and skirting garbage mounds. He leaned back in his chair and sighed. The plastic covered wires were stretching to the point that they would break soon. We would get it restrung again. (...)
Sababu man dògòn
(2010)
DEDICACES GRATITUDES INTRODUCTION- - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -7 Formulation, délimitation et choix du sujet- - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 9 Hypothèse de recherche- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -11 Cadre méthodologique- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 13 PREMIERE PARTIE : INSCRIPTION DU DON DANS L’OEUVRE D’AMINATA SOW FALL CHAPITRE I : TYPOLOGIE DES DONS- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 17 I.1.Le don des biens et services I.2.Le don de soi et de temps CHAPITRE II : ACTEURS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 19 II.1.Le donateur II.2.Le donataire II.3.L’intermédiaire CHAPITRE III : AUTOUR DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -21 III.1.Le don comme forme d’échange III.2.Le don comme facteur d’intérêt DEUXIEME PARTIE : DON ET SOCIETE CHAPITRE IV : MOTIVATIONS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -25 IV.1.La religion et l’indigence IV.2.La culture africaine CHAPITRE V : AVANTAGES DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27 V.1.Le don comme acte humanitaire V.2.Le don comme vecteur du lien social CHAPITRE VI : DESAGREMENTS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -29 VI.1.L’émergence des classes VI.2.La dette morale CONCLUSION- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 31 BIBLIOGRAPHIE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 32 -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
En écho et en complément au dossier "Où va le livre en Afrique ?" (Africultures 57: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=livre&no=1889), l’écrivain gabonais Ludovic Obiang interroge les choix faits dans les titres de littérature étudiés à l’école. ------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
INTRODUCTION I- POURQUOI L’IMMIGRATION ? 1°) La quête du mieux-être 2°) La quête de l’exutoi re 3°) La quête de la personnalité II- QUE DIRE DE L’IMMIGRATION ? 1°) L’immigration comme avatar 2°) L’immigration co mme perte de repères 3°) L’immigration comme échec III- QUE FAIRE DE L’IMMIGRATION ? 1°) La Prise de conscience 2°) La création de condit ions optimales de vie 3°) Le retour aux sources ------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Pendant plusieurs décennies, la littérature congolaise s’est fait remarquer au niveau continental. Beaucoup d’auteurs et particulièrement les romanciers ont intéressé la critique littéraire tant qu’ils se sont distingués des autres écrivains africains par leur « façon d’écrire ». Par sa taille et le nombre de ses habitants, le Congo au XXè siècle peut être considéré comme le pays qui a le plus d’écrivains, en particulier les romanciers dont la qualité des oeuvres est manifeste. Et comme l’affirment Alain Rouch et Gérard Clavreuil, "la littérature congolaise compte actuellement parmi les meilleures, les plus prolifiques et les plus homogènes d’Afrique noire"[1] De son côté, Roger Chemain renchérit dans la préface à Tarentelle noire et diable blanc de Sylvain Bemba. Pour lui , le Congo en Afrique francophone « compte le plus fort pourcentage d’écrivains par rapport à l’ensemble de la population »[2]. Parmi les écrivains qui ont marqué l’histoire du roman congolais, on peut citer des noms célèbres tels Jean Malonga, Guy Menga, Sylvain Bemba, Jean Pierre Makouta MBoukou, Henri Lopes, Sony Labou Tansi, Emmanuel Dongala, Tchichélé Tchivéla, Tchicaya U Tam’Si... qui sont devenus aujourd’hui des classiques de la littérature (négro) africaine d’expression française. D’une façon générale, l’histoire du roman congolais se fonde sur un itinéraire marqué par deux « mouvements », deux façons d’écrire. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
INTRODUCTION I/ INSTANCES DU RECIT a/ Le Narrateur b/ Le Narrataire c/ Le focalisateur II/ LES TRACES DU "MOI" a/ La crise de l’identité b/ L’ancrage anthropologique III/ STYLE DE L’AUTEUR Style hermétique CONCLUSION -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Plan Introduction I/ La localisation des dichotomies saussuriennes dans les deux oeuvres 1)le langage 2)la langue 3)la parole II./ Les composantes textuelles 1)L’instance narrative 2)Les descriptions 3)Les procédés de rhétorique III/ Le langage et l’expression littéraire : Entre appropriation et créativité 1)Les techniques narratives locales 2)L’écriture de l’humour comme stratégie de révolte Conclusion -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Le thème de notre exposé s’intitule : « L’écriture du corps de la femme dans la littérature féminine gabonaise : Cas dans Deux bébés et l’addition de Bessora ». (...) Tout compte fait, il s’agira pour nous de relever les références et allusions au corps de la femme en nous basant sur l’ouvrage de Bessora : Deux bébés et l’addition et d’en faire une brève analyse afin de voir les causes endogènes et exogènes ; les déterminismes liés à cette obsession du corps de la femme chez notre auteur. En d’autres termes, quels sont les éléments inhérents au corps de la femme mis en exergue dans Deux bébés et l’addition de Bessora ? Quels rapports pouvons nous établir entre ces éléments corporels et la vie de l’auteur ? CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
En 1999, un roman vient révolutionner la pratique littéraire au Gabon : Le jeune officier. OEuvre dédiée à Martin Heidegger, elle développe à sa manière les préoccupations du philosophe concernant l’être, l’oubli de l’être et le caractère aléthéique de la vérité. Les pages qui suivent sont consacrées à ce roman d’un style particulier qui insère le roman gabonais entre modernité et post-modernité. A travers un résumé, un commentaire du discours du jeune officier et la lecture du discours de soutenance de Brice levy Koumba1, nous tenterons de découvrir l’oeuvre. Le résumé est à la première personne, fait par le jeune officier lui-même. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Sommaire Exergue………….4 Dédicaces….………..5 Gratitudes…………..6 Introduction générale..........................7 Première partie : Identification de la figure de l’exclu 0.Prolégomènes.......................14 0.1.Qu’est-ce que l’exclusion ?..................14 0.2.Qu’est-ce qu’un « exclu » ?......................14 I :Identification de la figure de l’exclu : I.1.L’initié...................................................15 I.2.L’intellectuel..........................16 I.3.Le pauvre...........................17 Deuxième partie : Essai d’herméneutique : II.4.L’exclu, une âme dans la tourmente....................20 II.5.L’exclu, face à l’école « dénaturée ».................22 II.6.L’exclu face à la problématique des Institutions.............24 Troisième partie : Exclusion et réalités sociales : III.7.L’univers socio-textuel.....................26 III.8.L’éternel fossé entre les « in » et les « out ».................28 Conclusion générale.....................30 Bibliographie et indexes des auteurs...................32 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
SOMMAIRE EXERGUE……………………………………………………………………2 DEDICACES…………………………………………………………………3 GRATITUDES……………………………………………………………….4 SOMMAIRE………………………………………………………………… 5 INTRODUCTION………………………………………………………….6 O. HISTORIOGRAPHIE…………………………………………………….7 O.1. FORMULATION ET DELIMITATION DU SUJET…………………..8 O.2. INTERET DU SUJET…………………………………………………..9 O.3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DE RECHERCHE…………..10 O.4. CADRE METHODOLOGIQUE……………………………………… 11 PREMIERE PARTIE : LA POETIQUE DU MIRAGE……………… 12 CHAPITRE I : LE CONTEXTE RURAL………………………… 13 · LA VIE AU VILLAGE : QUOTIDIEN DIFFICILE…13, 14 CHAPITRE II : L’ IMMIGRATION………………………………….15 2.1. LE RETOUR DE L’IMMIGRE AU PAYS NATAL 15,16 2.2. LE REVE…………………………………………… 16,17 2.3. MADICKE……………………………………………… 17 DEUXIEME PARTIE : ESSAI DE DECONSTRUCTION DU MYTHE DU MIRAGE……………………………………………………………………18 CHAPITRE III : L’IMMIGRATION EN QUESTION…………………19 3.1. LA DEMYSTIFICATION DE L’OCCIDENT…………19,20 3.2. LA SITUATION DE L’IMMIGRE EN FRANCE…20, 21,22 CONCLUSION……………………………………………………………23,24 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………25,26,27,28 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Le thème qui fait l’objet de notre exposé s’intitule : « L’inscription de la folie dans la poésie gabonaise ».Il faut dire que le motif de la folie n’est pas nouveau en littérature ; plusieurs écrivains africains pour ne citer que ceux-là, en ont fait largement écho, lorsqu’ils ont voulu, ,à la naissance de la littérature à l’aurore de la littérature négro-africaine, répondre par le dénie aux propos vaguement racistes que l’homme blanc était parvenu à faire admettre dans les consciences, propos selon lesquels ,l’homme noir serait un grand enfant malade, un fou qu’il fallait à tout prix ramener à la raison au moyen d’un traitement approprié. Aimé CESAIRE reconnaîtra avec un humour noir,comme pour couper de l’herbe au pied du Blanc insolent dans son Cahier d’un retour au pays natal : « Nous nous reconnaissons de la démence précoce, de la folie flamboyante, etc. ». L’oeuvre que nous avons choisi pour notre étude est Patrimoine de Lucie MBA . A travers cet ouvrage, nous examinerons l’ état de la folie dans sa splendeur afin de révéler la folie non pas seulement comme elle se fait voir ,mais encore comme on ne l’a jamais vu ; d’en voir les aspects les plus forts et les plus vils ; de voir le caractère contrastant que peut nous laisser entrevoir ce thème à travers la plume de Lucie MBA . -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...
La littérature africaine d’expression française a pris depuis les années 1960 un tournant décisif où explosent le paradoxe, l’étrange, l’extraordinaire, l’outrecuidance, l’impertinence et toutes sortes de subversions de fond et de forme. Comme un cyclone esthétique et éthique, l’inspiration artistique en général, romanesque en particulier, souffle un vent libérateur exubérant dans les esprits qui semblent possédés par l’exaltation dionysiaque. Cet enthousiasme revêt les allures d’une véritable efflorescence baroque. On peut s’interroger sur l’utilisation du terme « baroque » qui s’applique à la littérature française sous Henri IV et Louis XIII, caractérisée par une grande liberté d’expression, et faisant contrepoids au classicisme et au réalisme. L’équilibre, la symétrie, la régularité manifestés dans les oeuvres d’art de la Renaissance européenne se sont altérés et compliqués pour de nombreuses causes dont les plus évidentes sont les guerres religieuses, l’accroissement de la richesse déclenché par les découvertes de l’or, et enfin le poids grandissant du surnaturel dans les esprits. L’art baroque a eu des représentants dans toute l’Europe. L’un des plus célèbres est l’Anglais Shakespeare [2]. La poésie, le théâtre et le roman ont souvent été baroques dans l’Europe des XVIe, XVIIè et XVIIIe siècles [3]. Au fond, à l’instar du romantisme, les traits ou éléments propres au baroque sont décelables chez des artistes de tout temps et de tout pays. Le baroque ne distingue pas uniquement les écrivains inclassables du fait qu’ils ne respectent pas les règles ordinaires ou classiques. Peuvent être qualifiés de baroques tous les auteurs africains qui ont le culte de tout ce qui est choquant, bizarre, excentrique et inattendu. Plus que tout autre créateur africain, le Congolais Sony Labou Tansi a cultivé le goût du baroque. Cet art est en pleine floraison dans ses ouvrages, en particulier dans son roman intitulé La vie et demie, publié en 1979 à Paris par les Editions du Seuil et qui a reçu le Prix spécial du premier Festival de la Francophonie qui s’est tenu la même année. La biobibliographie de Marcel Sony, le texte, le contexte et le prétexte révèlent un phénomène majeur dans la littérature africaine. Cette étude veut être une contribution à l’histoire de l’esthétique littéraire et non pas à l’histoire des écrivains. -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Dans ce travail, nous avons le dessein de traduire le caractère ambiguë de la langue, du langage à travers un projet oecuménique orienté vers la diversité dans l’unicité. Ahmadou KOUROUMA nous propose, à travers la bouche de son protagoniste, BIRAHIMA, de raconter un « blablabla » qui, en fin de compte, est complexe et fort enrichissant. Car sa mission est d’illustrer en filigrane la différence linguistique entre le français et le malinké. De même, Ytsia-MOON et les autres protagonistes de Parole de vivant semblent ne pas vouloir se laisser piéger par les incohérences de la langue française et complètent parfois leurs propos avec leur langue propre : le Ipunu. Ce travail, axé sur le langage à travers la langue d’ Ahmadou KOUROUMA et de Auguste MOUSSIROU MOUYAMA, n’est qu’un jalon. C’est assurément un thème que nous envisageons orienter vers l’exploration de toute la littérature africaine écrite, c’est-à-dire celle en langue anglaise et celle en langue française. Avant tout, nous tenons à avertir la classe littéraire du fait que ce travail que nous commençons fut entamé par Nicolas MBA ZUE2 lors de la journée du 24 janvier 20043 en hommage à Ahmadou KOUROUMA. Cela aurait pu nous détourner ou décourager du choix de ce thème. Mais une telle solution aurait été une fuite en avant. La métadiscursivité est un champ si vaste qu’au regard de cette première ébauche, on pourrait simplement parler d' « écorchure ». C’est ce qui fait en sorte que nous restions attachés à notre dessein d’en faire un thème d’étude pour les années à venir.
Un moment de ma vie
(2008)
Au nombre de ces littératures d'Afrique subsaharienne, il y a la littérature gabonaise. Cependant, par rapport aux autres littératures d'Afrique subsaharienne francophone qui sont plus connues, la littérature gabonaise souffre encore d'un manque de visibilité et d'auteurs de renommée internationale. Et pourtant, il y a dans ce pays une vie et surtout une pratique de la littérature où les genres littéraires ont réussi à s'imposer. Nous donnerons d'abord un aperçu des premières écritures au Gabon; puis, à partir de cinq genres majeurs de la littérature gabonaise bien identifiés, à savoir le théâtre, l'essai, la nouvelle, le roman et la poésie, nous étudierons leur parcours général et leur évolution, depuis les premières publications jusqu'à celles de nos jours.
Dès 1980, on assiste à des publications qui séduisent par l'esthétique du verbe, le charme surréaliste de la description des unités de temps, de lieux, de personnages, d'intérêts et une certaine charge évocatrice de l'histoire et de la philosophie des peuples du Gabon. C'est le début d'un certain éveil de la conscience littéraire.
Sans qu'il soit besoin de faire la ronde des romans de la dernière période, force est de constater qu'aucun auteur ne prend le risque d'aller au-devant de ce qu'ils semblent tous considérer comme des «sujets de danger», de ces sujets qui touchent à la politique et à la vie de leurs acteurs. La problématique des romans gabonais se construit alors sur la base du consensus de la peur. Écrire sur les politiques crée une névrose dont aucun écrivain ne voudrait payer les frais. À noter pour conclure que le silence du romancier gabonais pourrait bien sourdre du « prince », lui-même écrivain et capable comme tel d'influencer le monde de l'écriture. Dire le politique dans le roman pourrait porter à contredire les publications dithyrambiques qui font l'apologie de ce que les poètes souhaitent voir se concrétiser en vain. Alors, qui prendra le risque de faire le démenti?
« Et si les crocodiles pleuraient pour de vrai… » est une nouvelle dans laquelle, semblet-il, l’écrivain et théoricien Ludovic Emane Obiang paraît asseoir une conception du monde et de la littérature basée sur une figure profonde de même qu’un phénomène essentiel que sont la figure du crocodile et le phénomène de la reconstruction. Sa nouvelle paraît nous plonger au coeur d’une question essentielle source de véritables angoisses. Les crocodiles pleurent-ils ? Et s’ils pleurent, pleurent-ils pour de vrai ? A quoi devons nous faire attention lorsqu’on nous invite à penser à partir de la figure du crocodile ? Ensuite, en quoi cette figue de crocodile a-t-elle rapport avec quelque chose de l’ordre de la reconstruction, car comme le souligne Ludovic Obiang, le maître mot de sa nouvelle est le phénomène de la reconstruction ? Qu’est-ce que la reconstruction ? A quoi renvoie la réalité du crocodile ?
Pour Eric Joël Békalé, la chasse illustre « le parcours de l’homme sur terre ». Ce parcours vise la réalisation de l’homme véritable. L’homme véritable, se conçoit comme « un être pas comme les autres1 ». A la base, il prend conscience que l’homme est un état qui se construit. Au final il n’a plus rien de commun car il devient « le début et la fin de toute chose». La chasse comme processus de réalisation de l’humain dans sa propriété, est aussi l’opération par laquelle l’homme quête son bonheur par le plaisir, le savoir et le pouvoir. Il doit pour se faire réduire la peur et trouver sa place. Car celui qui a peur n’est pas un homme et celui qui n’est pas un homme se prive l’accès au bonheur. « La chasse est une affaire d'homme. Que celui qui a peur de mourir mange les feuilles de manioc ».
L’analyse qui suit a pour objet la notion du double chez Alain Mabanckou. Cette notion est étudiée telle qu’elle se donne à lire dans Mémoire de porc-épic, roman paru en 2006 aux éditions du Seuil. Ce qui nous intéresse ici c’est le rapport possible existant entre double, parole et ponctuation. Présenté ainsi, nous cherchons à comprendre cette particularité du texte de Mabanckou qui est une longue phrase sans ponctuation, sinon n’étant ponctuée que par des virgules.
Goethe und Schiller als "klassische Autoren" zu bezeichnen, wie im Titel dieses Vortrags geschehen, ist durchaus nicht selbstverständlich. Ebenso wie ihre Reklamation als "Nationalautoren" gehört ihre Einreihung unter die Klassiker der Wirkungsgeschichte ihres Werkes, und zwar speziell der deutschen Rezeption an. In England werden Goethe und Schiller unter die Romantiker gezählt, in Frankreich wird nahezu ausschließlich die mehr als hundert Jahre frühere französische Literatur von Corneille (1606-1684) bis Racine (1639-1699) als "klassisch" bezeichnet. [...] Der Begriff des "Klassischen" schwankt durch diese Rückbindung an die Antike zwischen stiltypologischer und historischer Bedeutung, d.h. zwischen der Bezeichnung mustergültiger und harmonisch proportionierter Literatur einerseits, und dem Bezug auf die griechische und römische Antike andererseits. Darin liegt das Problem jeder nachantiken Klassik, die sich zwar von den antiken Vorbildern lösen will, um selbst mustergültig werden zu können, zugleich aber an den antiken Autoren gemessen wird. Goethe selbst hat in seinem Aufsatz "literarischer Sansculottismus" während der Hochphase der "Weimarer Klassik" (1795) die Ansicht vertreten, in Deutschland seien die Voraussetzungen nicht gegeben, unter denen klassische Autoren entstehen könnten.
[Erhard Schütz skizziert vier Phasen:] 1. Das Doppel von sozialdemokratischer Selbstbildproduktion und bildungsbürgerlicher Einhegungsbeschwörung (ca. 1850–1917) 2. Das Doppel von Hegemonial-Konkurrenz in der Arbeiterbewegung und neusachlicher Funktionalitätsfaszination (ca. 1917–1933) 3. Das Doppel von Produktionsverherrlichung als politischer Systemfeier und industriepopularisierender Sachliteratur (ca. 1933–1961) 4. Das Doppel von industrieweltlichem Sozialrealismus und politischer Systemagitation. (ca. 1961–1987) Arbeiterliteratur im engeren Sinne fundiert sich zunächst entscheidend in einer vom Industrieproletariat ausgehenden, gesellschaftlichen Zukunftsperspektive. Sie ist in diesem strikteren Sinne Teil von Arbeiterkultur. Arbeiterkultur war – zugespitzt – geprägt durch Arbeitsplatz, Familie und Verein. Als solches ist sie natürlich auch Gegenstand von Arbeiterliteratur gewesen. Aber Arbeiterliteratur ist darüber hinaus durch die Arbeiterkultur formbestimmt. Sie ist in diesem Sinne weder ein Ausdruck der sozialen Lage der Arbeiter noch der Reflex eines Klassenbewußtseins. Ihre Spezifik besteht zunächst vielmehr darin, den, wie Klaus-Michael Bogdal es ausdrückt, "Prozeß der Subjektkonstituierung der Arbeiter" zu verstärken und zu sichern, "indem sie einen wirksamen Code der Ich-Rede zur Verfügung stellt". Arbeiter-Schriftsteller bedienten sich mit der Literatur eines Bereichs, der traditionell als besonders intensi-ver und höchster Ausdruck von Subjektivität galt, um darin ein "kollektives Arbeiter-Subjekt" zu imaginieren. Oder anders gesagt: In der historischen Arbeiterliteratur konstituierte sich in Literatur, im Medium emphatischer Subjektivität, ein Schreiben in transindividuell-sozietärer Perspektive. Das prägt vor allem die frühe Phase der Arbeiterliteratur im 19. Jahrhundert.
Annes Interesse richtete sich, wie wir dem Tagebuch entnehmen können, besonders auf die zeitgenössische niederländische Literatur. Der Wille des Vaters, den Kindern die Dramen Goethes und Schillers näher zu bringen, ist zwar durch den zitierten Eintrag belegt, welche Bedeutung diese Lektüre für Anne selbst hatte, darüber lässt sich jedoch nur spekulieren. Wir wissen aber aus anderen Quellen, dass viele der von den Nationalsozialisten Verfolgten, Vertriebenen, Eingesperrten und Gequälten aus den Werken der „Klassiker“ und ihrer humanistischen Botschaft Hoffnung schöpften und darin Trost fanden. Gleichzeitig jedoch vereinnahmten die Machthaber dieses kulturelle Erbe propagandistisch für ihre nationalistischen und rassistischen Zwecke. Dass die Ausstellung „Anne Frank – Eine Geschichte für heute“ jetzt in der „Klassikerstadt“ Weimar gezeigt wird, in deren unmittelbarer Umgebung sich mit dem Konzentrationslager Buchenwald ein Ort befindet, dessen Name zu einem Synonym für den nationalsozialistischen Terror geworden ist, kann daher durchaus auch zum Anlass genommen werden, diesen beiden so gegensätzlichen Strängen der Rezeptionsgeschichte der „Weimarer Klassik“ und insbesondere der Werke Goethes und Schillers in den Jahren von 1933 bis 1945 einmal etwas genauer nachzugehen. Das vorliegende Arbeitsmaterial stellt dafür in kommentierter Form exemplarische Texte zur Verfügung.
Hans-Georg Soldat (Berlin) arbeitete als Literatur-Redakteur beim RIAS in West-Berlin und referierte "Zur Rolle von Westpresse und Rundfunk". Er berichtete, dass DDR-Autoren im RIAS-Literaturprogramm stark vertreten waren. In der DDR unzugängliche Bücher wurden in den RIAS-Besprechungen ausgiebig zitiert, um auf diese Weise die Literatursperre zu unterlaufen. Ein Indiz für die Wirkung dieser Vorgehensweise lieferte die Vorstellung einer DDR-Ausgabe einer sowjetischen Anthologie. Kurz nach der RIAS-Sendung avancierte das Buch vom Ladenhüter zur Bückware. Insgesamt sank jedoch der Stellenwert des Radios. Zitiert nach: Tagungsbericht "Der heimliche Leser in der DDR". 26.09.2007-28.09.2007, Leipzig, in: H-Soz-u-Kult, 14.11.2007, <http://hsozkult.geschichte.hu-berlin.de/tagungsberichte/id=1747>.
Literatur gilt trotz vielfältiger neuer Medienangebote als bedeutende kulturelle Praxis. Diese wurde und wird wissenschaftlich erforscht, wobei in den letzten Jahrzehnten gendertheoretischen Ansätzen wachsende Bedeutsamkeit zugemessen wurde. Gendertheoretisch orientierte Forschung kann und soll die Literaturwissenschaften unterstützen und begleiten. Sie kann zum Beispiel darüber nachdenken, wie literarische Texte funktionieren und wie geschlechtliche Identitäten in diesen konstruiert werden bzw. organisiert sind. Diese Untersuchung erfolgt theoriegeleitet, wobei Theorie und Praxis nicht als starre Oppositionen gefasst werden, sondern als in Wechselwirkung stehende verwobene dynamische Konzepte.
Queertheorie bestimmt sich über Vorläufigkeit, die sich nicht als fixiertes System versteht, sondern als eines, das lediglich ein Instrumentarium zur Verfügung stellt, um die Logik der Spezifität von Machtbeziehungen und Machtkämpfen, etwa in literarischen Texten, zu analysieren. Insofern jeder kritischen Theorie die Verpflichtung aufgegeben ist, kritisch gegen sich selbst gewendet, auch die Möglichkeit zu denken, dass sie nicht immer da sein wird, gilt es, sich nicht im eigenen Moment einzurichten. So möchte ich im Sinne einer vorläufigen und zugleich einer strategischen Kanonisierung vorschlagen: Die germanistische Literaturwissenschaft sowohl mit postkolonialen Theorien als auch mit Gender- und Queertheorien momenthaft und gleichsam verschränkt zu perspektivieren, um dadurch neue Realisationen von Texten zum Entstehen zu bringen.
Was Wende ist, hat in der Literatur eine enorme Spanne. Wende als Aufhebung geographischer Trennungen (bei Christa Schmidt in "Rauhnächten") und noch mehr örtlicher Einschränkungen (Irina Liebmann in ihrem Roman "In Berlin"). Wende weiter als gewissermaßen "Vorher-Nacherher"-Betrachtungen, als Räsonnement, als verbale Auseinandersetzung mit der eigenen Rolle im gesellschaftlichen Geflecht der früheren DDR. Volker Braun hat diese Form in der >Unterhaltung< (wie er es selbst nennt) "Der Wendehals" vielleicht am reinsten dargestellt. Daniela Dahn wählt in ihren Essays eine Mischform aus beiden. Auch Marion Titze wäre zu nennen, die mit "Unbekannter Verlust" ebenfalls in diese Kategorie gehört. Natürlich ist es völlig unmöglich, die Fülle jener Bücher auch nur andeutungsweise zu behandeln, die sich unterdessen zum Thema Wende angehäuft haben. Hier kann es eigentlich nur darum gehen, ein paar Schneisen zu schlagen, ein paar Autoren zu Wort kommen zu lassen, die sich mit unterschiedlichsten Intentionen dem Thema genähert haben.
Die Zeit von etwa 1911 bis 1961 ist zugleich von einer intensiven Auseinandersetzung darüber begleitet gewesen, wie das Industriegebiet als Lebensraum zu definieren sei. Vorschläge dazu beschränkten sich nicht auf literarische Texte oder heimatselige Gedichte, sondern fanden ihre Entsprechung auch in einer Vielzahl konkreter Versuche, planend und gestaltend in diese meist als unförmig empfundene Landschaft einzugreifen. Dennoch standen sich, so wird zu zeigen sein, literarische und konkret-politische Auseinandersetzungen mit dem Ruhrgebiet gerade dort besonders nah, wo letztere erfolglos blieben. Ob sich nun ein traditionsloses Bürgertum in Ordnungsphantasien hineindachte, weil es realer politischer Handlungsfähigkeit ermangelte, oder ob sich Arbeiter in ein sozialer orientiertes Milieu phantasierten - fast immer hat die Literatur des Ruhrgebiets etwas mit Kompensation zu tun. Fast immer auch mit Zuständen, die in anderen Gegenden Deutschlands entweder nicht so akut oder aber längst selbstverständlich waren. So sehr sich im Verlauf dieses halben Jahrhunderts die Frage nach der Zukunft des Ruhrgebiets immer wieder stellte - die rückbezogene Selbstbeschau sowie die Benennung einer spezifischen Umwelterfahrung des Reviers sind zu Leitmotiven dieser Literatur geworden.
Suchen Sie auch den Schlüssel zum besseren Verständnis von Mythologie, Kunst und Literatur? Dann sollten Sie das Weltbild des Impurismus studieren. Es wird Ihnen die Augen öffnen für bislang hermetische Zusammenhänge, und Sie werden erkennen, was der Chorus mysticus (Faust II Ende) meint, wenn er sagt: "Alles Vergängliche Ist nur ein Gleichnis." Erde und Himmel, alles Materielle und alle Geistgebilde, der Kosmos und alle Lebewesen --- ein Gleichnis wofür? Wenn Sie die Antwort finden, werden Sie verstehen, warum die Wissenden unsere Kulturszene dominieren. Sie brauchen keine Forschungsnische zu suchen, wenn Sie das weite Feld des Impurismus mit Literatur- und Sprachwissenschaft beackern; denn "Poesie ist die Muttersprache des menschlichen Geschlechts" (Hamann: Aestetica in nuce).
In Rückblicken auf die Germanistik der sechziger und siebziger Jahre des vorigen Jahrhunderts, in denen das Fach expandierte und so viele Studierende anzog wie kein anderes geisteswissenschaftliches, ist dennoch meist von "Krise" die Rede. Von der Bildungsöffentlichkeit wurde die Germanistik und das von ihr verbreitete Wissen als antiquiert wahrgenommen und mit einem Verfallsstempel versehen. Nicht nur der von der Literaturwissenschaft favorisierte Kanon literarischer Werke geriet in die Kritik, sondern ebenso das als gesichert geltende Fachwissen. Der Germanistik gegenüber wurden die Vorwürfe erhoben, eine Disziplin ohne ein Objekt im Sinne moderner Wissenschaft zu sein, das Wissen anderer Fächer nicht zur Kenntnis zu nehmen und die zeitgenössische Literatur zu ignorieren. Das Fach wurde so weit destabilisiert, dass seine Einheit zu zerbrechen drohte.
Der bürgerliche Kalender des 19. Jahrhunderts schafft eine eigene Zeitordnung. Wer 25 Jahre sein Unternehmen durch den Zeitenwechsel bringt, darf diesen Zeitraum mit goldenem Lorbeer umrahmen, ebenso derjenige, der dem Staat als Beamter ein Vierteljahrhunderts gedient hat. Eine goldene Uhr wird ihn fortan daran erinnern. Für die Ehe gleicher Dauer muß man sich mit Silber begnügen, das Goldene Zeitalter beginnt in diesem Fall erst nach fünfzig Jahren. Nicht nur das Ereignis, auch der Zeitraum selbst wird, skaliert von 25 bis 1000, kulturell erinnerungswürdig und -fähig. Wer die Jahre zählt, läßt die Verbindung zum Vergangenen nicht abreißen. Vergangenheit erhält ihren Ort und ihren Tag im Alltag der Gegenwart. Die Erinnerung der Individuen wird an Jubel- und Gedenktagen durch ein kollektives Gedächtnis abgelöst. Der 1. Mai z.B will an etwas erinnern und läßt sich dennoch auf kein ursprüngliches Ereignis zurückführen. ‘Denkmal’ kann im 19. Jahrhundert fast alles werden, nicht nur Gebilde aus Stein und Bronze, auch Profanes wie Bierkrüge, Gläser, Teller, Zigarrenkisten, Hüte: das kollektive Gedächtnis muß an ihnen nur ausreichende Flächenhaftung finden oder sich eingravieren lassen.
Im elften Buch seines Adelsspiegels (1591) kommt Cyriacus Spangenberg der Wigalois des Wirnt von Grafenberg in den Sinn, weil darin etlicher Ritter von der Tafelrunde gedacht werde, insbesondere des Herren Gwy von Galois, "sonst Ritter Wiglois vom Rade genandt", und eines "Grauen Hoiers von Manßfeldt des roten". Das alte Buch, das einst Herzog Albrecht von Braunschweig in Auftrag gegeben hatte, habe er von einer adeligen Witwe erhalten, später aber an die Grafen von Mansfeld weitergegeben, die sich sehr für die Rolle ihres Vorfahren in diesem Roman interessiert gezeigt hätten.
Machen wir uns nichts vor. Auch wenn "Event" zum "PR-Wort der letzten Jahre" gekürt worden ist, wenn "Events auf die Besucher wie eine moderne Konsumdroge" wirken, wenn gar vom "Trend zum Event" gesprochen wird, von dem alle Bereiche der Gesellschaft längst so stark erfaßt sind, daß sich ihm nichts und niemand mehr entziehen kann – es bleibt dabei: Wann auch immer davon in Verbindung mit Kultur die Rede ist, da hat man es mit einem bösen Kampfbegriff zu tun. Mit "Eventisierung der Kultur" ist ihr steter Verfall gemeint. Und das Label "Eventkultur" gibt den Zustandsbegriff für eine Gesellschaft, die antrat, mit Kunst und Literatur die höchsten Höhen des Menschenmöglichen zu erreichen, und die nun ihr Bestes, Schönstes und Wahrstes bei einem Schaustellerwettbewerb auf dem Jahrmarkt verhökert. Event, das ist das "zur Sensation hoch inszenierte Nichtereignis, und die größte Kunst im Medienspiel ist das lauteste Krähen". Hier wird, so scheint es, "die Kunst zum bloßen Anlaß für den Konsum (...), zum Alibi", weil sie "in sonderbarer Perversion der alten Horazischen Ästhetik des 'utile cum dulci' und des 'prodesse et delectare', Zucker auf eine Sache streut, die sonst keinem mehr schmeckt." Und das passiert en masse: "Anschwellende Programmhefte, ausufernde Veranstaltungskalender, zunehmender Festivaltourismus, Boom der Multiplex-Kinos, Expo, Millenium Dome – was ist", so fragt sich da der kritische Betrachter mit Blick aufs Literarische, "was ist aus dem Erzählen geworden?" ...
Ein Plädoyer für das Stolpern, wie es der Titel dieses Beitrags ankündigt, ist prekär, da es die Gefahr des Stürzens in Kauf nimmt. Die schlimmeren Unfälle allerdings gehen oft auf das Fehlen von Grenzhindernissen zurück. Erinnert sei nur an den hinterlistigen Schwellenabbau, den der amerikanische Physiker Alan Sokal an der Demarkationslinie der two cultures betrieb – und damit die Herausgeber der bis dato hochangesehenen Zeitschrift Social Text tüchtig blamierte, die nicht bemerkten, daß der Artikel Transgressing the Boundaries voller Absurditäten steckte. Sokals offensive Beseitigung der Barrikaden zwischen Geistes- und Naturwissenschaften paßte so gut ins postmoderne editorische Konzept, daß man gar nicht mehr darauf reflektierte, ob die Transgressionen im Einzelnen Sinn machten – etwa die dekonstruktivistische Überwindung der Schwerkraft oder die feministische Liberalisierung der mathematischen Axiomatik. Die transliminalen Verheißungen klangen zu verführerisch, als daß man über sie gestolpert – und damit der kompromittierenden Falle entgangen – wäre. ...
Daß es nicht unbedingt die bewegten Bilder sind, die uns bewegen, sondern daß uns oft gerade das bewegt, was sich nicht bewegt, ist eigentlich eine triviale Alltagsbeobachtung. Sie bedürfte keiner weiteren Erörterung, wenn sie nicht in ein medienhistorisches Umfeld fiele, das alles daransetzt, sie zu falsifizieren. So stoßen wir heute häufig auf Bewegungsbilder, die unsere unwillkürliche Aufmerksamkeit affizieren und deshalb als Ursache für innere Bewegungen genommen werden, obwohl es nur Reaktionsmechanismen sind, die sich in der Habituation rasch abschleifen (D 00). ...
Raymond Radiguet starb 1923 an Typhus, gerade zwanzigjährig. Er hinterließ zwei furiose Romane, "Le Diable au corps" und "Le bal du Comte d'Orgel", und ein paar Dutzend Gedichte. Jean Cocteau, selbst jugendverliebt und älter werdend, schreibt später im Nachwort zum ersten Roman: "Radiguet verabscheute die Oscar Wildesche Vorstellung von der Jugend. Er wäre so gern alt geworden. Heute wäre er fünfzig. Doch mit seinen unerbittlichen Händen hat der Tod ihn in der Gestalt eines Zwanzigjährigen festgebannt, ein für allemal." ...
Pfeilzeichen sind im Alltag des postmodernen Menschen mindestens ebenso präsent, wie es die Pfeile im Leben unserer jagenden Vorfahren gewesen sein dürften. Sie übernehmen wichtige Funktionen bei der Orientierung im Raum, bei der Bedienung von Geräten und bei der Tradierung von Wissen. Pfeilzeichen finden sich draußen wie drinnen, in gedruckten wie in digitalen Medien, sie sind Bestandteile von Bildern, Texten und mathematischen Formeln und vermitteln in vielfältiger Weise zwischen Text, Bild und Zahl. Im Laufe der Zeit hat sich das Pfeilzeichen zu einer hochflexiblen Zeichenfamilie mit einem breiten Spektrum an Formen, Bedeutungen und Funktionen entwickelt. Diese "semiotische Karriere" des Pfeilzeichens möchten wir im folgenden Abschnitt an ausgewählten Beispielen aus Kunst, Literatur und Alltag nachzeichnen, um uns anschließend der erneuten Ausdifferenzierung des semiotischen Potenzials in den neuen Medien zuzuwenden. Die Pfeilzeichen dienen uns dabei als Beispiel, um drei Thesen über Prozesse semiotischen Wandels zu belegen: 1. Neue Zeichenfunktionen und -bedeutungen bilden sich stets auf der Basis bereits vorhandener Funktionen und Bedeutungen heraus. Dabei werden alte Bedeutungen in den seltensten Fällen ersetzt; vielmehr handelt es sich um Prozesse semiotischer Ausdifferenzierung, bei der "ältere" Funktionen und Bedeutungen mit verändertem Stellenwert erhalten bleiben. 2. Die Ausdifferenzierung erhöht die potenzielle Ambiguität von Zeichen und Zeichenkomplexen, sodass deren Interpretation den Zeichenbenutzern immer mehr abverlangt. Gerade am Beispiel der Pfeilzeichen lässt sich sehr gut zeigen, dass deren Funktion und Bedeutung in hohem Maße kontext- und mediengebunden ist und in neuen Medien oft neu erlernt werden muss. 3. Grundlegend für die semiotische Ausdifferenzierung des Pfeilzeichens ist der Stellenwert des Pfeils in einem komplexen Handlungsrahmen, auf den wir mit dem Ausdruck "Pfeil-Szenario" Bezug nehmen. Darin dient der Pfeil als Geschoss einer Waffe, z. B. eines Pfeil-Bogens, seltener auch einer Armbrust oder eines Blasrohrs. Der Pfeil ist ein Element der gesamten Waffe, die sich aus Pfeilspitze, Schaft, Federn (und Ritze) zusammensetzt.
Schon bei seiner Einführung in die wissenschaftliche Literatur meinte der Begriff Déjà vu anderes als er besagt. Die beiden Primärquellen, auf die sich Ludovic Dugas in seinem terminologisch grundlegenden Artikel von 1894 bezog, verwenden bezeichnenderweise auch gar nicht diesen Ausdruck, sondern einen allgemeineren ...
Wissenschaft, so heißt es, sei ein Projekt, das auf Erkenntnis zielt. Damit verbunden ist die Vorstellung, daß wir heute mehr wissen als gestern und morgen mehr wissen werden als heute. Die Frage ist nur, ob sich das zu Erkennende auch in diese Gedankenfigur fügt. Wie müßten wir vorgehen, wenn jene weißen Flecken auf der Landkarte des Wissens, welche zu besetzen und zu füllen ein konsti-tutiver Bestandteil wissenschaftlichen Selbstverständnisses ist, eo ipso als Wirklichkeiten anzuerkennen sind, die unerkannte Möglichkeiten in sich bergen? Wie können wir diesen virtuellen Realitäten (im emphatischen Sinne der Prägung, nicht dem geläufigen, der auf einem technizistischen Mißverständnis beruht) gerecht werden, ohne sie durch den fixierenden Zugriff, das Aussagen und Ausmalen, Aufschreiben und Aufzeichnen ihrer Virtualität zu berauben? ...
Es gibt viele Möglichkeiten der Beschreibung und Analyse von Literaturverfilmungen. Die meisten jedoch, so Hickethier, werden als Verlusterfahrung des Literarischen gewertet, da im Allgemeinen die Literatur als die eigentliche künstlerische Disziplin, der Film hingegen lediglich als moderne, technisch vermittelte Kunstform angesehen wird. Hickethier stellt in seinem Aufsatz zunächst diverse Konzepte möglicher Filmanalysen vor (der Film als Literaturverwertung, Rezeptionsergebnis, semiotischer Prozeß u.a.), wobei für ihn die Betrachtung des Mediums Film vor allem als ebenbürtige Erzähl- und Darstellungsform im Vordergrund steht. Anhand von Axel Cortis´ Film "Eine blaßblaue Frauenschrift" setzt sich Hickethier exemplarisch mit Filmgeschichte, Verschiebungen, Akzentuierungen, Rhythmisierungen des Erzählens und anderen Kriterien auseinander, wobei zahlreiche Detailanalysen den Text sehr anschaulich werden lassen. Hickethiers Analyse eignet sich besonders für den Deutschunterricht, der nicht nur durch literarische Werke, sondern auch durch deren Verfilmungen lebendig gestalten möchte.
Im Frühjahr 1998 lief in New York eine Retrospektive des 47jährigen, amerikanischen Videokünstlers Bill Viola. Die Ausstellung wurde zuvor in Los Angeles gezeigt. 1999 ist sei in Europa zu sehen (Amsterdam, Frankfurt/M.), sodann in San Francisco und Chicago: ein Programm bis zum Jahr 2000. Bill Viola soll zum Klassiker werden. In New York hatte das Whitney Museum of American Art seine beiden oberen Stockwerke freigeräumt, um siebzehn Videoinstallationen Raum zu schaffen. Man betrat vollständig abgedunkelte Stockwerke, in welche die Installationsräume labyrinthisch eingebaut waren. Es gab kein anderes Licht als dasjenige, das von den Installationen selbst ausging. Man konnte sich auch von den Tönen der Installationen leiten lassen. Das Aufsichtspersonal war von Viola geschult worden, mit etwaigen Verirrten und Verwirrten im Dunkel helfend umzugehen. Die Irritationen des Orientierungssinnes waren beabsichtigt. Man sollte in eine andere Welt eintreten. Der Gang durch die siebzehn Zellen sollte zu einer Initiation in die Welt Violas, einer Reise in die kunstvollen Phantasmen eines Gehirns. Durchaus drängte sich der Eindruck auf, daß der Gang durch die labyrinthischen Installationsräumen als eine Reise durch die inneren Kammern der Imagination Violas selbst inszeniert war. Zwar richten alle Kameras ihr Objektiv immer auf irgendein Ensemble der Außenwelt und insofern ist ihnen Referenzialität technisch eingebaut. Die Ausstellungsfolge der 'Bildkammern' Violas jedoch schien so arrangiert, daß man diese Referenz zunehmend verlor. Man tauchte in eine Bilderwelt, welche nicht die Außenwelt wiedergab, sondern direkt aus dem Bildgedächtnis und der Einbildungskraft des Gehirns zu erwachsen schien. Das machte den Besuch der Ausstellung zu einem Abenteuer, aber auch zu einer Art Intimität: es war eine Art visueller Beiwohnung der Innenwelt eines anderen Menschen, ebenso aufregend wie gelegentlich auch Scham oder das Gefühl wachrufend, man sei jemandem zu nahe getreten. Beides, Abenteuer wie Intimität, hat mit Grenzen und ihrer Überschreitung zu tun. Tatsächlich sollten die Besucher diesen Eindruck gewinnen: daß sie Grenzen überschritten, die gewöhnlich von Tabus und Verboten, von Scham oder Angst besetzt sind. Das einer Initiation ähnliche Arrangement diente einer solchen Grenzüberschreitung und Passage. ...