BDSL-Klassifikation: 03.00.00 Literaturwissenschaft > 03.03.00 Studien
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In recent years, the interest in theory which has once been a moving force of academic research in the field of literary studies appears to have decreased. The status of theory, its relevance and appropriateness for the understanding of literature have been put into doubt. Faced with this observation, some critics have even suggested that we have now entered into a new era of research which can retrospectively be identified as the era "after theory". Against the background of such pronouncements and to a certain extent in opposition to them, the investigations proposed here wish to uphold the idea of the utility and indeed the need for theoretical approaches to literature. To appreciate the status of theory and its possible contribution to a deepened understanding of literature, it is useful not to focus exclusively on the distinction or supposed divide between literature and theory. Instead we should pay attention to what links and unites them. This common ground or common denominator of literature and theory consists in the dimension of language. Furnishing the intellectual material from which both domains of articulation are formed, language constitutes at once the key element of literature and a principal concern of theory. [...] The present volume collects the papers presented in the context of the panel "Languages of Theory" at the conference of the "International Association of Comparative Literature" (ICLA) at Vienna in July 2016. As stated above, our aim is to examine the philological or linguistic preoccupations of current approaches in literary and cultural theory, to look into the (pre-)history of theory's engagement with linguistic concerns and to unfold its conceptual and semantic implications. Taking our cue from the title of the ICLA conference, "The Many Languages of Comparative Literature", we have found it to be a rewarding task to raise the issue of the "languages of theory" and to promote its further exploration and analysis. It is our contention that theoretical approaches and reflections do not only rightfully hold their place in comparative literature studies but that it is also worthwhile to interrogate their conceptual genealogies and terminological choices, their styles of thought and argument as well as their various linguistic engagements. The articles united in this volume have taken up this challenge and attempt to elucidate the intricate relationship of language and theory in exemplary case studies.
"LiTheS. Zeitschrift für Literatur- und Theatersoziologie" präsentiert: methodologische Grundrisse, wie sie von einzelnen SoziologInnen oder soziologischen Schulen auch für die historischen und philologischen Disziplinen entwickelt wurden (z.B. Elias, Bourdieu, u.a.); Konzepte und Studien zu interdisziplinären Schnittstellen von soziologischen Denkansätzen einerseits und andererseits den Kulturwissenschaften, den Gender Studies, der Postkolonialen Literaturkritik, dem Poststrukturalismus, u.a.; literatursoziologische oder theatersoziologische Fallstudien.
In jeweils einer Nummer jährlich werden die Beiträge zu den regelmäßigen internationalen Workshops platziert.
Mit der sogenannten Wende 1989/90 scheint alles, was mit "Soz-" beginnt, unter einem Generalverdacht zu stehen, selbst einschlägige philosophische Denkansätze und wissenschaftliche Disziplinen, die eben diese Wende mit vorbereitet hatten. In den Geisteswissenschaften wiederum ist die noch in den 1980-er Jahren so spürbare Aufbruchsstimmung hin zu neuen Methoden, wie eben soziologischen, und zu einem geschichtswissenschaftlichen Literaturverständnis unter dem Stichwort einer "Sozialgeschichte der Literatur" von rasch wechselnden Phasen der Ausrufung von "Turns" ("Linguistic Turn", "Cultural Turn") abgelöst worden. Die "Kulturwissenschaften" scheinen auf die wissenschaftliche Überprüfbarkeit ihrer Reflexion mitunter überhaupt verzichten zu wollen. Und dennoch werden vielerlei Forschungsaktivitäten, wenn auch oft unter anderem Namen und mit anderen Schwerpunkten, heuristisch wie methodisch von einer in weitestem Sinne soziologischen Perspektive geleitet. Wie die Modelle beispielsweise von Pierre Bourdieu und Norbert Elias belegen, ist der soziologische Blick auf Literatur, Theater, Kunst, Kultur nicht nur eine Perspektive, die es wert ist, im Sinne einer Neu- und Wiederbesinnung auf die möglichen methodischen Gemeinsamkeiten der historischen und philologischen Disziplinen diskutiert zu werden. Alles spricht dafür, dass darüber hinaus das Soziologische generell die notwendige Bedingung eines künstlerischen Verstehens beziehungsweise eines Verstehens von Kunst bildet, das hermeneutische Willkür, reißerische Spekulation und zirkuläre Jargons hinter sich lässt.
Les études de la relation de Borges à Proust se divisent, pour l'instant, entre celles qui proposent une analyse des lectures et des influences (Craig et Marter) et celles qui font des deux auteurs les représentants de différents paradigmes poétologiques de la littérature moderne (Conley et Ventarola). A la croisée de ces deux approches se trouvent les questions de l'imitation de l'autre et de la lecture : dans quelle mesure leurs idées à ces sujets nous permettent-ils de comprendre le décalage des deux auteurs? En effet, la catégorie de l'ascèse et celle de la réception dessinent une image de l'auteur qui se trouve, chez Borges, à l'opposé de Proust. Tandis que le "moi" de Proust, moulé sur le moi empirique de sa propre personne, se présente comme le sujet d'une imitation créatrice, Borges s'éloigne de ce pilier porteur du texte pour proposer un "moi" fictif et métaphysique au lecteur ; un moi qui se multiplie selon les principes de la fiction et selon le pluralisme de la réception. Le fait que Borges ne paraît pas "avoir lu" Proust est un résultat de cette nouvelle perspective que Borges ouvre sur l'imitation et sur la lecture. En vue de celle-ci, l'oeuvre de Proust n’est plus une référence très utile pour les fictions d'un auteur qui, tourné vers la fonction du lecteur potentiel, efface sa propre identité empirique.
Le présent volume s'ouvre sur l'article programmatique d'Yvette Sánchez (Saint-Gall), qui se penche ici sur le faux entendu comme forgerie ou tromperie, tel que l’ont pratiqué à tour de rôle Cervantès, Borges et Max Aub en rappelant les liens étroits que le faux entretient avec la notion de fictionalisation. Si la traduction fait depuis plusieurs années l'objet d'une attention accrue de la part des littéraires, Martine Hennard Dutheil de la Rochère (Lausanne) montre dans sa contribution que la poétique traductive d'Angela Carter accorde une place particulièrement riche aux fautes de traduction dans son travail de réécriture des contes de fées de Perrault. Dans une perspective similaire, Angela Daiana Langone (Cagliari) montre que l'émergence du théâtre arabe moderne est jalonnée non seulement de fautes de traduction, mais également d’autres malentendus lorsqu'il s'agit d’adapter les exemples occidentaux, en l'occurrence Molière, à un contexte culturel pour lequel le théâtre est synonyme non seulement de modernité, mais aussi d'émancipation ; un fait que la contribution d'Oliver Kohns (Luxembourg) qui porte sur les enjeux de la modernisation dans la Turquie d'Orhan Pamuk vient illustrer à propos de son célèbre roman Le Musée de l'innocence, qui entretient lui aussi une relation marquée par des malentendus productifs avec la littérature occidentale. Que le contresens n'est pas seulement un moteur de la création, mais aussi un indicateur des aléas auxquels est soumis le savoir dès que l'écriture de création s'en saisit fait l'objet de la contribution de Sophie Jaussi (Fribourg), consacrée à l'écrivain contemporain Philippe Forest. Les malentendus sont en effet susceptibles de devenir les instruments de l'expression d'une résistance à toute forme d'hégémonie, que ce soit de la langue ou du pouvoir : telle est la thèse que défend Vidya Ravi Allemann (Fribourg) à partir d’une lecture croisée de deux nouvellistes postcoloniales, à savoir Nadine Gordimer et Anita Desai. Karl-Werner Modler (Baden) montre dans sa contribution que ce sont souvent des détails d'apparence anodine, comme la pantoufle de verre de la Cendrillon de Perrault qui se mue sous la plume de Balzac en une pantoufle de vair, qui permettent d'observer le travail d'une logique de substitution qui marque le régime de la littérarité. Dans l'article de Dimitri Tokarev (Saint Pétersbourg), ce sont les contacts culturels entre Russes et Français dans les années 1930, en l'occurrence le travail du Studio franco-russe, qui témoignent de la productivité des malentendus lorsqu'il s'agit de réfléchir ensemble sur des notions apparemment aussi universelles que celles d'humanisme ou d'intellectualisme. Le jeu avec des étymologies souvent fantaisistes et parfois même fausses est au centre de la contribution que Stefanie Heine (Zurich) consacre au poète américain Charles Olson et à sa production de projective verse qui est censée capter une langue en action qui crée de nouvelles significations. Que l'erreur peut même constituer un aspect essentiel de toute forme d’apprentissage, dans la mesure où il s'agit de transformer l'erreur en une occasion, pour l'enseignant, d'entrer dans la pensée de l'élève, est la thèse que défend Thomas Vercruysse (Genève) dans son article consacré au kairos en contexte pédagogique. Enfin, le dossier consacré à l'erreur productive se ferme avec la contribution de Sandro Zanetti (Zurich), qui évoque à partir de quelques exemples de Walter Benjamin et de Josef Guggenmos la créativité intrinsèque de l'acte d'entendre, puis de lire, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Dans une seconde section, plus courte, le présent numéro de Colloquium Helveticum accueille, éditées par Sophie Jaussi, des contributions choisies des journées du programme doctoral suisse en littérature générale et comparée, qui ont eu lieu en novembre 2015. Ces contributions, présentées plus en détail en tête de la seconde section, sont dues à Valérie Hantzsche, Lukas Gloor, Joëlle Légeret et Tea Jankovic. La rubrique "Varia" accueille quant à elle un essai de Monika Kasper, consacré à l'un des derniers poèmes de Celan, EINKANTER, qui donne forme à la rencontre entre la peinture de Rembrandt et la poésie de Celan. Enfin, le Colloquium Helveticum accueille Thomas Hunkeler désormais une section consacrée à de nouvelles parutions d'intérêt comparatiste. Cette dernière section, qui est appelée à se développer ces prochaines années, est dirigée par Joëlle Légeret.
Bu makalede geleneksel Alman genç kız romanının temel eserlerinden birisi olan Emmy von Rhoden'in "Der Trotzkopf" (1885) adlı romanı ile modern dönemi temsilen Dagmar Chidolue'nun "Lady Punk" (1985) adlı romanı toplumsal cinsiyet araştırmaları ile yeniden okunmuştur. Bu okuma ve analiz süreci sonucunda kurgusal genç kız imgesinin gelenekselden moderne doğru geçirdiği değişim karşılaştırmalı olarak ortaya konmaya çalışılmıştır. Diğer bir hedef ise modern döneme gelindiğinde genç kız imgesinin lehine olan özgürleşmesinde rol oynayan etmenleri ve kazandığı özgürlüğün niteliklerini vurgulamaktır. Sonuçların toplumsal cinsiyet araştırmalarına dayanılarak yorumlanması sürecinde ise çalışmaya her iki romandan elde edilen bulgular rehberlik etmiştir.
Colloquium Helveticum 45 : Poetik und Rhetorik des Barbarischen = Poétique et rhétorique du barbare
(2016)
'Poetik und Rhetorik des Barbarischen' / 'Poétique et rhétorique du barbare' lautete das Thema der Jahrestagung der Schweizerischen Gesellschaft für Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft, die im Oktober 2014 an der Universität Genf stattfand. Angeregt worden war diese Themenwahl durch das seit 2013 vom Schweizerischen Nationalfonds geförderte Forschungsprojekt "Barbarism": History of a Fundamental European Concept and Its Literary Manifestations from the 18th Century to the Present. Das eigentliche Motiv für die Wahl des Themas war aber dessen wissenschaftliche, kulturelle und vor allem auch politische Aktualität. Diese wird verständlich, wenn man bedenkt, dass der Begriff des Barbarischen seit seinen Ursprüngen im antiken Griechenland für die Begründung europäischer und 'okzidentaler' Identität von zentraler Bedeutung ist. Als "Barbaren" gelten immer diejenigen, die man aus dem eigenen kulturellen Raum und Selbstverständnis auszugrenzen sucht, indem man sie als grausam, frevlerisch, ungebildet, unmenschlich und unzivilisiert diskriminiert – seien das nun Perser im Gegensatz zu Griechen, Germanen im Gegensatz zu Römern, Heiden (insbesondere Muslime) im Gegensatz zu Christen, zivilisierte Europäer im Gegensatz zu wilden Indigenen oder freie, humane Westmächte im Gegensatz zu 'orientalischen' islamistischen Terrororganisationen. Die semantische Struktur des Barbarenbegriffs und das den Begriff vertretende Lexem bleiben, wie diese Aufzählung verdeutlicht, über Jahrtausende unverändert (auch dann, wenn der Barbar zu einer Sehnsuchtsfigur wird, die Befreiung aus einer beengenden oder dekadenten Zivilisation verspricht); die Referenzobjekte des Begriffs variieren hingegen. Der Begriff des Barbarischen ist also, wie Arno Borst schon Anfang der siebziger Jahre des 20. Jahrhunderts feststellt, seit den griechischen Anfängen der abendländischen Kultur ein "europäisches Schlüsselwort", "das andere Menschen schlagen und verletzen will". An der Geschichte dieses "Schlagworts" lasse sich ablesen, warum "die geschichtliche Vielfalt Europas bis heute soviel Unrast und Leid über die Menschen gebracht hat".
Studierende und Lehrende des Faches Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft, die in den Beständen ihrer Bibliothek nicht fündig geworden sind, werden sich vielleicht fragen, warum viele ihrer Fernleihen von der Universitätsbibliothek Frankfurt am Main stammen. Dass sich ausgerechnet dort das Sondersammelgebiet für Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft befindet, mag überraschen, denn schließlich wurde an der Goethe-Universität ein eigenes Institut für Komparatistik erst im Sommersemester 2001 gegründet. Aufmerksame Entleiher und Entleiherinnen älterer Titel aus den Frankfurter Beständen könnten darin ein Exlibris finden: "Frhl. Carl von Rothschildsche Bibliothek Stadt Frankfurt a. Main": Die bedeutenden Bestände der Rothschildschen Bibliothek, die durch rechtzeitige Auslagerung ohne größere Verluste den Zweiten Weltkrieg überstanden haben, waren u. a. ausschlaggebend dafür, dass 1949 der damaligen Stadt- und Universitätsbibliothek Frankfurt von der Deutschen Forschungsgemeinschaft die Sondersammelgebiete "Allgemeine und Vergleichende Sprachwissenschaft" (SSG 7.11), "Germanistik" (SSG 7.20) sowie "Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft" (SSG 7.12) zugewiesen wurden. Mit 130.000 Bänden stellte die Rothschildsche Bibliothek immerhin fast 15 % des 1945 an der Stadt- und Universitätsbibliothek Frankfurt noch vorhandenen Gesamtbestandes von 900.000 Bänden.