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Idiome sind entscheidend für das Verstehen und Kommunizieren im Chinesischen, die aber wegen der großen Masse, der Kulturunterschiede und ihres relativ späten Einsatzes im Chinesischunterricht eine der größten Barrieren für europäische ChaF-Lerner darstellen. In dieser Arbeit wird ein Konzept von den auf Deutsch verfassten Selbstlernmaterialien mit geschichtlichen Idiomen vorgestellt, die sich an erwachsenen ChaF-Lernern auf Anfängerniveau im D-A-CH-Gebiet orientieren. Die Lernmaterialien dienen den Lernenden dazu, in entspannter Atmosphäre ihre Sprachkompetenz zu steigern und die Kenntnisse für Sprache, Kultur, Philosophie und Geschichte des Chinesischen zu vertiefen. In der vorliegenden Arbeit wird erforscht, welche Vorteile die geschichtlichen Idiome beim Chinesischlernen haben und warum sie als Selbstlernmaterialien auf Anfangsniveau geeignet sind. Am Ende stelle ein auf Grundlage meiner Forschungsergebnisse und Lehrerfahrungen selbstentworfenes Konzept vor.
The main goal of this article is to define the problem of vowel duration in Civili (H12a). It shows that the so-called Civili vowel-length desperately needs to be re-examined, because previous works on the sound system of this language hardly explain a number of phonological phenomena, such as vowel lengthening, on the basis of data at hand. Demonstrating the problem in question, the author first reviews previous works that all identify a vowel lengthening in Civili. From different analyses the complexity of the phenomenon is found out by observing differences from an analysis to another, and by regarding difficulties the different phonologists came up against. Then, the problem is also seen through the weakness of each analysis results. This eventually shows more aspects of the vowel duration issue, and leads the author to make a clear distinction between vowel length and vowel lengthening that can be all regarded as only vowel duration. Finally, the article shares a possible way for a solution through an experimental approach of the Civili sound system.
Dans les langues bantoues du Gabon, tons lexicaux flottants et tons intonatifs permettent d’expliquer trois phénomènes tonals que nous avons voulu passer en revue dans cet article. Dorénavant, il est donné de croire, avec l’élargissement du domaine d’observation des tons intonatifs aux groupes B10, B20 et B30, qu’un certain nombre de problèmes tonals considérés hier encore comme insolubles ou relevant de types ou de cas tonals, trouvent des solutions ou des analyses satisfaisantes. Déjà, la découverte des tons intonatifs en myènènkomi (B11e) et en tsogo (B31) permet aujourd’hui de proposer une description pour le moins correcte de la tonalité de ces deux langues.
La présente étude est parvenue à identifier une vingtaine de bantouismes dans le LG et moins d'une dizaine de candidats à bantouismes (six au total), grâce aux cognats et aux candidats à cognats vili que nous avons pu établir. Ce faisant, elle a falsifié le point de vue dominant dans la littérature d'une origine restreinte à trois langues (le kikongo, le kimbundu et l'umbundu) de tous les bantouismes et candidats à bantouismes latino-américains connus à ce jour. La suite du travail est déjà en vue qui consiste à étendre aux autres langues bantoues du Gabon des zones A et B la recherche des mots apparentés aux termes du LG, ce qui assurément ne pourra que rallonger la liste des bantouismes présents dans le LG.
En dernière analyse, la grande faiblesse des livres comme ceux de Mouguiama-Daouda et d'autres linguistes gabonais qui ont choisi de publier des ouvrages généraux sur les langues bantoues du Gabon, c'est de manquer de documents descriptifs (synchroniques ou diachroniques) sur lesquelles ils peuvent asseoir raisonnablement leurs hypothèses et leurs argumentations. Ceci montre, par conséquent, combien de fois il est nécessaire de commencer d'abord par décrire les langues que l'on veut étudier, avant d'envisager une quelconque autre étude linguistique sur elles.