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The Wayeyi [: phrasebook]
(2008)
Wörterbuch: Redewendungen Bantu-English
In der arabischen Welt herrscht eine sehr alte und stabile Situation der Diglossie, d.h. des funktional geregelten Nebeneinanders von zwei historischen Entwicklungsstufen der gleichen Sprache. Das Moderne Hocharabisch ist eine konservierte Form des Klassischen Arabisch. Es genießt hohes Ansehen und dient als Schriftsprache, wird aber nicht muttersprachlich erworben, sondern durch Unterricht erlernt. Im mündlichen und informellen Bereich werden die jeweiligen Dialekte verwendet; sie sind die natürliche Muttersprache der Bevölkerung, genießen jedoch keinerlei Ansehen. Da die Hochsprache in ihrer äußeren Form nicht verändert werden darf, aber auch die Dialekte sich nicht zu modernen geschriebenen Volkssprachen entwickeln dürfen, scheint die Diglossiesituation für alle Zeit festgeschrieben. Dadurch ist das Überleben der Dialekte gesichert, obgleich sie sich untereinander stärker annähern. Die Geringschätzung der Dialekte in der arabischen Welt bedingt auch eine Ablehnung der Dialektologie. Deshalb war die arabische Dialektologie immer eine Domäne westlicher Forscher, doch nun deutet sich auch im Westen ihr Niedergang an.
Dans les langues bantoues du Gabon, tons lexicaux flottants et tons intonatifs permettent d’expliquer trois phénomènes tonals que nous avons voulu passer en revue dans cet article. Dorénavant, il est donné de croire, avec l’élargissement du domaine d’observation des tons intonatifs aux groupes B10, B20 et B30, qu’un certain nombre de problèmes tonals considérés hier encore comme insolubles ou relevant de types ou de cas tonals, trouvent des solutions ou des analyses satisfaisantes. Déjà, la découverte des tons intonatifs en myènènkomi (B11e) et en tsogo (B31) permet aujourd’hui de proposer une description pour le moins correcte de la tonalité de ces deux langues.
Ce texte s’est voulu une brève présentation des tons phonologiques qu’on rencontre dans les langues bantoues parlées au Gabon. L’élément nouveau ici par rapport à ce que l’on sait de l'analyse de la tonalité des langues bantoues en général, c’est la prise en compte de l'intonation dans l'explication de certaines modifications tonales du niveau lexical dont les tons lexicaux (fixes ou flottants) ne peuvent pas rendre compte.
La présente étude est parvenue à identifier une vingtaine de bantouismes dans le LG et moins d'une dizaine de candidats à bantouismes (six au total), grâce aux cognats et aux candidats à cognats vili que nous avons pu établir. Ce faisant, elle a falsifié le point de vue dominant dans la littérature d'une origine restreinte à trois langues (le kikongo, le kimbundu et l'umbundu) de tous les bantouismes et candidats à bantouismes latino-américains connus à ce jour. La suite du travail est déjà en vue qui consiste à étendre aux autres langues bantoues du Gabon des zones A et B la recherche des mots apparentés aux termes du LG, ce qui assurément ne pourra que rallonger la liste des bantouismes présents dans le LG.
Since independence, the government of Botswana has practiced an exclusive language policy in which only English has been used in government circles at the exclusion of all the 26 languages represented in the country, with a limited use of the national language, Setswana. However, in recent years more positive statements have been heard in Parliament, opening up to recognize the use of other languages in education and society. These statements have provided a conducive environment for Non-governmental organizations to develop other languages for use in education and out-of-school literacy. This paper focuses on the work of one such organization. It reports on a project this organization is undertaking to revive the language and culture of the Wayeyi people in North Western, and Central Botswana. It gives findings on attitudes towards Shiyeyi as a language of instruction for literacy and shows how the preference expressed for Shiyeyi has great potential for a literacy program.