940 Geschichte Europas
Refine
Year of publication
Document Type
- Review (321)
- Article (206)
- Book (97)
- Part of a Book (43)
- Conference Proceeding (20)
- Part of Periodical (18)
- Doctoral Thesis (14)
- Working Paper (5)
- Contribution to a Periodical (3)
- Other (2)
Language
Keywords
- Europa (40)
- Deutschland (28)
- Frankreich (22)
- Geschichte (16)
- Mittelalter (16)
- Politik (8)
- Rezeption (8)
- 500-1500 (7)
- Geschichtsschreibung (7)
- Herrschaft (7)
Institute
- Geschichtswissenschaften (357)
- Rechtswissenschaft (66)
- Extern (37)
- Kulturwissenschaften (25)
- Exzellenzcluster Die Herausbildung normativer Ordnungen (22)
- Präsidium (20)
- Neuere Philologien (13)
- Universitätsbibliothek (11)
- Gesellschaftswissenschaften (10)
- Fritz Bauer Institut (7)
Ainsi s’achève, par son deuxième tome consacré au XVIIIe siècle, cette vaste entreprise d’une histoire de l’éducation et de la culture de la fin du Moyen Âge à nos jours, répartie sur 6 tomes et 7 volumes. Conçue dès les années 1970, publiée dans un ordre assez aléatoire à partir de 1986 en commençant par le tome III couvrant la période 1800–1870, elle livre pour finir ce deuxième tome, 9 ans après le tome I qui ouvre chronologiquement la série. Il est paradoxal que la période reine de l’histoire de la pédagogie allemande, ce »siècle pédagogique« pour reprendre l’expression de Johann Heinrich Campe, surreprésenté dans la production historiographique, ait donné tant de difficultés aux rédacteurs. Cela tient sans doute autant aux défaillances individuelles d’une entreprise collective associant pour ce seul tome 18 personnes sur une telle durée (Rainer A. Müller est décédé et Rudolf Vierhaus, un des coéditeurs, s’est retiré pour cause d’âge et a dû être remplacé par Notker Hammerstein), qu’aux erreurs de conception et de cadrage initiales qu’il convenait autant que possible de rattraper. En effet, nous avions relevé dans le premier tome des déséquilibres et des lacunes assez peu explicables1 , notamment à propos du XVIIe siècle qu’il était pourtant censé couvrir. ...
Für die internationale Diskussion gibt es zunächst das Problem der Wissenschaftssprachen. In Polen spricht man, soweit ich das verstehe, stets vom "Staat der Piasten", selbst frühere Herrschaftsbildungen werden "Staat" genannt. Diese Gewohnheit der polnischen Kolleginnen und Kollegen steht in auffälligem Kontrast nicht nur zu deutschsprachigen, sondern auch zu frankophonen und anglophonen Historikern. In Frankreich unterscheidet man État und état. Die Orthographie (kleines oder großes "é") markiert das Konzept. Nur État mit Majuskel E bedeutet Staat, mit "l'état Carolingien" sagt niemand "der karolingische Staat". ...
Quand un professeur atteint l’âge de la retraite, il est de coutume de lui offrir un volume en son honneur. Le cas le plus fréquent est un volume d’hommages, de ses collègues et anciens étudiants. Plus rarement, c’est un recueil des articles rédigés par luimême qui est proposé. On peut débattre de la meilleure solution, mais la seconde a l’avantage d’offrir au souscripteur ou à l’acheteur un ensemble d’études publiées dans des revues ou des actes de colloque divers, et c’est celle qui a été choisie par les étudiants de Heribert Müller, à l’occasion de ses soixantecinq ans, le 16 mars 2011. ...
Ende des Jahres 1104 verließ Heinrich V. im Vorfeld eines Sachsenzuges das Hoflager seines Vaters, dem langjährigen Herrscher Kaiser Heinrich IV., und verband sich mit der antikaiserlichen Opposition im Reich. Nach mehreren Konfrontationen zwischen Vater und Sohn dankte Heinrich IV. schließlich 1106 als Herrscher ab.
Die zeitgenössischen Quellen schildern dieses Ereignis als einen Verrat Heinrichs V. an seinem Vater und bedienen sich dabei unterschiedlicher Motive.
Von den Quellen, die die Ereignisse schildern, werden in dieser Arbeit die Kapitel 9 und 10 des Vita Heinrici IV. imperatoris genannten Werkes eines Anonymous, das nach dem Tode des Kaisers entstand, die Briefe 37 und 39 Heinrichs IV. und die auf Ekkehard aufbauende Anonyme Kaiserchronik betrachtet.
Hierbei wird die Darstellung des Anonymous in dem Vita Heinrici IV. imperatoris genannten Werk mit den Briefen 37 und 39 sowie der Anonymen Kaiserchronik konfrontiert und anhand von Forschungsliteratur hinterfragt. Die dabei zu beantwortetenden Fragen lauten: Hat Heinrich V. seinen Vater tatsächlich verraten oder folgte er einem gemeinsamen Plan? Falls dies der Fall war: Zu welchem Zeitpunkt ist der Plan, der offensichtlich nicht aufgegangen ist, gescheitert? Betreffend der Darstellung des Anonymous soll folgende Frage verfolgt werden: Lässt die Darstellung des Anonymous in dem Vita Heinrici IV. imperatoris genannten Werk Heinrich IV. als Persönlichkeit erkennen?
Die chronologische Betrachtung der einzelnen Schritte von dem Fortgang Heinrichs V. vom Hoflager seines Vaters bis hin zur Abdankung Heinrichs IV. werden in zusammenfassender Betrachtung erkennen lassen, dass der angebliche Verrat Heinrichs V. an seinem Vater keine eindeutige Sache ist, wie es die zeitgenössischen Quellen und die auf ihr basierende neuzeitliche Literatur darzustellen versuchen.
Un nouvel ouvrage sur la période de l’unification allemande! Certains se demanderont si l’on peut encore écrire quelque chose d’intéressant sur un sujet aussi rebattu. Eh bien oui: de nombreux spécialistes ont été convoqués sur la question lors d’un colloque d’historiens qui s’est tenu à Dresde en 2008 et l’on trouve ici leurs 37 contributions. C’est une excellente synthèse. ...
1973 legte Thomas E. Morissey als Schüler von Brian Tierney seine – leider ungedruckt gebliebene – Dissertation »Franciscus de Zabarellis (1360–1417) and the Conciliarist Traditions« vor, um fortan bei diesem Thema zu bleiben, wie vorliegender Band belegt, der eine Auswahl von Aufsätzen aus den Jahren 1976 bis 2010 vereint, 15 davon als Nachdruck, zwei als Erstpublikation. Wer als Gelehrter Aufnahme in die »Variorum Reprints« bei Ashgate findet, gilt, zumindest in der angelsächsischen Welt, als Autorität auf seinem Gebiet, und in der Tat dürfte gegenwärtig allenfalls noch Dieter Girgensohn sich ähnlich gut wie Morissey im Leben und Werk des Paduaner Rechtsgelehrten auskennen, der als akademischer Lehrer und Autor ein großes, internationales Publikum fand und auch kirchenpolitisch von Einfluss war; selbst die nach seinem Tod in Padua Recht studierenden Nikolaus von Kues, Giuliano Cesarini oder Niccolò Tudeschi (Panormitanus) waren noch von seinem Geist geprägt. ...
Nein, Langeweile kommt bei Franck Collard nicht auf, ist er doch Historiker des Gifts und der Leidenschaft. Seit seinem Werk "Le crime de poison au Moyen Âge" greift er immer wieder das Problem des Einsatzes von Gift in der Welt des Spätmittelalters, vor allem im 15. Jahrhundert, auf; einem Saeculum, in dessen erster Hälfte – zumal in einem im Innern zerrissenen und vom Hundertjährigen Krieg heimgesuchten Frankreich – ebenso das Thema der "passions" eine zentrale Rolle spielt, dem er bereits 2015 die Studie "Politique des passions et anthropologie des pulsions à la cour de Charles VII" widmete . Eine Annäherung an Jeanne d’Arc unter solches Vorzeichen zu stellen lag nahe, einmal aufgrund besagter "passions au sens de déchirements" im Königreich, sodann angesichts von Johannas "passion au sens d’exaltation affective et d’amour extrême" wie auch – mit Blick auf ihren Prozess und Tod in Rouen – wegen ihrer "passion … au sens de souffrance sacrificielle" (S. 11). ...
Le livre, issu d’un colloque tenu en 2010 dans l’enceinte de l’Historisches Kolleg, relève de la gageure. Il entend déporter l’accent de la première décennie du concile de Bâle, celle de son apogée, vers la seconde, quand l’assemblée perd peu à peu le soutien des princes et voit fondre ses rangs jusqu’à son autodissolution finale. La difficulté ne tient pas seulement au peu d’intérêt qu’inspire de prime abord cet échec annoncé. Elle réside aussi dans les lacunes de la documentation: passé 1443, s’interrompent à la fois les protocoles du concile et la chronique de Jean de Ségovie, qui fournissaient jusquelà un indispensable fil conducteur. Il vaut pourtant la peine d’étudier »Bâle après Bâle« autrement que sous les couleurs fanées d’un lent et irrésistible déclin. Même affaibli, le concile a continué à peser sur le jeu politique et sur les débats du temps, ce qui a contraint la papauté de Nicolas V à des accommodements. Aussi bien sa dispersion en 1449 ne sonnetelle pas le glas du conciliarisme, puisque celuici demeura vivace jusqu’à Vatican I. On ne peut que féliciter Heribert Müller d’avoir voulu ainsi, comme il s’en explique dans l’introduction, prendre toute la mesure d’un concile unique dans l’histoire par sa durée. ...
Le dernier livre du professeur Heribert Müller s’inscrit dans l’ample projet encyclopédique que le spécialiste de Bismarck Lothar Gall mène depuis 1988 et dont les 100 volumes retracent l’histoire de l’espace politique allemand, du Moyen Âge au XXe siècle. La crise ecclésiastique de la fin du Moyen Âge est étudiée dans une perspective à la fois synthétique et scientifique. Dans l’"Enzyklopädie deutscher Geschichte" (EDG), fidèle à la collection "Oldenbourg Grundriss der Geschichte", l’analyse se déploie en trois temps. À la synthèse chronologique de faits historiques (p. 1–58), succède le commentaire historiographique des principaux travaux de recherche (p. 59–123); enfin, la bibliographie thématique rassemble les sources éditées et les principaux ouvrages cités (p. 125–152). Le cheminement du lecteur dans l’ouvrage est facilité par des rubriques marginales et un triple index (p. 153–163). Que chacune des trois parties suive, à quelques nuances près, le même plan permet de faire une lecture transversale du livre. L’auteur paraît y inciter, qui émaille la synthèse historique de quelques remarques historiographiques. Dans le paysage éditorial français, la collection "Nouvelle Clio", publiée aux Presses universitaires de France depuis 1966, suit la même orientation synthétique et scientifique, qui s’avère précieuse pour les étudiants comme pour les spécialistes. Mais à la différence des manuels français, les volumes de l’"EDG" forment, grâce au travail d’édition et au soin apporté à la mise en page, de véritables essais
L’ouvrage est le fruit d’un colloque tenu les 30 juin et 1er juillet 2006 au Zentrum für Europäische Studien de l’université de Cologne. La corruption, vaste et universel thème par-delà les siècles, les continents, les États, les régimes politiques … Juristes, sociologues et politistes s’en sont emparés, plus que les historiens: citons Paul Veyne, Jakob van Klaveren, Jean-Claude Waquet et quelques secteurs bien documentés, la corruption dans l’Angleterre parlementaire, celle de la république de Weimar, instrumentalisée par les nazis, celle du régime nazi. L’universalité du phénomène, le champ très ouvert de ses manifestations doivent éviter la tendance à une généralisation facile; la corruption doit être contextualisée et datée avant que d’être conceptualisée. ...
Rezensionen über Festschriften laufen Gefahr, sich in Plattitüden zu ergehen. Denn die Gründe sowohl für den Charme als auch die Crux der Festgaben hängen eng zusammen: Dankbar möchte man der zu ehrenden Person ein Stück von dem zurückgeben, was diese Person zur Forschung beigetragen hat. Nun ist aber auch wissenschaftliches Schreiben ein kreativer Prozess und Erkenntnis und Relevanz fallen nicht auf einen gut gemeinten Wunsch hin vom Himmel, weil jemand Geburtstag hat. Auch dies ist eine Plattitüde, doch muss es erwähnt werden, da auch Heribert Müller, "sich solchen Ehrungen gegenüber Skepsis bewahrt [hat]". Wenn der Jubilar sich wenige Jahre nach der letzten Festgabe – betont keine Festschrift – zu seinem 70. Geburtstag nun doch mit einer solchen beschenkt sieht, wird er dies den Herausgeberinnen sowie Autorinnen und Autoren wohl in Hinblick auf diese in Umfang als auch Qualität überdurchschnittliche Festschrift gewiss nachsehen. ...
Zwar scheinen die Zeiten, in denen der Unternehmer als einsamer, heroischer "Schöpfer" seiner Wege ging, der Vergangenheit anzugehören und "Innovationsbürokratien" an seine Stelle getreten zu sein – gleichzeitig genießt das "Unternehmerische" heute paradoxerweise einen kaum zu übertreffenden Ruf, werden damit doch Eigenschaften wie Kreativität, Produktivität oder Dynamik assoziiert. Anlass genug, sich genauer mit Fakten und Fiktionen um den Unternehmer zu befassen, wie es die von Werner Plumpe am Historischen Kolleg in München organisierte Tagung tat. Im Mittelpunkt standen denn auch Fragen nach den Merkmalen von Unternehmern und ihrer Bedeutung für Struktur und Entwicklung "ihrer" Unternehmen, mit anderen Worten: Sind Unternehmer "als Individuen notwendig, oder kann der Kapitalismus seine Dynamik auch anders als auf diese Weise entfalten?" ...
Die Geschichte der europäischen Integration wird in der Regel als Erfolgsgeschichte erzählt, vor allem als wirtschaftliche Erfolgsgeschichte, die sich in Folge kluger und aus historischer Erfahrung getroffener Entscheidungen ergeben habe (vgl. Loth 2014; vgl. auch Mittag 2008). Der Zweite Weltkrieg habe endgültig gezeigt, dass das durch zahlreiche Nationalstaaten gekennzeichnete Europa, sollte es nicht zusammenarbeiten, zu verheerenden Konflikten neige. Und die Zusammenarbeit sei nicht nur politisch klug; sie zahle sich zusätzlich wirtschaftlich aus. So seien allen Teilnehmerstaaten auch in einem ganz ordinär materiellen Sinne Profiteure der europäischen Einigung, die in dieser Logik dann auch gar nicht weit genug gehen kann, bedingen sich hiernach doch das politisch Sinnvolle und das ökonomisch Erfolgreiche gegenseitig – und zwar genau in der Form der supranationalen Organisation, die die Europäische Union mittlerweile angenommen hat. Liest man einen Satz der Bundeskanzlerin Angela Merkel so, dann ist die europäische Integration nach Brüsseler Art deshalb alternativlos, weil es kein vergleichbares Erfolgsmodell gibt. Aus der zunächst durch das Leid des Krieges geprägten Bereitschaft zur Zusammenarbeit ist unter der Hand eine Art Sachzwang geworden, denn von der einmal eingeschlagenen Straße der Integration kann man in dieser Sicht nur unter erheblichen Wohlstandsverlusten und politischen Risiken abweichen.
In dieser Sachzwanglogik war allerdings die Euro-Krise nicht vorgesehen. Sie konnte im strengen Sinne auch gar nicht passieren, war doch die weitere Vertiefung der europäischen Union zur Währungsunion in den 1990er Jahren gerade damit begründet worden, dass derartige Krisen zukünftig ausgeschlossen seien (vgl. Tietmeyer 2005). Dass die Politik auf sie zunächst überrascht, fast panisch und dann durch konsequentes Vorantreiben der institutionellen und finanziellen Integration reagiert hat, zeigt auch, dass hier ein Denken vorherrscht, das nach dem Motto funktioniert, es könne doch nicht sein, was nicht sein dürfe. ...
Die gegenwartsnahe Zeitgeschichte rückt immer näher an das Hier und Jetzt heran. Auch die Wirtschaftsgeschichte bildet dabei keine Ausnahme, wenn sie sich, wie in dem hier zu besprechenden Sammelband, bis in die 1990er Jahre vorwagt. Dass sich die Nationalökonomien seit den 1960er Jahren grundlegend verändert haben, steht außer Frage. Ob dieser Wandel allerdings mit dem gängigen Modell einer einfachen Bedeutungsverschiebung vom (niedergehenden) industriellen Sektor zum nur schwer exakt abzugrenzenden Dienstleistungssektor abgebildet werden kann, an deren Ende die ‚Dienstleistungsgesellschaft‘ steht, ist strittig. Die Autoren des Bandes, sämtlich Wirtschaftshistoriker, raten unter Hinweis auf die zeitgebundene Konstruktion dieses Erklärungsmodells und ihre eigenen Branchenanalysen zu differenzierteren Betrachtungsweisen. ...
Malgré des dimensions réduites, l’ouvrage brosse un ample panorama des crises économiques, de l’époque moderne à nos jours. Il s’ouvre par quelques informations sur la connaissance du phénomène, soulignant le rôle pionnier des instituts de conjoncture fondés aux États-Unis et en Allemagne au début du XXe siècle (National Bureau of Economic Research en 1912, Institut für Konjunkturforschung en 1925). Puis il expose les théories interprétatives, de Jean-Baptiste Say à Paul Davidson et Hyman Minsky, insistant sur l’opposition entre celles qui, comme Schumpeter, les jugent inséparables d’une régénération incessante du capitalisme dont elles forment des étapes douloureuses, mais non nécessairement négatives, et celles qui estiment qu’elles ruinent un équilibre qui doit être ensuite rétabli pour des raisons sociales, politiques et économiques. Occupant les chapitres suivants, l’histoire des crises forme le cœur de l’ouvrage. ...
L’année 2014 a vu naître une multitude d’initiatives – médiatiques, éditoriales, académiques, muséales, pédagogiques … – en rapport avec le centenaire de la Première Guerre mondiale. Cette vague mémorielle était attendue en France où l’intérêt pour ce conflit n’a cessé de s’accroitre depuis les années 1980. Elle était plus improbable en Allemagne où cet intérêt est depuis longtemps bien moindre; elle n’y a été que plus remarquable. Parmi les initiatives universitaires qui ont vu le jour en 2014, un colloque tenu en mai à Francfort-sur-le-Main s’intéressait à sa manière aux événements survenus un siècle plus tôt: il s’agissait moins d’aborder le déclenchement de la guerre sous l’angle des relations diplomatiques que d’éclairer le contexte mental d’avant-guerre pour y déceler les conditions ayant rendu possible l’éclatement d’un conflit de grande ampleur. ...
The notion of the barbarian has been crucial in the development of the intellectual shifts spurred on by thinkers who shaped the culture of the Enlightenment. Asking what a barbarian might be had quite different meanings in the early 16th and in the late 18th century. An anthropological approach to the very different populations that had come to be known in Europe since the 16th century as well as the secularization of the historical vision contributed to the emergence of a more objectified connotation of barbarism. Among others, Montaigne, Montesquieu, Gibbon, Voltaire, d’Holbach commented extensively on barbarism as characterizing different stages in human civilization. Volney (Constantin-François de Chassebeuf, 1757-1820), who travelled to Egypt and Syria in the early 1780s, was familiar with the French works of the Enlightenment and applied their concepts of barbarism to the observation of the different Muslim populations he encountered. Later, after experiencing the turmoil of the French Revolution, he became interested in the United States. During his stay in America from 1795 to 1798, he investigated the American Indians who represented a different form of barbarism. Volney stands out as a thinker who knew the classics of the Enlightenment and who creatively compared theoretical speculations with his first-hand empirical observations.
Im Zeitraum vom 7. bis zum 9. Dezember 2017 fand an der Universität Breslau (Wrocław) in Kooperation mit der Ruhr-Universität Bochum die Winterschool "Europa: Poetik und Politik" statt. Die gut zwanzig Teilnehmerinnen und Teilnehmer – darunter Professor*innen, wissenschaftliche Mitarbeiter*innen und Studierende beider Universitäten – diskutierten die neuere Geschichte von Europa-Diskursen von der Romantik bis in die Gegenwart. Ausgangspunkt der Tagung war die gegenwärtige Krise der Europäischen Union, die – so zeigte sich im Verlauf der Tagung – als Fortführung der leitmotivischen 'Schwellensituationen' zu verstehen ist, die als das Gemeinsame der diskutierten Texte und somit in gewisser Weise als konstitutiv für den Europa-Diskurs erkannt wurden.