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Zoologia Caboverdiana
(2010)
Cape Verdean Zoology is a scientific journal with free access. It publishes articles of original research, synthesis articles and brief notes on zoology and paleontology of the Cape Verde Islands. Articles may be submitted in English (with a summary in Portuguese) or Portuguese (with English summary). Zoology Cape Verdean appears biannually, with editions in spring and fall.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
Mit Heft 10 von WLN (Waldökologie, Landschaftsforschung und Naturschutz) setzen wir die erfolgreiche Tradition von thematisch fokussierten Sonderheften fort, die sich mit ihren Beiträgen einem aktuellen Forschungskomplex der Landschaftsforschung widmen. Im vorliegenden Heft finden Sie ausgewählte Fachbeiträge zum Thema Ökosystemrenaturierung und nachhaltiges Management von Flüssen und Feuchtgebieten, die einer Tagung an der Hochschule Magdeburg-Stendal im Juni 2009 entstammen. Der geographische Fokus der vorgestellten Arbeiten reicht von Mitteleuropa bis Südamerika und Zentralasien und die inhaltliche Breite bewegt sich von Feuchtgebieten zu Fließgewässern und von der Erfassung natürlicher Prozesse bis zum intensiven Management von Ökosystemen. Da Naturschutz in unserer anthropogen überprägten Welt neben der Bewahrung der „Restnatur“ auch in starkem Maße die Wiederherstellung der Funktionsfähigkeit der Ökosysteme beinhaltet, freuen wir uns, dass sich Heft 10 diesem Thema in besonderer Weise widmet.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
Max Dessoir
(2010)
Spécialiste d’esthétique philosophique et de psychologie, Max Dessoir (1867–1947) est un des principaux fondateurs de la Kunstwissenschaft. Élève de Wilhelm Dilthey, il fait des études de philosophie à Berlin, où en 1889 il soutient une thèse sur Karl Philipp Moritz. En 1892, il obtient un diplôme de médecine à Würzburg. En 1888, Dessoir fonde la « Gesellschaft für Experimental-Psychologie », dédiée à l’étude de l’hypnose et des phénomènes paranormaux. Il enseigne la philosophie à Berlin de 1897 à 1933. Suite à la montée du national-socialisme, il est d’abord privé de sa chaire à cause de ses origines juives, et, en 1936, interdit définitivement d’enseigner en Allemagne. Après la guerre, il occupe la chaire de philosophie à l’Université de Francfort. Dessoir dédie l’essentiel de ses travaux à l’étude des connexions entre arts et sciences. ...