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Ebenen : eine Skizze
(2001)
Ohne dass es tatsächlich notwendig wäre, kann die Frage gestellt werden, warum man es macht: Warum man wissenschaftlich tut – schreibt, spricht, arbeitet. Keine oder nicht nur Romane, Gedichte oder Theaterstücke schreibt, Berichte, Kritiken, feuilletonistische Essays verfasst. Nicht oder nicht nur moderiert, unterhält, Witze erzählt, lügt und verkauft. Nicht oder nicht nur einer geregelten Arbeit nachgeht mit geregelten Arbeitszeiten. Mit klaren Grenzen zwischen Arbeits- und Frei-Zeit. Warum man es sich antut, die gesamte Zeit damit zu verbringen, auch wenn man einen Großteil dieser Zeit nichts oder etwas anderes tut, wenn ein großer Teil dieser Zeit immer wieder, im Sinne eines nachweisbaren oder vorzeigbaren Ergebnisses, ergebnislos vergeht. Warum man mitunter am intensivsten daran arbeitet, die wesentliche Kontinuität des wissenschaftlichen Lebens als jene des Nichts-Tuns zu begreifen, mit dem Nicht-Tun-Können oder -Wollen zurecht zu kommen. Mit der fixen Idee, man sei damit allein, die Ausnahme der Regel, die uns im Kantschen Ideal vom metronomisch Arbeitenden als Vorbild vorgegeben ist. Nie, als impliziter Aspekt des kontinuierlichen Nichts-Tuns, werden die Dinge ohne Gewaltakt fertig. Was nicht heißt, dass es sie nicht gäbe, die Pünktlichen, Korrekten, Disziplinierten, die immer schon (vorzeitig) Fertigen.
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Was die altgermanistische Fachidentität wo nicht zu gefährden droht, da doch neu zu bestimmen nahe legt, das lässt sich am einfachsten unter jenem gängigen Stichwort 'Kulturwissenschaft' fassen, welches überhaupt in den Programm- und Legitimierungdebatten solcher akademischen Fächer eine zentrale Rolle spielt, die man einmal ohne weiteres die Geisteswissenschaften nannte. Dabei scheint durchaus umstritten zu sein, ob mit 'Kulturwissenschaften' ein Bruch mit den Traditionen der Deutschen Philologie angesagt ist oder im Gegenteil deren neuerliche Stabilisierung.
SOMMAIRE EXERGUE……………………………………………………………………2 DEDICACES…………………………………………………………………3 GRATITUDES……………………………………………………………….4 SOMMAIRE………………………………………………………………… 5 INTRODUCTION………………………………………………………….6 O. HISTORIOGRAPHIE…………………………………………………….7 O.1. FORMULATION ET DELIMITATION DU SUJET…………………..8 O.2. INTERET DU SUJET…………………………………………………..9 O.3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DE RECHERCHE…………..10 O.4. CADRE METHODOLOGIQUE……………………………………… 11 PREMIERE PARTIE : LA POETIQUE DU MIRAGE……………… 12 CHAPITRE I : LE CONTEXTE RURAL………………………… 13 · LA VIE AU VILLAGE : QUOTIDIEN DIFFICILE…13, 14 CHAPITRE II : L’ IMMIGRATION………………………………….15 2.1. LE RETOUR DE L’IMMIGRE AU PAYS NATAL 15,16 2.2. LE REVE…………………………………………… 16,17 2.3. MADICKE……………………………………………… 17 DEUXIEME PARTIE : ESSAI DE DECONSTRUCTION DU MYTHE DU MIRAGE……………………………………………………………………18 CHAPITRE III : L’IMMIGRATION EN QUESTION…………………19 3.1. LA DEMYSTIFICATION DE L’OCCIDENT…………19,20 3.2. LA SITUATION DE L’IMMIGRE EN FRANCE…20, 21,22 CONCLUSION……………………………………………………………23,24 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………25,26,27,28 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Schreiber schreiben, Leser lesen. Leser schreiben, Schreiber lesen. Schreiber schreiben, Leserinnen lesen. Dichter schreiben, Literaturwissenschaftler lesen. Dichterinnen schreiben, Literaturwissenschaftlerinnen lesen. Literaturwissenschaftler schreiben, Dichterinnen lesen... Es ist ein fast unendliches Spiel der Permutationen, das man über Hunderte und vielleicht Tausende von Jahren, als ein immer weiter sich differenzierendes, nachspielen kann.
Plan Introduction I/ La localisation des dichotomies saussuriennes dans les deux oeuvres 1)le langage 2)la langue 3)la parole II./ Les composantes textuelles 1)L’instance narrative 2)Les descriptions 3)Les procédés de rhétorique III/ Le langage et l’expression littéraire : Entre appropriation et créativité 1)Les techniques narratives locales 2)L’écriture de l’humour comme stratégie de révolte Conclusion -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon