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On the one side there is book culture, centered on the printed book as a material object; on the other digital culture, centered on what is displayed on a screen, by now more often than not that of a mobile phone. In the cultural imaginary, the two practices are separated by far more than just media technology. The girl in Delevingne's picture, in choosing to read a book rather than participate in the social media arena, opts (as the black-and-white blocking of the caption neatly reflects) for a commendable type of media use: She sharpens her intellect and exercises her imagination, she digs deep rather than staying on the surface, and she engages – in a seemingly disinterested manner – with valuable content rather than obsessing over how to present herself in the best light. Her absorption is a badge of honor, much different from the 'bad' absorption of digital media users, a recurring trope that is artistically represented, for example, in the much-acclaimed surrealist photo series "SURFAKE" by the French photographer Antoine Geiger, which represents mobile phone users whose faces are sucked into their devices.
Rezension zu Egon Schwarz: (Mit) Schwarz lesen: Essays und Kurztexte zum Lesen und Gelesenen. Hrsg. v. Jacqueline Vansant. Wien: Praesens, 2009, Egon Schwarz: Unfreiwillige Wanderjahre. Auf der Flucht vor Hitler durch drei Kontinente. München: Beck, 2009 und Ursula Seeber/Jacqueline Vansant (Hrsg.): Schwarz auf Weiß. Ein transatlantisches Würdigungsbuch für Egon Schwarz. Wien: Czernin, 2007
Stirbt das Buch? Kein Zweifel, dass die digitale Welt unser Lesen verändert. Nur wie tut sie das? Stimmt es, dass der Computer und das Internet zu einem Verfall des Lesens und dem Verschwinden der Bücher führen? Andere sagen, unsere Kinder werden vor dem Computer unvermeidlich dick und dumm. Der Vortrag zeigt, dass dieser Eindruck täuscht. Es wird viel gelesen, ja mehr gelesen und viel Verschiedenes gelesen und geschrieben. Der Vortrag analysiert, wie sich die modernen Weisen zu lesen im digitalen Zeitalter vervielfältigen und warum wir dennoch glauben, Lesen und Buch seien an ihr Ende gekommen.
En écho et en complément au dossier "Où va le livre en Afrique ?" (Africultures 57: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=livre&no=1889), l’écrivain gabonais Ludovic Obiang interroge les choix faits dans les titres de littérature étudiés à l’école. ------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Sababu man dògòn
(2010)
The reason is not small
(2010)
"Don’t forget the sugar!" my husband called after our son who was already running down the road, hopping across puddles and skirting garbage mounds. He leaned back in his chair and sighed. The plastic covered wires were stretching to the point that they would break soon. We would get it restrung again. (...)