La plupart des théories de la littérature mondiale ont émergé pendant les années de l'ascension de la mondialisation néolibérale et supposent que cette ascension se poursuivra. En conséquence, l'avenir du roman mondial suscite une grande inquiétude, compte tenu de l'hégémonie de l'anglais et de la mondialisation d'un modèle culturel particulier. Des événements plus récents, que ce soit le Brexit et l'élection de Donald Trump ou la pandémie de COVID-19, remettent en cause l'inéluctabilité de la mondialisation de diverses manières, même s'ils laissent présager des avenirs encore plus inquiétants. Cependant, ces défis propres à la mondialisation peuvent présenter de nouvelles opportunités pour le roman mondial: des opportunités de raconter des crises globales dans des contextes glocaux.
Die Rede von der Unrettbarkeit des Ich, die sich bekanntlich bis in die Postmoderne zieht, wird im ausgehenden 19. Jahrhundert explizit und spätestens um die Jahrhundertwende topisch. Hugo von Hofmannsthal, so soll das vorliegende Buch zeigen, beteiligt sich an dieser Debatte mit einem außergewöhnlichen Beitrag: Er rekonstruiert in seinen literarischen Texten die sowohl psychologischen (nicht nur psychoanalytischen) als auch theologischen Wurzeln der genannten Gedankenfigur und macht sie auf diesem Wege zur Grundlage seines poetischen Schreibens und dessen immanenter Reflexion.