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Le thème qui fait l’objet de notre exposé s’intitule : « L’inscription de la folie dans la poésie gabonaise ».Il faut dire que le motif de la folie n’est pas nouveau en littérature ; plusieurs écrivains africains pour ne citer que ceux-là, en ont fait largement écho, lorsqu’ils ont voulu, ,à la naissance de la littérature à l’aurore de la littérature négro-africaine, répondre par le dénie aux propos vaguement racistes que l’homme blanc était parvenu à faire admettre dans les consciences, propos selon lesquels ,l’homme noir serait un grand enfant malade, un fou qu’il fallait à tout prix ramener à la raison au moyen d’un traitement approprié. Aimé CESAIRE reconnaîtra avec un humour noir,comme pour couper de l’herbe au pied du Blanc insolent dans son Cahier d’un retour au pays natal : « Nous nous reconnaissons de la démence précoce, de la folie flamboyante, etc. ». L’oeuvre que nous avons choisi pour notre étude est Patrimoine de Lucie MBA . A travers cet ouvrage, nous examinerons l’ état de la folie dans sa splendeur afin de révéler la folie non pas seulement comme elle se fait voir ,mais encore comme on ne l’a jamais vu ; d’en voir les aspects les plus forts et les plus vils ; de voir le caractère contrastant que peut nous laisser entrevoir ce thème à travers la plume de Lucie MBA . -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
1932 erscheint Clemens Lugowskis Arbeit über die Romane Jörg Wickrams, in der er die Spezifika des vormodernen Romans herausarbeitet: er ist nach Lugowski durch eine sogenannte "Motivation von hinten" charakterisiert, die über die sich in Kausalketten vollziehende "Motivation von vorne" dominiert. Was sich im Vordergrund der Handlung innerhalb der Zeit ereignet und auf ein vorherbestimmtes Resultat zuläuft, wird weniger aus den Ereignisketten selbst als aus der im Hintergrund wirkenden göttlichen Vorsehung entwickelt [...] Es liegt nahe zu fragen, inwiefern sich der Ansatz von Martinez von der Theorie phantastischer Literatur unterscheidet, die ja (etwa nach Tzvetan Todorov) mit dem Moment der Unschlüssigkeit des Lesers, ob er die Ereignisfolge der innerliterarischen Realität oder aber den Vorstellungen eines Protagonisten zurechnen soll, eine ganz ähnlich strukturierte "doppelte Welt" wie auch Martinez behauptet. Den knappen Erläuterungen zufolge ist der Begriff der "doppelten Welten" insofern enger als der der phantastischen Literatur, als er "mit der paradoxen Koexistenz von kausaler und finaler Motivation nur einen speziellen Fall übernatürlichen Geschehens darstellt"; er ist aber andererseits auch weiter, insofern "die finale Motivation der doppelten Welt nicht notwendig als übernatürlich markiert sein muß".
Die Mitglieder des Instituts haben im Berichtszeitraum durch ihre Arbeit auf vielfältige Art und Weise daran mitgewirkt, wie in den Vorjahren, einerseits Angebote in die Region zu entwickeln und andererseits die Anstrengungen in Richtung Internationalisierung von Forschung und Lehre zu verstärken. Dabei konnten bestehende Kooperationen genutzt und neue Kooperationspartner gewonnen werden. Darüber hinaus ist das Institut bemüht, einen medienästhetischen Forschungsschwerpunkt im Fachbereich 10 zu etablieren. [...] Die Mitglieder des Instituts haben durch eine rege Publikationstätigkeit (siehe nachfolgende Auflistung), vielfältige Vorträge, öffentliche Stellungnahmen, Interviews und Gespräche in Zeitungen, Rundfunk und Fernsehen dazu beigetragen, dass die Universität Bremen in und außerhalb der Region als Standort einer produktiven kulturwissenschaftlichen DDR- und Deutschlandforschung wahrgenommen wird.
Die Mitglieder des Instituts haben im Berichtszeitraum durch ihre Arbeit auf vielfältige Art und Weise daran mitgewirkt, wie in den Vorjahren einerseits Angebote in die Region zu entwickeln und andererseits die Anstrengungen in Richtung Internationalisierung von Forschung und Lehre zu verstärken. Dabei konnten bestehende Kooperationen genutzt und neue Kooperationspartner gewonnen werden. [...] Darüber hinaus haben Mitglieder des Instituts durch eine rege Publikationstätigkeit (siehe nachfolgende Einzelberichte), vielfältige Vorträge, öffentliche Stellungnahmen, Interviews und Gespräche in Zeitungen, Rundfunk und Fernsehen dazu beigetragen, dass die Universität Bremen in und außerhalb der Region als Standort einer produktiven kulturwissenschaftlichen DDR- und Deutschlandforschung wahrgenommen wird.
Die Mitglieder des Instituts haben im Berichtszeitraum durch ihre Arbeit auf vielfältige Art und Weise daran mitgewirkt, wie in den Vorjahren einerseits Angebote in die Region zu entwickeln und andererseits die Anstrengungen in Richtung Internationalisierung von Forschung und Lehre zu verstärken. Dabei konnte bestehende Kooperationen genutzt und neue Kooperationspartner gewonnen werden. [...] Darüber hinaus haben Mitglieder des Instituts durch eine rege Publikationstätigkeit (siehe nachfolgende Einzelberichte), vielfältige Vorträge, öffentliche Stellungnahmen, Interviews und Gespräche in Zeitungen, Rundfunk und Fernsehen sowie im Rahmen von Gutachtertätigkeit für politische Institutionen im Berichtszeitraum dazu beigetragen, dass die Universität Bremen in und außerhalb der Region als Standort einer produktiven DDR- und Deutschlandforschung wahrgenommen wird.
Im fünften Jahr in Folge luden das Institut für Deutsche und Niederländische Philologie der Freien Universität Berlin, das Max-Planck-Institut für Wissenschaftsgeschichte und das Exzellenzcluster 16 der Universität Konstanz am 10. Juli 2010 ein zu einem für alle Interessierten offenen Forum für NachwuchswissenschaftlerInnen, die sich im Feld von Literature and Science betätigen und vorläufige Ergebnisse noch nicht abgeschlossener Arbeiten zur Diskussion stellen möchten.
Aus theoretischen und praktischen Gründen gibt es einerseits kaum eine Möglichkeit, die Rezeption von einzelnen belletristischen Büchern und von einzelnen Spielfilmen sogleich schon als Therapie im Sinne der Psychotherapie zu verstehen, andererseits aber scheint es völlig unerlässlich, Mediennutzungen grundsätzlich in einen sehr starken Zusammenhang mit Emotionen und Emotionsproblemen zu bringen - mit einer unausgesetzt notwendigen Bearbeitung von Gefühlen und Gedanken, und diese fortlaufend erforderliche Bearbeitung von Gefühlen und Gedanken kann man dann in den Gesamtkontext einer unerlässlichen Dauer-Therapie stellen.