Refine
Document Type
- Article (2) (remove)
Has Fulltext
- yes (2)
Is part of the Bibliography
- no (2) (remove)
Keywords
- Geschichte 1500-1700 (2) (remove)
Institute
Le fait de savoir si le Saint-Empire romain germanique constituait un État est, en soi, une question peu stimulante, la réponse dépendant qui plus est des représentations fondamentales que l’on se fait de l’État. La recherche allemande, obsédée par le modèle de l’État national souverain, s’est accordée à penser pendant près d’un siècle et demi et en dépit de toutes les ruptures institutionnelles que l’Empire ne formait pas un État. En référence à cette tradition, l’introduction du concept d’« Empire-État complémentaire » (« komplementärer Reichs-Staat ») a mis en émoi une partie de la communauté des historiens modernistes germanophones, tandis qu’une autre part accueillait avec sérénité ou bienveillance ce nouveau modèle interprétatif. On pourrait ce faisant et en s’appuyant sur l’historicité de la formation de « l’État » procéder à l’analyse de l’Empire à partir de divers modèles. Mais une telle approche n’est pas sans conséquences sur l’appréciation de l’histoire allemande dans son ensemble. Définir l’Empire comme État et nation bouscule sensiblement le « grand récit » traditionnel : l’écart par rapport à une voie réputée normale de l’histoire européenne a jusqu’à présent conféré au passé allemand une signification pourvue d’une finalité tantôt légitimante tantôt déstructurante, mais toujours facteur d’intégration politique. Le concept d’Empire-État complémentaire ébranle l’idée de la singularité de l’histoire allemande moderne* sur un point capital, car il facilite la comparaison avec d’autres pays et oblige à considérer l’Allemagne comme partie prenante de l’Europe des États modernes. La notion d’Empire-État complémentaire ne peut dès lors servir ni de point de départ d’une « voie allemande particulière », ni d’archétype ou de modèle supra-étatique et supranational, ou d’équivalent fonctionnel de l’Europe contemporaine. ...
Die älteste Olmützer Universitätsmatrikel ist eine spezifische anthroponymische Quelle, in die Namen der Universitätsstudenten eingetragen wurden. Die Studenten stammten meistens aus der Oberschichten – entweder der Schicht der Adeligen oder der Bürger. Das Bedürfnis nach Prestige war in diesen Schichten sicher groß, wahrscheinlich auch deswegen erscheinen im 17. Jahrhundert in der Universitätsmatrikel so viele Fälle der Mehrnamigkeit. Daneben spielte auch die Nachbenennung nach mehreren Vorfahren eine wichtige Rolle; unter den Studenten waren auch Adelige, was die Anzahl der Vornamen beeinflussen konnte. Da es sich um die Studenten an der von den Jesuiten gegründeten Universität handelte, war die Nachbenennung nach Heiligen ein weiterer wichtiger Grund für die Vergabe mehrerer Rufnamen. Ob auch barocke Freude an einer gewissen Namenfülle oder die Einbeziehung der Paten weitere Gründe für die Mehrnamigkeit in der Universitätsmatrikel waren, kann aufgrund dieser Quelle nicht belegt werden. Die Untersuchung der Rufnamen in der Matrikel hat gezeigt, wie die religiösen Verhältnisse die Namenvergabung beeinflussten. Im Vergleich zu den Untersuchungen der Rufnamen anhand der Olmützer Stadtbücher spiegelt sich in der Matrikel eine andere Tendenz in der Entwicklung der Olmützer Rufnamen wider: Neben den traditionellen Heiligennamen lateinischer, hebräischer und griechischer Herkunft wurden in der Zeit der Gegenreformation spanische Namen von Heiligen, die erst im 17. Jahrhundert heilig gesprochen wurden, immer beliebter.