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Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...
Dans ce travail, nous avons le dessein de traduire le caractère ambiguë de la langue, du langage à travers un projet oecuménique orienté vers la diversité dans l’unicité. Ahmadou KOUROUMA nous propose, à travers la bouche de son protagoniste, BIRAHIMA, de raconter un « blablabla » qui, en fin de compte, est complexe et fort enrichissant. Car sa mission est d’illustrer en filigrane la différence linguistique entre le français et le malinké. De même, Ytsia-MOON et les autres protagonistes de Parole de vivant semblent ne pas vouloir se laisser piéger par les incohérences de la langue française et complètent parfois leurs propos avec leur langue propre : le Ipunu. Ce travail, axé sur le langage à travers la langue d’ Ahmadou KOUROUMA et de Auguste MOUSSIROU MOUYAMA, n’est qu’un jalon. C’est assurément un thème que nous envisageons orienter vers l’exploration de toute la littérature africaine écrite, c’est-à-dire celle en langue anglaise et celle en langue française. Avant tout, nous tenons à avertir la classe littéraire du fait que ce travail que nous commençons fut entamé par Nicolas MBA ZUE2 lors de la journée du 24 janvier 20043 en hommage à Ahmadou KOUROUMA. Cela aurait pu nous détourner ou décourager du choix de ce thème. Mais une telle solution aurait été une fuite en avant. La métadiscursivité est un champ si vaste qu’au regard de cette première ébauche, on pourrait simplement parler d' « écorchure ». C’est ce qui fait en sorte que nous restions attachés à notre dessein d’en faire un thème d’étude pour les années à venir.
Johann Jakob Engel wurde […] wiederholt als bedeutender Theoretiker des Gesprächs bezeichnet, dessen unterschiedliche Tätigkeiten allesamt eine Beziehung zum Dialogischen erkennen lassen. […] Zusätzlich zur Gattungstheorie interessiert ihn ein darüber hinausgehendes spezifisches Verfahren des Gesprächs: das Dialogische. Dadurch, daß er die Leistungen des Dialogischen mit Blick auf eine anthropologische Poetik herausarbeitet, gerät das philosophische Gespräch in eine fruchtbare Beziehung zu anderen literarischen Gattungen. Dem Konzept des Dialogischen, das Engel hauptsächlich in seinem Aufsatz „Ueber Handlung, Gespräch und Erzählung“ (1774) entwickelt, soll zunächst nachgegangen werden, um in einem zweiten Teil die Fragestellung auf Engels gattungsspezifische Dialogpraxis einzuengen, wie sie sich an der Rezension von Diderots „Contes Moreaux“ (1774) und des „Versuchs einer Methode die Vernunftlehre aus Platonischen Dialogen zu entwickeln“ (1780) ergibt. Das Interesse der Untersuchung liegt dabei besonders auf der für die Aufklärung so brisanten Spannung zwischen Normativität und Faktizität, wie sie in der Konfrontation des didaktischen und des offenen Dialogs zutage tritt.
Der junge Ödipus, so […] Dürrenmatt […], […] wusste, dass er als Findelkind nach Korinth gekommen war. […] Apollon[s] […] Spruch gläubig annehmend, erfüllte er in heiliger Raserei das Verheißene […]. Durch das Pestorakel […] verstand er endlich den Sinn des verhängten Schicksals […]. Im Triumph führte er den Prozess gegen sich selbst, und im Triumph verstümmelte er sich. […] Dass es sich […] um eine Mythenkorrektur handelt, ist auf den ersten Blick evident. […] Aus der Tragödie des Unwissens wird ein Drama des Wissens. […]Da für das Wirken des Schicksals […] Ödipus’ Unwissen aber konstitutiv ist, dreht sich, wenn Ödipus weiß und trotzdem handelt, die Priorität zwischen Schicksal und Wille um: Ödipus […] will das als Schicksal Verhängte erfüllen. […] Wissen statt Unwissen, Zufall statt Schicksal – so lauten die Gesichtspunkte, die den ersten Teil der folgenden Untersuchung leiten sollen. Der zweite Teil zielt auf die Bedeutung der Mythenkorrektur […]. Sieht man genauer auf die referierte Ödipus-Variante, so muss man sich Sophokles’ und Dürrenmatts Fassung als ‚mythos‘ im Aristotelischen Sinne identisch vorstellen. […] Wir stehen vor dem paradoxen Befund, dass der Mythos, obwohl er in seinem Kern verändert wird, auf seiner Handlungsgestalt beharrt, und sich […] der tragische Ausgang der Geschichte behauptet. Die alte Geschichte scheint […] einen modernen Sinn ergeben zu können, für den es genügt, die Prämissen, nicht jedoch die Fatalität des Verlaufs zu korrigieren.
A synthesis of the Carabid fauna of the Central and Eastern Alps and Pre-Alps, from a biogeographical point of view, is presented. Only the Italian side of the Alpine chain is considered, from the basin of the Toce river to the Trieste and Gorizia Karst. Main features of the landscape are: 1. an ancient orogenetic history and evolution, that made this area available to the colonization by carabids, of both gondwanaland and laurasian lineages, since the lower Tertiary; 2. a marked geological and geo-morphological complexity, with highest elevation at Pizzo Bernina m 4.049; 3. the presence of a very developed, dolomitic-calcareous and markedly carsified prealpine belt, rich of deep and large hypogean systems (also at high altitude), which makes this area highly different, from the geo-morphological point of view, from the Western Alps; 4. the geographic position, as a mountain chain of some 750 kms between central Europe and the Padanian plain, connected with the Caravanche and the Dinaric chain and close to the Adriatic sea in me Eastern part; 5. finally, a puzzled climate situation, that includes xero-thermic areas (500-700 mm of rain per year, also in some intra-alpine sectors), close to highly rainy areas - more than 2.500 mm per year - in the westernmost and easternmost parts of the chain. Thus, like in the Western Alps, sub-mediterranean vegetation types, dose to cool-moist forests, coexist with high-altitude environments above the timber line. These facts explain the heterogeneity, the richness, the variety, and the interest of the carabid fauna of the area: the highest number of species (658) ascertained so far, i.e. 112 of the whole Italian carabid fauna and about 115 of the carabid fauna cited so far for the Europe in politic sense, fi·om me Canary islands to the Urals; the high number of euri- or stenoendemites (204, i.e. abour 31 % of the species, 3/5 of which concentrated in the pre-alpine belt), and the complex origins and/or affinities of different taxa. A large number of species (174, i.e. 26%) belongs to European chorotypes (European, South-European or typically Alpine), and even more (255, i.e. 38%) to Holarctic (Holarctic, Palaearccic, West-Palaearctic, Asiatic-European, Siberian-European, Central-Asiatic-European, Central-Asiatic-European-Mediterrancan, Turanic-European, Turanic-EuropeanMediterranean, European-Mediterranean) chorotypes. This darum confirms the well known role, both of connection and separation, that the Alps as a whole played between Europe and the Mediterranean area. Furthermore, it is to be recalled the presence, in some localities of the Eastern Alps, of micro thermophilous, boreal species, like Miscodera arctica, now widespread in Northern regions of the Holarctic Region. Many orophilous, forest-dwelling, riparian and hygrophilolls species, are of northern, north-eastern, ruranic or dinaric-balkanian origin. A very small, bur interesting group of thermophilous elements (mostly Harpalini), originally from the Mediterranean area or temperate steppes, during the hypsothermic periods of the Pleistocene and Olocene, reached the Central and Eastern Alps and Pre-Alps, and persist in xerothermlc biotopes. Some of these could increase their range of distribution as a consequence human activities in agricultural use overgrazing and deforestation. Some others, like Carabus montivagus and Laemostenus algerinus, seem to be present owing to very recent anthropogenic introduction. From the biogeograpic point of view, however the most important group of species is represented by the impressive number of endemics (204, of which 116 species restricted to politic Italy), either eurendemics to Central and Eastern Alps and Pre-Alps, or stenoendemics to single sectors of the area or to very small biotopes (caves, isolated montane massifs): among these, we may cite some large-sized species like Cychrus cylindricollis, endemic at high altitude, to the Central Pre-Alps, several montane, very localized Trechus species, many subterranean, highly specialized Trechini of the peculiar genera Boldoriella, Orotrechus, Anophthalmus, Allegrettia, Italaphaenops, Lessinodytes: many Pterostlchini, and others, Most of them must be considered as pre-Quaternarian elements, With affinltl,es either til Gondwana (such as the blind Reicheina of the genus Alpiodytes), or in the Angarian (as the Broscosoma species) areas, They are, the result of an ancient, subtropical or temperate forest dweller Carabid fauna, tied now to soil: forest littter, superficlal subterranean environment, caves, and upper montane refugia, Both from floristic and faunistic informatlon, It IS a well known fact that the pre-alpine belt as a whole represents a large, unique Pleistocene refugium, that shows a scenario of marked isolation and speciation in mountains, valleys and hypogean compartments. The analysis of the entire Carabid fauna in the Central and Eastern Alps and Pre-Alps shows that the present composition and complexity is the result both of ancient clado-vicariance events and of recellt, ecological factors, These facts surprisingly make this area (not only concerning carabids) very close to important towns and to one of the most populated, cultivated and industrialized area of Italy (the Padanian plain), and in spite of its relatively small surface, one of the most important hot spar of biodiversity in Europe, in which many biotopes are presently highly endangered, or in some cases completely destroyed, A checklist of the Carabid species of the Central and Eastern Alps and Pre-Alps, with their chororypes, is added.
Wiederholt ist auf das onomastische Dokumentations- und Forschungspotential digital gespeicherter Telefonanschlüsse hingewiesen worden. Auch sind auf dieser Basis bereits Untersuchungen zum Inventar und zur Verbreitung deutscher Familiennamen entstanden. Durch neue Software zur Auswertung digitaler Telefonanschlüsse ergeben sich inzwischen fast unbegrenzte Möglichkeiten, das Familiennamensystem Deutschlands erstmals überhaupt zuverlässig zu erfassen, zu dokumentieren und auf bestimmte Phänomene hin zu befragen. In Minutenschnelle ist es nun beispielsweise möglich, alle Komposita auf -müller in Listen zusammenzustellen und in Karten deutschlandweit in ihrer Verbreitung sichtbar zu machen.
Die deutsche Präposition-Artikel-Enklise bietet wie kaum eine andere Grammatikalisierung Einblicke in den Mikrobereich von Grammatikalisierungsprozessen: Klare, "zielorientierte" Verhältnisse sind hier nicht zu beschreiben, was der Grund für ihre bisher so geringe Beachtung durch die Grammatikalisierungsforschung sein dürfte. Es wurde deutlich, dass bezüglich der hier als zentral bewerteten Morphologisierung des Artikels das gesamte Spektrum von Nichtverschmelzbarkeit bis hin zu (kurz vor Flexiven stehenden) obligatorisch verschmelzenden speziellen Klitika abgedeckt ist. Diachron hat sich zwar insgesamt eine deutliche Rechtsdrift auf der Grammatikalisierungsskala vollzogen; bezüglich des Genitivartikels hat jedoch eine Degrammatikalisierung in Form von sog. retraction (gemäß Hapelmath 2004) stattgefunden, die hier in einer Demorphologisierung (Resyntaktisierung) eines Klitikons besteht. Dabei findet keine "Relexikalisierung" im Sinne einer lexikalischen Anreicherung eines bereits grammatikalisierten Elements statt (siehe hierzu Haspelmath 1999). Mittel- und frühneuhochdeutsche Verschriftungen deuten auf reichere Inventare an Verschmelzungs formen hin, doch sind hierzu diachrone Untersuchungen erforderlich. Ebenso ist der Übergangsbereich zwIschen einfachen und speziellen Klitika in sich abgestuft und weitaus komplexer gestaltet als hier dargestellt. Auch dazu besteht Bedarf an Detailanalysen unter der Fragestellung, welche der unter Abschnitt 2.2 aufgeführten Artikelfunkttonen am ehesten eine Präposition-Artikel-Verschmelzung erfordern. Einiges deutet auf den am stärksten desemantisierten (expletiven) Artikel z.B. vor Eigennamen hin. Um den Einfluss von Schriftlichkeit und Standardisierung auf Grammatikalisierungsprozesse ermitteln zu können, wurden zwei Dialekte in den Blick genommen: das Ruhrdeutsche, das die Erwartung nach deutlich fortgeschritteneren Verhältnissen erfüllt, und das Alemannische, das andere Phänomene ausgebildet hat wie etwa die Proklise des Artikels an das Substantiv, die Nullrealisierung klitischer Artikelformen und den kategorialen Umbau der vier Nominalkategorien am Artikel. Die Einbeziehung weiterer Dialekte und vor allem auch der gesprochenen "Umgangssprache" könnte weiteren Aufschluss über die Ratio dieser Grammatikalisierung liefern. Sollten flektierende Präpositionen Ziel dieses Wandels sein, so hätte dies tiefgreifende Konsequenzen für die Grammatikschreibung.
Bis heute bildet die Morphologie keinen Schwerpunkt der Dialektlinguistik. Dies wird immer wieder moniert. H. Tatzreiter (1994) kommt nach seinem Streifzug durch die "Bibliographie zur Grammatik der deutschen Dialekte" von P. Wiesinger / E. Raffin (1982) zu dem Ergebnis, "daß die Leistungskurve im grammatischen Bereich ,von der Lautlehre über die Formen- und Wortbildungslehre bis zur Satzlehre' steil abfällt" (S. 30 bzw. P. Wiesinger / E. Raffin 1982, S. XXIX). Ein weiteres Problem sieht er in der besonders durch die angelsächsische Tradition motivierten Vernachlässigung der Morphologie die zwischen der phonologischen, lexikalischen und syntaktischen Ebene ein gefährdetes Dasein fristet" (S. 30): "So lange die Morphologie sich nicht aus der 'Umklammerung' der Phonologie und Syntax lösen kann, um eigenständig als Forschungsobjekt zu gelten, wird es um die umfassende Erforschung und Darstellung schlecht bestellt sein" (S. 34).
Ergebnis: Wollte man versuchen, nach der Anzahl der zusammengestellten althochdeutschen Belege die frühmittelalterliche Ernährung zu rekonstruieren, so ergäbe sich folgendes Bild: Mit 1070 bzw. 711 Nachweisen müssen Gemüse und Obst einen enonnen Anteil an der Ernährung eingenommen haben. Gemeinsam mit Getreide bildeten sie den Grundstock der Ernährung: Getreide und Getreideprodukte sind zusammen 889-mal belegt: Mit 237 zu 134 Nennungen stellen Brotgetreide dabei 63,9%, während Grützgetreide nur einen Anteil von 36,1 % erreichen. Dieses Verhältnis entspricht genaujenem zwischen den Belegstellen für Brot (63,1%) und für breiartige Speisen (36,9%). Die insgesamt 1446 Belege für Fleischkonsum setzen sich zusammen aus dem Fleisch von Haustieren (601-mal), Wildtieren (352-mal), Haus und Wildgeflügel (376-mal) sowie 117-mal Wurst und Schinken. Fisch ist 518-mal belegt. Milchprodukte (I07-mal), Hülsenfrüchte (etwa 193-mal) und Nüsse (152-mal) sowie pflanzliche und tierische Fette (135- bzw. 147-mal) spielten eine eher untergeordnete Rolle. Von den insgesamt 5402 Nachweisen für Nahrungsmittel stellen also die überwiegend Kohlenhydrate enthaltenden Lebensmittel (Gemüse, Obst, Getreideprodukte, Hülsenfrüchte) 53 %, die überwiegend Eiweiß enthaltenden Lebensmittel (Fleisch, Fisch, Milchprodukte, Eier) 39%, und die überwiegend Fett enthaltenden Lebensmittel (pflanzliche und tierische Öle und Fette, Nüsse) 8%.
Articulatory token-to-token variability not only depends on linguistic aspects like the phoneme inventory of a given language but also on speaker specific morphological and motor constraints. As has been noted previously (Perkell (1997), Mooshammer et al. (2004)) , speakers with coronally high "domeshaped" palates exhibit more articulatory variability than speakers with coronally low "flat" palates. One explanation for that is based on perception oriented control by the speaker. The influence of articulatory variation on the cross sectional area and consequently on the acoustics should be greater for flat palates than for domeshaped ones. This should force speakers with flat palates to place their tongue very precisely whereas speakers with domeshaped palates might tolerate a greater variability. A second explanation could be a greater amount of lateral linguo-palatal contact for flat palates holding the tongue in position. In this study both hypotheses were tested.
Als 1983 der Roman "Die Klavierspielerin" erschien, war Elfriede Jelinek längst keine unbekannte Größe mehr. Der Roman beginnt damit, dass die Klavierspielerin Erika Kohut "wie ein Wirbelsturm in die Wohnung" "stürzt", "die sie mit ihrer Mutter teilt". Es gibt Sätze, deren Gehalt sich geradezu in einer Disproportion zu ihrer Länge befindet, so auch dieser Satz -naturgemäß, weil er der erste des Buchs ist und dadurch das Privileg hat, das Meiste zu sagen und in die riesige Einheit eines Romantextes einzustimmen, und wir die Stimme des Romans an der Stimme dieses ersten Satzes messen. Jedes Satzglied ist mit so viel Information geladen, dass die Aussagekraft des Satzganzen seinen syntaktisch-strukturellen Rahmen sprengt und Sinnsignale in seine nächste Umgebung bzw. über diese hinaus sendet. "Sie ist Nichts. Und nichts gibt es mehr für sie", heißt es im Roman "Die Klavierspielerin" von der Protagonistin Erika Kohut. Je ferner man im Abseits ist, desto näher befindet man sich an dem Abgrund, der "Nichts" heißt. "Die Klavierspielerin" ist ein Roman über das Außenseitertum darüber, wie man ins Abseits kommt. Das Abseits liegt zwischen dem Weg und dem Nichts: hier das Leben, dort der Abgrund.
"An der nördlichen Grenze des Aalbuchs, wo sich das Gebürge in den Gauen, die der Kocher und die Rems bewässern verliehrt, erhebt sich an der Spitze eines in das Thal hervorspringenden Hügels, kühn und trotzig, ein ungeheurer Felsen, auf drei Seiten durch senkrechte Wände unzugänglich, und auf der vierten, durch einen schmalen Fußsteig mit der Ebene des Gebürgs verbunden. Eine hohe Mauer, aus mächtigen Quadern aufgeführt, und an der westlichen Eke ein runder Thurm, stark verletzt durch den Zahn der Zeit, - verkündigen hier dem Wandrer, den ehemaligen Wohnsitz eines deutschen Ritters. Eine unermeßliche Gegend überschaut der Beobachter in den Ruinen der zerstöhrten Burg, die man nur mit Mühe und Gefahr erklettert. Denn an einem schauerlichen Abgrund, zieht sich der schmale, klippigte Fußsteig herum, der allein auf den Gipfel des Felsen führt, und wildes Gesträuch und Dorngebüsch, aus verwitterten Steinen hervorgewachsen, machen die Tritte unsicher. Rosenstein ist der Name der Burg. Auf dieser Felsenspitze siedelte im fernen Mittelalter Ulrich von Rosenstein, ein stattlicher schwäbischer Ritter, kühn und tapfer, bieder und fromm, der nie aus einem Streite als Besiegter, nie von einem Turniere ohne Dank zurückgekommen war. Er war der Schreken der Boßheit und die Zuflucht der Tugend. Unermeßlich war sein Reichthum, groß die Zahl seiner Hintersaßen, und wol vierzig Edelknechte, zog er aus zur Fehde, folgten seinem Banner." Mit diesen Worten beginnt ein anonym bei dem Basler Drucker Flick im Jahr 1795 erschienener Ritterroman "Ulrich von Rosenstein. Eine Geschichte aus der Ritterzeit". Sein Autor, der sich spätestens in seinen (posthum veröffentlichten) Lebenserinnerungen zu dem belletristischen Werk bekannte: der evangelische Pfarrer von Neubronn, Johann Gottfried Pahl, damals 27 Jahre jung. Der gebürtige Aalener war einer der begabtesten ostschwäbischen Autoren seiner Zeit, wenig später sollte er sich als württembergischer Publizist einen Namen machen.
Ihrem letzten Roman "In Amerika" (2000) stellte Susan Sontag als Motto eine Zeile des afroamerikanischen Poeten Langston Hughes voran: "America will be!" Der Lockruf eines Landes, das permanent im Entstehen ist, das wird, um einmal zu existieren, vielleicht nur als schöner Traum, bestimmt diesen historischen Roman, in dem eine polnische Schauspielerin, eine Diva, im Jahr 1876 ihre Heimat verlässt, um ihm zu folgen und dann doch nie sesshaft zu werden in Amerika. Die "Sehnsucht nach Neuem, Leerem, Vergangenheitslosem", und der "Traum, das Leben in reine Zukunft zu verwandeln" in der neuen Welt, treiben sie stets weiter, von Stadt zu Stadt, von einer Rolle zur nächsten. Die Schauspielerin bringt Kultur in ein raues Land, indem sie Kunst lebt, auf einer "lange(n) Tournee", wie die letzen Worte des Romans verheißen.