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Hauke Brunkhorst
(2009)
Hauke Brunkhorst ist ein deutscher Soziologe, geboren 1945 in Marne (Holstein). Er studierte Deutsche Literaturwissenschaft, Philosophie, Erziehungswissenschaft und Soziologie in Kiel, Freiburg und Frankfurt. 1978 wurde er promoviert (Praxisbezug und Theoriebildung). 1982 folgte seine Habilitation im Fach Erziehungswissenschaft an der Universität Frankfurt, 1985 die Habilitation im Fach Soziologie ebendort. Von 1985 bis 1997 hatte er Professuren und Gastprofessuren am IAS in Wien und an den Universitäten Frankfurt, Duisburg und der FU Berlin inne. 1995 bis 1997 war Brunkhorst Research Fellow des Kulturwissenschaftlichen Instituts des Wissenschaftszentrums Nordrhein-Westfalen. Seit 1997 ist er Professor für Soziologie an der Universität in Flensburg.
Pierre Monnet - notice
(2013)
Pierre Monnet (geb. 1963), seit 2011 Direktor des Institut Français d’Histoire en Allemagne in Frankfurt am Main, ist "directeur d’études" an der Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Er studierte Geschichte an der Sorbonne, der Ecole normale supérieure sowie der EHESS. Nach seiner Promotion an der EHESS 1994 lehrte er mittelalterliche Geschichte an der Universität Dijon-Bourgogne. Von 1996 bis 2003 war er stellvertretender Direktor, anschließend Direktor der Mission historique française en Allemagne. Nachdem seiner Habilitation im Jahr 2002, war er bis 2005 Professor für mittelalterliche Geschichte an der Universität Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Von 2007 bis 2011 war er stellvertretender Direktor, anschließend Direktor der Deutsch-Französischen Universität. Seine persönlichen Arbeitsschwerpunkte sind: Mehrsprachigkeit in der mittelalterlichen Stadt, politische Kultur des spätmittelalterlichen Reiches unter den Luxemburgern, Geschichte der Stadt Frankfurt im Spätmittelalter.
Klaus Lichtblau - notice
(2012)
Klaus Lichtblau (né en 1951) étudie entre autres auprès de Niklas Luhmann à l’université de Bielefeld, sous la direction duquel il rédige son mémoire de sociologie en 1975. En 1980, toujours à Bielefeld, il soutient sa thèse de doctorat en philosophie, puis travaille dans un premier temps à l’université de Bielefeld, puis aux universités de Kassel et de Kiel. En 1996, il obtient son habilitation en sociologie à l’université de Kassel. Depuis 2004, Klaus Lichtblau est professeur de sociologie à l’Université de Francfort-sur-le-Main. Ses travaux de recherche s’axent autour de l’histoire des sciences sociales des XIXe et XXe siècles. Il porte un intérêt particulier aux classiques (Max Weber, Georg Simmel et Karl Mannheim, entre autres). Par ailleurs, il s’intéresse aux dimensions culturelles du social, à la fonction sociale de l’art, à la sociologie économique, etc.
Birgit Emich
(2008)
Birgit Emich ist Gastprofessorin am Max-Weber-Kolleg für kultur- und sozialwissenschaftliche Studien Erfurt. 1999 promovierte sie an der Universität Freiburg mit einer Arbeit über Nepotismus und Behördenalltag. Politik, Verwaltung und Patronage unter Papst Paul V. (1605–1621). Studien zur frühneuzeitlichen Mikropolitik in Rom. Mit der Arbeit Territoriale Integration in der Frühen Neuzeit. Ferrara und der Kirchenstaat, für die sie den Akademiepreis der Heidelberger Akademie der Wissenschaften sowie den Jahrespreis der Wissenschaftlichen Gesellschaft in Freiburg i.B. erhielt, habilitierte sie 2002. ...
Du dilettantisme = Über den Dilettantismus / herausgegeben und übersetzt von Rudolf Brandmeyer
(2016)
Der hier übersetzte Text ist das zweite Kapitel einer Renan-Studie, die Bourget 1882 in einer französischen Zeitschrift veröffentlichte: Paul Bourget: Psychologie contemporaine. Notes et portraits. M. Ernest Renan. In: La Nouvelle Revue, 15. Jg., 15. März 1882, S. 233–271, hier S. 245–254: II. Du dilettantisme.
Die Titelgebung zeigt die relative Selbstständigkeit des Kapitels an: Abweichend von den anderen Kapitelüberschriften dieser Studie wird die behandelte Person nicht genannt und eine für Abhandlungen typische Überschriftsform gewählt. In diesem Punkt ist das Kapitel der "Théorie de la décadence" aus Bourgets Baudelaire-Studie von 1881 verwandt, gibt es doch ebenso wie jene "Théorie" eine aus dem Werk des behandelten Autors gewonnene, aber Anschlussfähigkeit suchende Analyse und Kritik des eigenen Zeitalters. Für deren Diagnose gab Bourget mit diesen beiden Texten wesentliche und prägende Vorgaben. Die Renan-Studie bildet das zweite Stück einer Serie von insgesamt zehn Aufsätzen zur "psychologie contemporaine", die in der "Nouvelle Revue" von November 1881 bis Oktober 1885 erschienen.
Théorie de la décadence = Theorie der Dekadenz / herausgegeben und übersetzt von Rudolf Brandmeyer
(2015)
Der hier edierte und übersetzte Text ist das vierte Kapitel einer Baudelaire-Studie, die Bourget 1881 in einer französischen Zeitschrift veröffentlichte:
Psychologie contemporaine. Notes et Portraits: Charles Baudelaire. In: La Nouvelle Revue, Bd. 13, 1881, Jg. 3 (5. November), S. 398-416, hier S. 412-416: IV. Théorie de la décadence.
Die "Théorie de la décadence" bildet das Ende der Studie, aber nicht deren Resümee. "Décadence" ist vielmehr der Leitbegriff einer Stilanalyse und einer kulturkritischen, von Baudelaire ausgehenden Diagnose von Bourgets eigener Zeit. Mit diesen beiden Themen wurde der kleine, relativ selbstständige Textabschnitt zu einem der wichtigen Stichwortgeber des europäischen Dekadenz-Diskurses am Ende des 19. Jahrhunderts. Die Baudelaire-Studie bildet das erste Stück einer Serie von insgesamt zehn Aufsätzen zur "psychologie contemporaine", die in der "Nouvelle Revue" von November 1881 bis Oktober 1885 erschienen. In zwei textkritisch relevanten Ausgaben erschienen sie gesammelt in Buchform:
Paul Bourget, Essais de psychologie contemporaine. 2 Bde. Paris: Lemerre 1883 u. 1886, unser Text: 1883, S. 23-31.
Paul Bourget, OEuvres complètes. Critique I: Essais de psychologie contemporaine. Paris: Plon 1899, unser Text: S. 14-19.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
Der Sammelband vereint insgesamt neun englischsprachige Beiträge, die mit relevanten Fragestellungen und Erkenntnissen den Texten Zaimoglus einen Mehrwert verleihen. Diesen wissenschaftlichen Auseinandersetzungen sind zwei wichtige Kapitel vorangestellt: zum einen das unveröffentlichte erste Kapitel des Romans Leyla mit englischer Übersetzung sowie einem Kommentar der Herausgeber und zum anderen Interviews, ebenfalls samt englischer Übersetzung von Tom Cheesman, welche die Herausgeber mit dem Schriftsteller geführt haben. Eingerahmt sind alle diese Beiträge des Bandes von einer Einleitung und einem Bericht von Günter Senkel, dem Freund des Schriftstellers sowie Co-Autor seiner Theatertexte, der über seine Recherchearbeiten mit Zaimoglu erzählt und dabei auch private Erfahrungen mitreflektiert.
Le présent volume s'ouvre sur l'article programmatique d'Yvette Sánchez (Saint-Gall), qui se penche ici sur le faux entendu comme forgerie ou tromperie, tel que l’ont pratiqué à tour de rôle Cervantès, Borges et Max Aub en rappelant les liens étroits que le faux entretient avec la notion de fictionalisation. Si la traduction fait depuis plusieurs années l'objet d'une attention accrue de la part des littéraires, Martine Hennard Dutheil de la Rochère (Lausanne) montre dans sa contribution que la poétique traductive d'Angela Carter accorde une place particulièrement riche aux fautes de traduction dans son travail de réécriture des contes de fées de Perrault. Dans une perspective similaire, Angela Daiana Langone (Cagliari) montre que l'émergence du théâtre arabe moderne est jalonnée non seulement de fautes de traduction, mais également d’autres malentendus lorsqu'il s'agit d’adapter les exemples occidentaux, en l'occurrence Molière, à un contexte culturel pour lequel le théâtre est synonyme non seulement de modernité, mais aussi d'émancipation ; un fait que la contribution d'Oliver Kohns (Luxembourg) qui porte sur les enjeux de la modernisation dans la Turquie d'Orhan Pamuk vient illustrer à propos de son célèbre roman Le Musée de l'innocence, qui entretient lui aussi une relation marquée par des malentendus productifs avec la littérature occidentale. Que le contresens n'est pas seulement un moteur de la création, mais aussi un indicateur des aléas auxquels est soumis le savoir dès que l'écriture de création s'en saisit fait l'objet de la contribution de Sophie Jaussi (Fribourg), consacrée à l'écrivain contemporain Philippe Forest. Les malentendus sont en effet susceptibles de devenir les instruments de l'expression d'une résistance à toute forme d'hégémonie, que ce soit de la langue ou du pouvoir : telle est la thèse que défend Vidya Ravi Allemann (Fribourg) à partir d’une lecture croisée de deux nouvellistes postcoloniales, à savoir Nadine Gordimer et Anita Desai. Karl-Werner Modler (Baden) montre dans sa contribution que ce sont souvent des détails d'apparence anodine, comme la pantoufle de verre de la Cendrillon de Perrault qui se mue sous la plume de Balzac en une pantoufle de vair, qui permettent d'observer le travail d'une logique de substitution qui marque le régime de la littérarité. Dans l'article de Dimitri Tokarev (Saint Pétersbourg), ce sont les contacts culturels entre Russes et Français dans les années 1930, en l'occurrence le travail du Studio franco-russe, qui témoignent de la productivité des malentendus lorsqu'il s'agit de réfléchir ensemble sur des notions apparemment aussi universelles que celles d'humanisme ou d'intellectualisme. Le jeu avec des étymologies souvent fantaisistes et parfois même fausses est au centre de la contribution que Stefanie Heine (Zurich) consacre au poète américain Charles Olson et à sa production de projective verse qui est censée capter une langue en action qui crée de nouvelles significations. Que l'erreur peut même constituer un aspect essentiel de toute forme d’apprentissage, dans la mesure où il s'agit de transformer l'erreur en une occasion, pour l'enseignant, d'entrer dans la pensée de l'élève, est la thèse que défend Thomas Vercruysse (Genève) dans son article consacré au kairos en contexte pédagogique. Enfin, le dossier consacré à l'erreur productive se ferme avec la contribution de Sandro Zanetti (Zurich), qui évoque à partir de quelques exemples de Walter Benjamin et de Josef Guggenmos la créativité intrinsèque de l'acte d'entendre, puis de lire, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Dans une seconde section, plus courte, le présent numéro de Colloquium Helveticum accueille, éditées par Sophie Jaussi, des contributions choisies des journées du programme doctoral suisse en littérature générale et comparée, qui ont eu lieu en novembre 2015. Ces contributions, présentées plus en détail en tête de la seconde section, sont dues à Valérie Hantzsche, Lukas Gloor, Joëlle Légeret et Tea Jankovic. La rubrique "Varia" accueille quant à elle un essai de Monika Kasper, consacré à l'un des derniers poèmes de Celan, EINKANTER, qui donne forme à la rencontre entre la peinture de Rembrandt et la poésie de Celan. Enfin, le Colloquium Helveticum accueille Thomas Hunkeler désormais une section consacrée à de nouvelles parutions d'intérêt comparatiste. Cette dernière section, qui est appelée à se développer ces prochaines années, est dirigée par Joëlle Légeret.
Colloquium Helveticum 45 : Poetik und Rhetorik des Barbarischen = Poétique et rhétorique du barbare
(2016)
'Poetik und Rhetorik des Barbarischen' / 'Poétique et rhétorique du barbare' lautete das Thema der Jahrestagung der Schweizerischen Gesellschaft für Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft, die im Oktober 2014 an der Universität Genf stattfand. Angeregt worden war diese Themenwahl durch das seit 2013 vom Schweizerischen Nationalfonds geförderte Forschungsprojekt "Barbarism": History of a Fundamental European Concept and Its Literary Manifestations from the 18th Century to the Present. Das eigentliche Motiv für die Wahl des Themas war aber dessen wissenschaftliche, kulturelle und vor allem auch politische Aktualität. Diese wird verständlich, wenn man bedenkt, dass der Begriff des Barbarischen seit seinen Ursprüngen im antiken Griechenland für die Begründung europäischer und 'okzidentaler' Identität von zentraler Bedeutung ist. Als "Barbaren" gelten immer diejenigen, die man aus dem eigenen kulturellen Raum und Selbstverständnis auszugrenzen sucht, indem man sie als grausam, frevlerisch, ungebildet, unmenschlich und unzivilisiert diskriminiert – seien das nun Perser im Gegensatz zu Griechen, Germanen im Gegensatz zu Römern, Heiden (insbesondere Muslime) im Gegensatz zu Christen, zivilisierte Europäer im Gegensatz zu wilden Indigenen oder freie, humane Westmächte im Gegensatz zu 'orientalischen' islamistischen Terrororganisationen. Die semantische Struktur des Barbarenbegriffs und das den Begriff vertretende Lexem bleiben, wie diese Aufzählung verdeutlicht, über Jahrtausende unverändert (auch dann, wenn der Barbar zu einer Sehnsuchtsfigur wird, die Befreiung aus einer beengenden oder dekadenten Zivilisation verspricht); die Referenzobjekte des Begriffs variieren hingegen. Der Begriff des Barbarischen ist also, wie Arno Borst schon Anfang der siebziger Jahre des 20. Jahrhunderts feststellt, seit den griechischen Anfängen der abendländischen Kultur ein "europäisches Schlüsselwort", "das andere Menschen schlagen und verletzen will". An der Geschichte dieses "Schlagworts" lasse sich ablesen, warum "die geschichtliche Vielfalt Europas bis heute soviel Unrast und Leid über die Menschen gebracht hat".