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We present a preliminary discussion about cauliflory, sexual dimorphism and biogeographic patterns in Drypetes Vahl (Putranjivaceae Endl.), focused on Africa. We also present a taxonomic treatment for two new species of cauliflorous trees of this genus from the rainforests of western Central Africa, one endemic to Gabon and known from six gatherings, D. aphanes Quintanar, D.J.Harris & Barberá sp. nov., and the other distributed in Gabon and the Republic of the Congo, D. cauta D.J.Harris, Barberá & Quintanar sp. nov., also known from another six gatherings. They are presented along with D. gabonensis Pierre ex Hutch., known from 25 gatherings made throughout western Central Africa, a species with markedly dimorphic flowers between sexes compared to the rest of the species in the genus. Specimens of these two new species have been confused with D. gabonensis due to some morphological resemblances. This treatment includes the detailed descriptions of these three species, the typification of their names, a comparative table summarizing their main morphological differences, an identification key, an illustration and information about their habitat and distribution. A provisional IUCN Red List assessment shows that D. gabonensis and D. cauta sp. nov. are ‘Vulnerable’ species, and D. aphanes sp. nov. is ‘Endangered’. After the publication of these new species, Drypetes consists of 86 species in continental Africa and the Malagasy Region and 219 species for the whole world.
The Afrotropical scarab beetle genus Cerhomalus Quedenfeldt, 1884 (Coleoptera: Scarabaeidae) is revised. Two new species are described: C. quedenfeldti sp. nov. and C. petrovitzi sp. nov. A new combination, Cerhomalus absconditus (Petrovitz, 1971) comb. nov., is established. The genus occurs in Central and West Africa with the majority of records from the Congo Basin. Keys, descriptions, illustrations of habitus and male genitalia, and distributional record map are given.
L’analyse qui suit a pour objet la notion du double chez Alain Mabanckou. Cette notion est étudiée telle qu’elle se donne à lire dans Mémoire de porc-épic, roman paru en 2006 aux éditions du Seuil. Ce qui nous intéresse ici c’est le rapport possible existant entre double, parole et ponctuation. Présenté ainsi, nous cherchons à comprendre cette particularité du texte de Mabanckou qui est une longue phrase sans ponctuation, sinon n’étant ponctuée que par des virgules.
INTRODUCTION I- POURQUOI L’IMMIGRATION ? 1°) La quête du mieux-être 2°) La quête de l’exutoi re 3°) La quête de la personnalité II- QUE DIRE DE L’IMMIGRATION ? 1°) L’immigration comme avatar 2°) L’immigration co mme perte de repères 3°) L’immigration comme échec III- QUE FAIRE DE L’IMMIGRATION ? 1°) La Prise de conscience 2°) La création de condit ions optimales de vie 3°) Le retour aux sources ------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Pendant plusieurs décennies, la littérature congolaise s’est fait remarquer au niveau continental. Beaucoup d’auteurs et particulièrement les romanciers ont intéressé la critique littéraire tant qu’ils se sont distingués des autres écrivains africains par leur « façon d’écrire ». Par sa taille et le nombre de ses habitants, le Congo au XXè siècle peut être considéré comme le pays qui a le plus d’écrivains, en particulier les romanciers dont la qualité des oeuvres est manifeste. Et comme l’affirment Alain Rouch et Gérard Clavreuil, "la littérature congolaise compte actuellement parmi les meilleures, les plus prolifiques et les plus homogènes d’Afrique noire"[1] De son côté, Roger Chemain renchérit dans la préface à Tarentelle noire et diable blanc de Sylvain Bemba. Pour lui , le Congo en Afrique francophone « compte le plus fort pourcentage d’écrivains par rapport à l’ensemble de la population »[2]. Parmi les écrivains qui ont marqué l’histoire du roman congolais, on peut citer des noms célèbres tels Jean Malonga, Guy Menga, Sylvain Bemba, Jean Pierre Makouta MBoukou, Henri Lopes, Sony Labou Tansi, Emmanuel Dongala, Tchichélé Tchivéla, Tchicaya U Tam’Si... qui sont devenus aujourd’hui des classiques de la littérature (négro) africaine d’expression française. D’une façon générale, l’histoire du roman congolais se fonde sur un itinéraire marqué par deux « mouvements », deux façons d’écrire. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon