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The notion of world literature is often understood as a global distribution of literary forms and structures from Europe to the rest of the globe. Under the premise that non- European literatures don't just reproduce European forms, but reinterpret and change them in the process of adaptation, world literature can be defined as a "productive misunderstanding". This article attempts to show that Orhan Pamuk's novel "Masumiyet Müzesi" ("Museum of Innocence") is in this sense a productive appropriation of European forms of the novel. Pamuk's novel is a narration about the modernization of Turkey in the 20th century, which is depicted as a chain of faulty imitation that nevertheless creates something new. Similarly, the "Museum of Innocence" is characterized by an abundance of intertextual relations to the tradition of European novel (e. g., to Proust's texts), which, however creates a "productive misunderstanding".
Seit 20 Jahren schreibt Philippe Forest, Literaturprofessor und Schriftsteller, an einem Werk, das die Grenzen zwischen Autofiktion, Essay und literaturwissenschaftlichen Texten verwischt. Innerhalb dieser Produktion versucht er am Beispiel von Marcel Proust und in der japanischen Tradition eine Poetik der Fehldeutung zu grunden. Dabei verweist er einerseits auf die Aussage vom Autor der Recherche, man konne von schonen Buchern nur schone Fehlinterpretationen machen, andererseits auf ein Missverstandnis im Kulturtransfer zwischen Europa und Japan, das ihm ruckwirkend erlaubt, die Autofiktion als Genre fur sich und sein Werk neu zu definieren. Als Autorenpoetik funktioniert diese Asthetik der Fehldeutung, die ausserdem eine Analogie zwischen Traumarbeit und Literaturkritik fundiert, ohne grossere Probleme. Als wissenschaftliches Instrument eines Literaturprofessors ruttelt sie jedoch an den etablierten Regeln der Universitat und der Literaturwissenschaft.
Depuis 2012, le programme doctoral CUS/CRUS (désormais Swissuniversities) de littérature générale et comparée s'efforce d'offrir un lieu et un réseau d'échanges et de pensée aux jeunes chercheurs de la littérature comparée et des différentes langues et littératures étudiées dans les universités suisses. L'orientation de ce programme le place doublement en position de transgression. D'une part, la littérature comparée est par essence une science du dépassement; la comparaison, la mise en réseau et l'éclairage croisé des langues et des littératures vont de pair avec l' "au-delà" d'un sujet préalablement circonscrit; comparer suppose la mesure d'un espace, l'expérience de ses limites et leur franchissement. D'autre part, l'invention d'un cadre réunissant à la fois des doctorants, des chercheurs plus confirmés et des professeurs, où puissent se discuter aussi bien des questions théoriques que les problèmes concrets auxquels la recherche expose les uns et les autres, invitait à ne pas se priver d'un questionnement croisant plusieurs approches. Nous avons donc imaginé un programme ouvert autant aux questions esthétiques et littéraires (les représentations des frontières et de leur transgression, la forme que ces représentations pouvaient adopter) qu'aux sujets engageant une métaréflexion sur les limites de nos outils de recherche et les conditions réelles d'une transdisciplinarité qui serait plus que programmatique (une théorie et une pratique de la transgression des limites).
Through the influence of postcolonial studies one tried to cross borders by alleviating all kind of differences such as the experience of strangeness. However, these differences still exist as we can come to know in everyday life. Andrea Leskovec insists on this experience of strangeness as basis for her "Alternativer hermeneutischer Ansatz für eine interkulturell ausgerichtete Literaturwissenschaft" (2009, 2011) based on the ideas of Bernhard Waldenfels. This approach combined with Lösch' and Breinig' theory of transdifference permits a well-founded literary analysis in consideration of current experiences. The exemplary analysis of "Nur Gute kommt ins Himmel" by D. Rajčić provides a first insight into the range of this approach. This includes the terminology for describing phenomena of strangeness in literary textes such as the appropriateness of this approach considering the plurality and diversity of (literary) reality.
Le présent volume s'ouvre sur l'article programmatique d'Yvette Sánchez (Saint-Gall), qui se penche ici sur le faux entendu comme forgerie ou tromperie, tel que l’ont pratiqué à tour de rôle Cervantès, Borges et Max Aub en rappelant les liens étroits que le faux entretient avec la notion de fictionalisation. Si la traduction fait depuis plusieurs années l'objet d'une attention accrue de la part des littéraires, Martine Hennard Dutheil de la Rochère (Lausanne) montre dans sa contribution que la poétique traductive d'Angela Carter accorde une place particulièrement riche aux fautes de traduction dans son travail de réécriture des contes de fées de Perrault. Dans une perspective similaire, Angela Daiana Langone (Cagliari) montre que l'émergence du théâtre arabe moderne est jalonnée non seulement de fautes de traduction, mais également d’autres malentendus lorsqu'il s'agit d’adapter les exemples occidentaux, en l'occurrence Molière, à un contexte culturel pour lequel le théâtre est synonyme non seulement de modernité, mais aussi d'émancipation ; un fait que la contribution d'Oliver Kohns (Luxembourg) qui porte sur les enjeux de la modernisation dans la Turquie d'Orhan Pamuk vient illustrer à propos de son célèbre roman Le Musée de l'innocence, qui entretient lui aussi une relation marquée par des malentendus productifs avec la littérature occidentale. Que le contresens n'est pas seulement un moteur de la création, mais aussi un indicateur des aléas auxquels est soumis le savoir dès que l'écriture de création s'en saisit fait l'objet de la contribution de Sophie Jaussi (Fribourg), consacrée à l'écrivain contemporain Philippe Forest. Les malentendus sont en effet susceptibles de devenir les instruments de l'expression d'une résistance à toute forme d'hégémonie, que ce soit de la langue ou du pouvoir : telle est la thèse que défend Vidya Ravi Allemann (Fribourg) à partir d’une lecture croisée de deux nouvellistes postcoloniales, à savoir Nadine Gordimer et Anita Desai. Karl-Werner Modler (Baden) montre dans sa contribution que ce sont souvent des détails d'apparence anodine, comme la pantoufle de verre de la Cendrillon de Perrault qui se mue sous la plume de Balzac en une pantoufle de vair, qui permettent d'observer le travail d'une logique de substitution qui marque le régime de la littérarité. Dans l'article de Dimitri Tokarev (Saint Pétersbourg), ce sont les contacts culturels entre Russes et Français dans les années 1930, en l'occurrence le travail du Studio franco-russe, qui témoignent de la productivité des malentendus lorsqu'il s'agit de réfléchir ensemble sur des notions apparemment aussi universelles que celles d'humanisme ou d'intellectualisme. Le jeu avec des étymologies souvent fantaisistes et parfois même fausses est au centre de la contribution que Stefanie Heine (Zurich) consacre au poète américain Charles Olson et à sa production de projective verse qui est censée capter une langue en action qui crée de nouvelles significations. Que l'erreur peut même constituer un aspect essentiel de toute forme d’apprentissage, dans la mesure où il s'agit de transformer l'erreur en une occasion, pour l'enseignant, d'entrer dans la pensée de l'élève, est la thèse que défend Thomas Vercruysse (Genève) dans son article consacré au kairos en contexte pédagogique. Enfin, le dossier consacré à l'erreur productive se ferme avec la contribution de Sandro Zanetti (Zurich), qui évoque à partir de quelques exemples de Walter Benjamin et de Josef Guggenmos la créativité intrinsèque de l'acte d'entendre, puis de lire, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Dans une seconde section, plus courte, le présent numéro de Colloquium Helveticum accueille, éditées par Sophie Jaussi, des contributions choisies des journées du programme doctoral suisse en littérature générale et comparée, qui ont eu lieu en novembre 2015. Ces contributions, présentées plus en détail en tête de la seconde section, sont dues à Valérie Hantzsche, Lukas Gloor, Joëlle Légeret et Tea Jankovic. La rubrique "Varia" accueille quant à elle un essai de Monika Kasper, consacré à l'un des derniers poèmes de Celan, EINKANTER, qui donne forme à la rencontre entre la peinture de Rembrandt et la poésie de Celan. Enfin, le Colloquium Helveticum accueille Thomas Hunkeler désormais une section consacrée à de nouvelles parutions d'intérêt comparatiste. Cette dernière section, qui est appelée à se développer ces prochaines années, est dirigée par Joëlle Légeret.
Cet article examine le rôle souvent occulté et pourtant essentiel de la traduction comme source d'innovation et de créativité dans l'histoire littéraire et la théorie. Il s'appuie sur plusieurs exemples allant du fameux épisode de la création d'Ève à partir de la "côte d'Adam" dans la Bible de Jérôme, basée sur la traduction fautive du mot hébreu "qaran" en latin et reflétant le biais patriarcal de Jérôme, à la traduction, tronquée du Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir (1946) par le zoologiste retraité Howard M. Parshley qui allait néanmoins inspirer des études marquantes de la seconde vague féministe américaine telles que "The Feminine Mystique" (1963) de Betty Friedan et "Sexual Politics" (1970) de Kate Millett. L'exemple le plus développé retrace l'interaction productive de la traduction et de la réécriture dans la fiction d'Angela Carter, de "The Fairy Tales of Charles Perrault" (1977) jusqu'à ses célèbres "stories about fairy stories" recueillies dans "The Bloody Chamber and Other Stories" (1979) et "American Ghosts and Old World Wonders" (1992). Je propose de lire les variations de Carter sur "Aschenputtel" dans "Ashputtle or The Mother's Ghost" comme un correctif à sa traduction de la morale de "Cendrillon ou la Petite Pantoufle de Verre" de Perrault. La poétique traductive (translational poetics) de Carter démontre ainsi l'impact crucial de la traduction – y compris des erreurs – sur la démarche de l'écrivain, qui associe la (re)lecture créative inhérente à l'activité de traduction au travail de (ré)écriture jusqu'à en faire la matrice à partir de laquelle elle a élaboré son oeuvre singulière.
Mit dem Thema der 'Prostitution in Literatur und Medien' (so der Untertitel) beschäftigt sich der im Christian A. Bachmann Verlag erschienene Sammelband von Simone Sauer-Kretschmer, der auf einen komparatistischen Workshop an der Ruhr-Universität Bochum zurückgeht und zwölf Beiträge in vier Sektionen umfasst, beginnend mit fünf Aufsätzen, die unter dem Titel "Klassische Narrative der Prostitution" gefasst sind. [...] Gerade diese Verbindung aus zeitaktuellen künstlerischen Bearbeitungen und der (Neu-)Lektüre 'klassischer' Texte bereichert den Sammelband, auch wenn teils eine stärkere thematische Anbindung wünschenswert gewesen wäre. Absolut überzeugend jedoch ist der intermediale Querschnitt (Literatur, Film, Popmusik, Theater, Fotografie), der sich durch die zwölf Aufsätze des Bandes ergibt. Der durchaus berechtigten Anmerkung, die Bildende Kunst als klassisches Medium – und damit ausgerechnet jene Kunstform, deren bekannteste Vertreter im 18. und 19. Jahrhundert nicht selten Bordelle zur regelmäßigen ‚Recherche‘ aufsuchten – fehle hierbei, sei die vorzügliche Ausstellung im Musée d’Orsay empfohlen, die sich erst kürzlich damit beschäftigt hat.13 In jedem Fall aber ist der Band ein Gewinn für die komparatistische Forschung und zeigt eindrucksvoll, wie vielseitig die Spielarten einer künstlerischen Auseinandersetzung mit dem ‚ältesten Gewerbe‘ sind – von der Sozialkritik durch Provokation und einem Realismus durch Pornografie bis zur Trivialisierung durch Kitsch (man denke etwa an die inzwischen auch verfilmte Romanreihe der Wanderhure).
Die Beiträge dieses Bandes verfolgen keine derartigen theoretischen Ambitionen, sondern andere, objektbezogene Interessen. Dabei treten manche Aspekte hervor, die über den Umkreis der im Untertitel genannten amerikanischen Topographien hinausweisen und sowohl für die Analyse anderer Materialien wie für die umrissene Theoriearbeit anregend sein können, also gleichermaßen komparatistischen wie allgemeinen literatur-, kultur- oder kunstwissenschaftlichen Interessen entgegenkommen, zumindest als Stichworte. Ich präpariere ein paar von ihnen heraus, vernachlässige aber den im engeren Sinne amerikanistischen Gehalt. Amerikanische Topographien ließen sich noch ganz anders in den Blick rücken, als es hier geschieht; und sie ließen sich auch historisch weitaus dichter vernetzen.
Kaum eine geistes- und kulturwissenschaftliche Disziplin hat in Italien in solchem Ausmaß unter Selbstdarstellungs- und Rechtfertigungszwang gestanden und sich über so heftige Widerstände hinwegsetzen müssen wie die Komparatistik. Ein Leserbrief des Literaturwissenschaftlers Armando Gnisci, der in den 1980er- und 1990er-Jahren die Szene der italienischen Komparatistik wesentlich geprägt, aber nur marginal bis ins neue Jahrtausend mitbestimmen konnte, gibt einen konzis-kritischen – wenn auch leicht polemischen – Einblick in das, was seit dem letzten state of the art aus dem Jahre 1991 auf dem Gebiet der Allgemeinen und Vergleichenden Literaturwissenschaft in Italien passiert ist. Entlang dieser Linie verlief nämlich die wichtigste Front im Streit zwischen den Nationalphilologen und den Komparatisten. Gniscis Schreiben mit dem programmatischen wie suggestiven Titel "Comparatisti e italianisti, le due tribù" [Komparatisten und Italianisten, die beiden Stämme] – erschienen am 21. März 2004 in der Kulturbeilage Domenica – ist ein Rundumschlag gegen die seinerzeit in Italien weitverbreitete Ansicht, die Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft als "sub-category of Italian literature departments" zu betrachten.
Die deutschsprachige ästhetische und kulturtheoretisch-anthropologische Debatte des ausgehenden 18. Jahrhunderts thematisiert in unterschiedlichsten Kontexten immer wieder den Umgang mit Fremdheitserfahrung. Sie umfasst in diesem Zusammenhang unterschiedlichste theoretische Modelle der prekären Vermittlung zwischen gegensätzlichen Polen wie besonderer Einzelerfahrung und allgemeinem Erfahrungsganzem, zwischen Einzelphänomen und Kontext, zwischen Fragment und Totalität oder zwischen Singularität und Universalität. Entsprechende Fragestellungen rücken in der Zeit der Spätaufklärung vor allem mit Blick auf die Vermittlung (inter)kultureller Fremdheit in den Fokus des theoretischen und literarischen Interesses: Dies gilt vor allem für die Kulturpraxis inner- und außereuropäischer Reisen, die im Rahmen der zeitgenössischen 'Reisemode' zu Debatten über die Möglichkeit kosmopolitischen Weltbürgertums, über Modi interkultureller Begegnung oder die Legitimität kolonialer Expansion ebenso wie zur Entwicklung einer konkreten ethnopoetischen Reise- und Reisedarstellungspoetik Anlass gibt. Dieser philosophisch-theoretischen und literarischen Konjunktur von Reisediskursen korrespondieren gleichzeitig unterschiedliche Entwürfe einer transnationalen vergleichenden Kulturgeschichte, die immer wieder in kulturelle Hierarchisierungsmodelle münden, in denen europäischen Kulturen erwartungsgemäß eine wenn nicht qualitative oder normative, so doch immerhin strategische Überlegenheit zuerkannt wird. Hiermit verbinden sich drittens frühe Ansätze zur Theorie und Praxis 'weltliterarischer' Bildung sowie Appelle für eine grenzüberschreitende Beschäftigung mit literarischen und kulturellen Artefakten als Vorläufermodelle komparatistischer Literatur- und Kulturwissenschaft.
Bu makalede geleneksel Alman genç kız romanının temel eserlerinden birisi olan Emmy von Rhoden'in "Der Trotzkopf" (1885) adlı romanı ile modern dönemi temsilen Dagmar Chidolue'nun "Lady Punk" (1985) adlı romanı toplumsal cinsiyet araştırmaları ile yeniden okunmuştur. Bu okuma ve analiz süreci sonucunda kurgusal genç kız imgesinin gelenekselden moderne doğru geçirdiği değişim karşılaştırmalı olarak ortaya konmaya çalışılmıştır. Diğer bir hedef ise modern döneme gelindiğinde genç kız imgesinin lehine olan özgürleşmesinde rol oynayan etmenleri ve kazandığı özgürlüğün niteliklerini vurgulamaktır. Sonuçların toplumsal cinsiyet araştırmalarına dayanılarak yorumlanması sürecinde ise çalışmaya her iki romandan elde edilen bulgular rehberlik etmiştir.
Dem Apokryphen einen Themenschwerpunkt im Rahmen einer komparatistischen Zeitschrift zu widmen ist eine Entscheidung, die auf den ersten Blick erstaunen mag. Ist doch das Wort "apokryph" ein in der heutigen Alltagssprache wenig geläufiger Begriff, der, auf das Register der Theologie verweisend, speziellen Fragen und fachwissenschaftlichen Debatten der Religionsgeschichte vorbehalten zu sein scheint. Wenn wir gleichwohl Begriff und Phänomen des Apokryphen als Schwerpunktthema des Jahrbuchs 'Komparatistik' zur Diskussion stellen wollen, so deshalb, weil der damit angesprochene Sachverhalt von Prozessen der Auswahl, Marginalisierung und Ausgrenzung im Rahmen kultureller und textueller Überlieferung ein Problemfeld markiert, das im Bereich der Literaturgeschichte vielfältige Resonanzen und Parallelen findet und in systematischer Hinsicht über Verfahren und Mechanismen literarischer Traditionsbildung Aufschluss zu geben verspricht. Weit davon entfernt, nur ein spezialdiskursives Sonderphänomen zu sein, erweist sich das Apokryphe bei näherem Hinsehen als eine Figur, an der sich grundsätzliche Fragen der Formation von Text- und Wissensbeständen, der literarischen Autorität und Kanonbildung beobachten lassen. Apokryphe Texte, so ließe sich in einer vorläufigen, im Folgenden noch zu präzisierenden Beschreibung formulieren, sind Texte, die sich am Rande der großen Traditionen religiöser und kultureller Bewegungen situieren. Es sind Texte oder Textensembles, die es, wie sich im Rückblick bemerken lässt, nicht geschafft haben, in das Inventar jener Schriften aufgenommen zu werden, die als anerkannt, bewahrenswert oder wahr gelten. Als Einstieg bietet es sich an, zunächst von den Bedeutungsdimensionen des Ausdrucks apokryph auszugehen, die dieser im Kontext der religionsgeschichtlichen Tradition angenommen hat und der für das heute übliche Verständnis des Begriffs bestimmend ist. Der religiöse bzw. theologische Begriffsgebrauch greift auf das altgriechische Wort ἀπόκρυφος (apókryphos) zurück, um dieses vor allem in einer seiner beiden Bedeutungsschichten zum Einsatz zu bringen, nämlich als Bezeichnung eines Gegenstands bzw. Textes, der als 'unecht', 'zweifelhaft', 'nicht-authentisch' zu gelten habe. Der Begriff apokryph führt hier also eine Unterscheidung ein zwischen dem, was als gesichert, gültig und autorisiert anzusehen ist und dem, was solche Geltung zu besitzen nicht oder nur unter dem Vorbehalt des Zweifelhaften beanspruchen kann. Bei dem Begriffspaar gültig vs. apokryph haben wir es also mit einer Figur der Verknappung zu tun, die ein gegebenes Textensemble oder eine kulturelle Überlieferung einem mitunter radikalen Verfahren der Auswahl und Reduktion unterzieht.
Die Beiträge des Bandes beschäftigen sich mit der historischen Gründungsphase der Rhythmusforschung und dem kulturellen Umfeld, in dem der Begriff eine mythische Bedeutung im Sinne von Magris gewinnt. Dass damit aber keineswegs die mythische Dimension des Rhythmus als historisches und ideologisches Phänomen erschöpft ist, zeigt die Anbindung der Diskussion an die gegen Ende des vergangenen Jahrhunderts geführte Debatte zur Neuen Mythologie und die utopischen Potenziale des Mythos. So lässt sich auch der Rhythmus um 1900 als kulturelle Konstruktion verstehen, die sowohl einen Ausweg aus dem Alptraum der Geschichte zu weisen vermochte wie als Baustein einer faschistischen Weltanschauung dienen konnte.
Diyalog 2017/1
(2017)
Die Ausgabe 2017/1 liegt Ihnen vor und wir freuen uns sehr, Sie hiermit begrüßen zu dürfen. Reich an Themen und Autorenskala sind die Beiträge in folgende Rubriken einzuteilen: Im Fachbereich der Deutschen Literatur ist zunächst die Auseinandersetzung mit dem Scharlatanmotiv in dem Roman 'Geschichte der Abderiten' von Christoph Martin Wieland interessant. Als zweitens ist Ingeborg Rapoports Autobiografie 'Meine ersten drei Leben' zu nennen, in der exemplarisch nachgewiesen wird, inwiefern Interkulturalität und Engagement Hand in Hand gehen. Hierbei tritt Rapoport mit ihrem interkulturellen Engagement als Antikolonialistin auf, Nazismus- und Holocaustkritikerin und besonders aber auch als eine den Frieden suchende Autorin, deren Denkweise in die Nähe des Levinasschen Humanismus gerückt werden dürfte. Das Thema des dritten Beitrags ist die Erforschung der Schönheitsauffassung in deutschen und türkischen Volksmärchen. Das Schöne bezieht sich indessen ausschließlich auf weibliche Figurentypen der Märchenwelt beider Erzählkulturen. Allgemein Literaturwissenschaftlich ist der umfangreiche Aufsatz über leserorientierte Literaturtheorien und über die Positionierung des Lesers, in dem davon ausgegangen wird, dass die Auslegung eines literarischen Textes ohne den Leser nicht möglich ist, wobei "der implizite Leser" von Wolfgang Iser, "der Leser als Textproduzent" von Stanley Fisch und "der psychoanalytische Ansatz" von Norman N. Holland im Mittelpunkt stehen. Dem Fachbereich Sprachwissenschaft sind zwei Beiträge zuzuordnen, die zum Teil erziehungswissenschaftlich bezeichnet werden können: In dem ersten Beitrag geht es um deutsche suffixale Adjektivbildungen, die scheinbar keiner Systematik entsprechen wollen, sondern anscheinend in ihrer möglichen Verwendung der Konvention gehorchen. Der zweite Beitrag fokussiert die Schwierigkeit von förmlich ähnlichen Wörtern im Lehr- und Lernprozess. Im Fachbereich Translationswissenschaft wird zunächst ein übersetzungsphilosophischer Ansatz thematisiert. Im zweiten Aufsatz geht es um die Bedeutung der Notation beim Konsekutivdolmetschen und deren Ausübung auf universitärer Ebene. In dem dritten Aufsatz werden die geschichtlichen Hintergrundinformationen sowie die Affinität und die Gegensätze der Septuaginta und vom Stein der Rosetta ausführlich diskutiert. Dem Fachbereich "Erziehungswissenschaft" lassen sich drei Beiträge zuordnen. In dem einen Aufsatz werden die Geschichte und der Werdegang des Fernunterrichts in der Türkei und die Möglichkeiten für das Lernen des Deutschen als Fremdsprache durch Fernunterricht dargestellt. Im zweiten werden Ergebnisse einer kontrastiven Studie zur unterrichtsbezogenen Sprechangst von DaF-Lernenden in der Türkei und in Deutschland präsentiert. Das Thema der dritten Studie ist es, die Fremdsprachenniveaus der Akademiker an der Trakya Universität nach gewissen demographischen Variablen zu messen und die Verwendungszwecke der Fremdsprachen zu beschreiben.
Diyalog 2017/2
(2017)
Die vorliegende Ausgabe sticht mit Beiträgen aus den komparatistischen, imagologischen, sprach-, erziehungs- und translationswissenschaftlichen Fachbereichen der Germanistik hervor. Literaturwissenschaftlich sind die beiden ersten Beiträge, die sich mit dem Thema Döblin befassen ("Zum Geschlecht der Macht im Kolonialismus: Weiblichkeit, Männlichkeit und Asymmetrie in Alfred Döblins Amazonas-Roman" und Eine Untersuchung zur Erzählstruktur in der Erzählung "Die Ermordung einer Butterblume" von Alfred Döblin). Imagologisch geht es um die Untersuchung der Mädchenfigur aus der Perspektive der soziologischen Genderforschung („Alman Genç Kız Edebiyatı Bağlamında Genç Kız İmgesinin Toplumsal Cinsiyet Araştırmaları ile Analizi. Geleneksel Der Trotzkopf Romanından Modern Lady Punk'a Romanına Değişim Süreci”) und die "Bemerkungen zu Heiner Müllers Gedicht 'Fernsehen'", während sprachwissenschaftlich das Problem der Werbesprache diskutiert wird. Der Fachbereich "Erziehungswissenschaft" wird von drei BeiträgerInnen vertreten: Es geht hier einerseits um "Konzeption, Durchführung und Evaluation einer Ausspracheschulung für türkische DaF-Lehramtsstudierende des ersten Studienjahres" und andererseits um die Evaluation des Lehrbuchs "Schritt für Schritt Deutsch". Der dritte Beitrag thematisiert das "Exzerpieren in Deutsch als Fremdsprache im Lehramtsstudiengang in der Türkei". Translationswissenschaftlich werden "die Relevanz paratextueller Elemente beim Übersetzungsprozess" und "Übersetzungsstrategien der Kinderliteratur" diskutiert. Die Übersetzung der Kurzgeschichte "Das Brot" von Wolfgang Borchert bildet das Thema des dritten Beitrags aus diesem Fachbereich. Zwei Rezensionen ("Çeviri Atölyesi / Çeviride Tuzaklar" und "Wirksamkeit und Nachhaltigkeit vorintegrativer Spracharbeit") und Berichte über die internationale Tagungen "Beziehungskrisen: Deutsch-türkische Verhältnisse in Literatur und Film" in Izmir und über zwei internationale Symposien in Sivas (V. Uluslararası Batı Kültürü ve Edebiyatları Araştırmaları Sempozyumu) und in Amasya (Uluslararası Savaş ve Kültür Sempozyumu) runden die Ausgabe 2017/2 ab.
Seit Beginn der 1990er Jahre rückt der Begriff des 'Autors' und der 'Autorschaft' wieder verstärkt in den Fokus literaturwissenschaftlicher Theoriebildung. Im Unterschied zu den subjektkritischen Konzepten der Postmoderne, insbesondere denjenigen des Poststrukturalismus, die in Roland Barthes' These vom Tod des Autors (1967) wohl am prominentesten widerhallen, gewinnt die Autorfunktion als legitime Bezugsgröße im interpretatorischen Zugriff auf den literarischen Text wieder an Bedeutung. Auch der Werkbegriff erhält infolge dieser Aufwertung des textgenerierenden Subjekts in Praxis und Theorie neue Aufmerksamkeit. Im Falle von Felicitas Hoppe wird über diesen Kontext hinaus die Betrachtung eines einzelnen Autorenwerks auch intrinsisch durch ihre Texte nahegelegt. Die inhaltliche und sprachliche Kontinuität zwischen fiktionalen und nicht-fiktionalen Texten, die enge auto-intertextuelle Verknüpfung sowie Hoppes ästhetischer Autonomieanspruch verlangen in besonderer Weise nach einer Fokussierung des autorspezifischen Werkzusammenhangs.
Bücher, die Wirklichkeit werden, Figuren, die aus Geschichten in die Welt des Lesers eintreten, oder umgekehrt, Leser, die geheime Pforten zu fantastischen oder zu fiktionalen Welten aus ihrer Lektüre durchschreiten, gehören zum Inventar kinderliterarischen Erzählens, seitdem Lewis Carrolls (1832-1898) Alice an einem langweiligen Nachmittag dem weißen Kaninchen mit der Taschenuhr in sein Erdloch folgte und sich in Wunderland wiederfand. Eine Alice-Figur ziert als intertextuelle Allusion auch den Einband von Hoppe: Zu sehen ist ein kleines Mädchen mit Schleifen im Haar, vornübergebeugt zum Schnürsenkelbinden. 'Hoppe' ist natürlich kein Kinderbuch, sondern das autofiktionale Experiment einer Schriftstellerin, die bereits selbst Kinderbücher verfasst und übersetzt hat, die sich zudem gegen eine strenge Grenzziehung zwischen sogenannter Erwachsenen- und Kinderliteratur ausspricht und dafür plädiert, als Erwachsener die Bücher der eigenen Kindheit erneut zu lesen. Und so ist auch in Hoppe die Grenze zwischen sogenannter Kinder- und Erwachsenenliteratur äußerst durchlässig, springen doch bei einer ersten Lektüre bereits zahlreiche Anspielungen auf kanonische Texte der Kinderliteratur wie etwa Carlo Collodis 'Le avventure di Pinocchio' (1883), Mark Twains 'The Adventures of Tom Sawyer' (1876), Jules Vernes 'Les enfants du capitaine Grant' (1867/68), Frank L. Baums 'The Wonderful Wizard of Oz' (1900) und Astrid Lindgrens 'Pippi Långstrump' (1945-1948) ins Auge. Der autofiktionale Text 'Hoppe' mit seiner Doppelbiografie, einer verleugneten und einer vermeintlich 'verbrieften', mit seinem metaautobiografischen Spiel, stellt sicherlich die Fiktionalität eines jeden autobiografischen Schreibens noch einmal nachdrücklich aus.
Das Spiel, die Maskerade und andere Elemente des Karnevals sind Fixpunkte in beinahe allen Texten von Felicitas Hoppe. Sie tauchen aber nicht nur auf inhaltlicher Ebene auf, sondern sie sind zudem wesentliche Bestandteile des ästhetischformalen Erzählprogramms der Autorin. Im vorliegenden Beitrag soll unter Berücksichtigung von Michail Bachtins Konzepten der Dialogizität und Polyfonie das karnevaleske Moment in Felicitas Hoppes Erzählwerk, vor allem in den Romanen 'Paradiese, Übersee' (2003), 'Johanna' (2006), und 'Hoppe' (2012) herausgearbeitet werden und zwar auf Ebene des Sujets, der Sprache und der Textgattung. Um Missverständnisse zu vermeiden, sei vorangestellt, dass das Motiv des Karnevals von seiner Anlage her keine bewusste narrative Strategie darstellt (auch wenn es durchaus als solches eingesetzt werden kann). Statt einer autorzentrierten Interpretation soll daher die 'Karnevalisierung' der Literatur ganz im Sinne Michail Bachtins als Traditionslinie und Textdynamik begriffen werden, die flexibel ist und die Individualität der einzelnen Autorinnen und Autoren in keinster Weise tangiert beziehungsweise formal einengt.
Im Folgenden soll daher, mit Schwerpunkt auf dem Roman 'Paradiese, Übersee', die Struktur von Hoppes Texten vor dem Hintergrund ihrer literaturhistorischen Kontexte aufgeschlüsselt werden. Diese, von der Kritik als irritierend wahrgenommene Struktur basiert auf der Abkehr von üblichen chronologischen und kausallogischen Ordnungsschemata und der gleichzeitigen Hinwendung zu einer Erzählstruktur, die ihren Sinn über variierende Verbindungen einzelner Elemente generiert. In der vorliegenden Untersuchung wird dieses Narrationsschema auf seine historischen Vorbilder hin untersucht, um das schöpferisch 'Neue', die innovative Formensprache des Hoppe'schen Erzählens fassbar zu machen.
Die Renaissance des Familien- oder Generationenromans in der (nicht nur deutschsprachigen) Gegenwartsliteratur ist in zahlreichen Untersuchungen der letzten Jahre zum Gegenstand gemacht worden. Um diese Wiederkehr eines Totgeglaubten rankten sich alsbald polemische Debatten, aus denen man ersehen konnte, dass es um weit mehr als das Wiedererstarken eines literaturwissenschaftlich recht schwammig definierten, unter Abgrenzungsschwächen (Familien- versus Generationenroman) leidenden, ästhetisch eher traditionellen Genres ging. Definitionsversuche wie derjenige der amerikanischen Komparatistin Yi-ling Ru brachten den Familienroman (scheinbar unauflöslich) in Zusammenhang mit den Kriterien der Verfallsgeschichte, der Chronologizität, der Schilderung integraler Familienriten und insbesondere mit einem unhintergehbaren Realismus der Darstellung. Dass der Umgang mit dem Thema 'Familie' über alle eher literarischen Koordinaten hinaus aber vor allem als Seismograf gesellschaftlicher und kultureller Entwicklungen verstanden wurde, zeigten schon die Kontroversen um den Stellenwert von Familie im deutschen Feuilleton, in dem etwa die Zeit-Literaturkritikerin Iris Radisch "[d]ie elementare Struktur der Verwandtschaft" gegen die "Monaden" der Gegenwartsliteratur in Stellung brachte: Gedeutet wurde die 'Rückkehr' der Familie so zugleich als Indiz für eine Sehnsucht nach traditionellen Strukturen, gerichtet gegen die Zersetzungskraft der Postmoderne, gegen das Single-Dasein als Lebensform. Andere wie Sigrid Löffler sahen in genauer Umkehrung der Werteskala gerade im Wiederauftauchen familiärer Narrative das konservative Revival einer spätestens mit Heimito von Doderers (1896-1966) Merowinger-Roman (1962) durch Hyperbolisierung in sich kollabierten Gattung.
Diyalog 2016/1
(2016)
Die vorliegende Ausgabe sticht (abgesehen von einem interessanten Beitrag zum Thema Türkeiwahrnehmung in Ulrike Almut Sandigs Erzählung Die Blauen Augen Deiner Mutter, in der wir beobachten können, wie die Gezi-Park-Eskalation in der zeitgenössischen deutschen Literatur rezipiert wird) mit Beiträgen aus den sprach- und erziehungswissenschaftlichen Fachbereichen der Germanistik hervor. Sprachwissenschaftlich werden folgende Themen diskutiert: "Die Kausativierung im Deutschen und im Türkischen", "der Begriff des Objekts im Kontext der Verb-Aktion" und "Frauensprache als eine soziolinguistische Variable in visuellen Medien in der Türkei". Der Fachbereich "Erziehungswissenschaft" wird von vier BeiträgerInnen vertreten: Es geht hier einerseits um eine Studie über die in Fremdsprachenprüfungen, die von der staatlichen Zentrale für Universitätsaufnahmeprüfung (ÖSYM) vorbereitet und ausgeführt werden, vorkommenden Konjunktionen und andererseits um die Untersuchung des Faktors 'Sommerferien' beim Übergang von der Vorbereitungsklasse (DaF) in die Deutschlehrerausbildung. Der Beitrag über die unterstützende Rolle der Zeichentrickfilme beim Fremdsprachenlernen im frühen Alter gehört auch zu diesem Bereich. Im "Diskussionsbeitrag" über die Wikipedia.de wird versucht, diese als wichtige Informationsquelle transparenter zu machen und damit zu einer kreativ-kritischen Verwendung dieser freien Enzyklopädie beizutragen. Eine Rezension (Deutscher Orientalismus in Sprache und Bild) und zwei Berichte über die XIX. Internationale Tagung Kronstädter Germanistik in Rumänien und über die Konferenz zum My! Europe-Projekt in Tschechien runden die Ausgabe 2016/1 ab.
Colloquium Helveticum 45 : Poetik und Rhetorik des Barbarischen = Poétique et rhétorique du barbare
(2016)
'Poetik und Rhetorik des Barbarischen' / 'Poétique et rhétorique du barbare' lautete das Thema der Jahrestagung der Schweizerischen Gesellschaft für Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft, die im Oktober 2014 an der Universität Genf stattfand. Angeregt worden war diese Themenwahl durch das seit 2013 vom Schweizerischen Nationalfonds geförderte Forschungsprojekt "Barbarism": History of a Fundamental European Concept and Its Literary Manifestations from the 18th Century to the Present. Das eigentliche Motiv für die Wahl des Themas war aber dessen wissenschaftliche, kulturelle und vor allem auch politische Aktualität. Diese wird verständlich, wenn man bedenkt, dass der Begriff des Barbarischen seit seinen Ursprüngen im antiken Griechenland für die Begründung europäischer und 'okzidentaler' Identität von zentraler Bedeutung ist. Als "Barbaren" gelten immer diejenigen, die man aus dem eigenen kulturellen Raum und Selbstverständnis auszugrenzen sucht, indem man sie als grausam, frevlerisch, ungebildet, unmenschlich und unzivilisiert diskriminiert – seien das nun Perser im Gegensatz zu Griechen, Germanen im Gegensatz zu Römern, Heiden (insbesondere Muslime) im Gegensatz zu Christen, zivilisierte Europäer im Gegensatz zu wilden Indigenen oder freie, humane Westmächte im Gegensatz zu 'orientalischen' islamistischen Terrororganisationen. Die semantische Struktur des Barbarenbegriffs und das den Begriff vertretende Lexem bleiben, wie diese Aufzählung verdeutlicht, über Jahrtausende unverändert (auch dann, wenn der Barbar zu einer Sehnsuchtsfigur wird, die Befreiung aus einer beengenden oder dekadenten Zivilisation verspricht); die Referenzobjekte des Begriffs variieren hingegen. Der Begriff des Barbarischen ist also, wie Arno Borst schon Anfang der siebziger Jahre des 20. Jahrhunderts feststellt, seit den griechischen Anfängen der abendländischen Kultur ein "europäisches Schlüsselwort", "das andere Menschen schlagen und verletzen will". An der Geschichte dieses "Schlagworts" lasse sich ablesen, warum "die geschichtliche Vielfalt Europas bis heute soviel Unrast und Leid über die Menschen gebracht hat".
Les études de la relation de Borges à Proust se divisent, pour l'instant, entre celles qui proposent une analyse des lectures et des influences (Craig et Marter) et celles qui font des deux auteurs les représentants de différents paradigmes poétologiques de la littérature moderne (Conley et Ventarola). A la croisée de ces deux approches se trouvent les questions de l'imitation de l'autre et de la lecture : dans quelle mesure leurs idées à ces sujets nous permettent-ils de comprendre le décalage des deux auteurs? En effet, la catégorie de l'ascèse et celle de la réception dessinent une image de l'auteur qui se trouve, chez Borges, à l'opposé de Proust. Tandis que le "moi" de Proust, moulé sur le moi empirique de sa propre personne, se présente comme le sujet d'une imitation créatrice, Borges s'éloigne de ce pilier porteur du texte pour proposer un "moi" fictif et métaphysique au lecteur ; un moi qui se multiplie selon les principes de la fiction et selon le pluralisme de la réception. Le fait que Borges ne paraît pas "avoir lu" Proust est un résultat de cette nouvelle perspective que Borges ouvre sur l'imitation et sur la lecture. En vue de celle-ci, l'oeuvre de Proust n’est plus une référence très utile pour les fictions d'un auteur qui, tourné vers la fonction du lecteur potentiel, efface sa propre identité empirique.
Interpretation ist offenbar nicht die einzige Umgangsweise mit Texten, aber gleichwohl ein systematisches Herzstück, um der 'textual uncertainty' beizukommen. Die Material Studies zeigen dies – gelegentlich entgegen ihrer eigenen Absicht – in eindrucksvoller Weise und erlauben es, hermeneutische Fragen neu, präziser, offener zu stellen: Ein Text lässt sich in seiner Komplexität der materiellen Produktions-, Archivierungs-, Erschließungs- und Rezeptionsprozesse offenbar nie ganz erfassen, aber das Ganze trägt im Sinne eines Maximalmodells der materialen Interpretation als Korrektiv und produktive Verunsicherung, und zwar in doppelter Hinsicht. Zum einen verstärkt es die 'textual uncertainty' (›das Textganze gibt es nicht‹), zum anderen aber hält es die konstruktive Idee aufrecht, dass man dem Text ›näher‹ kommt, wenn man sich nur um alle Ebenen bemüht, die ihn ausmachen. Gegenwärtig ist es eine reizvolle Aufgabe für die Textwissenschaften (nicht nur für solche, die mit Literatur im engeren Sinne zu tun haben), zunächst einmal die weitreichenden Veränderungen im Umgang mit dem Objekt Text zur Kenntnis zu nehmen, interpretative Konzepte und Praktiken im Wandel zu untersuchen und den Umgang mit solchen Veränderungen theoretisch sowie 'am Text' zu prüfen. Diese Aufgabe ist überaus umfassend und verändert das Bild all der mit Text umgehenden Wissenschaften. Philologische Nüchternheit hilft hier ebenso wie performative Energie im Umgang mit der Materialität der Materialität. Um die eingangs zitierte Aussage Sontags aufzugreifen: Heute geht es darum, dass wir das Gesehene, Gehörte, Gefühlte angemessen interpretieren, ohne zu meinen, dass in Material und Sinnlichem allein der Sinn verborgen wäre.
Neben den traditionellen Kernbereichen der Allgemeinen und Vergleichenden Literaturwissenschaft und der europäischen Literaturgeschichte gilt das besondere Interesse der komparatistischen Internet-Zeitschrift neueren kulturtheoretischen Ansätzen aus dem internationalen Raum. Darüber hinaus widmet sich Komparatistik Online vor allem den produktiven Wechselbeziehungen zwischen Literatur, bildender Kunst und Musik (Comparative Arts und Inter Arts) und den ästhetischen Grundlagen intermedialer Grenzüberschreitungen und Transferbewegungen.
Überdies sollen Beiträge zur außereuropäischen Literatur und Kultur, zur globalen Vernetzung und zur postkolonialen Situation Berücksichtigung finden.
Interkulturelle und imagologische Fragestellungen bilden einen weiteren zentralen Forschungsbereich. Geplant sind Schwerpunkthefte zu spezifischen aktuellen Themenbereichen. Daneben sollen stets auch einschlägige Forschungsbeiträge mit individueller Thematik publiziert werden.
Darüber hinaus gilt die besondere Aufmerksamkeit interessanten komparatistischen und interdisziplinären Neuerscheinungen, für die eine eigene Rubrik mit Buchbesprechungen vorgesehen ist.
Ein weiterer wichtiger Bereich umfasst aktuelle Informationen zu den neuen Studiengängen in der deutschsprachigen Komparatistik (Bachelor und Master) sowie verwandten Bereichen wie Europäische Literatur- und Kulturgeschichte. Es ist geplant, diesbezüglich solche Informationen im Internet bereitzustellen und laufend zu aktualisieren, die für Studierende und Lehrende des Fachs gleichermaßen von Interesse sein dürften.
Versprechen
(2016)
Das Versprechen ist an der Grenze zwischen Sprache und Handlung zu verorten, denn ein Versprechen verweist auf die zukünftige Ausführung eines Aktes. Damit geht es mit dem Versprechen weniger um das Wissen von der Zukunft als um die Herstellung einer 'verbindlichen Beziehung' zwischen Gegenwart und Zukunft: Wenn ein Versprechen gegeben wird, geht man davon aus, dass es in der Zukunft auch eingehalten werden wird. Zur Herstellung eines 'verbindlichen' Versprechens bedarf es daher zum einen spezifischer Regeln und Methoden, zum anderen über die Sprache hinausgehender Faktoren. Der Akt des Versprechens erfordert einen Zusatz – eine Kraft, eine Absicht, einen Willen oder bestimmte Umstände. Das Versprechen führt somit paradigmatisch vor, unter welchen Bedingungen überhaupt eine sprachliche Äußerung eine Verpflichtung auf zukünftiges Handeln zum Ausdruck bringt, zumal das Versprechen auch den Kern einer ganzen Reihe zukunftsbezogener Sprechakte bildet, man denke an den Bund, das Gelübde, den Eid oder den Schwur.
Trans_Konzepte dienen der Beschreibung kultureller Formationen, die gegen binäre oder dichotomisierende Ordnungsstrukturen Offenheit, Vernetzung und Prozesshaftigkeit setzen. Ein großer Vorteil dieses methodischen Zugriffs liegt darin, dass das Untersuchungsfeld des ›Trans_‹ weder kulturhistorisch noch geopolitisch gebunden ist und somit auch einen innovativen Zugang zu historischen und längst kanonisierten Texten eröffnet – oder aber bereits beobachtete, textinterne Bewegungen beschreibbar macht. So lässt sich auch Ovids 'Narcissus et Echo' als Szenario der Trans_Geschlechtlichkeit lesen. Sobald man den Fokus der Lektüre nicht auf die Autoerotisierung der Hauptfigur legt, sondern den Text von seinem Ausgangspunkt her – der Vergewaltigung von Liriope durch ihren Vater – begreift, werden weitere textimmanente Prozesse sichtbar, die eine Bewegung des ›Trans_‹ abbilden. So lässt sich Narziss als eine psychische Auslagerung seiner Mutter verstehen, die sich nach dem gewaltsamen Zugriff auf ihren Körper im geschlechtlich Polyvalenten einen neuen Existenz- und Wahrnehmungsraum schafft. Narziss erscheint darin als geschlechtlich entortet und anhand mehrerer Spiegelungen nicht auf eine eindeutige 'Substanz' oder 'Natur' zurückführbar.
Auch wenn der hier vorgenommene Vergleich die gegensätzlichen Erinnerungsentwürfe der Romane besonders betont hat, ist es doch beeindruckend, von welcher Komplementarität beide Texte im Hinblick auf die von ihnen erzählten Geschichten und ihren Einsatz der Familie sind. Während die Erinnerungsarbeit Austerlitz' an der Unerzählbarkeit des Traumas einer verlorenen Vergangenheit scheitert und damit den Bruch des 'post-memory' markiert, gelingt Wackwitz nicht nur die Herstellung einer Kontinuität der Erinnerung als 'trans-memory', sondern letztlich auch die Verschiebung ihres 'Ursprungsortes'. Mithilfe eines 'erschriebenen' 'transmemory' gelingt es in 'Ein unsichtbares Land' durch den Entwurf einer männlich codierten Genealogie, die Mitläuferschaft des Großvaters in die eigene Herkunftsgeschichte zu integrieren. Dabei bedingt Wackwitz' 'Herkunftssehnsucht' seine Erkenntnisbedingungen, Gegenläufiges und Widersprüchliches muss ausgeklammert bleiben. Im Vergleich mit Austerlitz offenbart sich dabei eine hermeneutische Sehnsucht, die die Brüche zu den Erinnerungen der anderen, die auch die Erinnerungen der Opfer sind, systematisch übergeht. Ganz anders Sebalds Roman, in dem sich die Vergangenheits- und Zukunftslosigkeit der Figur Austerlitz jeder Kontinuität der Erinnerung verweigert.
Anhand des Klimadiskurses sollen im Folgenden zwei Modelle der Prozessierung der Natur/Kultur-Grenze vorgestellt werden, in denen unterschiedliche narrative Positionen eingenommen werden und der Grenzraum auf unterschiedliche Weise dimensioniert und strukturiert wird. Durch den Vergleich der Grenzerfahrung der Klimakrise mit der Grenzerfahrung des Krisen- und Kriegstourismus soll herausgearbeitet werden, dass zwar beide Grenzbereiche im Modus der Interpassivität rezipiert werden (können), sie hinsichtlich ihrer Handlungsvoraussetzungen und Möglichkeiten aber zu unterscheiden sind. Diese unterschiedlichen Voraussetzungen werden anhand der Theorie zur Natur/Kultur- Grenze verdeutlicht. Abschließend werden dann mit dem dystopischen Modell des 'tipping points' und dem Intensitätsmodell zwei narrative Verhandlungsstrategien der Natur/Kultur-Grenze vorgestellt. Problematisiert wird dabei die Zirkularität eines postmodernen Katastrophendiskurses, der im alarmistischen Bemühen einer Erhellung der Klimakrise eben jene Natur/Kultur-Dichotomie verfestigt, die aus der Perspektive des 'ecocriticism' die wesentliche Ursache der ökologischen Krise darstellt.
Diyalog 2016/2
(2016)
Die vorliegende Ausgabe sticht mit Beiträgen aus den komparatistischen, imagologischen, sprach-, erziehungs- und translationswissenschaftlichen Fachbereichen der Germanistik hervor. 'Literaturwissenschaftlich' sind die beiden ersten Beiträge, die sich vor allem 'komparatistisch' mit dem Thema Kafka befassen ("Kafka und sozialistischer Realismus im Blick von Peter Weiss. Eine Abhandlung anhand der Verweise des Romans 'Ästhetik des Widerstands' auf die Romane 'Das Schloss' von Kafka und 'Barrikaden am Wedding' von Neukrantz" und "Recht am Bruchpunkt: Individualitäts- Identitäts- und Zugehörigkeitsproblematik in den Romanen 'Der Proceß' von Franz Kafka und 'Das Tagebuch' von Isa von Melih Cevdet Anday"). 'Imagologisch' geht es um die "Möglichkeiten und Grenzen der Übersetzung des Fremden in das Eigene am Beispiel Georg Forsters 'Reise um die Welt'", während 'sprachwissenschaftlich' das folgende Problem diskutiert wird: "Syntaktische und semantische Fehler in den von Online-Übersetzungsprogrammen übersetzten Texten - Sprachkombination Deutsch-Türkisch/Türkisch-Deutsch". 'Translationswissenschaftlich' werden "der Begriff Translationskompetenz und seine Implikationen hinsichtlich der akademischen Translationsdidaktik" und "Abnormitäten oder Analogien bei Übersetzungen deutscher und türkischer Nebensatzkonstruktionen" diskutiert. Die Übersetzung von literarischen Titeln am Beispiel von Thomas Manns Erzählung 'Die Betrogene' und ihre Übersetzungen ins Türkische bildet das Thema des dritten Beitrags dieses Fachbereichs. Der Fachbereich "Erziehungswissenschaft" wird von zwei BeiträgerInnen vertreten: Es geht hier einerseits um eine Studie über Gebrauch und Aktivierung des Grammatikwissens in den vier Fertigkeiten im DaF-Unterricht und andererseits um die Untersuchung der Effizienz der Lehrmethoden bei der Vermittlung berufsbezogener Sprachkenntnisse der Tourismusbranche. Zwei Rezensionen ("…Deutsch-türkische Erzähltexte im interkulturellen Literaturunterricht…" und "Reflexionen über Entfremdungserscheinungen in Christa Wolfs 'Medea. Stimmen'") und Berichte über die internationale Tagung "Germanistik zwischen Regionalität und Internationalität: 60 Jahre Temeswarer Germanistik" und über das internationale Symposium "Zum 100. Geburtstag des Dichters Oğuz Tansel und die türkische Märchenwelt" runden die Ausgabe 2016/2 ab.
The biography and cultural activities of Count Albert Josef Hodic has become a central theme of a whole series of publications on the history and cultural history, in which this nobleman is approached from the biographical as well as cultural and historical perspective. Although in the specialized literature Albert Joseph Hoditz is associated with the attributes oscillating between creativity, versatility, pacifist and cosmopolitan attitude, the pursuit of literary history to illuminate his numerous representations in European literature is rather marginal. The article aims to contribute to the approximation of the image of Count Hoditz in German literature.
Neben den traditionellen Kernbereichen der Allgemeinen und Vergleichenden Literaturwissenschaft und der europäischen Literaturgeschichte gilt das besondere Interesse der komparatistischen Internet-Zeitschrift neueren kulturtheoretischen Ansätzen aus dem internationalen Raum. Darüber hinaus widmet sich Komparatistik Online vor allem den produktiven Wechselbeziehungen zwischen Literatur, bildender Kunst und Musik (Comparative Arts und Inter Arts) und den ästhetischen Grundlagen intermedialer Grenzüberschreitungen und Transferbewegungen.
Überdies sollen Beiträge zur außereuropäischen Literatur und Kultur, zur globalen Vernetzung und zur postkolonialen Situation Berücksichtigung finden. Interkulturelle und imagologische Fragestellungen bilden einen weiteren zentralen Forschungsbereich.
Geplant sind Schwerpunkthefte zu spezifischen aktuellen Themenbereichen. Daneben sollen stets auch einschlägige Forschungsbeiträge mit individueller Thematik publiziert werden.
Darüber hinaus gilt die besondere Aufmerksamkeit interessanten komparatistischen und interdisziplinären Neuerscheinungen, für die eine eigene Rubrik mit Buchbesprechungen vorgesehen ist.
Ein weiterer wichtiger Bereich umfasst aktuelle Informationen zu den neuen Studiengängen in der deutschsprachigen Komparatistik (Bachelor und Master) sowie verwandten Bereichen wie Europäische Literatur- und Kulturgeschichte. Es ist geplant, diesbezüglich solche Informationen im Internet bereitzustellen und laufend zu aktualisieren, die für Studierende und Lehrende des Fachs gleichermaßen von Interesse sein dürften.
La littérature comparée est aujourd’hui solidement implantée dans les cursus universitaires français. Elle a engagé depuis le tournant des années 2000 une série de bilans et de réflexions sur son histoire, conditions d’un renouvellement pour affronter les nouveaux défis contemporains, notamment celui du numérique et de la mondialisation. On peut difficilement, de fait, comprendre sa place dans l’enseignement et la recherche français sans rappeler, même très brièvement, l’histoire de sa constitution en pratique de la critique et en discipline universitaire, et sans tenir compte des cadres institutionnels au sein desquels elle s’exerce. Cette présentation commencera donc par là, avant d’esquisser un état des lieux et des perspectives pour l’avenir.
The world in a 'Zeitschrift'
(2015)
The relaunching of the Jahrbuch 'Komparatistik' in 2015 takes place at a time of ferment in comparative literary studies, as a discipline long focused primarily on Western Europe seeks to reconsider its position in a global landscape, and in the process to rethink the contours of European literature itself. Here I would like to discuss one new manifestation of this rethinking: the founding of the 'Journal of World Literature', which will be debuting in 2016. Published in Amsterdam by Brill, with its managing editors located in Leuven and in Göttingen, the 'JWL' represents a European initiative in comparative and world literary studies, and the journal has a global presence as well. It is overseen by an international board of editors (myself among them), and it has an association with the Institute for World Literature, a Harvard-based program supported by five dozen institutions around the world, which will be responsible for one of its quarterly issues each year. Global in outlook and outreach, the 'JWL' can equally be thought of as carrying on an originally German project: to embody the potentially vast field of comparative and world literature within the pages available in a scholarly journal. To this end, very different approaches were tried in the last quarter of the nineteenth century by two foundational journals: the 'Acta Comparationis Litterarum Universarum', published in Cluj from 1877-88 by the Transylvanian scholars Hugo Meltzl and Sámuel Brassai, and the 'Zeitschrift für vergleichende Litteraturgeschichte', founded in 1886, published in Berlin under the editorship of Max Koch. Probably the very first journals in the field – the French 'Revue de littérature comparée', for example, dates only from 1921 – these pioneering journals divided up the literary territory in very different ways. Meltzl and Brassai’s 'Acta' reflected an idealistic globalism grounded in a radical multilingualism, whereas Koch opted for a more pragmatic but markedly nationalistic conception of the field. The new 'Journal of World Literature' will need to draw on the strengths of each approach even as its editors seek to avoid the pitfalls of both.
Diyalog 2015/1
(2015)
Am stärksten vertreten sind in dieser Ausgabe die deutsch-türkische Interkulturalität und Intermedialität: Der erste Beitrag befasst sich mit der muslimischen Präsenz in Deutschland, wobei der Kern der Untersuchung ein muslimisch-deutsches Problem darstellt, welches ein Dauerbrenner in den öffentlich geführten (medialen) Debatten über Migrations- und Integrationspolitik in Deutschland ist. Der zweite Beitrag befasst sich mit den intertextuellen Bezügen, die Sabahattin Alis Roman Kürk Mantolu Madonna zu Leopold von Sacher-Masochs Novelle Venus im Pelz aufweist. Die autobiographische Erfassung der türkischen Schriftstellerinnen Halide Nusret Zorlutuna, Ismet Kür und Sevim Belli bildet das Thema des letzten Beitrags.
Im Bereich der deutschsprachigen Literatur werden eine Ode von Gottfried Herder einerseits und ein Gedicht von Christa Peikert-Flaspöhlers andererseits thematisiert.
Translationswissenschaftlich ist der Beitrag, der sich zum Ziel setzt, die vier verschiedenen türkischen Übersetzungen des phantastischen Kinderbuches "The Wonderful Wizard of Oz" miteinander zu vergleichen.
Im Bereich der Erziehungswissenschaft haben wir uns mit einer bereits viel diskutierten Problematik unseres Fachbereichs zu befassen: Die Fehleranalyse bzw. Fehlerursachen der schriftlichen Aufgaben von türkischen Deutschlernenden in der Vorbereitungsklasse.
Im Rezensionsteil tragen Buchbesprechungen zur deutschsprachigen und zur Migrantenliteraturforschung einerseits und zur didaktischen und zur Sprachwissenschaft andererseits bei, wobei die Besprechung der Festschrift für Prof. Dr. Yılmaz Özbek besondere Beachtung finden wird.
Ein detailliert informierender Workshopsbericht über das laufende Forschungsprojekt "Deutsche und Türkische Stereotype im Vergleich", das im Rahmen des deutsch-türkischen Wissenschaftsjahres vom Bundesministerium für Bildung und Forschung (BMBF) gefördert wird, schließt die vorliegende Ausgabe ab.
Diyalog 2015/2
(2015)
Die vorliegende Ausgabe bietet ganz interessante Beiträge aus verschiedenen Fachbereichen der Germanistik. Diese Beiträ ge beziehen sich auf folgende Themenbereiche: Thomas Bernhards schwarzes Humor, Else Lasker - Schülers Briefe und Alfred Döblins Montagetechnik und terminologische Entwicklung des Deutschen im Bereich der ästhetisch - plastischen Chirurgie. Der Fachbereich "Erziehungswissenschaft" wird von drei BeiträgerInnen vertreten: Es geht hier einerseits um Untersuchung der Selbsteinschӓtzungen der angehenden türkischen Deutschlehrer in Bezug auf die Schreibkompetenz und andererseits um interkulturelle Kompetenz und deren Vermittlung im DaF - Bereich. Der Beitrag über "Sprachlogik, Sprachgefühl und Sprachkompetenz" scheint im Hinblick auf Vermittlung der sprachlichen Fӓhigkeiten weitere Diskussionen zu provozieren, indem er neue Impulse für türkische Sprachkomparatisten setzt. Das Defizit an interkulturellen Beitrӓgen in dieser vorliegenden Ausgabe wird einigermassen kompensiert durch drei Rezensionen vorerst zu Rauf Ceylans Buch "Türkensiedlung" , dann zu einem Sammelband mit neuen Forschungsbeiträ gen zum Werk Feridun Zaimoglus und zuletzt zu einigen Literaturübersetzungen in der Türkei. Die Ausgabe 2015/2 wird abgerundet mit Berichten über den X. Internationalen Kongress der Germanisten Rumäniens und den XIII. Kongress der Internationalen Vereinigung für Germanistik (IVG) "Germanistik zwischen Tradition und Innovation" in Shanghai. Die Germanistik hat dieses Jahr mit dem IVG Kongress in Shanghai einen ihrer Höhepunkte erlebt. Erfreulicherweise wurde auch die türkische Germanistik mit zahlreichen Mitgliedern des GERDERs vertreten. Darüber können Sie sich mittels der Kongressberichte in unserer Ausgabe ausführlich informieren.
Komparatistische Tagung an der Universität des Saarlandes 30.09. bis 01.10.2013.
Die narrativen Entwicklungen im seriellen Erzählen internationaler Fernsehproduktionen standen im Mittelpunkt der zweitägigen Konferenz an der Universität des Saarlandes (Campus Saarbrücken), die von Solange Landau, Jonas Nesselhauf und Markus Schleich organisiert wurde. Die 24 Vorträge ließen sich allgemein drei Fragekomplexen zuordnen: In verschiedenen Ansätzen wurde der Begriff des "Quality-TV" hinterfragt, reflektiert und neu bestimmt; daneben wurden unterschiedliche Formen der Rezeption sowie der Zuschauerbindung und -interaktion vorgestellt und analysiert. Der Schwerpunkt lag jedoch, ja bereits titelgebend, auf der 'Narration' der Fernsehserie: Sowohl im komparatistischen Vergleich verschiedener Serien, als auch anhand der Poetik einer einzelnen Produktion untersuchten die Referenten die Erscheinungsformen und die Möglichkeiten des Erzählens in Serie(n).
Das wissenschaftliche Interesse auf dem Feld der Komparatistik ist in den letzten Jahren in der Türkei – auch dank wachsender Institutionalisierung des Fachgebietes – stark gestiegen. Ein Kennzeichen dafür ist der V. Internationale Kongress der Komparatistik. So treffen sich alle zwei Jahre Literaturwissenschaftler aus der ganzen Welt auf dem Internationalen Kongress der Komparatistik in der Türkei.
Ecocriticism started out in the early 1990s in the framework of American literary studies - in the Anglo sense that equates "America" with the "United States." In fact, the new field's first professional organization, the Association for the Study of Literature and the Environment, was founded as an offshoot of academic interest focused on a particular region of the United States, in the backroom of a casino in Reno, Nevada, during the 1992 annual convention of the Western Literature Association. During its first decade, the bulk of ecocritical attention focused on American literature as shaped by Thoreau and British literature as shaped by Wordsworth - a limited but powerful concentration on nature writing in the genres of poetry, nonfiction prose, and the noveI, with particular attention to Native American literature. By the turn of the millennium, in a story that has by now been told repeatedly, interest in the literature-environment nexus had grown and diversified enough that ecocriticism almost literally exploded into a much broader research area encompassing multiple historical periods (from the Middle Ages to postmodernism), genres (from poetry to the graphic novel and narrative film), and regions: the Caribbean, Latin America, East Asia, and Western Europe all emerged as new areas of ecocritical exploration. New encounters between postcolonial theory and ecocritical analysis proved particularly productive for both fields: linking historical exploration and political ecology with literary analysis, the emergent "poco-eco" matrix opened new perspectives on the connections and disjunctures between imperialism, ecological crisis, and conservation. Over the last few years, the concept of "Environmental Humanities" has increasingly co me to accompany and to superimpose itself as an umbrella term on ecocriticism and comparable research areas in neighboring disciplines: environmental history, environmental anthropology, environmental philosophy, cultural geography, and political ecology. Driven by the impulse to connect environmental research across the humanities, to justify humanistic research at institutions often prone to cut first in the humanities, and to bring the knowledge generated through humanistic research into the public sphere, environmentally oriented scholars have used the term "Environmental Humanities" as a shorthand for what they hope will be a new vision of their discipline. As of this writing, the concept remains somewhat more aspirational than real. While ecocritics and environmental philosophers have long collaborated in Australia, and environmental historians and ecocritics sometimes collaborate in the United States, the disciplines that make up the Environmental Humanities have to date largely pursued their own disciplinary trajectories. But there are signs that the tide may have begun to turn. Various universities and research organizations have started programs in the field. The Swedish environmental historian Sverker Sörlin published a brief outline of the new interdisciplinary matrix in the journal 'BioScience' in 2012, and a longer manifesto followed from the editorial collective of the newly established journal 'Environmental Humanities' at Macquarie University in Australia (Rose et al. 2012). Another journal focusing on the environmental humanities began publication in early 2014 from the University of Oregon under the title 'Resilience'.
The present article analyzes a prominent yet relatively understudied contact space among Native American, New Zealand Maori, and aboriginal Taiwanese literatures: the struggle of indigenous peoples to negotiate optimal relationships between themselves and the natural world, particularly in light of capitalist modernity and globalization. Many indigenous narratives draw sharp distinctions between native peoples and outsiders, predictably portraying the former as protectors and the latter as destroyers of both nature and indigenous local cultures. The Native American Chickasaw writer Linda Hogan's (1947-) novel 'People of the Whale' (2008), the Maori writer Patricia Grace's (1937-) novel 'Patiki' (1986), and the aboriginal Taiwanese writer Topas Tamapima's short story "Zuihou de lieren" are no exception. But these texts also problematize notions of the so-called "ecological native." They do so most conspicuously by revealing the ambiguous relationships those peoples believed closest to nature have with the nonhuman world, that is to say their environmental ambiguity ('ecoambiguity') (Thornber 2012).
Diyalog 2014/1
(2014)
[...] mit der vorliegenden Ausgabe laden wir Sie zur Lektüre hoch interessanter Beiträge der ausländischen und inländischen Kolleginnen und Kollegen ein, die zur Inter- bzw. Transkulturalität im Bereich der Literatur und Alltäglichkeit beitragen wollen. [...] Der Literatur-Teil besteht vorwiegend aus Aufsätzen, die sich mit der klassischen deutschen Literatur auseinandersetzen und zum Teil auch provozierende Meinungen vertreten.
Der Teil über Interkulturalität hat nicht nur Themen der historischen und gegenwärtigen gesellschaftlich-kulturellen Überschneidungssituationen zum Thema, sondern macht auch intermediale wie digitale Phänomene zum Diskussionsthema. Dieses disziplinenübergreifende Konzept der wissenschaftlichen Abhandlungen in den vorangehenden Teilen macht sich ebenfalls auch im Bereich der Erziehungs- und Translationswissenschaft sowie im Rezensionsteil bemerkbar.
Für viele unserer Kolleginnen und Kollegen ist 2014 wegen der zahlreichen wissenschaftlichen Tagungen und Projekte ein anstrengendes, aber um so einträglicheres Jahr, zumal wir an unseren XII. Internationalen Türkischen Germanistik Kongress zurückdenken. Rege Diskussionsrunden und effizienter Gedankenaustausch der Teilnehmer zeigten in Kocaeli deutlich auf, wie stark die türkische Germanistik im internationalen germanistischen Fachbereich vernetzt ist. Wir freuen uns nun auf Antalya, wo wir in Zusammenarbeit mit der Akdeniz Universität den XIII. Kongress wahrzunehmen planen.
Diyalog 2014/2
(2014)
Die vorliegende Ausgabe enthält Beiträge aus drei verschiedenen Wissenschaftsdisziplinen der Germanistik, die sich mit den aktuellen Themen und Fragestellungen der interkulturellen Germanistik befassen. Am stärksten vertreten sind die deutschsprachige Literatur- und Erziehungswissenschaften. Der erste Aufsatz essayistischen Charakters setzt sich mit Ernst Jüngers Niemandsland als Utopie auseinander, wobei sich die dafür interessierten Leser sicherlich zu weiteren Ideen angeregt fühlen werden. Zwei weitere Beiträge zur deutschsprachigen Literatur konzentrieren sich auf die Untersuchung der interkulturellen Aspekte der Identitätsfragen im intermedialen Bereich der Migrantenliteratur.
Im Bereich der Erziehungswissenschaft haben wir uns mit neuen Herausforderungen unseres Fachbereichs zu befassen: Zum einen wird hier die Fachprüfung für Lehramtskandidaten (das Problem der Qualifikation hinsichtlich der Prüfung für Deutsch) und ihre Folgen seit dem Jahr 2013 diskutiert und zum anderen wird versucht, darzustellen, welche Auswirkungen der sozialen Aktivitäten (am Beispiel der Anwendungsmöglichkeiten des Dramas im Bereich "Türkisch als Fremdsprache-Unterricht") auf die Lernerperformanz zu beobachten sind.
Einen interessanten Versuch im Zusammenhang mit der Sprachdidaktik verdanken wir dem Beitrag über Redewendungen mit ethnischen Ressentiments, der uns einen weiteren Horizont zu eröffnen verspricht.
Dem interkulturellen Charakter unserer Zeitschrift entsprechend veröffentlichen wir in dieser Ausgabe gerne einen Beitrag einer Romanistin aus dem Bereich der Translationswissenschaft, die uns die z.T. neuesten innovativen Ansätze der Translationsdidaktik in den romanistischen Kreisen nahezubringen versucht.
Im Rezensionsteil tragen Buchbesprechungen zur interkulturellen wie transnationalen Identitätsdiskussion einerseits und zur Text- und Soziolinguistik andererseits bei. Vier Tagungsberichte runden die vorliegende Ausgabe mit einem kurzen informierenden Rückblick auf die 2014 stattgefundenen internationalen Kongresse ab.
"Ich habe kein Wort" : Betrachtungen zu einem Topos literarischer Texte über den Ersten Weltkrieg
(2014)
Der vorliegende Beitrag befasst sich mit einem Topos, der einen literarischen Bezugsrahmen für Benjamins Befund sowie für psychohistorische Bestandsaufnahmen darstellt, nämlich der in (literarischen) Dokumenten von Kriegsteilnehmern immer wieder geäußerten Überzeugung, die 'wahre' Natur des Fronterlebnisses könne jenen nicht vermittelt werden, die diese Erfahrung nicht teilen. Dieser 'Unsagbarkeitstopos' erscheint paradox, steht er doch im Widerspruch zur schieren Fülle literarischer Zeugnisse über den Großen Krieg von 1914–1918, in denen überdies sehr häufig der Anspruch erhoben wird, die 'Wahrheit' über den Krieg zu berichten und so die falsifizierenden Bilder der Propaganda zu korrigieren. Auch widerspricht die Betonung der Nicht-Erzählbarkeit des Krieges der allgemeinen Erfahrung, wonach krisenhafte Erlebnisse zumeist einen 'narrative drive' generieren, also tatsächlich das Bedürfnis schaffen, sie zu erzählen. Im Fall von Memoiren und Romanen über den Ersten Weltkrieg bleibt dieser Widerspruch jedoch zumeist unaufgelöst.
Krieg, Mythos und Literatur
(2014)
Tatjana Marković: Memorizing battle musically : The Siege of Szigetvár (1566) as an identity signifier. - Wolf Wucherpfennig: Die Angst der Welt : Raabes Odfeld und das deutsche Kriegstrauma. - Martin Löschnigg: "Ich habe kein Wort" : Betrachtungen zu einem Topos literarischer Texte über den Ersten Weltkrieg. - Sabine A. Haring: "Kameradschaft" in der Habsburger Armee : Eine emotionssoziologische Annäherung. - Walter Hölbling: Vorstellungen von Krieg und Frieden in der US-amerikanischen Romanliteratur