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Pendant plusieurs décennies, la littérature congolaise s’est fait remarquer au niveau continental. Beaucoup d’auteurs et particulièrement les romanciers ont intéressé la critique littéraire tant qu’ils se sont distingués des autres écrivains africains par leur « façon d’écrire ». Par sa taille et le nombre de ses habitants, le Congo au XXè siècle peut être considéré comme le pays qui a le plus d’écrivains, en particulier les romanciers dont la qualité des oeuvres est manifeste. Et comme l’affirment Alain Rouch et Gérard Clavreuil, "la littérature congolaise compte actuellement parmi les meilleures, les plus prolifiques et les plus homogènes d’Afrique noire"[1] De son côté, Roger Chemain renchérit dans la préface à Tarentelle noire et diable blanc de Sylvain Bemba. Pour lui , le Congo en Afrique francophone « compte le plus fort pourcentage d’écrivains par rapport à l’ensemble de la population »[2]. Parmi les écrivains qui ont marqué l’histoire du roman congolais, on peut citer des noms célèbres tels Jean Malonga, Guy Menga, Sylvain Bemba, Jean Pierre Makouta MBoukou, Henri Lopes, Sony Labou Tansi, Emmanuel Dongala, Tchichélé Tchivéla, Tchicaya U Tam’Si... qui sont devenus aujourd’hui des classiques de la littérature (négro) africaine d’expression française. D’une façon générale, l’histoire du roman congolais se fonde sur un itinéraire marqué par deux « mouvements », deux façons d’écrire. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Der junge Ödipus, so […] Dürrenmatt […], […] wusste, dass er als Findelkind nach Korinth gekommen war. […] Apollon[s] […] Spruch gläubig annehmend, erfüllte er in heiliger Raserei das Verheißene […]. Durch das Pestorakel […] verstand er endlich den Sinn des verhängten Schicksals […]. Im Triumph führte er den Prozess gegen sich selbst, und im Triumph verstümmelte er sich. […] Dass es sich […] um eine Mythenkorrektur handelt, ist auf den ersten Blick evident. […] Aus der Tragödie des Unwissens wird ein Drama des Wissens. […]Da für das Wirken des Schicksals […] Ödipus’ Unwissen aber konstitutiv ist, dreht sich, wenn Ödipus weiß und trotzdem handelt, die Priorität zwischen Schicksal und Wille um: Ödipus […] will das als Schicksal Verhängte erfüllen. […] Wissen statt Unwissen, Zufall statt Schicksal – so lauten die Gesichtspunkte, die den ersten Teil der folgenden Untersuchung leiten sollen. Der zweite Teil zielt auf die Bedeutung der Mythenkorrektur […]. Sieht man genauer auf die referierte Ödipus-Variante, so muss man sich Sophokles’ und Dürrenmatts Fassung als ‚mythos‘ im Aristotelischen Sinne identisch vorstellen. […] Wir stehen vor dem paradoxen Befund, dass der Mythos, obwohl er in seinem Kern verändert wird, auf seiner Handlungsgestalt beharrt, und sich […] der tragische Ausgang der Geschichte behauptet. Die alte Geschichte scheint […] einen modernen Sinn ergeben zu können, für den es genügt, die Prämissen, nicht jedoch die Fatalität des Verlaufs zu korrigieren.
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Sommaire Exergue………….4 Dédicaces….………..5 Gratitudes…………..6 Introduction générale..........................7 Première partie : Identification de la figure de l’exclu 0.Prolégomènes.......................14 0.1.Qu’est-ce que l’exclusion ?..................14 0.2.Qu’est-ce qu’un « exclu » ?......................14 I :Identification de la figure de l’exclu : I.1.L’initié...................................................15 I.2.L’intellectuel..........................16 I.3.Le pauvre...........................17 Deuxième partie : Essai d’herméneutique : II.4.L’exclu, une âme dans la tourmente....................20 II.5.L’exclu, face à l’école « dénaturée ».................22 II.6.L’exclu face à la problématique des Institutions.............24 Troisième partie : Exclusion et réalités sociales : III.7.L’univers socio-textuel.....................26 III.8.L’éternel fossé entre les « in » et les « out ».................28 Conclusion générale.....................30 Bibliographie et indexes des auteurs...................32 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Selten wurde ein Werk so heftig diskutiert wie Otto Weiningers Geschlecht und Charakter, das 1903 im Braumüller Verlag erschien. Mehr oder Weininger bietet einen vielschichtigen Einblick in diesen Diskurs, der sich zwischen den Prinzipien M (Idealtypus Mann) und W (Idealtypus Weib), zwischen Emanzipation und Prostitution, Hysterie und Genialität bewegt und vom jungen Philosophen Weininger auf umstrittene Weise abgebildet wird. Schriftstellerinnen und Autoren, Journalistinnen und Interviewpartner, bewegte Frauen und haltungsstarre Mediziner äußern sich dazu in literarischen, publizistischen und theoretischen Texten. Dies ergibt eine spannungsreiche Sammlung, deren historischer diskursiver Kontext in kurzen kulturwissenschaftlichen Einführungen erschlossen wird. Etwa die Hälfte der Texte sind Erstübersetzungen aus dem Ungarischen und stellen eine bedeutende Pionierarbeit dar auf dem Weg zu einer Literatur, die es noch zu entdecken gilt. ...
DEDICACES GRATITUDES INTRODUCTION- - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -7 Formulation, délimitation et choix du sujet- - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 9 Hypothèse de recherche- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -11 Cadre méthodologique- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 13 PREMIERE PARTIE : INSCRIPTION DU DON DANS L’OEUVRE D’AMINATA SOW FALL CHAPITRE I : TYPOLOGIE DES DONS- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 17 I.1.Le don des biens et services I.2.Le don de soi et de temps CHAPITRE II : ACTEURS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 19 II.1.Le donateur II.2.Le donataire II.3.L’intermédiaire CHAPITRE III : AUTOUR DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -21 III.1.Le don comme forme d’échange III.2.Le don comme facteur d’intérêt DEUXIEME PARTIE : DON ET SOCIETE CHAPITRE IV : MOTIVATIONS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -25 IV.1.La religion et l’indigence IV.2.La culture africaine CHAPITRE V : AVANTAGES DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27 V.1.Le don comme acte humanitaire V.2.Le don comme vecteur du lien social CHAPITRE VI : DESAGREMENTS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -29 VI.1.L’émergence des classes VI.2.La dette morale CONCLUSION- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 31 BIBLIOGRAPHIE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 32 -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
In the last decade, the Penn treebank has become the standard data set for evaluating parsers. The fact that most parsers are solely evaluated on this specific data set leaves the question unanswered how much these results depend on the annotation scheme of the treebank. In this paper, we will investigate the influence which different decisions in the annotation schemes of treebanks have on parsing. The investigation uses the comparison of similar treebanks of German, NEGRA and TüBa-D/Z, which are subsequently modified to allow a comparison of the differences. The results show that deleted unary nodes and a flat phrase structure have a negative influence on parsing quality while a flat clause structure has a positive influence.
This paper develops a framework for TAG (Tree Adjoining Grammar) semantics that brings together ideas from different recent approaches.Then, within this framework, an analysis of scope is proposed that accounts for the different scopal properties of quantifiers, adverbs, raising verbs and attitude verbs. Finally, including situation variables in the semantics, different situation binding possibilities are derived for different types of quantificational elements.
This paper profiles significant differences in syntactic distribution and differences in word class frequencies for two treebanks of spoken and written German: the TüBa-D/S, a treebank of transliterated spontaneous dialogs, and the TüBa-D/Z treebank of newspaper articles published in the German daily newspaper ´die tageszeitung´(taz). The approach can be used more generally as a means of distinguishing and classifying language corpora of different genres.
Multicomponent Tree Adjoining Grammars (MCTAG) is a formalism that has been shown to be useful for many natural language applications. The definition of MCTAG however is problematic since it refers to the process of the derivation itself: a simultaneity constraint must be respected concerning the way the members of the elementary tree sets are added. Looking only at the result of a derivation (i.e., the derived tree and the derivation tree), this simultaneity is no longer visible and therefore cannot be checked. I.e., this way of characterizing MCTAG does not allow to abstract away from the concrete order of derivation. Therefore, in this paper, we propose an alternative definition of MCTAG that characterizes the trees in the tree language of an MCTAG via the properties of the derivation trees the MCTAG licences.
When a statistical parser is trained on one treebank, one usually tests it on another portion of the same treebank, partly due to the fact that a comparable annotation format is needed for testing. But the user of a parser may not be interested in parsing sentences from the same newspaper all over, or even wants syntactic annotations for a slightly different text type. Gildea (2001) for instance found that a parser trained on the WSJ portion of the Penn Treebank performs less well on the Brown corpus (the subset that is available in the PTB bracketing format) than a parser that has been trained only on the Brown corpus, although the latter one has only half as many sentences as the former. Additionally, a parser trained on both the WSJ and Brown corpora performs less well on the Brown corpus than on the WSJ one. This leads us to the following questions that we would like to address in this paper: - Is there a difference in usefulness of techniques that are used to improve parser performance between the same-corpus and the different-corpus case? - Are different types of parsers (rule-based and statistical) equally sensitive to corpus variation? To achieve this, we compared the quality of the parses of a hand-crafted constraint-based parser and a statistical PCFG-based parser that was trained on a treebank of German newspaper text.
Der 200. Todestag Friedrich Schillers- wären zu diesem Anlaß folgende Feiern vorstellbar: In vielen deutschen Städten werden nicht einzelne, sondern ganze Zyklen von Festreden gehalten, nicht nur von Germanisten, sondern auch von Ministern, Ministerpräsidenten, vom Bundespräsidenten und von Ehrengästen aus dem Ausland; sie füllen Hör- und Festsäle, die für den Publikumsandrang nicht groß genug sein können; die Theater sowieso, aber auch viele Laiengruppen spielen und rezitieren Schiller, so daß von der Großstadt bis zur lokalen Vereinsbühne ein flächendeckendes Angebot herrscht; dessen Popularität wird nur noch von Denkmalseinweihungen übertroffen, die zu Volksfesten auswachsen; der Bundespräsident ruft zur nationalen Schiller-Spende für Forschung und Nachlaß-Pflege auf; die Kinder haben schulfrei. Überwältigend. Und auch: unvorstellbar – jedenfalls für das Jahr 2005 sowie für die absehbar weiteren Jahren, etwa 2009, wenn Schillers 250. Geburtstag ansteht. Die Vorstellung eines nationalen Spektakels gehört nicht in die Gegenwart und nicht in die Zukunft, sondern in die Vergangenheit der Schiller-Jubiläen...
Als 1983 der Roman "Die Klavierspielerin" erschien, war Elfriede Jelinek längst keine unbekannte Größe mehr. Der Roman beginnt damit, dass die Klavierspielerin Erika Kohut "wie ein Wirbelsturm in die Wohnung" "stürzt", "die sie mit ihrer Mutter teilt". Es gibt Sätze, deren Gehalt sich geradezu in einer Disproportion zu ihrer Länge befindet, so auch dieser Satz -naturgemäß, weil er der erste des Buchs ist und dadurch das Privileg hat, das Meiste zu sagen und in die riesige Einheit eines Romantextes einzustimmen, und wir die Stimme des Romans an der Stimme dieses ersten Satzes messen. Jedes Satzglied ist mit so viel Information geladen, dass die Aussagekraft des Satzganzen seinen syntaktisch-strukturellen Rahmen sprengt und Sinnsignale in seine nächste Umgebung bzw. über diese hinaus sendet. "Sie ist Nichts. Und nichts gibt es mehr für sie", heißt es im Roman "Die Klavierspielerin" von der Protagonistin Erika Kohut. Je ferner man im Abseits ist, desto näher befindet man sich an dem Abgrund, der "Nichts" heißt. "Die Klavierspielerin" ist ein Roman über das Außenseitertum darüber, wie man ins Abseits kommt. Das Abseits liegt zwischen dem Weg und dem Nichts: hier das Leben, dort der Abgrund.
Woher kommt das neuerwachte Interesse an Sprachrichtigkeit? Woher kommt die ausgeprägte sprachliche Unsicherheit, die auch bei vielen hochgebildeten Menschen den Wunsch entstehen lässt, von Sprachpflegern über ihr Ureigenstes, nämlich ihre Muttersprache, belehrt zu werden? Obwohl Antworten auf diese Fragen letztlich spekulativ bleiben, wage ich doch die These, dass eine Ursache hierfür die Rechtschreibreform ist, die von einem Großteil der Bevölkerung nach wie vor nicht angenommen wird, die insgesamt weder zur Vereinfachung noch zu einer höheren Einheitlichkeit geführt hat; die aber andererseits ein öffentliches Nachdenken und Diskutieren über Sprachrichtigkeit in Gang setzte. – Jedenfalls ist die Verunsicherung ein Faktum, das von Linguisten nicht ignoriert werden sollte.
Ausgangspunkt: Die Kritik am "Zwei-Welten-Modell": Die grundlegende linguistische Unterscheidung zwischen "Sprache" und "Sprechen" ist im Rahmen der neueren Debatten um Sprachmedialität wieder verstärkt thematisiert und kritisiert worden. Lässt sich dieses schulbildende, in der Linguistik geradezu eherne Begriffspaar überhaupt noch sinnvollerweise aufrechterhalten? Oder muss es mindestens umdefiniert, vielleicht sogar gänzlich verworfen werden? Hat sich insbesondere die auf Chomsky zurückgehende Unterscheidung von Sprachkompetenz und -performanz nicht von selbst ad absurdum geführt, nachdem der linguistische Kognitivismus chomskyscher Provenienz Sprache als lebendiges Phänomen, als Medium menschlicher Kommunikation, vollständig aus dem Blick verloren hat? Führt nicht schon die scheinbar harmlose linguistische Differenzierung zwischen einer Sprachregel und ihrer Anwendung zu einer irreführenden und unangemessenen Verdinglichung von Sprache? ...
Die "wîlsælde"-Disputation : zur Auseinandersetzung mit der Astrologie in der "Kaiserchronik"
(2005)
Als Einschub in der mittelhochdeutschen "Kaiserchronik" bieten die drei Disputationen weitaus tiefer greifende philosophisch-theologische Betrachtungen als der übrige Erzähltext. Die "wîlsælde"-Disputation greift die Auseinandersetzung mit der Astrologie auf. Der vorliegende Aufsatz vergleicht dieses Streitgespräch mit seiner patristischen Vorlage, den pseudoklementinischen "Recognitiones", und erkäirt die Umgestaltung des Stoffes in der "Kaiserchronik" im Hinblick auf Unterschiede in den astrologischen Richtungen im 4. und im 12. Jahrhundert.
This paper describes the creation and preparation of TUSNELDA, a collection of corpus data built for linguistic research. This collection contains a number of linguistically annotated corpora which differ in various aspects such as language, text sorts / data types, encoded annotation levels, and linguistic theories underlying the annotation. The paper focuses on this variation on the one hand and the way how these heterogeneous data are integrated into one resource on the other hand.
In der Stadt Wolfenbüttel wurde 1592 am damaligen Hof der Welfenherzöge von Braunschweig und Lüneburg das erste stehende Theater in Deutschland mit einem festen Ensemble gegründet. Das heutige "Lessingtheater" wurde im klassizistischen Stil erbaut und 1909 eröffnet. Es wird als Bespieltheater betrieben. Zur Zeit bietet der "Kulturbund der Lessingstadt Wolfenbüttel e. V." (gegr. 1946) im Auftrage der Stadt ein Programm von 50 bis 70 Vorstellungen jährlich auf dieser Vollbühne (10 m x 8 m) an mit jetzt ca. 600, später dann ca. 500 Zuschauerplätzen. Dieses Programm setzt sich zusammen aus Tourneetheateraufführungen, aus Gastspielen des Nordharzer Städtebundtheaters Halberstadt/ Quedlinburg und der Landesbühne Rheinland-Pfalz. Zu seinem 100-jährigen Bestehen im Jahr 2009 steht eine umfangreiche und umfassende bauliche Erneuerung an, um das Gebäude den Erfordernissen der Zeit in bühnentechnischer wie architektonischer Hinsicht anzupassen. Die Vorstellungen darüber, wie das Theater zukünftig räumlich gestaltet und ausgestattet und welche bühnentechnische Ausstattung dazu eingerichtet werden sollte, werden seit einiger Zeit in Rat und Verwaltung, bei möglichen Geldgebern sowie in der kulturpolitisch interessierten Öffentlichkeit Wolfenbüttels erörtert.
The current study was part of a series of environment related studies of the Jabal Akhdar sponsored by the Sultan Qaboos University, Al Khoud, Sultanate of Oman. The present study aimed to establish the range, habitat, status and population of breeding species in the area, review the historical perspective and list migrant and visitor species noted during the survey.
Der Autor beschäftigt sich u. a. mit den Fragen: Welchen Stellenwert haben unsere literarischen Bildungsgüter in der Mediengesellschaft? Stehen Goethe und Schiller, das Dioskurenpaar der deutschen Klassik, noch fest auf dem Weimarer Sockel, oder zerbröselt dieser zum Sanierungsfall, en passant besucht auf Klassenfahrten, von denen nur das ins heimische Bücherregal wandert, was leicht faßlich ist?
In seiner Vorlesungsreihe zu den Anormalen rekonstruiert Foucault die Genealogie des Anormalen-Diskurses, wie er in der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts emergierte. Damals formierte sich „die unbestimmte und verworrene große Familie der ‚Anormalen‘“ (421); eine Familie, deren Stammbaum nach drei Stämmen aufgeteilt werden kann: nach den Genealogien des Monsters, des Korrektionsbedürftigen und des Onanisten. Unser Vorlesungsausschnitt (124-142) nun gehört zum Versuch der historischen Rekonstruktion des Monsterdiskurses.
Edition und Open Access
(2005)
Der Wiener Kanoniker Ladislaus Sunthaim, einer der um 1500 am historisch-genealogischen Forschungsprojekt Maximilians I. tätigen Gelehrten, wurde von Fritz Eheim - unter anderem in seiner leider ungedruckt gebliebenen Prüfungsarbeit am IfÖG 1950 - als einer jener reisenden Historiker in der Zeit des Humanismus porträtiert, die unter anderem in Klosterarchiven und -bibliotheken nach verborgenen Quellenschätzen fahndeten. Im Zeitalter von Kopie und Mikrofilm ist es wesentlich einfacher geworden, an entlegene handschriftliche Quellen zu kommen. Heutzutage macht sich der reisende Historiker auf den Weg, um in anderen Bibliotheken und Forschungsinstituten umfangreiche kommerzielle Datenbanken und digitale Sammlungen zu konsultieren, die sich die eigene Institution nicht leisten kann oder will, denn ein unkomplizierter Fernzugriff ist aus urheber- und lizenzrechtlichen Gründen nicht möglich.
Während der Brief in Zeiten von persönlichen Krisen und Konflikten mancherlei Unannehmlichkeiten aus dem Kommunikationsweg räumt, stellt der Kontext Krieg für das Briefeschreiben in vielerlei Hinsicht eine Herausforderung dar. Der Privatbrief (Epistula familiaris) ist in der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts in Westeuropa – das heisst auch zur Zeit des 2. Weltkriegs – das wichtigste Medium informeller Distanzkommunikation, welche im Allgemeinen durch Inoffizialität und Spontaneität, durch Individualität und Vertraulichkeit gekennzeichnet ist. In der Regel ist der Privatbrief im juristischen Sinne nicht verfügbar. Ein Kennzeichen ist somit auch seine Nichtreproduzierbarkeit. Neben der thematischen Offenheit macht sich meist eine stärkere stilistische Freiheit bemerkbar. Zeichen von Flüchtigkeit oder Sorgfalt sind ausser den Formalia des Datums, der Anrede, des Textkörpers und der Unterschrift, über das geschriebene Wort hinaus nonverbale Informationen wie die Lesbarkeit der Schrift, die Wahl des Papiers, Schreibwerkzeug sowie die Länge eines Briefes (vgl. Ermert 1979, Nickisch 1991, Beyer/ Täubrich 1996, Zott 2003). Der Privatbrief wird zwar im graphischen Medium der Schrift realisiert, steht aber stilistisch der konzeptionellen "Mündlichkeit" näher. (Koch/ Oesterreicher 1994, 587) Der private Briefwechsel wird spontan aufgenommen und kann in der Regel ohne Zwang abgebrochen werden (vgl. Zott 2003). ...
Johann Jakob Engel wurde […] wiederholt als bedeutender Theoretiker des Gesprächs bezeichnet, dessen unterschiedliche Tätigkeiten allesamt eine Beziehung zum Dialogischen erkennen lassen. […] Zusätzlich zur Gattungstheorie interessiert ihn ein darüber hinausgehendes spezifisches Verfahren des Gesprächs: das Dialogische. Dadurch, daß er die Leistungen des Dialogischen mit Blick auf eine anthropologische Poetik herausarbeitet, gerät das philosophische Gespräch in eine fruchtbare Beziehung zu anderen literarischen Gattungen. Dem Konzept des Dialogischen, das Engel hauptsächlich in seinem Aufsatz „Ueber Handlung, Gespräch und Erzählung“ (1774) entwickelt, soll zunächst nachgegangen werden, um in einem zweiten Teil die Fragestellung auf Engels gattungsspezifische Dialogpraxis einzuengen, wie sie sich an der Rezension von Diderots „Contes Moreaux“ (1774) und des „Versuchs einer Methode die Vernunftlehre aus Platonischen Dialogen zu entwickeln“ (1780) ergibt. Das Interesse der Untersuchung liegt dabei besonders auf der für die Aufklärung so brisanten Spannung zwischen Normativität und Faktizität, wie sie in der Konfrontation des didaktischen und des offenen Dialogs zutage tritt.
Die deutsche Präposition-Artikel-Enklise bietet wie kaum eine andere Grammatikalisierung Einblicke in den Mikrobereich von Grammatikalisierungsprozessen: Klare, "zielorientierte" Verhältnisse sind hier nicht zu beschreiben, was der Grund für ihre bisher so geringe Beachtung durch die Grammatikalisierungsforschung sein dürfte. Es wurde deutlich, dass bezüglich der hier als zentral bewerteten Morphologisierung des Artikels das gesamte Spektrum von Nichtverschmelzbarkeit bis hin zu (kurz vor Flexiven stehenden) obligatorisch verschmelzenden speziellen Klitika abgedeckt ist. Diachron hat sich zwar insgesamt eine deutliche Rechtsdrift auf der Grammatikalisierungsskala vollzogen; bezüglich des Genitivartikels hat jedoch eine Degrammatikalisierung in Form von sog. retraction (gemäß Hapelmath 2004) stattgefunden, die hier in einer Demorphologisierung (Resyntaktisierung) eines Klitikons besteht. Dabei findet keine "Relexikalisierung" im Sinne einer lexikalischen Anreicherung eines bereits grammatikalisierten Elements statt (siehe hierzu Haspelmath 1999). Mittel- und frühneuhochdeutsche Verschriftungen deuten auf reichere Inventare an Verschmelzungs formen hin, doch sind hierzu diachrone Untersuchungen erforderlich. Ebenso ist der Übergangsbereich zwIschen einfachen und speziellen Klitika in sich abgestuft und weitaus komplexer gestaltet als hier dargestellt. Auch dazu besteht Bedarf an Detailanalysen unter der Fragestellung, welche der unter Abschnitt 2.2 aufgeführten Artikelfunkttonen am ehesten eine Präposition-Artikel-Verschmelzung erfordern. Einiges deutet auf den am stärksten desemantisierten (expletiven) Artikel z.B. vor Eigennamen hin. Um den Einfluss von Schriftlichkeit und Standardisierung auf Grammatikalisierungsprozesse ermitteln zu können, wurden zwei Dialekte in den Blick genommen: das Ruhrdeutsche, das die Erwartung nach deutlich fortgeschritteneren Verhältnissen erfüllt, und das Alemannische, das andere Phänomene ausgebildet hat wie etwa die Proklise des Artikels an das Substantiv, die Nullrealisierung klitischer Artikelformen und den kategorialen Umbau der vier Nominalkategorien am Artikel. Die Einbeziehung weiterer Dialekte und vor allem auch der gesprochenen "Umgangssprache" könnte weiteren Aufschluss über die Ratio dieser Grammatikalisierung liefern. Sollten flektierende Präpositionen Ziel dieses Wandels sein, so hätte dies tiefgreifende Konsequenzen für die Grammatikschreibung.
Bis heute bildet die Morphologie keinen Schwerpunkt der Dialektlinguistik. Dies wird immer wieder moniert. H. Tatzreiter (1994) kommt nach seinem Streifzug durch die "Bibliographie zur Grammatik der deutschen Dialekte" von P. Wiesinger / E. Raffin (1982) zu dem Ergebnis, "daß die Leistungskurve im grammatischen Bereich ,von der Lautlehre über die Formen- und Wortbildungslehre bis zur Satzlehre' steil abfällt" (S. 30 bzw. P. Wiesinger / E. Raffin 1982, S. XXIX). Ein weiteres Problem sieht er in der besonders durch die angelsächsische Tradition motivierten Vernachlässigung der Morphologie die zwischen der phonologischen, lexikalischen und syntaktischen Ebene ein gefährdetes Dasein fristet" (S. 30): "So lange die Morphologie sich nicht aus der 'Umklammerung' der Phonologie und Syntax lösen kann, um eigenständig als Forschungsobjekt zu gelten, wird es um die umfassende Erforschung und Darstellung schlecht bestellt sein" (S. 34).
Wiederholt ist auf das onomastische Dokumentations- und Forschungspotential digital gespeicherter Telefonanschlüsse hingewiesen worden. Auch sind auf dieser Basis bereits Untersuchungen zum Inventar und zur Verbreitung deutscher Familiennamen entstanden. Durch neue Software zur Auswertung digitaler Telefonanschlüsse ergeben sich inzwischen fast unbegrenzte Möglichkeiten, das Familiennamensystem Deutschlands erstmals überhaupt zuverlässig zu erfassen, zu dokumentieren und auf bestimmte Phänomene hin zu befragen. In Minutenschnelle ist es nun beispielsweise möglich, alle Komposita auf -müller in Listen zusammenzustellen und in Karten deutschlandweit in ihrer Verbreitung sichtbar zu machen.
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Dans ce travail, nous avons le dessein de traduire le caractère ambiguë de la langue, du langage à travers un projet oecuménique orienté vers la diversité dans l’unicité. Ahmadou KOUROUMA nous propose, à travers la bouche de son protagoniste, BIRAHIMA, de raconter un « blablabla » qui, en fin de compte, est complexe et fort enrichissant. Car sa mission est d’illustrer en filigrane la différence linguistique entre le français et le malinké. De même, Ytsia-MOON et les autres protagonistes de Parole de vivant semblent ne pas vouloir se laisser piéger par les incohérences de la langue française et complètent parfois leurs propos avec leur langue propre : le Ipunu. Ce travail, axé sur le langage à travers la langue d’ Ahmadou KOUROUMA et de Auguste MOUSSIROU MOUYAMA, n’est qu’un jalon. C’est assurément un thème que nous envisageons orienter vers l’exploration de toute la littérature africaine écrite, c’est-à-dire celle en langue anglaise et celle en langue française. Avant tout, nous tenons à avertir la classe littéraire du fait que ce travail que nous commençons fut entamé par Nicolas MBA ZUE2 lors de la journée du 24 janvier 20043 en hommage à Ahmadou KOUROUMA. Cela aurait pu nous détourner ou décourager du choix de ce thème. Mais une telle solution aurait été une fuite en avant. La métadiscursivité est un champ si vaste qu’au regard de cette première ébauche, on pourrait simplement parler d' « écorchure ». C’est ce qui fait en sorte que nous restions attachés à notre dessein d’en faire un thème d’étude pour les années à venir.
Trubetzkoy's recognition of a delimitative function of phonology, serving to signal boundaries between morphological units, is expressed in terms of alignment constraints in Optimality Theory, where the relevant constraints require specific morphological boundaries to coincide with phonological structure (Trubetzkoy 1936, 1939, McCarthy & Prince 1993). The approach pursued in the present article is to investigate the distribution of phonological boundary signals to gain insight into the criteria underlying morphological analysis. The evidence from English and Swedish suggests that necessary and sufficient conditions for word-internal morphological analysis concern the recognizability of head constituents, which include the rightmost members of compounds and head affixes. The claim is that the stability of word-internal boundary effects in historical perspective cannot in general be sufficiently explained in terms of memorization and imitation of phonological word form. Rather, these effects indicate a morphological parsing mechanism based on the recognition of word-internal head constituents. Head affixes can be shown to contrast systematically with modifying affixes with respect to syntactic function, semantic content, and prosodic properties. That is, head affixes, which cannot be omitted, often lack inherent meaning and have relatively unmarked boundaries, which can be obscured entirely under specific phonological conditions. By contrast, modifying affixes, which can be omitted, consistently have inherent meaning and have stronger boundaries, which resist prosodic fusion in all phonological contexts. While these correlations are hardly specific to English and Swedish it remains to be investigated to which extent they hold cross-linguistically. The observation that some of the constituents identified on the basis of prosodic evidence lack inherent meaning raises the issue of compositionality. I will argue that certain systematic aspects of word meaning cannot be captured with reference to the syntagmatic level, but require reference to the paradigmatic level instead. The assumption is then that there are two dimensions of morphological analysis: syntagmatic analysis, which centers on the criteria for decomposing words in terms of labelled constituents, and paradigmatic analysis, which centers on the criteria for establishing relations among (whole) words in the mental lexicon. While meaning is intrinsically connected with paradigmatic analysis (e.g. base relations, oppositeness) it is not essential to syntagmatic analysis.
SOMMAIRE EXERGUE……………………………………………………………………2 DEDICACES…………………………………………………………………3 GRATITUDES……………………………………………………………….4 SOMMAIRE………………………………………………………………… 5 INTRODUCTION………………………………………………………….6 O. HISTORIOGRAPHIE…………………………………………………….7 O.1. FORMULATION ET DELIMITATION DU SUJET…………………..8 O.2. INTERET DU SUJET…………………………………………………..9 O.3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DE RECHERCHE…………..10 O.4. CADRE METHODOLOGIQUE……………………………………… 11 PREMIERE PARTIE : LA POETIQUE DU MIRAGE……………… 12 CHAPITRE I : LE CONTEXTE RURAL………………………… 13 · LA VIE AU VILLAGE : QUOTIDIEN DIFFICILE…13, 14 CHAPITRE II : L’ IMMIGRATION………………………………….15 2.1. LE RETOUR DE L’IMMIGRE AU PAYS NATAL 15,16 2.2. LE REVE…………………………………………… 16,17 2.3. MADICKE……………………………………………… 17 DEUXIEME PARTIE : ESSAI DE DECONSTRUCTION DU MYTHE DU MIRAGE……………………………………………………………………18 CHAPITRE III : L’IMMIGRATION EN QUESTION…………………19 3.1. LA DEMYSTIFICATION DE L’OCCIDENT…………19,20 3.2. LA SITUATION DE L’IMMIGRE EN FRANCE…20, 21,22 CONCLUSION……………………………………………………………23,24 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………25,26,27,28 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Le thème qui fait l’objet de notre exposé s’intitule : « L’inscription de la folie dans la poésie gabonaise ».Il faut dire que le motif de la folie n’est pas nouveau en littérature ; plusieurs écrivains africains pour ne citer que ceux-là, en ont fait largement écho, lorsqu’ils ont voulu, ,à la naissance de la littérature à l’aurore de la littérature négro-africaine, répondre par le dénie aux propos vaguement racistes que l’homme blanc était parvenu à faire admettre dans les consciences, propos selon lesquels ,l’homme noir serait un grand enfant malade, un fou qu’il fallait à tout prix ramener à la raison au moyen d’un traitement approprié. Aimé CESAIRE reconnaîtra avec un humour noir,comme pour couper de l’herbe au pied du Blanc insolent dans son Cahier d’un retour au pays natal : « Nous nous reconnaissons de la démence précoce, de la folie flamboyante, etc. ». L’oeuvre que nous avons choisi pour notre étude est Patrimoine de Lucie MBA . A travers cet ouvrage, nous examinerons l’ état de la folie dans sa splendeur afin de révéler la folie non pas seulement comme elle se fait voir ,mais encore comme on ne l’a jamais vu ; d’en voir les aspects les plus forts et les plus vils ; de voir le caractère contrastant que peut nous laisser entrevoir ce thème à travers la plume de Lucie MBA . -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Dans sa biographie parue dans Anthologie de la littérature gabonaise (1976), les co-auteurs Yvonne Léyimangoye et Blaise Nicolas écriront : « il est très tôt initié à la tradition par son père, réputé pour sa connaissance des Sciences sacrées. […]. il apprend auprès de Zuè-Nguéma, Eko Bikoro et Edou Ada l’art de jouer du Mvett. […]. Ecrire le Mvett a été pour lui une manière d’apporter sa contribution à la culture universelle.» (p. 35). L’oeuvre de Tsira Ndong Ndoutoume ne se circonscrit pas uniquement au Mvett. Passionné d’écriture, c’est lui qui publie en 1944 l’une des premières nouvelles de la littérature gabonaise : Que les pieds voyagent afin que les yeux voient. En 1970, avec le tome 1 du Mvett, il est le deuxième gabonais, après André Raponda-Walker, à publier une oeuvre littéraire dans la prestigieuse maison d’édition Présence Africaine.
A synthesis of the Carabid fauna of the Central and Eastern Alps and Pre-Alps, from a biogeographical point of view, is presented. Only the Italian side of the Alpine chain is considered, from the basin of the Toce river to the Trieste and Gorizia Karst. Main features of the landscape are: 1. an ancient orogenetic history and evolution, that made this area available to the colonization by carabids, of both gondwanaland and laurasian lineages, since the lower Tertiary; 2. a marked geological and geo-morphological complexity, with highest elevation at Pizzo Bernina m 4.049; 3. the presence of a very developed, dolomitic-calcareous and markedly carsified prealpine belt, rich of deep and large hypogean systems (also at high altitude), which makes this area highly different, from the geo-morphological point of view, from the Western Alps; 4. the geographic position, as a mountain chain of some 750 kms between central Europe and the Padanian plain, connected with the Caravanche and the Dinaric chain and close to the Adriatic sea in me Eastern part; 5. finally, a puzzled climate situation, that includes xero-thermic areas (500-700 mm of rain per year, also in some intra-alpine sectors), close to highly rainy areas - more than 2.500 mm per year - in the westernmost and easternmost parts of the chain. Thus, like in the Western Alps, sub-mediterranean vegetation types, dose to cool-moist forests, coexist with high-altitude environments above the timber line. These facts explain the heterogeneity, the richness, the variety, and the interest of the carabid fauna of the area: the highest number of species (658) ascertained so far, i.e. 112 of the whole Italian carabid fauna and about 115 of the carabid fauna cited so far for the Europe in politic sense, fi·om me Canary islands to the Urals; the high number of euri- or stenoendemites (204, i.e. abour 31 % of the species, 3/5 of which concentrated in the pre-alpine belt), and the complex origins and/or affinities of different taxa. A large number of species (174, i.e. 26%) belongs to European chorotypes (European, South-European or typically Alpine), and even more (255, i.e. 38%) to Holarctic (Holarctic, Palaearccic, West-Palaearctic, Asiatic-European, Siberian-European, Central-Asiatic-European, Central-Asiatic-European-Mediterrancan, Turanic-European, Turanic-EuropeanMediterranean, European-Mediterranean) chorotypes. This darum confirms the well known role, both of connection and separation, that the Alps as a whole played between Europe and the Mediterranean area. Furthermore, it is to be recalled the presence, in some localities of the Eastern Alps, of micro thermophilous, boreal species, like Miscodera arctica, now widespread in Northern regions of the Holarctic Region. Many orophilous, forest-dwelling, riparian and hygrophilolls species, are of northern, north-eastern, ruranic or dinaric-balkanian origin. A very small, bur interesting group of thermophilous elements (mostly Harpalini), originally from the Mediterranean area or temperate steppes, during the hypsothermic periods of the Pleistocene and Olocene, reached the Central and Eastern Alps and Pre-Alps, and persist in xerothermlc biotopes. Some of these could increase their range of distribution as a consequence human activities in agricultural use overgrazing and deforestation. Some others, like Carabus montivagus and Laemostenus algerinus, seem to be present owing to very recent anthropogenic introduction. From the biogeograpic point of view, however the most important group of species is represented by the impressive number of endemics (204, of which 116 species restricted to politic Italy), either eurendemics to Central and Eastern Alps and Pre-Alps, or stenoendemics to single sectors of the area or to very small biotopes (caves, isolated montane massifs): among these, we may cite some large-sized species like Cychrus cylindricollis, endemic at high altitude, to the Central Pre-Alps, several montane, very localized Trechus species, many subterranean, highly specialized Trechini of the peculiar genera Boldoriella, Orotrechus, Anophthalmus, Allegrettia, Italaphaenops, Lessinodytes: many Pterostlchini, and others, Most of them must be considered as pre-Quaternarian elements, With affinltl,es either til Gondwana (such as the blind Reicheina of the genus Alpiodytes), or in the Angarian (as the Broscosoma species) areas, They are, the result of an ancient, subtropical or temperate forest dweller Carabid fauna, tied now to soil: forest littter, superficlal subterranean environment, caves, and upper montane refugia, Both from floristic and faunistic informatlon, It IS a well known fact that the pre-alpine belt as a whole represents a large, unique Pleistocene refugium, that shows a scenario of marked isolation and speciation in mountains, valleys and hypogean compartments. The analysis of the entire Carabid fauna in the Central and Eastern Alps and Pre-Alps shows that the present composition and complexity is the result both of ancient clado-vicariance events and of recellt, ecological factors, These facts surprisingly make this area (not only concerning carabids) very close to important towns and to one of the most populated, cultivated and industrialized area of Italy (the Padanian plain), and in spite of its relatively small surface, one of the most important hot spar of biodiversity in Europe, in which many biotopes are presently highly endangered, or in some cases completely destroyed, A checklist of the Carabid species of the Central and Eastern Alps and Pre-Alps, with their chororypes, is added.
[D]ie polnischen Familiennamen [unterlagen] bis ins 19. Jahrhundert hinein nur geringer amtlicher Kontrolle [...]. Diese Situation begünstigte den sukzessiven Aufbau onymischer Allomorphik aus den […] Flexions- und Derivationsmorphemen, die ursprünglich zur Bildung von Herkunftsbezeichnungen, Patronymika und Übernamen angewendet wurden. Die sekundäre Nutzung dieser Flexions- und Wortbildungsmorpheme als onymische Suffixe trieb den […] Dissoziationsprozess der Familiennamen voran. Die wachsende Produktivität dieser onymischen Morphe, die bis heute andauert, sicherte ihnen die Spitzenposition unter den Proprialitätsmarkern im polnischen Familiennamensystem. Heute sind die onymischen Allomorphe -ska, -ski, -icz, -ak das wichtigste Mittel, mit dem die Zugehörigkeit eines Wortes zum Onomastikon gekennzeichnet wird. […] In diesem Beitrag werden die Entstehungswege und die Ausbreitungspfade der drei produktivsten Gruppen der polnischen onymischen Suffixe präsentiert. Es werden auch die außersprachlichen Faktoren berücksichtigt, die die Erhöhung der Produktivität durch sukzessive Erweiterung der Kombinationsmöglichkeiten der einzelnen Suffixe ermöglicht haben. Es wird gezeigt, dass die ursprünglichen Selektionsbeschränkungen der Basen mit den Suffixen (Toponyme + -ska-Suffixe, Appellative und Adjektive + k-haltige Suffixe, Vornamen + -icz-Suffixe) im Zuge ihrer Ausbreitung und Festigung aufgegeben wurden. Die onymischen Allomorphe sind heute frei kombinierbar und können im Falle des Namenwechsels zur Bildung eines neuen Namens herangezogen werden.
Erst ausgehend von ihrer Erfindung in der bildenden Kunst hielt die Landschaft Einzug in die Literatur; literarische Landschaftsdarstellungen im engeren Sinn finden sich gegenüber malerischen Landschaftsdarstellungen erst mit deutlicher Verzögerung, wenngleich sie auch literarische Vorläufer haben. Was man unter Landschaften in der Literatur alles verstehen sollte, mag umstritten sein. In jedem Fall liegt es nahe, literarische Landschafts-Texte mit bildkünstlerischen Darstellungen zu vergleichen.
Propagandafilme der NSDAP
(2005)
Dass dokumentarische Filme auch Propagandazwecken dienen können, war in den 20er und 30er Jahren international akzeptierter Konsens. Der nationalsozialistische Propagandafilm war, so gesehen, keine ausgesprochene dokumentarische Entgleisung. Wie die nationalsozialistische Partei und später der NS-Staat den Dokumentarfilm nutzten, um ihre Ideologie und Ziele zu verbreiten, untersucht Peter Zimmermann in diesem Beitrag. Er behandelt den nationalsozialistischen Propagandafilm von den Anfängen der Wahlwerbung über die Parteitagsfilme bis zur Verbreitung der arischen Rassenideologie. Besonderes Augenmerk legt er auf die Ästhetik der Riefenstahl-Filme mit ihrer idealisierenden Verklärung Hitlers und der NSDAP und auf die filmische Konstruktion von Feindbildern wie in Hipplers Propagandafilm "Der ewige Jude". Die einzelnen Kapitel sind Auszüge aus Band 3 des Sammelwerks "Geschichte des dokumentarischen Films in Deutschland".
Am Ende einer längeren Studie zu den Filmen David Lynchs habe ich einmal behauptet: Sich einzugestehen, "Lost Highway" nicht zu verstehen ist der erste Schritt zum Verständnis von "Lost Highway". Das klingt paradox, ja, vielleicht sogar ein wenig esoterisch. Gemeint ist damit aber dreierlei. Erstens: Der Film "verbaut" uns den verstehenden Zugang über den Plot, weil er eine Reihe von Unwägbarkeiten und Hindernissen einfügt, die einander widersprechen und jede entstehende Theorie über die Handlungszusammenhänge und Bedeutung desavouieren. Zweitens meine ich, dass diese Hindernisse zu erkennen und sie bewusst "zu umfahren", also einen narrativen Zugang zum Film zu vermeiden, eine mögliche und ganz passable Art den Film zu verstehen sein kann. Und drittens bringt diese Aussage den Zuschauer als aktiven Part der Sinnproduktion ins Spiel – aber weit mehr, als es die Rezeptionstheorie denkt.
Spätestens seit dem spektakulären Kannibalismus-Fall von 2001, bei dem der mittlerweile inhaftierte Armin Meiwes aus Rotenburg den Berliner Ingenieur Bernd Jürgen Brandes, den er über das Internet kennen gelernt hatte, mit dessen Einverständnis tötete und teilweise verspeiste, ist das Thema "Kannibalismus" wieder in aller Munde. Die Art und Weise des Umgangs mit dem Tabu offenbart ein "kannibalisches Verlangen" nach solchen Geschichten.
"Der Krieg ist der Vater aller Dinge" - einer jener (übrigens falsch übersetzten) Philosopheme, für die der Vorsokratiker Heraklit bekannt geworden ist, scheint eine gewissen Gültigkeit zu besitzen, wenn man sich die kulturellen Auswirkungen von Kriegen vor Augen führt. Der Film hat sich der Katastrophe des Krieges immer besonders schnell angenommen und Bilder des Schreckens und der Verarbeitung inszeniert.
Ihrem letzten Roman "In Amerika" (2000) stellte Susan Sontag als Motto eine Zeile des afroamerikanischen Poeten Langston Hughes voran: "America will be!" Der Lockruf eines Landes, das permanent im Entstehen ist, das wird, um einmal zu existieren, vielleicht nur als schöner Traum, bestimmt diesen historischen Roman, in dem eine polnische Schauspielerin, eine Diva, im Jahr 1876 ihre Heimat verlässt, um ihm zu folgen und dann doch nie sesshaft zu werden in Amerika. Die "Sehnsucht nach Neuem, Leerem, Vergangenheitslosem", und der "Traum, das Leben in reine Zukunft zu verwandeln" in der neuen Welt, treiben sie stets weiter, von Stadt zu Stadt, von einer Rolle zur nächsten. Die Schauspielerin bringt Kultur in ein raues Land, indem sie Kunst lebt, auf einer "lange(n) Tournee", wie die letzen Worte des Romans verheißen.
In mehrfacher Hinsicht ist David Lynch mit "Mulholland Drive" bei sich selbst angekommen. Zum einen ganz real, räumlich: Er selbst wohnt in Los Angeles am Mulholland Drive, einer kurvigen Straße oberhalb von Hollywood, die bis zum Pazifik führt. Seit "Blue Velvet"bewegen sich Lynchs Protagonisten auf Straßen, Highways, Interstates – zumeist durch die Nacht. Jeder seiner Filme präsentiert in wenigstens einer Szene die im Scheinwerfer-Lichtkegel dahinrasenden gelben Mittelstreifen der Straße. In "Mullholland Drive" werden diese Streifen, die jetzt ununterbrochen sind, auch gelegentlich gezeigt. Sie suggerieren: Überholen verboten - oder: nicht mehr nötig, denn du bist angekommen.
Was zeichnet einen Serienmörderfilm wie Christian Alvarts "Antikörper" (vgl. Deutschland, Deine Mörder) im Vergleich zu seinem amerikanischen Vor- und Nebenbildern aus? Gibt es eine Tradition deutscher Serienmörderfilme? Von den Anfängen des Motivs in den 20er Jahren lässt sich eine Spur bis in die Gegenwart verfolgen, die die einzelnen Werke deutlich als Spiegel ihrer Entstehungszeit markiert. Obwohl der Serienmörderfilm selbst kein eigenes Genre bildet, sondern vielmehr eine Motivgeschichte innerhalb verschiedener Genres (Krimi, Thriller, Horrorfilm, ...), hat sich über die Jahrzehnte hinweg doch ein festes Regelwerk entwickelt, nach dem diese Form pathologischer Kriminalität filmisch inszeniert wird. Diese Regeln orientieren sich weniger an der Realität, als an filmischen Strukturen und Motiven, die sich im Laufe der Zeit im "Kino der Killer" durchgesetzt haben und die mit jedem neuen Beitrag ergänzt, relativiert oder verworfen werden. Erscheint ein neuer Serienmörderfilm, wird er oft ins Verhältnis zu seinen Vorläufern gesetzt: Auf welche Art er sich zur Motiv-Tradition affirmativ oder kritisch verhält, entscheidet neben den filmästhetischen Faktoren darüber, ob er ein Erfolg ist oder scheitert.