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Um 1795, unter der Regentschaft des aufgeklärten Fürsten Friedrich und wenige Jahre nach dem Ausbruch der Französischen Revolution, wird in der Hofbibliothek der Fürsten zu Waldeck und Pyrmont „jedermann zu lesen gnädigst erlaubet“ (StA MR Best. 118d, Generalia I,1). Damit wird diese Fürstenbibliothek, deren Ursprünge bis ins Mittelalter zurückreichen und die in der Frühen Neuzeit zu einer prachtvollen Sammlung von Büchern und Kunstobjekten zusammenwächst, für eine breite Öffentlichkeit zugänglich. Dies legen alte Ausleihlisten und Kataloge unmissverständlich dar. Wer waren aber die Nutzer dieser und anderer Bibliotheken im Aufklärungsjahrhundert? Welche Bücher und Archivalien wurden gesammelt, gelesen oder erforscht? In welchem Maße und auf welche Art fanden das „Schöne“ und das „Nützliche“ in Bibliotheken dieser Zeit zueinander? Ausgehend von diesen Themenkomplexen fokussierte der Workshop das Spannungsverhältnis von Repräsentation, Wissen und Öffentlichkeit in (Hof)bibliotheken der Zeit zwischen Barock und Aufklärung und ging der Frage nach, wie diese drei Aspekte in der Entwicklung von der Raritätenkammer zur „modernen“ Bibliothek sich zueinander verhalten und gegenseitig beeinflussen.
La littérature africaine d’expression française a pris depuis les années 1960 un tournant décisif où explosent le paradoxe, l’étrange, l’extraordinaire, l’outrecuidance, l’impertinence et toutes sortes de subversions de fond et de forme. Comme un cyclone esthétique et éthique, l’inspiration artistique en général, romanesque en particulier, souffle un vent libérateur exubérant dans les esprits qui semblent possédés par l’exaltation dionysiaque. Cet enthousiasme revêt les allures d’une véritable efflorescence baroque. On peut s’interroger sur l’utilisation du terme « baroque » qui s’applique à la littérature française sous Henri IV et Louis XIII, caractérisée par une grande liberté d’expression, et faisant contrepoids au classicisme et au réalisme. L’équilibre, la symétrie, la régularité manifestés dans les oeuvres d’art de la Renaissance européenne se sont altérés et compliqués pour de nombreuses causes dont les plus évidentes sont les guerres religieuses, l’accroissement de la richesse déclenché par les découvertes de l’or, et enfin le poids grandissant du surnaturel dans les esprits. L’art baroque a eu des représentants dans toute l’Europe. L’un des plus célèbres est l’Anglais Shakespeare [2]. La poésie, le théâtre et le roman ont souvent été baroques dans l’Europe des XVIe, XVIIè et XVIIIe siècles [3]. Au fond, à l’instar du romantisme, les traits ou éléments propres au baroque sont décelables chez des artistes de tout temps et de tout pays. Le baroque ne distingue pas uniquement les écrivains inclassables du fait qu’ils ne respectent pas les règles ordinaires ou classiques. Peuvent être qualifiés de baroques tous les auteurs africains qui ont le culte de tout ce qui est choquant, bizarre, excentrique et inattendu. Plus que tout autre créateur africain, le Congolais Sony Labou Tansi a cultivé le goût du baroque. Cet art est en pleine floraison dans ses ouvrages, en particulier dans son roman intitulé La vie et demie, publié en 1979 à Paris par les Editions du Seuil et qui a reçu le Prix spécial du premier Festival de la Francophonie qui s’est tenu la même année. La biobibliographie de Marcel Sony, le texte, le contexte et le prétexte révèlent un phénomène majeur dans la littérature africaine. Cette étude veut être une contribution à l’histoire de l’esthétique littéraire et non pas à l’histoire des écrivains. -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon