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Einheitssachtitel: Werke, Kl / Ausw. EST d. enth. Werke: Fantasien, Kl KV 475. Sonaten, Kl KV 457 Druckpl.-Nr.: 1525
Online-Ausg. des Notendruckes Mus Hs Opern 557 (6) der Universitätsbibliothek Johann Christian Senckenberg Frankfurt am Main. - Unter dem franz. Text wurde hs. die dt. Übers. von Herklots nachgetragen
Einheitssachtitel: Potpourri, op. 22
Einheitssachtitel: Divertimenti op. 69
Mémoire géologique sur le Bassin d'Amiens, et en partienlier sur les Cantons Littoraux de la Somme
(1834)
Physiologie de la Parisienne
(1841)
Fragments mycologiques
(1848)
Tête un peu moins large que le thorax, un peu luisante, finement et peu densement ponctuée, toute noire; les poils du vertex et des joues plus abondants, fauves, ceux de la face plus courts, plus rares, et roux; le chaperon presque nu, inégalement ponctué, subrugueux, tronqué droit au bout et margué d'une ligne enfoncée parallèle au bord: flagellum des antennes d'un noir de poix, le premier article long et mince, les autres plus épais, formant une massue longue et faiblement comprimée. ...
Recherches sur la formation des annexes foetales chez les Mammifères : (Lapin et Cheiroptères)
(1884)
Les larves de cécidomyes ont depuis longtemps attiré l'attention sur elles soit à cause des déformations que la plupart produisent sur les plantes, soit a cause du dégât occasionné par plusieurs autres. Il doit encore en être de même si nous considérons la forme et l'organisation de leur corps. Pour nous en convaincre, voyons d'abord des larves qui, n'occasionnant ni cécidie ni dégât, semblent à première vue n'avoir aucun droit à notre intérêt. Celles du genre Rubsaamenia m., demeurées inconnues jusqu'ici, nous en fourniront un premier exemple.
Halacariens
(1896)
Grâce à l'amabilité de M. le Dr. H. SCHOUTEDEN, il m'a été permis d'examiner plusieurs exemplaires et un nid d'une curieuse Araignée sociale de la région du Kasai, faisant partie des collections du Musée du Congo, à Tervueren (Belgique). M.le Lt. J. GHESQUIÈRE, qui avait recueilli cet intéressant matériel, a bien voulu me communiquer les observations éthologiques qu'il avait pu faire à son sujet. Je tiens à remercier bien vivement ces deux naturalistes pour les renseignements et les facilités qu'ils m'ont donnés dans la confection de ce travail. Le regretté arachnologue francais, EUGÈNE SIMON, avait eu en communication une partie du matériel qui m'a été remis dans la suite. Il en avait fait une première détermination générique (in litt. 15-XII-1922) et avait cru y reconnaître une espèce nouvelle. La mort l'a empêché de poursuivre son étude. Je dédie, respectueusement, à sa mémoire, l'espèce que j t ai le plaisir de décrire ici.
Conclusions Le Colpomenia simlosa que les auteurs américains appellent typica ne mérite pas ce nom, car il ne correspond pas à la plante méditerranéenne. La plante récemment immigrée sur les côtes atlantiques d' Europe, ou var. peregrina Nob., diffère du type méditerranéen par son thalle moins sinueux, pIns mince et plus souple, par ses sores moins limités, largement étendus, ses sporanges moins hauts; les cryptes pilifères y naissent par un processus différent de celui que MITCHELL a décrit. Elle paraît voisine de celle que les auteurs américains appellent var. typica; elle n'est vraisemblahlement pas originaire cles mers plus chaudes que les nôtres et il est possible qu'elle soit originaire de la côte pacifique de l'Amérique septentrionale; ceci nous laisse mieux comprendre sa naturalisation chez nous. Les zoospores des sporanges pluriloculaires (les seuls connus) du Colpomenia de la Méditerranée, et de sa variété peregrina, germent sans copulation. Elles fournissent un protonéma monosiphonié, simple ou ramifié qui, par le cloisonnement localisé de certaines cellules, engendre un glomérule d'abord mûriforme; en uniformisant sa surface, celui-ci devient vite un Colpomenia d'abord massif. Un même protonéma produit un seul, ou plusieurs, ou de nombreux Colpomenia. Les jeunes individus ainsi obtenus en culture n'ont. pu être conservés assez longtemps pour fructifier. Mais de vieux protonémas de la var. peregrina produisirent des sporanges pluriloculaires (interpétés ici comme des amorces gleglomérules aussitôt évoluées en sporanges) dont les zoospores fournirent des protonémas très ramifiés de seconde génération. Bien que restés en culture durant plusieurs mois, ces derniers n'ont produit ni glomérules ni sporanges; cette longue stérilité pourrait expliquer, au moins en partie, les irrégularités de la présence du Colpomenia dans la nature. Si l'on s'en rapporte aux dessins de KUCKUCK, publiés par OLTMANNS, les zoospores du Phyllitis et du Scytosiphon fournissent un protonéma qui rappelle celui du Colpomenia ; ceci confirme l'interprétation de BORNET, de FALKENBERG et de KJELLMAN qui rapprochaient ces trois genres dans un même groupe.
Un heureux hasard nous a fait acheter, en janvier dernier, pour une experience, une chevre adulte, qui mourut peu de temps apres de dysenterie coccidienne. Le parasite appartenait à l'espece decrite en 1930 par W. L. Yakimoff et Rastegaieva sous le nom de Eimeria Nina-Kohl-Yakimovi. La description originale des auteurs ne comprenait que celle de l'ookyste. Nous avons pu la completer par celle de son cycle evolutif et des Iesions que cette espece determine. Au cours des investigations bibliographiques que nous avons du entreprendre, nous avons ete gene par une certaine confusion dans les travaux concernant les coccidioses du mouton et de la chevre, confusion qui avait ete remarquee par d'autres. Nous avons cru utile, a l'occasion de l'etude particuliere qui se presentait à nous, d'entreprendre un travail plus general et d'essayer de retrouver et de fixer les bases preeises de la zoologie des parasites qui nous occupent. C'est a dessein, pour eliminer des I'abord une cause de confusion, que nous reunissons les coccidies du mouton et de la chevre.
Le système des Gobiidés
(1930)
Études de géographie zoologique sur la Berbérie : les Proboscidiens ; 1. l'éléphant d'Afrique
(1931)
El autor hace observaciones sobre diferentes formas de Enmolpidos sudamericanos. Agrega una lista provisoria de especies y variedades argentinas. Llama la atención sobre el hecho que los Eumolpidos son mal conocidos y sobre la necesidad de revisar el sistema de clasificacion de este grupo, en lo que se refiere a los géneros y tribus. Se enumeran 87 especies de Eumolpidos para la República Argentina, varias de ellas señaladas por primera vez en el país.
Analyse morphologique du splanchnocrane chez les primates et ses rapports avec le prognathisme
(1956)
Chez les Mammifères inférieurs, les mâchoire et les cavités orbtitaires sont situées en avant du neurocrâne; chez les Primates, le massif facial se déplace et est en partie situé sous la cavité cranienne; chez l'Homme, non seulement le massif facial est réduit de volume, mais il est logé entièrement sous le neurocrâne. ...
A l'Ouest de l'Ègypte s'étend la Libye, un pays qui couvre presque deux millions de kilomètres carrés, formant aujourd'hui le plus farouche désert de notre globe. ...
L'éveil à la vie politique des larges masses africaines sous domination francaise constitue un des points saillants des bouleversements consécutifs à la seconde guerre mondiale. C'est ce qui fondamentalement nous a conduit à travailler sur ce sujet qui nous a été propose par le professeur Abdoulaye Bathily: Le rassemblement democratique africain et la lutte anticoloniale de 1946 a 1958.
Les relations entre l'Egypte pharaonique et l'Afrique Noire constituent une question très controversée, ce qui ne doit pas étonner : au moment où naissait l'égyptologie en 1822 avec le grand Champollion, l'idéologie coloniale, pour les raisons que l'on sait, s'opposait fermement à l'idée d'une Egypte appartenant à l'univers culturel négro-africain. On regardait plus volontiers vers le Tigre et l'Euphrate que vers les Grands Lacs africains pour retrouver les origines du miracle pharaonique. Les civilisations négro-africaines elles-mêmes étaient systématiquement attribuées à des Hamites venus d'Asie s'égarer dans le continent noir. Les rares voix discordantes étaient amplement couvertes par l'immense clameur d'une écrasante majorité.
Pour ce qui est de la période précoloniale, l'existence, en Afrique au sud du Sahara, de cette forme de déviance qu'est le banditisme social peut poser problème; pour la période coloniale par contre, la présence de ce phénomène ne peut souffrir aucune contestation, tant les témoignages l'attestant sont à la fois nombreux, divers et concordants. Ainsi, tout au long de cette dernière séquence historique, dans beaucoup de régions du continent, il nous est offert de multiples exemples d'initiatives individuelles et marquantes de protestation sociale. Face à la déficience des structures traditionnelles de riposte, des hommes d'action ont opposé un refus individuel à la mise en place violente de l'ordre colonial. Retranchés dans les zones échappant au contrôle de la nouvelle autorité, ils ont essayé de tenir tête à son action intégratrice, et l'échec de celle-ci - quelle qu'en puisse du reste être la raison - expliquerait certaines carrières de bandit social.
The Tijanya brotherhood founded by Cheikh Ahmed TIJANI in the second half of the XVIIIth century achieved a spectacular breakthrough in West Africa by the middle of the XIXth century. It was adopted and championed by the main figures of the resistance to the French colonial penetration : Cheikh Umar al-Futi TALL and Ahmadou Mahdiyu BA who were introduced to it respectively by Mohamed el-Ghali in Medina and Mohamed el-Hafez, and Id-on-Ali in Mederdra, Mauritania. Mamadou Lamine Dramé from the Gajaaga and Samba Diadana Ac also were figures of the anticolonial resistance who embraced Tijanya. Ahmadou Cheikhou, Cheikh Umar TALL's successor and eldest son, too was a tijane anticolonial hero whom Archinard's men killed in 1891, after his empire had gone through a long period of turmoil.