Refine
Year of publication
Document Type
- Article (387)
- Part of Periodical (294)
- Book (207)
- Review (55)
- Report (52)
- Other (23)
- Part of a Book (20)
- Doctoral Thesis (9)
- Periodical (8)
- Working Paper (7)
Language
- French (1071) (remove)
Keywords
- Literatur (36)
- Gabon (26)
- Gabun (26)
- literature (25)
- Literaturwissenschaft (15)
- Europa (12)
- Vendée (France) (12)
- Deutschland (10)
- Rezeption (10)
- Vergleichende Literaturwissenschaft (10)
Institute
- Extern (128)
- SFB 268 (45)
- Geschichtswissenschaften (44)
- Gesellschaftswissenschaften (12)
- Philosophie (12)
- Neuere Philologien (10)
- Rechtswissenschaft (8)
- Frobenius Institut (6)
- Institut für Sozialforschung (IFS) (6)
- Institut für Ökologie, Evolution und Diversität (6)
Mémoire sur plusieurs animaux de la Nouvelle-Hollande dont la description n'a pas encore été publiée
(1804)
Kong et sa région
(1960)
ZOOLOGISCHER JAHRESBERICHT 1881: Verf. untersuchten einen im Zoologischen Garten in Antwerpen gestorbenen erwachsenen africanischen Elefanten , dessen Haut und Skelet an das Brüsseler Museum kam. Auge. Die knorplige Stütze der Nickhaut verlängert sich stielförmig nach hinten an der inneren Seite des Bulbus. Die Nickhaut wird durch zwei selbständig am hinteren Ende des Stiels entspringende Muskeln bewegt, welche sich vorn oben uud unten in den orbicularis palpebrarum ansetzen. Ein rectus posterior (s. choauoideus, s. retractor) fehlt. Statt der fehlenden Thränendrüse ist die, dem Stielende der Nickhaut anliegende Hardersche Drüse sehr entwickelt. Das Auge ist nicht größer als das des Pferdes, die Orbita aber viel weiter, die Muskeln viel dicker. — Das Herz ist breit , die Umrisse fast viereckig (in der schematischen Lage des menschlichen Herzens) , die breit abgerundeten unteren Enden der Ventrikel durch eine tiefe Furche getrennt (an injicirten Präparaten, ähnlich wie bei den Sirenien. Die Vorkammern sind sehr geräumig; Herzohren fehlen , statt ihrer finden sich rechts und links gewundene , stark gefurchte, solide Anhänge. Die großen Gefäße entspringen wie beim indischen Elefanten in zwei Stämmen , einem truncus anonymus für rechte Subclavia und beide Carotiden und der linken Subclavia. Während ersterer und die Aorta bis zum Abgang der Gefäße sehr kurz ist , ist die pulmonalis merkwürdig lang bis zu ihrer Theilung, was beim indischen Tapir noch auffallender ist. Es sind zwei obere Hohlvenen und eine untere vorhanden. Im Ganzen ist das Herz des africanischen Elefanten kleiner als das des indischen. — Die Milz ist platt zungenförmig, an beiden Enden verschmälert. Ihre Länge ist enorm, 1,31m, ihre größte Breite 0,28m. — In Bezug auf die Zunge sei auch nur auf das von früheren Angaben Abweichende hingewiesen. Der Wharton sehe Gang mündet auf einem 15 mm langen frei flottireuden Faden, beinahe wie beim Pferde. Papulae foliatae (Mayer'sches Organ) sind rechts 19, links 18 vorhanden (33 Forbes , 15 Mojsisovics) . Den Pharyngealsack fanden Verf. so, wie ihn Watson vom indischen Elefanten beschreibt. — Am Kehlkopf sind die oberen Stimmbänder vorhanden ; 1. Morphologie, a) Anatomie. B. Monographien einz. Abth. 9 die gegentheiligen Angaben früherer Beobachter sind wahrscheinlich darauf zurückzuführen, daß sie junge Individuen untersucht haben. — Der Magen scheint im Verhältnis größer zu sein als beim indischen Elefanten. — Die Niereu boten auf der einen Seite eine pathologische Vergrößerung , auf der anderen vielleicht eine beginnende Atrophie dar. Verf. äußern die Ansicht, daß die Lappenbildung wohl mit dem Alter verschwinde. — Die Hoden des untersuchten Thieres waren viermal größer als die von Moj sisovics gemessenen. Das veru montanum sprang stark vor, nach vorn leistenartig verlängert. Die Öffnung des Uterus war V2cni weit, der Uterus 2cm tief. Jederseits fanden sich drei Prostatagänge. Die Urethralöffnung an der Spitze des Penis war nicht Y-förmig, sondern einfach senkrecht elliptisch.
Heft mit handschriftlichen Kommentaren Arthur Schopenhauers. Enthält u.a. den Aufsatz: Arthur Schopenhauer : Philosophie de la magie - traduction d' Alexandre Weill
Nous présentons ici différents algorithmes d’analyse pour grammaires à concaténation d’intervalles (Range Concatenation Grammar, RCG), dont un nouvel algorithme de type Earley, dans le paradigme de l’analyse déductive. Notre travail est motivé par l’intérêt porté récemment à ce type de grammaire, et comble un manque dans la littérature existante.
De nombreux auteurs ont plaidé aussi bien pour une intégration des langues locales gabonaises dans le système éducatif que pour une éducation multilingue au Gabon. Cependant, la politique linguistique du Gabon, quasiment inexistante, et son corollaire dans l’enseignement ne font aucune mention de ces langues locales, dites langues maternelles, reléguées aux activités religieuses et ethno-culturelles. Le but de cet article est de faire l’état des lieux de la politique linguistique dans le système éducatif gabonais. Il analyse successivement (i) la politique linguistique du Gabon, (ii) le paysage linguistique gabonais et (iii) le statut des langues de ce paysage dans le système éducatif. La présente communication suggère fortement la mise en place d’une planification linguistique qui va déterminer à la fois la politique linguistique et l’usage des langues dans le système éducatif.
La nasalisation en Fang-mekè
(2006)
Le fang-mekè qui appartient au groupe linguistique (A75) est parlé dans les provinces de l’Estuaire (Libreville, Kango, et rive gauche de l’Estuaire),du Moyen-Ogooué (Lambaréné, Ndjolé), de l’Ogooué-Ivindo (Makokou) et du Woleu-Ntem (Mitzic). Le seul travail connu à ce jour sur cette langue à été réalisé par Nzang Obame (2004). Il s’agit d’un mémoire de maîtrise à orientation linéaire, portant sur la description phonologique du fang-mekè parlé au quartier Lalala de Libreville et dont le foyer d’origine est situé à la rive gauche de l’Estuaire. On comprendra donc que pour la réalisation de la présente étude portant sur la nasalisation en fang-mekè, nous nous appuyons uniquement sur le travail de Nzang Obame.
Depuis quelques mois, nous avons rassemblé et dépouillé au GRELACO (Groupe de Recherche en Langues et Cultures Orales) un ensemble relativement important de données inédites ou non sur les segments latents (appelés aussi segments flottants) dans les langues bantoues du Gabon. Le présent article se propose donc de faire le point sur ce que nous savons aujourd’hui de ces segments latents dans les langues bantoues du Gabon.
On est parti ici du constat qu’il était impossible à Blanchon de poser les réflexes réels des schèmes tonals des thèmes nominaux du proto-bantou en wumvu de Malinga, à partir du moment où il s’interdisait, sur le plan méthodologique, d’observer le principe d’identité des niveaux de correspondance entre le proto-bantou et le wumvu de Malinga, c’est-à-dire niveau structurel proto-bantou égale niveau structurel wumvu. Nous nous sommes donc attelé dans la section 1 de cette étude à fixer la structure mélodique et tonale des substantifs du wumvu de Malinga, avant de donner les correspondances tonales entre les deux langues à la section 4. Il nous a paru également vicieux de la part de l’auteur d’avancer une explication, fûtelle historique, sur les faits de tonalité observés dans cette langue, dès lors qu’on ne possédait aucune étude quelconque sur la tonalité de cette dernière. Nous avons donc consacré la section 2 de ce travail à l étude des différents processus tonals relevés dans les substantifs du wumvu de Malinga. Dans la section 3, nous avons été amené à mettre en évidence l’incidence de l’accent dans le traitement de la tonalité de cette langue bantoue du Gabon, montrant par là les limites de l’hypothèse explicative de Blanchon. Enfin, en terme de perspective, on ne peut qu’appeler à la réalisation d’une description complète du wumvu de Malinga, afin que son étude historique ne soit que meilleure.
La présente étude revisite la liste des langues bantoues du Gabon contenues dans la classification des langues bantoues de Guthrie (1967 - 1971), en y ajoutant une nouvelle langue, des nouveaux dialectes, et pour la première fois des sous dialectes. Prenant en compte les acquis des classifications antérieures des langues bantoues du Gabon, elle revient sur les propositions de codification de Maho (2003,2006 et 2007) visant à ajouter des nouvelles langues et de nouveaux dialectes dans la liste de Guthrie sans remettre en question le système de codification établi par ce dernier. Des nouvelles propositions sont formulées ici qui réanalysent ou réaménagent les modèles de codification avancés par cet auteur, tout en se portant en faux contre une sacralisation inavouée de la classification de Guthrie qui viserait à mettre ses propositions d’indexation des langues bantoues à l’abris de toute modification ou réaménagement. Enfin, la présente classification revient sur un certain nombre de dénominations et de problèmes orthographiques des noms de langues relevées dans les anciennes classifications, pour proposer des corrections qui tiennent comptent soit du bon sens, soit du point de vue des locuteurs ou des conventions de notation des langues bantoues arrêtées par les linguistes de l’Ecole de Tervuren.
En dernière analyse, la grande faiblesse des livres comme ceux de Mouguiama-Daouda et d'autres linguistes gabonais qui ont choisi de publier des ouvrages généraux sur les langues bantoues du Gabon, c'est de manquer de documents descriptifs (synchroniques ou diachroniques) sur lesquelles ils peuvent asseoir raisonnablement leurs hypothèses et leurs argumentations. Ceci montre, par conséquent, combien de fois il est nécessaire de commencer d'abord par décrire les langues que l'on veut étudier, avant d'envisager une quelconque autre étude linguistique sur elles.
La présente étude est parvenue à identifier une vingtaine de bantouismes dans le LG et moins d'une dizaine de candidats à bantouismes (six au total), grâce aux cognats et aux candidats à cognats vili que nous avons pu établir. Ce faisant, elle a falsifié le point de vue dominant dans la littérature d'une origine restreinte à trois langues (le kikongo, le kimbundu et l'umbundu) de tous les bantouismes et candidats à bantouismes latino-américains connus à ce jour. La suite du travail est déjà en vue qui consiste à étendre aux autres langues bantoues du Gabon des zones A et B la recherche des mots apparentés aux termes du LG, ce qui assurément ne pourra que rallonger la liste des bantouismes présents dans le LG.
Ce texte s’est voulu une brève présentation des tons phonologiques qu’on rencontre dans les langues bantoues parlées au Gabon. L’élément nouveau ici par rapport à ce que l’on sait de l'analyse de la tonalité des langues bantoues en général, c’est la prise en compte de l'intonation dans l'explication de certaines modifications tonales du niveau lexical dont les tons lexicaux (fixes ou flottants) ne peuvent pas rendre compte.
Dans les langues bantoues du Gabon, tons lexicaux flottants et tons intonatifs permettent d’expliquer trois phénomènes tonals que nous avons voulu passer en revue dans cet article. Dorénavant, il est donné de croire, avec l’élargissement du domaine d’observation des tons intonatifs aux groupes B10, B20 et B30, qu’un certain nombre de problèmes tonals considérés hier encore comme insolubles ou relevant de types ou de cas tonals, trouvent des solutions ou des analyses satisfaisantes. Déjà, la découverte des tons intonatifs en myènènkomi (B11e) et en tsogo (B31) permet aujourd’hui de proposer une description pour le moins correcte de la tonalité de ces deux langues.
Cet article fait l'inventaire des travaux récents sur les langues du Gabon. Il prend en compte les publications ou les monographies qui sont parues depuis les années 84-85. Cette bibliographie constitue ainsi une mise à jour de la contribution de Hombert et Mortier (1984), qui recense de son côté toutes les références bibliographiques qui ont été publiées avant cette même période.