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Plan Introduction I/ La localisation des dichotomies saussuriennes dans les deux oeuvres 1)le langage 2)la langue 3)la parole II./ Les composantes textuelles 1)L’instance narrative 2)Les descriptions 3)Les procédés de rhétorique III/ Le langage et l’expression littéraire : Entre appropriation et créativité 1)Les techniques narratives locales 2)L’écriture de l’humour comme stratégie de révolte Conclusion -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Le thème de notre exposé s’intitule : « L’écriture du corps de la femme dans la littérature féminine gabonaise : Cas dans Deux bébés et l’addition de Bessora ». (...) Tout compte fait, il s’agira pour nous de relever les références et allusions au corps de la femme en nous basant sur l’ouvrage de Bessora : Deux bébés et l’addition et d’en faire une brève analyse afin de voir les causes endogènes et exogènes ; les déterminismes liés à cette obsession du corps de la femme chez notre auteur. En d’autres termes, quels sont les éléments inhérents au corps de la femme mis en exergue dans Deux bébés et l’addition de Bessora ? Quels rapports pouvons nous établir entre ces éléments corporels et la vie de l’auteur ? CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
En 1999, un roman vient révolutionner la pratique littéraire au Gabon : Le jeune officier. OEuvre dédiée à Martin Heidegger, elle développe à sa manière les préoccupations du philosophe concernant l’être, l’oubli de l’être et le caractère aléthéique de la vérité. Les pages qui suivent sont consacrées à ce roman d’un style particulier qui insère le roman gabonais entre modernité et post-modernité. A travers un résumé, un commentaire du discours du jeune officier et la lecture du discours de soutenance de Brice levy Koumba1, nous tenterons de découvrir l’oeuvre. Le résumé est à la première personne, fait par le jeune officier lui-même. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Sommaire Exergue………….4 Dédicaces….………..5 Gratitudes…………..6 Introduction générale..........................7 Première partie : Identification de la figure de l’exclu 0.Prolégomènes.......................14 0.1.Qu’est-ce que l’exclusion ?..................14 0.2.Qu’est-ce qu’un « exclu » ?......................14 I :Identification de la figure de l’exclu : I.1.L’initié...................................................15 I.2.L’intellectuel..........................16 I.3.Le pauvre...........................17 Deuxième partie : Essai d’herméneutique : II.4.L’exclu, une âme dans la tourmente....................20 II.5.L’exclu, face à l’école « dénaturée ».................22 II.6.L’exclu face à la problématique des Institutions.............24 Troisième partie : Exclusion et réalités sociales : III.7.L’univers socio-textuel.....................26 III.8.L’éternel fossé entre les « in » et les « out ».................28 Conclusion générale.....................30 Bibliographie et indexes des auteurs...................32 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
SOMMAIRE EXERGUE……………………………………………………………………2 DEDICACES…………………………………………………………………3 GRATITUDES……………………………………………………………….4 SOMMAIRE………………………………………………………………… 5 INTRODUCTION………………………………………………………….6 O. HISTORIOGRAPHIE…………………………………………………….7 O.1. FORMULATION ET DELIMITATION DU SUJET…………………..8 O.2. INTERET DU SUJET…………………………………………………..9 O.3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DE RECHERCHE…………..10 O.4. CADRE METHODOLOGIQUE……………………………………… 11 PREMIERE PARTIE : LA POETIQUE DU MIRAGE……………… 12 CHAPITRE I : LE CONTEXTE RURAL………………………… 13 · LA VIE AU VILLAGE : QUOTIDIEN DIFFICILE…13, 14 CHAPITRE II : L’ IMMIGRATION………………………………….15 2.1. LE RETOUR DE L’IMMIGRE AU PAYS NATAL 15,16 2.2. LE REVE…………………………………………… 16,17 2.3. MADICKE……………………………………………… 17 DEUXIEME PARTIE : ESSAI DE DECONSTRUCTION DU MYTHE DU MIRAGE……………………………………………………………………18 CHAPITRE III : L’IMMIGRATION EN QUESTION…………………19 3.1. LA DEMYSTIFICATION DE L’OCCIDENT…………19,20 3.2. LA SITUATION DE L’IMMIGRE EN FRANCE…20, 21,22 CONCLUSION……………………………………………………………23,24 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………25,26,27,28 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Le thème qui fait l’objet de notre exposé s’intitule : « L’inscription de la folie dans la poésie gabonaise ».Il faut dire que le motif de la folie n’est pas nouveau en littérature ; plusieurs écrivains africains pour ne citer que ceux-là, en ont fait largement écho, lorsqu’ils ont voulu, ,à la naissance de la littérature à l’aurore de la littérature négro-africaine, répondre par le dénie aux propos vaguement racistes que l’homme blanc était parvenu à faire admettre dans les consciences, propos selon lesquels ,l’homme noir serait un grand enfant malade, un fou qu’il fallait à tout prix ramener à la raison au moyen d’un traitement approprié. Aimé CESAIRE reconnaîtra avec un humour noir,comme pour couper de l’herbe au pied du Blanc insolent dans son Cahier d’un retour au pays natal : « Nous nous reconnaissons de la démence précoce, de la folie flamboyante, etc. ». L’oeuvre que nous avons choisi pour notre étude est Patrimoine de Lucie MBA . A travers cet ouvrage, nous examinerons l’ état de la folie dans sa splendeur afin de révéler la folie non pas seulement comme elle se fait voir ,mais encore comme on ne l’a jamais vu ; d’en voir les aspects les plus forts et les plus vils ; de voir le caractère contrastant que peut nous laisser entrevoir ce thème à travers la plume de Lucie MBA . -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Dans le cadre du Séminaire portant « sur la littérature et la société au Gabon », dirigé par monsieur SIMA EYI Hervais-Eméry, enseignant, Directeur-fondateur du Centre d’Etude en Littérature Gabonaise (CELIG), il a été demandé aux étudiants de faire des recherches et voir quelle place les institutions littéraires du Gabon accordait à la littérature gabonaise. Pour notre groupe, il s’est agit de se rendre dans les institutions telles que le Bureau Régional de l’Agence de la francophonie de l’Afrique Centrale (BRAC), Ministère de la culture, des arts et de l’éducation populaire, La Fondation Raponda WALKER, Le Centre Culturel Français ST- Exupéry de Libreville (CCF), La faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Omar Bongo et L’Institut Pédagogique National (IPN). Notre objectif consistait à voir quel traitement ces institutions faisaient de la littérature gabonaise et comment elles s’y prenaient pour faciliter sa vulgarisation et sa promotion. Aussi , s’agissait-il d’étudier la nature des rapports ou des relations qui existent entre ces institutions et les écrivains gabonais, quelle place accordaient-elles à la littérature gabonaise et à ses écrivains, et comment procédaient -elles pour promouvoir cette littérature. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Depuis bientôt trois (3) ans, le Docteur Heméry-Hervais SIMA-EYI enseignant et directeur en outre, du Centre d’études pour la littérature gabonaise(CELIG) anime à la faculté des lettres et des sciences humaines, notamment au sein du département des Littératures Africaines de l’Université Omar Bongo, un séminaire intitulé « Littérature et société au Gabon » . Ce séminaire vise à étudier, analyser la littérature gabonaise dans ses rapports apparents avec la société dans laquelle cette littérature est produite. Pour ce faire, le Docteur SIMA-EYI a demandé à ses étudiants de voir, dans l’optique d’un colloque sur la littérature gabonaise , quelle place les institutions littéraires(maisons d’éditions, universités, centres de recherche, ministères, etc.)accordent à la littérature produite dans notre pays . Ainsi, scindée en deux(2) groupes,l’un dirigé par Guy Wilfried IDIATHA et l’autre par Désiré Clitandre DZONTEU, la classe de licence des Littératures Africaines s’est donc penchée sur cet épineux problème. Notre équipe s’est intéressée au groupe bancaire BICIG et son concours littéraire et artistique ; au Théâtre national ; aux maisons d’éditions entre autres, La Maison Gabonaise du Livre, Ndzé, Hilaire Makaya et les éditions du silence ; l’Union des écrivains gabonais(UDEG), l’Ecole Normale supérieure(ENS) et l’organisation des Nations unies pour l’éducation , la science et la culture(UNESCO). Il est sans rappelé que ce travail ne fut pas une sinécure, plutôt parfois un parcours du combattant. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
1932 erscheint Clemens Lugowskis Arbeit über die Romane Jörg Wickrams, in der er die Spezifika des vormodernen Romans herausarbeitet: er ist nach Lugowski durch eine sogenannte "Motivation von hinten" charakterisiert, die über die sich in Kausalketten vollziehende "Motivation von vorne" dominiert. Was sich im Vordergrund der Handlung innerhalb der Zeit ereignet und auf ein vorherbestimmtes Resultat zuläuft, wird weniger aus den Ereignisketten selbst als aus der im Hintergrund wirkenden göttlichen Vorsehung entwickelt [...] Es liegt nahe zu fragen, inwiefern sich der Ansatz von Martinez von der Theorie phantastischer Literatur unterscheidet, die ja (etwa nach Tzvetan Todorov) mit dem Moment der Unschlüssigkeit des Lesers, ob er die Ereignisfolge der innerliterarischen Realität oder aber den Vorstellungen eines Protagonisten zurechnen soll, eine ganz ähnlich strukturierte "doppelte Welt" wie auch Martinez behauptet. Den knappen Erläuterungen zufolge ist der Begriff der "doppelten Welten" insofern enger als der der phantastischen Literatur, als er "mit der paradoxen Koexistenz von kausaler und finaler Motivation nur einen speziellen Fall übernatürlichen Geschehens darstellt"; er ist aber andererseits auch weiter, insofern "die finale Motivation der doppelten Welt nicht notwendig als übernatürlich markiert sein muß".
Im fünften Jahr in Folge luden das Institut für Deutsche und Niederländische Philologie der Freien Universität Berlin, das Max-Planck-Institut für Wissenschaftsgeschichte und das Exzellenzcluster 16 der Universität Konstanz am 10. Juli 2010 ein zu einem für alle Interessierten offenen Forum für NachwuchswissenschaftlerInnen, die sich im Feld von Literature and Science betätigen und vorläufige Ergebnisse noch nicht abgeschlossener Arbeiten zur Diskussion stellen möchten.
In unserem Lesealltag stoßen wir auf Schritt und Tritt auf Übersetzungen. Ca. 15 % aller auf dem deutschen Buchmarkt produzierten Titel sind Übersetzungen, wobei - wenig überraschend - zwei Drittel aus dem Englischen stammen. Wir haben uns derartig daran gewöhnt, Übersetzungen zu benützen, dass wir sie kaum noch als besondere, höchst problematische Textsorte wahrnehmen. Auch Literaturwissenschaftler sind nicht dagegen gefeit, beim Lesen zu "vergessen", dass sie eine Übersetzung vor sich haben. Nicht oft genug kann man daher darauf hinweisen, dass Übersetzungen oft erheblich von ihren Vorlagen abweichen und dass bei der Entstehung von Übersetzungen nicht nur Kalkül, sondern auch der Zufall eine große Rolle spielt.
Der etwas pompöse Begriff "Wiener Moderne" könnte ohne weiteres durch den etwas bescheideneren Begriff "Junges Wien" ersetzt werden. Um diese relativ homogene, Anfang der neunziger Jahre formierte Gruppe, ihre Werke und im Besonderen um ihr Verhältnis zu französischen Vorbildern wird es hier in erster Linie gehen. Dabei wird die Aufmerksamkeit anfänglich auf Hermann Bahr als zentraler Vermittlerfigur französischer Literatur gerichtet sein, dann werden einige Werke von Hofmannsthal, Schnitzler, Dörmann, Andrian, Altenberg und Beer-Hofmann in Beziehung zur französischen Literatur gesetzt.
Ausgangspunkt und Fokus des vorliegenden Textes sind die Verschränkung zweier Forschungsfelder und Reflexionsräume: Gender(-Forschung) und Dekonstruktion. Jedes einzelne dieser Felder ist selbst schon transdisziplinär angelegt und befindet sich am Schnittpunkt von Literaturwissenschaft (Ästhetik, Rhetorik), Philosophie (Sprachphilosophie, Sprechakttheorie, Erkenntnistheorie), Soziologie und Psychologie (Psychoanalyse). Mit dem Text möchte ich den LeserInnen einen grundlegenden Einblick in die Verwobenheit und wechselseitige Verwiesenheit der Kategorie Gender mit der Dekonstruktion bzw. mit dekonstruktiven Reflexionsansätzen erschließen.
Literatur gilt trotz vielfältiger neuer Medienangebote als bedeutende kulturelle Praxis. Diese wurde und wird wissenschaftlich erforscht, wobei in den letzten Jahrzehnten gendertheoretischen Ansätzen wachsende Bedeutsamkeit zugemessen wurde. Gendertheoretisch orientierte Forschung kann und soll die Literaturwissenschaften unterstützen und begleiten. Sie kann zum Beispiel darüber nachdenken, wie literarische Texte funktionieren und wie geschlechtliche Identitäten in diesen konstruiert werden bzw. organisiert sind. Diese Untersuchung erfolgt theoriegeleitet, wobei Theorie und Praxis nicht als starre Oppositionen gefasst werden, sondern als in Wechselwirkung stehende verwobene dynamische Konzepte.
Schreiber schreiben, Leser lesen. Leser schreiben, Schreiber lesen. Schreiber schreiben, Leserinnen lesen. Dichter schreiben, Literaturwissenschaftler lesen. Dichterinnen schreiben, Literaturwissenschaftlerinnen lesen. Literaturwissenschaftler schreiben, Dichterinnen lesen... Es ist ein fast unendliches Spiel der Permutationen, das man über Hunderte und vielleicht Tausende von Jahren, als ein immer weiter sich differenzierendes, nachspielen kann.
Ein Blick auf die gegenwärtige Lage der literaturwissenschaftlichen Germanistik weckt den Eindruck, daß ihre Dauerkrise, deren sie sich seit 1966 erfreut, durch zwei völlig entgegengesetzte Therapien gelöst werden soll. Die eine Lösung besteht in einer radikalen Engführung der Literaturwissenschaft, die andere in deren rückhaltloser Erweiterung. Die Frage ist, ob man zugleich ein- und ausatmen kann. Die weitere Frage ist, ob es überhaupt wünschbar ist, die sog. Dauerkrise zu beenden. Wollen wir überhaupt eine Germanistik, die von einem homogenen Theorie-Paradigma zusammengehalten und damit in der Lage wäre, zwischen den zerstrittenen Positionen Konsens zu stiften? Ich denke, wir sollten es nicht wollen. Wenn es eine Lehre von 1945 und 1989 gibt, dann die, daß man schiasmatische Wissenschaftsentwicklungen nicht bedauern, sondern begrüßen sollte. Nicht Einheit, sondern Vielheit, nicht Identität, sondern Differenz, nicht Homogenität, sondern Heterogenität schaffen das Klima für eine kreative Wissenschaft. ...