Refine
Year of publication
Document Type
- Article (387)
- Part of Periodical (290)
- Book (207)
- Review (55)
- Report (52)
- Other (23)
- Part of a Book (20)
- Doctoral Thesis (9)
- Working Paper (7)
- Conference Proceeding (6)
Language
- French (1060) (remove)
Has Fulltext
- yes (1060) (remove)
Keywords
- Literatur (36)
- Gabon (26)
- Gabun (26)
- literature (25)
- Literaturwissenschaft (15)
- Europa (12)
- Vendée (France) (12)
- Deutschland (10)
- Rezeption (10)
- Vergleichende Literaturwissenschaft (10)
Institute
- Extern (126)
- SFB 268 (45)
- Geschichtswissenschaften (44)
- Gesellschaftswissenschaften (12)
- Philosophie (12)
- Neuere Philologien (10)
- Rechtswissenschaft (8)
- Frobenius Institut (6)
- Institut für Sozialforschung (IFS) (6)
- Institut für Ökologie, Evolution und Diversität (6)
Depuis quelques mois, nous avons rassemblé et dépouillé au GRELACO (Groupe de Recherche en Langues et Cultures Orales) un ensemble relativement important de données inédites ou non sur les segments latents (appelés aussi segments flottants) dans les langues bantoues du Gabon. Le présent article se propose donc de faire le point sur ce que nous savons aujourd’hui de ces segments latents dans les langues bantoues du Gabon.
This multidisciplinary work shows the movement today of academic research in social sciences in Senegal.
This paper deals with the possessive constructions — either connective or relative — in Mbochi (C25), a Bantu language spoken in Congo-Brazzaville. In Mbochi, as in most languages of the same group (C20), the underlying /CV-/ form of nominal prefixes never surfaces as such but is targeted by two main processes: consonantal dissimilation and vowel elision. Both processes are in complementary distribution and the alternations triggered by them may explain the surface forms of both connective and relative constructions. In order to provide the necessary background for the study of Mbochi relative clauses, the three subject markers of Mbochi are introduced and the main verbal suffixes are also discussed. Thereafter, a detailed presentation and analysis of the relative constructions is given. Finally, we discuss the prosody of these constructions, showing that relative clauses in Mbochi have no particular tonal markers and we propose a model involving superimposed boundary tones to account for their intonation.
The Tijanya brotherhood founded by Cheikh Ahmed TIJANI in the second half of the XVIIIth century achieved a spectacular breakthrough in West Africa by the middle of the XIXth century. It was adopted and championed by the main figures of the resistance to the French colonial penetration : Cheikh Umar al-Futi TALL and Ahmadou Mahdiyu BA who were introduced to it respectively by Mohamed el-Ghali in Medina and Mohamed el-Hafez, and Id-on-Ali in Mederdra, Mauritania. Mamadou Lamine Dramé from the Gajaaga and Samba Diadana Ac also were figures of the anticolonial resistance who embraced Tijanya. Ahmadou Cheikhou, Cheikh Umar TALL's successor and eldest son, too was a tijane anticolonial hero whom Archinard's men killed in 1891, after his empire had gone through a long period of turmoil.
La documentation démographique concernant les populations rurales de l’Ouest-Africain ne s’est vraiment développée qu’à une époque très récente. On remarque une disparité entre les données relatives aux villes et escales, et celles qui ont trait à la situation rurale. La population urbaine a pu faire l’objet de véritables études démographiques, dès avant les indépendances, alors qu’en milieu rural, on s’est contenté des dénombrements effectués à des fins administratives et fiscales.
La notion de plantes sacrées, de bois sacré est liée à la culture d'une société donnée. Le bois sacré est souvent un lieu de culte ou de fétichisme. Une espèce végétale peut faire partie de ce bois mais elle n'est pas considéré comme sacrée. Une plante ou espèce est sacrée parce qu'elle est liée à un rite coutumier bien précis, à une mythologie bien déterminée. Nous présentons dans ce qui suit quelques espèces végétales considérées comme sacrées par les Bobo. Nos informations proviennent de Kotedougou de son vrai nom Kokana. Le village est situé au nord de Bobo-Dioulasso à 25 km de la ville, localisé dans la zone phytogéographique Sud Soudanienne du Burkina Faso. Nous avons restreint nos données ethnobotaniques sur huit espèces les plus connues et qui de par leur usage abusif dans la pharmacopée tendent à disparaître dans la zone présentée ici. Par ailleurs les variations climatiques, particulièrement la baisse de la pluviométrie ont entraîné une grande modification de la flore et de la végétation autour du village de Kokana et à travers tout le Burkina.