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Sur les îles du Grand Océan
(1832)
Mémoire sur plusieurs animaux de la Nouvelle-Hollande dont la description n'a pas encore été publiée
(1804)
Kong et sa région
(1960)
ZOOLOGISCHER JAHRESBERICHT 1881: Verf. untersuchten einen im Zoologischen Garten in Antwerpen gestorbenen erwachsenen africanischen Elefanten , dessen Haut und Skelet an das Brüsseler Museum kam. Auge. Die knorplige Stütze der Nickhaut verlängert sich stielförmig nach hinten an der inneren Seite des Bulbus. Die Nickhaut wird durch zwei selbständig am hinteren Ende des Stiels entspringende Muskeln bewegt, welche sich vorn oben uud unten in den orbicularis palpebrarum ansetzen. Ein rectus posterior (s. choauoideus, s. retractor) fehlt. Statt der fehlenden Thränendrüse ist die, dem Stielende der Nickhaut anliegende Hardersche Drüse sehr entwickelt. Das Auge ist nicht größer als das des Pferdes, die Orbita aber viel weiter, die Muskeln viel dicker. — Das Herz ist breit , die Umrisse fast viereckig (in der schematischen Lage des menschlichen Herzens) , die breit abgerundeten unteren Enden der Ventrikel durch eine tiefe Furche getrennt (an injicirten Präparaten, ähnlich wie bei den Sirenien. Die Vorkammern sind sehr geräumig; Herzohren fehlen , statt ihrer finden sich rechts und links gewundene , stark gefurchte, solide Anhänge. Die großen Gefäße entspringen wie beim indischen Elefanten in zwei Stämmen , einem truncus anonymus für rechte Subclavia und beide Carotiden und der linken Subclavia. Während ersterer und die Aorta bis zum Abgang der Gefäße sehr kurz ist , ist die pulmonalis merkwürdig lang bis zu ihrer Theilung, was beim indischen Tapir noch auffallender ist. Es sind zwei obere Hohlvenen und eine untere vorhanden. Im Ganzen ist das Herz des africanischen Elefanten kleiner als das des indischen. — Die Milz ist platt zungenförmig, an beiden Enden verschmälert. Ihre Länge ist enorm, 1,31m, ihre größte Breite 0,28m. — In Bezug auf die Zunge sei auch nur auf das von früheren Angaben Abweichende hingewiesen. Der Wharton sehe Gang mündet auf einem 15 mm langen frei flottireuden Faden, beinahe wie beim Pferde. Papulae foliatae (Mayer'sches Organ) sind rechts 19, links 18 vorhanden (33 Forbes , 15 Mojsisovics) . Den Pharyngealsack fanden Verf. so, wie ihn Watson vom indischen Elefanten beschreibt. — Am Kehlkopf sind die oberen Stimmbänder vorhanden ; 1. Morphologie, a) Anatomie. B. Monographien einz. Abth. 9 die gegentheiligen Angaben früherer Beobachter sind wahrscheinlich darauf zurückzuführen, daß sie junge Individuen untersucht haben. — Der Magen scheint im Verhältnis größer zu sein als beim indischen Elefanten. — Die Niereu boten auf der einen Seite eine pathologische Vergrößerung , auf der anderen vielleicht eine beginnende Atrophie dar. Verf. äußern die Ansicht, daß die Lappenbildung wohl mit dem Alter verschwinde. — Die Hoden des untersuchten Thieres waren viermal größer als die von Moj sisovics gemessenen. Das veru montanum sprang stark vor, nach vorn leistenartig verlängert. Die Öffnung des Uterus war V2cni weit, der Uterus 2cm tief. Jederseits fanden sich drei Prostatagänge. Die Urethralöffnung an der Spitze des Penis war nicht Y-förmig, sondern einfach senkrecht elliptisch.
Heft mit handschriftlichen Kommentaren Arthur Schopenhauers. Enthält u.a. den Aufsatz: Arthur Schopenhauer : Philosophie de la magie - traduction d' Alexandre Weill
Nous présentons ici différents algorithmes d’analyse pour grammaires à concaténation d’intervalles (Range Concatenation Grammar, RCG), dont un nouvel algorithme de type Earley, dans le paradigme de l’analyse déductive. Notre travail est motivé par l’intérêt porté récemment à ce type de grammaire, et comble un manque dans la littérature existante.
De nombreux auteurs ont plaidé aussi bien pour une intégration des langues locales gabonaises dans le système éducatif que pour une éducation multilingue au Gabon. Cependant, la politique linguistique du Gabon, quasiment inexistante, et son corollaire dans l’enseignement ne font aucune mention de ces langues locales, dites langues maternelles, reléguées aux activités religieuses et ethno-culturelles. Le but de cet article est de faire l’état des lieux de la politique linguistique dans le système éducatif gabonais. Il analyse successivement (i) la politique linguistique du Gabon, (ii) le paysage linguistique gabonais et (iii) le statut des langues de ce paysage dans le système éducatif. La présente communication suggère fortement la mise en place d’une planification linguistique qui va déterminer à la fois la politique linguistique et l’usage des langues dans le système éducatif.
La nasalisation en Fang-mekè
(2006)
Le fang-mekè qui appartient au groupe linguistique (A75) est parlé dans les provinces de l’Estuaire (Libreville, Kango, et rive gauche de l’Estuaire),du Moyen-Ogooué (Lambaréné, Ndjolé), de l’Ogooué-Ivindo (Makokou) et du Woleu-Ntem (Mitzic). Le seul travail connu à ce jour sur cette langue à été réalisé par Nzang Obame (2004). Il s’agit d’un mémoire de maîtrise à orientation linéaire, portant sur la description phonologique du fang-mekè parlé au quartier Lalala de Libreville et dont le foyer d’origine est situé à la rive gauche de l’Estuaire. On comprendra donc que pour la réalisation de la présente étude portant sur la nasalisation en fang-mekè, nous nous appuyons uniquement sur le travail de Nzang Obame.
Depuis quelques mois, nous avons rassemblé et dépouillé au GRELACO (Groupe de Recherche en Langues et Cultures Orales) un ensemble relativement important de données inédites ou non sur les segments latents (appelés aussi segments flottants) dans les langues bantoues du Gabon. Le présent article se propose donc de faire le point sur ce que nous savons aujourd’hui de ces segments latents dans les langues bantoues du Gabon.
On est parti ici du constat qu’il était impossible à Blanchon de poser les réflexes réels des schèmes tonals des thèmes nominaux du proto-bantou en wumvu de Malinga, à partir du moment où il s’interdisait, sur le plan méthodologique, d’observer le principe d’identité des niveaux de correspondance entre le proto-bantou et le wumvu de Malinga, c’est-à-dire niveau structurel proto-bantou égale niveau structurel wumvu. Nous nous sommes donc attelé dans la section 1 de cette étude à fixer la structure mélodique et tonale des substantifs du wumvu de Malinga, avant de donner les correspondances tonales entre les deux langues à la section 4. Il nous a paru également vicieux de la part de l’auteur d’avancer une explication, fûtelle historique, sur les faits de tonalité observés dans cette langue, dès lors qu’on ne possédait aucune étude quelconque sur la tonalité de cette dernière. Nous avons donc consacré la section 2 de ce travail à l étude des différents processus tonals relevés dans les substantifs du wumvu de Malinga. Dans la section 3, nous avons été amené à mettre en évidence l’incidence de l’accent dans le traitement de la tonalité de cette langue bantoue du Gabon, montrant par là les limites de l’hypothèse explicative de Blanchon. Enfin, en terme de perspective, on ne peut qu’appeler à la réalisation d’une description complète du wumvu de Malinga, afin que son étude historique ne soit que meilleure.
La présente étude revisite la liste des langues bantoues du Gabon contenues dans la classification des langues bantoues de Guthrie (1967 - 1971), en y ajoutant une nouvelle langue, des nouveaux dialectes, et pour la première fois des sous dialectes. Prenant en compte les acquis des classifications antérieures des langues bantoues du Gabon, elle revient sur les propositions de codification de Maho (2003,2006 et 2007) visant à ajouter des nouvelles langues et de nouveaux dialectes dans la liste de Guthrie sans remettre en question le système de codification établi par ce dernier. Des nouvelles propositions sont formulées ici qui réanalysent ou réaménagent les modèles de codification avancés par cet auteur, tout en se portant en faux contre une sacralisation inavouée de la classification de Guthrie qui viserait à mettre ses propositions d’indexation des langues bantoues à l’abris de toute modification ou réaménagement. Enfin, la présente classification revient sur un certain nombre de dénominations et de problèmes orthographiques des noms de langues relevées dans les anciennes classifications, pour proposer des corrections qui tiennent comptent soit du bon sens, soit du point de vue des locuteurs ou des conventions de notation des langues bantoues arrêtées par les linguistes de l’Ecole de Tervuren.
En dernière analyse, la grande faiblesse des livres comme ceux de Mouguiama-Daouda et d'autres linguistes gabonais qui ont choisi de publier des ouvrages généraux sur les langues bantoues du Gabon, c'est de manquer de documents descriptifs (synchroniques ou diachroniques) sur lesquelles ils peuvent asseoir raisonnablement leurs hypothèses et leurs argumentations. Ceci montre, par conséquent, combien de fois il est nécessaire de commencer d'abord par décrire les langues que l'on veut étudier, avant d'envisager une quelconque autre étude linguistique sur elles.
La présente étude est parvenue à identifier une vingtaine de bantouismes dans le LG et moins d'une dizaine de candidats à bantouismes (six au total), grâce aux cognats et aux candidats à cognats vili que nous avons pu établir. Ce faisant, elle a falsifié le point de vue dominant dans la littérature d'une origine restreinte à trois langues (le kikongo, le kimbundu et l'umbundu) de tous les bantouismes et candidats à bantouismes latino-américains connus à ce jour. La suite du travail est déjà en vue qui consiste à étendre aux autres langues bantoues du Gabon des zones A et B la recherche des mots apparentés aux termes du LG, ce qui assurément ne pourra que rallonger la liste des bantouismes présents dans le LG.
Ce texte s’est voulu une brève présentation des tons phonologiques qu’on rencontre dans les langues bantoues parlées au Gabon. L’élément nouveau ici par rapport à ce que l’on sait de l'analyse de la tonalité des langues bantoues en général, c’est la prise en compte de l'intonation dans l'explication de certaines modifications tonales du niveau lexical dont les tons lexicaux (fixes ou flottants) ne peuvent pas rendre compte.
Dans les langues bantoues du Gabon, tons lexicaux flottants et tons intonatifs permettent d’expliquer trois phénomènes tonals que nous avons voulu passer en revue dans cet article. Dorénavant, il est donné de croire, avec l’élargissement du domaine d’observation des tons intonatifs aux groupes B10, B20 et B30, qu’un certain nombre de problèmes tonals considérés hier encore comme insolubles ou relevant de types ou de cas tonals, trouvent des solutions ou des analyses satisfaisantes. Déjà, la découverte des tons intonatifs en myènènkomi (B11e) et en tsogo (B31) permet aujourd’hui de proposer une description pour le moins correcte de la tonalité de ces deux langues.
Cet article fait l'inventaire des travaux récents sur les langues du Gabon. Il prend en compte les publications ou les monographies qui sont parues depuis les années 84-85. Cette bibliographie constitue ainsi une mise à jour de la contribution de Hombert et Mortier (1984), qui recense de son côté toutes les références bibliographiques qui ont été publiées avant cette même période.
La réglementation relative aux armes à feu, munitions, explosifs et poudrières en Afrique occidentale française fait l’objet de textes si nombreux et si divers qu’il devient très difficile au chercheur d’en suivre les prescriptions avec toute la précision désirable. Aussi, avons nous eu l’idée de réunir, dans un but d’utilité générale, les références des différents conventions, décrets, arrêtés, décisions, circulaires et actes et qui se rapportent à cette question. Cependant, nous avons estimé préférable de regrouper les textes en un travail conçu d’après un plan d’ensemble défini et logique de manière à éviter au lecteur de longues recherches. Le tableau ci-dessous comporte trois rubriques. Dans la première rubrique, nous mettons la nature, le n° s’il y a lieu et la date du texte. Dans la deuxième rubrique, nous indiquons la source et s’il s’agit d’une source archivistique, nous ne mettons que le code. L’intitulé de chacun des codes se trouve dans la partie « Source et Bibliographie » qui suit le tableau. Celle-ci est constituée de l’ensemble des sources portant sur le contrôle de la circulation des armes à feu et de leurs munitions en Afrique occidentale française : 1834-1958. Dans la troisième rubrique du tableau, nous signalons les objets du texte et dans la quatrième, nous mettons les territoires où était appliqués le document.
Proverbes et énigmes wolof cités dans le dictionnaire volof-français de Mgr Kobès et du R.P. Abiven
(2000)
Deuxième Grande Sonate à quatre mains pour le Piano Forte : oeuvre 22 [Spielpartitur] [Musiknoten]
(1824)
Bio-bibliographie de quelques médecins naturalistes voyageurs de la marine au début du XIXe siècle
(1968)
Nous avons essayé de mettre un peu de clarté dans ce sujet en dressant un tableau des principaux voyages. Pour les rédiger, nous nous sommes servis de la prelnière étude parue à ce suj et : celle de BAJOT. Louis Marie BAJOT, né en 1775, était chef de bureau au Ministère de la Marine. Il fut membre fondateur de la Société de Géographie et correspondant de Daremberg. Nous avons retrouvé dans les papiers de ce dernier une lettre de BAJOT, datée de 1860, du Tremblay par Montfort l'Amaury, où il avait pris sa retraite et où il a dû mourir. Nous avons recoupé le travail de BAJOT par celui d'OLLIVIER, par celui, plus récent, de BOUDET et enfin par les grands ouvrages de LA RONCIÈRE et de Paul-Emile VICTOR et ses collaborateurs, sans oublier le livre récent de Mlle Agnès BÉRIOT. En ce qui concerne la bibliographie et les travaux des médecins naturalistes, nous nous sommes servis du «Répertoire bibliographique » très précieux établi par Ch. BERGER et H. REY (1874) et des thèses récentes de LE FUR, LE BOZEC, NOEL et ZOBEL. Nous avons complété cette documentation par des recherches personnelles effectuées dans les dossiers des Archives du Service historique de la Marine; à la Bibliothèque de l'Ecole des Langues Orientales et à la Bibliothèque Nationale. Notre plan sera le suivant: I) Les grands voyages maritimes du début du XIX' siècle. Il) Notices bio-bibliographiques se rapportant aux naturalistes-voyageurs ayant pris part à ces voyages.
Dans son sermon pour la fête de la Toussaint 1331, le pape Jean XXII affirme que les âmes des saints ne jouissaient pas de la vision béatifique de Dieu avant le jugement dernier. Sur l'origine de cette opinion, qui agita toute la chrétienté pendant plusieurs années, les explications les plus variées ont été avancées. Après leur revue critique, il est établi que la source de cette hypothèse est en fait saint Bernard, et à travers lui, Ambroise, Augustin et Grégoire. Voulant sauver la vision béatifique immédiate, le cardinal Jacques Fournier proposa une interprétation alternative très personnelle des sermons de saint Bernard.
La Sénégambie
(1898)
Anecdotes du vieux Congo
(1925)
Eine Lithografie mit einem von Alexandre Dumas (1802-1870) handgeschriebenen Gedicht ist bei Aufräumarbeiten im Archivzentrum der Universitätsbibliothek Frankfurt am Main gefunden worden. Es handelt sich dabei um das Gedicht "La Revue Nocturne", Dumas' wortgetreue Übersetzung des Gedichts "Die nächtliche Heerschau" von Joseph Christian Freiherr von Zedlitz (1796-1869) ins Französische, das Dumas auf den breiten Rand der Lithografie schrieb.
Les Microgasterinae d'A.O.F.
(1951)
La grande stèle du pharaon Aménophis II a été découverte par le prof. Ahmed Bada wipendant l'une de ses fructueuses campagnes de fouilles à Mit-Rahineh. En un temps record, il en a publié le texte et la traduction, en la livrant ainsi sans retard à l'étude des savants (2). Prenant en considération les nombreuses localités, syriennes et palestiniennes, à identifier et les difficultés, grammaticales et lexicographiques, à surmonter, on ne peut pas ne pas apprécier l'effort du Dr Baclawi, en majeure partie couronné de succès. Notre collègue ne se cachait certes pas que, par-ci par-là, il pouvait y avoir quelque chose à ajuster et à rectifier. Et si ses diverses occupations lui laissaient plus de loisir, il l'aurait peuf-être fait lui-même, un jour ou l'autre. Nous n'avons pas l'intention de revÎser tout le texte. A notre connaissance, ce travail est en train d'être faÎt par un autre. Nous nous bornerons à passer en revue trois passages, à savoir : la traversée de l'Oronte, la chasse dans les environs de Kadesh et la veillée de nuit après la prise de deux villes palestiniennes.
Esquisse de l'histoire du commerce français a Cadix et dans l'Amérique Espagnole au XVIIIe siècle
(1928)
Diese Arbeit beschreibt die verschiedenen Celltypen (ungefähr dreizig), die in die Larve von Alcyonidium ployoum (Hassall) sind, und zeigt ihre Verschiedenheit und ihren specifischen Merkmale, hesonders wegen der elektronischcn Mikroskopie. Die ektodermischen Zellstoffe sind viel mehr verschieden, als die Arbeiten den alten Autoren es zu glauben lasscn. Aborale und pericoronale Zellstoffe, deren einige von Warzen und mancherlei Wimper bedeckt sind, sind beschreibt. Ein besonderer Zellstoff, der die Einmündung des Saugnapfs beschränkt, ist im Kleine gelernt. Ein Ring von infracoronalen und sehr besonderen Wimperzellen, die nachher den grössten Teil der Anfang des ersten Polypid geben werden, hat sehr genau geanalisiert. Speziale palleale und des Saugnapfs Zellstoffekörnchen werden nachher die Kutukula der Ancestrula zu geben. Der verwickelte Bau der Musultnlareinpflanzungzellen ihre ektodermale Natur, der desmosomiale Anblick der Einfüngungen der Muskularfasern sind entdecken. Die mesodermalen Zellstoffe sind sehr verändert, und kann man die Verwandlung einer Typus von mesenchymalen Zell in einen anderen Typus folgen, in Beziehung auf dem Alter der Larve, Die Verteilung und der Bau der verschieden Muskeln sind geanalisiert, und mit den der anderen bekannten Ectoproctlarven vergleichen. Eine kritische Studium der mancherleien Kategorien von mesenchymalen Zellen ist bezüglich auf die histologischen Beschreibungen früherer Autoren gemacht. Die morulären Zellen, die bis nun allein bei die tätigen Alcyonidium´s Zoecien kurz beschreibt waren, sind hier einzeln gelernt, Ein Haupteingebrachte unserer Erforschung bewilligt den Bau des neuroempfindlichkeiten Ganze dieser Larve. Empfindungszellen stellen in der Mitte der Kappe, und sind in Verbindung, wegen synaptischen Vereinigungen, mit einem Dorsalganglion wo ein von einem mesodermalen zusammenhängenden Muff beschtzer Nerv anfangt. Axonen gehen unter dem Nerv fort, folgen den ganzen larva´s peripherie in der untercoronalen Gegend, und bezüglich mehreren Synapsen verbinden sie mit den allen regsamen Wimperstoffe der Larve. Es gibt kein nervöse Zellkörper neben deIn birniformingen Organ (der nun uns «complexe ectodernlique ventro-anterieur» vorziehen nennen); da bermerckt man nur ein Axonenhalftern. Mit den Gesamtheit der vereinigten Urkunden kannt man ein genau Kenntnis der Larva von Alcyonidium haben. Diese Kenntnis war die nötige Vorbedingung für das Studiaum der Vorfälle von der Verwandlung und Polypids´ Ancestrularbildung unternehmen. Dieses Studium wird logisch für uns diese Arbeit folgen.
Le nilomètre de Kom el Gizeh
(1900)
Les végétations arbustives des voisinages des cours d’eau ont été étudiées à partir de 34 relevés phytosociologiques réalisés entre septembre 2001 et décembre 2003, en utilisant la méthode phytosociologique de Braun Blanquet. Deux associations végétales en sont décrites: Feretio-Khayetum senegalensis et Celtido-Diospyroetum mespiliformis. Une alliance nouvelle et un ordre nouveau sont créés pour les regrouper. Il s’agit du Feretio-Khayion senegalensis et du Diospyro-Khayetalia senegalensis. Cet ordre rassemble les groupements vallicoles de la zone de transition soudano sahélienne et est considéré comme vicariante géographique du Pterygotetalia Lebrun et Gilbert 1954. Aussi, le Diospyro-Khayion senegalensis all. nov est consirédéré comme vicariante géographique du Khayo-Pterygotion Schmitz 1950 et du Psychotrio-Tecleion Schmitz 1971. Mots clés: Diospyro-Khayetalia senegalensis, Diospyro-Khayion senegalensis, Parc Régional du W du fleuve Niger
Les résultats de 227 relevés phytosociologiques selon l’approche phytosociologique effectuées au Parc Urbain Bangr-Wéoogo de Braun-Blanquet (1932) montrent que malgré son contexte de forte pression anthropique avec plus d´un million d’habitants aux alentours, cette forêt urbaine conserve encore de nos jours une diversité floristique appréciable avec 327 espèces inventoriées comprenant 117 espèces ligneuses et 210 espèces herbacées. Cette flore qui est répartie dans 11 groupements individualisés grâce aux espèces différentielles, est constituée essentiellement de phanérophytes et de thérophytes. La répartition phytogéographique des espèces montre leur appartenance à plusieurs empires phytogéographiques dominés par les espèces Soudano-Zambeziennes et Pantropicales. La richesse floristique du parc qui contraste avec son environnement, est le résultat d’une politique d’aménagement et de conservation efficace de la biodiversité initiée par l'État et ses partenaires depuis 1936. Mots clés: Flore, conservation, aménagement, spectre biologique, Parc Urbain, Ouagadougou, Burkina Faso, groupements végétaux
L´analyse de dix groupements ligneux et dix espèces dominantes a été faite du nombre de tiges à l’hectare et des classes de diamètre des populations correspondantes. Il ressort que les groupements les plus denses sont ceux à Combretum nigricans Lepr. ex Guill. & Perr., Anogeissus leiocarpus (DC.) Guill. & Perr., Acacia hockii De Wild. et A. dudgeoni Craib. ex Holland, tandis que les moins denses sont ceux à Gardenia ternifolia Schumach. & Thonn., Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn. et Piliostigma thonningii (Schumach.) Milne-Redh. La répartition des individus en classes de diamètre a révélé que tous les groupements sont stables, c’est-à-dire capables de se renouveler par la régénération naturelle. Mais la structure des espèces dominantes présente beaucoup d’irrégularités liées à leurs exigences écologiques, aux feux de brousse et aux attaques d’éléphants. Toutefois, la plasticité écologique et la biologie de certaines espèces leur confèrent assez de structures de populations stables. Mots clés: Aires protégées, Burkina Faso, Groupements ligneux, Structure de population
La présente étude menée sur la végétation ligneuse du parc national d’Arly a pour objectif de caractériser la diversité et la structure des différents groupements végétaux en relation avec les conditions écologiques. 243 relevés phytosociologiques ont été réalisés. Ces relevés font ressortir 109 espèces ligneuses et 10 groupements par la méthode d’analyse DCA. La diversité des groupements végétaux a été caractérisée par le calcul des indices de diversité. Pour chaque groupement ligneux, 10 relevés ont été choisis de manière aléatoire pour des mesures dendrométriques. Les individus dont le diamètre à 1,3 m du sol est supérieur à 5 cm ont été mesurés. La structure des groupements a été décrite à travers la répartition des individus en classe de diamètre, le calcul de la densité et de la surface terrière. La relation entre la diversité et la structure des groupements a été établie sur la base d’analyse de corrélation. Les groupements ligneux distingués sont répartis suivant le gradient topographique. L’analyse de la structure démographique en classe de diamètre montre que les peuplements des différents groupements végétaux sont stables, ce qui traduit leur adaptation aux facteurs écologiques stationnelles telles que le feu et les conditions de sol. Les forêts claires à Tamarindus indica et Combretum paniculatum et les forêts galeries à Vitex chrysocarpa et Garcinia livingstonei sont les formations les plus denses et les groupements ligneux les plus diversifiés. A l’opposé, les savanes arbustives clairsemées à Euphorbia sudanica et Combretum niorense et celles à Acacia sieberiana sont moins denses et constituent les groupements les plus pauvres en espèces. Ainsi, il existe une relation entre la diversité et la structure des groupements des formations ligneuses. Les conditions édaphiques et topographiques occupées par ces groupements expliquent à la fois leur diversité et leur structure. Mots clés: groupements ligneux, relevés, stabilité, sol
La Journée Internationale des Musées dont le thème cette année est : « Les musées et les jeunes », nous offre l’agréable occasion d’échanger avec de jeunes scolaires sur la question de la valorisation du patrimoine culturel immatériel. Cette initiative du Musée de la Musique est à saluer ; car si je ne m’abuse, c’est l’une des rares occasions que le service chargé de la protection et de la valorisation du patrimoine culturel a pour s’entretenir de cette question avec les scolaires. Que toute l’équipe du Musée de la Musique en soit remerciée ! Les remerciements vont également à l’endroit de toutes celles et de tous ceux qui ont fait le déplacement de ce soir. La jeunesse, comme on a coutume de le dire « constitue l’avenir de la nation. » C’est à elle que reviendra le témoin de conduire, dans un futur proche, le destin de la nation. Dès lors se pose la question de savoir quelle éducation inculquer à cette jeunesse dans un monde globalisé. Comme l’a dit un célèbre historien burkinabé, en l’occurrence le Pr. Joseph KI-ZERBO, « Pour savoir où l’on va, il faut d’abord savoir d’où l’on vient. » Cette affirmation pour dire que le passé et tout ce qui lui est rattaché est fondamental dans la connaissance du présent et dans la projection de l’avenir. Pour cela, la jeunesse doit être éduquée aux valeurs fondamentales et cardinales de nos sociétés. C’est pourquoi, la jeunesse doit connaître son patrimoine culturel.Qu’est-ce que le patrimoine culturel et comment les jeunes peuvent-ils s’impliquer dans sa préservation ? Voici les questions autours desquelles s’articulera notre intervention.
Nous publions ici les soixante-deux lettres écrites entre 1912 (ou 1913) et 1937 à Hélène et Alfredo Casella. Celui-ci, qui avait été un des premiers compositeurs à rejoindre la Société Musicale Indépendante, y assumait les fonctions de Secrétaire Général, et était efficacement secondé dans cette tâche par sa femme Hélène Kahn-Casella dont il devait se séparer en 1919. Quelques-unes de ces lettres ont été reproduites dans l´ouvrage de René Chalupt : Ravel au miroir de ses lettres (Robert Laffont, 1956).