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Au Tchad, à cause de ses retombées financières une attention particulière est prêtée aux arbres à karité (Vitella- ria paradoxa C.F.Gaertn.). Cependant, cette culture est menacée par les plantes vasculaires parasites de la famille des Lo- ranthaceae. La présente étude a été effectuée dans 3 sites dans la région du Mandoul pour évaluer l’ampleur des attaques de Loranthaceae (gui africain) sur des arbres en fonction des classes de circonférence du tronc à 1,5 cm du sol. Elle a consisté à dénombrer sur une de surface, les arbres à karité infestés et les touffes de parasites rencontrées sur ces arbres, afin de dé- terminer leur taux et leur intensité d’infestation. Les résultats obtenus montrent que Tapinanthus dodoneifolus (DC) Danser a été trouvée comme la seule espèce de Loranthaceae qui parasite les arbres karité étudiés dans la zone d’étude. Le taux moyen d’infestation estimé à 73% augmente avec l’âge des arbres karité. La moyenne d’intensité de l’infestation/arbre (2,75 touffes à Békôh, 2,27 à Yomi and 2,04 à Bébopen) montre que Tapinanthus dodoneifolus constitue une réelle menace pour les peu- plements de karité dans la zone d’étude. Il reste à rechercher le seuil d’infestation qui provoque une réduction significative de la fructification. Pour l’instant, bien que pénible à cause de la hauteur des arbres adultes, la lutte mécanique contre les Ta- pinanthus par la coupe systématique des branches infestées est urgente dans les parcs à karité dans cette zone d’étude.
Déterminants de l’utilisation de Acacia auriculiformis comme bois d’œuvre en Afrique de l’Ouest
(2020)
Acacia auriculiformis, un bois énergie, suscite de plus en plus des intérêts de bois d’œuvre au niveau des industriels de bois au Bénin. L’appréciation des performances de l’espèce dans les usines et en plantation est déterminante pour la vul- garisation de l’espèce comme alternative pour mitiger la déforestation en lien avec la demande en bois d’œuvre. L’objectif principal de ce travail est donc d’évaluer les conditions entourant l’adoption de Acacia auriculiformis comme espèce de bois d’œuvre au Bénin, Afrique de l’Ouest. Au total, 154 usines de bois et 25 plantations ont été enquêtées dans les zones abritant les plantations à A. auriculiformis. A. auriculiformis est l’espèce la plus fréquente dans les usines de bois (81%) suivie de Afzelia africana (55%), Tectona grandis (47%) et Khaya senegalensis (47%). Les superficies des plantations à A. auriculi- formis ont augmenté entre 1999 et 2019. Les connaissances sur l’utilisation de ce bois sont variables dans la zone d’étude. Le bois de A. auriculiformis est apprécié comme bois d’œuvre parce qu’il présente une couleur esthétique, un séchage rapide, une facilité de mise en œuvre, une imprégnabilité élevée, une densité moyenne à élevée et un bel aspect après mise en œuvre. Cependant, son bois fournit beaucoup de sciure, a beaucoup de nœuds et présente une déformabilité moyenne. Sa disponibili- té et son accessibilité sont les principaux facteurs justifiant la préférence de l’espèce par les industriels de bois d’œuvre. Cette forme d’utilisation de l’espèce est également remarquée au Togo, en Côte d’Ivoire. L’espèce présente une bonne perspective d’utilisation comme bois d’œuvre.
Les Loranthaceae posent un problème majeur à l’amélioration et à la pérennisation de la production fruitière du karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn) en Afrique de l’Ouest. Cet´article présente les resultats des investigations faites en vue d’identifier des méthodes de contrôle des parasites. Deux types d’essais ’’au champ’’ ont été effectués et ont donné des résultats prometteurs: la destruction mécanique et les traitements par herbicides. Additionellement ont été identifiées des variétés résistantes et quelques possibilités de la lutte biologique.
Cette étude avait pour objectifs: 1) d’identifier et de caractériser les acteurs impliqués dans la filière des produits à usage médicinal tirés de Cordyla pinnata, Detarium microcarpum et Detarium senegalense au Sénégal; 2) d’analyser l’organisation de cette filière et l’importance des parties utilisées; 3) d’analyser la commercialisation de ces produits; 4) d’identifier les forces, faiblesses, opportunités et menaces de la filière. L’échantillonnage en boule de neige a été utilisé et a permis d’interroger, à l’aide de guides d’entretien 13 tradipraticiens locaux, 3 récolteurs et 17 herboristes. Les résultats ont révélé que les acteurs de cette filière, majoritairement des hommes, entretenaient des relations de coopération et qu’ils béné- ficiaient de l’appui de la société civile en termes de formation et d’organisation. Les racines et les écorces de Cordyla pinnata et Detarium microcarpum étaient plus utilisées tandis que celles de Detarium senegalense étaient peu commercialisées. Les écorces, les racines et les feuilles étaient vendues entre 0,108 et 0,290 Euro/100g. Une partie des écorces était transformée en poudre avant d’être commercialisée chez les herboristes entre 1,046 Euro/100g (pour Cordyla pinnata) et 1,524 Euro/100g (Detarium microcarpum). Les prix étaient plus élevés à Dakar. Les parties tirées de Cordyla pinnata étaient essentiellement utilisés contre les parasitoses intestinales tandis que celles de Detarium microcarpum et dans une moindre mesure celles de Detarium senegalense servaient à soigner les dermatoses. Les faiblesses de cette filière concernaient essentiellement l’exploitation anarchique de la ressource et la raréfaction saisonnière de certains produits tandis que l’éloignement des sites d’approvisionnement menaçait son bon fonctionnement.
Au Burkina Faso, les unités d’aménagements forestiers (UAFs) sont confrontées à une forte pression anthropique qui cause la dégradation des ressources ligneuses dont Vitellaria paradoxa est l’une des espèces surexploitées. Afin de con- tribuer à la gestion durable de ces UAFs, il s’avère nécessaire d’analyser l’impact des pressions anthropiques sur la phytodi- versité et la dynamique de Vitellaria paradoxa. Ainsi, des facteurs tels que l’agriculture, la coupe illégale de bois, le pâturage et les feux non autorisé ont été évalués dans l’UAF 2, l’UAF B et l’UAF C, où des inventaires forestiers ont été conduits. Les résultats montrent que le pâturage et les feux non autorisé ont été les facteurs les plus fréquents dans les UAFs, sur- tout dans l’UAF C (> 90%) alors que les autres facteurs ont été plus abondants dans l’UAF 2. La phytodiversité mesu- rée est presque similaire dans les trois UAFs avec toutefois des indices de diversité plus élevés dans l’UAF 2. La struc- ture de Vitellaria paradoxa montre une prédominance d’individus jeunes dans les UAFs et des densités plus élevées dans l’UAF C tandis que sa régénération est plus importante dans l’UAF 2. L’état sanitaire de l’espèce est globalement satis- faisant bien que la principale menace soit l’infestation des Loranthaceae qui a été plus importante dans l’UAF 2 (7%). L’exploitation durable des UAFs nécessite la mise en œuvre d’un programme de conservation avec une forte implication des populations riveraines.
Caractérisation structurale de la végétation ligneuse du Parc National de Mozogo-Gokoro (Cameroun)
(2018)
La gestion forestière durable est étroitement dépendante de la compréhension de la dynamique structurale. Cette étude vise la description de la structure de la végétation ligneuse du Parc National de Mozogo-Gokoro, situé en zone soudano-sahélienne au Cameroun. À l’issue d’un inventaire floristique, prenant en compte tous les individus ligneux, les analyses ont porté sur les paramètres suivants: la structure diamétrale, les types de tiges, la répartition en classes de hauteurs, les types biologiques et les types végétatifs. Ces différentes formes de caractérisation ont prouvé globalement le vieillissement du peuplement. Les pourcentages des types végétatifs montrent une végétation dominée par les arbustes (63,12 %), mais avec une présence non négligeable de lianes (26,34 %) et d’arbres (10,54 %). À partir des tests de corrélations diamètres-hauteurs, le paramètre types de tiges, avec une domination des hautes (1521 tiges/ha) et moyennes tiges (733 tiges/ha), est démontré plus crédible dans l’étude de la structure intégrale de la végétation ligneuse. L’analyse structurale des espèces présente quant à elle des tendances, montrant l’importance de l’ensemble des paramètres et une divergence dans les pressions subies. En somme, dans le processus de gestion durable du parc, la régénération et la croissance des ligneux se manifestent comme une préoccupation concernant l’ensemble du peuplement, mais de façon plus ciblée suivant les espèces.
Cette étude analyse les stratégies locales de dénomination des espèces végétales par les Mossé des régions du nord, du centre nord, du centre et du Plateau Central du Burkina Faso et leurs perceptions des plantes. A travers des interviews semi directes auprès de 1437 personnes âgées d’au moins 60 ans et des jeunes de moins de 40 ans des différentes localités, l’étude a pu montrer les critères de dénomination, les conceptions que les populations ont des espèces végétales ainsi que l‘impact de ces connaissances dans la conservation de la phytodiversité. 72 espèces au total ont été décrites. Elles sont réparties en 51 genres et 29 familles. Les familles dominantes sont les Commelinaceae et les Fabaceae-Mimosoideae. Dans la taxonomie locale faite sur les plantes en milieu rural Mossé, 16 critères sont utilisés. Les critères les plus cités par la population sont l’usage fait de la plante (94 %), le mysticisme lié à l’espèce (86 %), l’écologie ou le milieu de vie de l’espèce (83 %), la dualité mâle/femelle (83 %), la couleur des organes ou parties de la plante (81 %), l’origine de la plante (80 %), la morphologie foliaire (76 %), la présence d’organes saillants sur la plante (75 %) et le mode de dissémination des fruits ou des graines (74 %). Les noms botaniques attribués aux plantes varient d’une région à une autre. Les populations ont des perceptions vis-à-vis de nombreuses espèces. Ainsi, les espèces comme Stereospermum kunthianum, Calotropis procera, Ozoroa insignis, Faidherbia albida, Maytenus senegalensis et Biophytum umbraculum sont frappées de mysticisme. Elles sont toutes craintes par les populations et sont dans certaines localités à l’abri d’exploitations multiformes humaines. Cela contribue à une meilleure conservation de la biodiversité.
La connaissance du potentiel et de la productivité d'une ressource est une donnée nécessaire à l'élaboration d'une bonne politique de sa gestion. La structure et la productivité des peuplements à Acacia seyal Del. et à Acacia senegal (L) Willd.ont été étudiées dans les formations naturelles de Massenya au Tchad. Sur la base de 32 placeaux de 900 m2 , le diamètre et la hauteur de tous les individus d’espèces ligneuses ont été mesurés. Pour des espèces adultes à port arbustif, le diamètre est mesuré à 50 cm du sol. Les individus juvéniles sont simplement comptés et rangés en classe de hauteur. L’étude de la structure des peuplements et de deux espèces d’Acacia a été réalisée à travers le nombre de tiges à l’hectare et les classes de diamètre. L’Indice de Valeur d’Importance (IVI) a été utilisée pour apprécier la prédominance des espèces sur le site. La productivité des peuplements en gomme a été évaluée en fonction de la production moyenne d’un arbre qui était de 250 g. Les peuplements à Acacia de Massenya sont très denses (619 ± 269 tiges/ha), mais à surface terrière faible (7,10 ± 1,20 m²/ ha) due à un grand nombre d’individus de petit diamètre (11,1 ± 2,2 cm). Ce sont des peuplements généralement arbustif (hauteur de 5,2 ± 0,9 m) avec un bon potentiel de juvéniles (408 ± 267 tiges/ha) pouvant se régénérer naturellement. Toutefois, Acacia seyal semble plus apte à coloniser d’autres milieux qu’Acacia senegal. Sur les sept espèces qui prédominent sur le site, Acacia seyal et Acacia senegal réalisent des IVI plus élevés (respectivement 79 et 54). Les espèces à bon potentiel de régénération sont Acacia seyal (65 ± 8 juv./ha), Acacia senegal (58 ± 10 juv./ha) et Guiera senegalensis (51 ± 8 juv./ha). La production annuelle de gomme est estimée à 56 ± 6 kg/ha de gomme friable (à Acacia seyal) et 41 ± 5 kg/ha de gomme dure (à A. senegal).
Les associations végétales des dalles rocheuses (Alysso-Sedion) de la chaîne du Jura francais
(1985)
L'auteur présente, à partir de 45 relevés phytosociologiques appartenant à l'alliance Alysso-Sedion, une étude synthétique de la végétation des dalles rocheuses calcaires du Jura français. Sur le pourtour de la chaîne du Jura, à l'étage collinêen, se rencontre le Cerastietum pumili sous sa variante méridionale à Trifolium scabrum. Il est remplacé à l'étage montagnard inférieur du Jura occidental par le Poo badensis -Allietum montani typicum, association connue seulement d'Allemagne du Sud jusqu'alors. A l'étage montagnard supérieur du Jura méridional et du Jura oriental s'observe une association inédite de l'Alysso-Sedion, le Sedo acri - Poetum alpinae, caractérisée notamment par une variété particulière de Poa alpina proche de Poa molinerii.
Lorsque la forme de la table rocheuse permet la rétention prolongée de l'eau de pluie, des groupements particuliers apparaissent. Le Poetum badensis, jusqu'alors connu seulement de Bourgogne, existe ainsi, à l'étage collinêen, au niveau du Jura méridional, alors que le Poo badensis - Allietum montani oaricetosum lepidocarpae le remplace à l'étage montagnard inférieur dans les mêmes conditions écologiques.
Die Wasser-Gesellschaften der fließenden Gewässer in Hoch- und Mittelbelgien werden beschrieben: das Callitricho-Ranunculetum mit Ranunculus penicillatus (Ardenne), das Ranunculetum fluitantis (Kalkgebiete des Maasbeckens) und die Laichkraut-Gesellschaft mit Potamogetón pectinatus der Lößgebiete (Mittelbelgien). Die Beziehungen zu den chemisch-limnologischen Eigenschaften der Gewässer wurden untersucht; die mineralische Zusammensetzung der Gewässer ist der bedeutendste Faktor.
Au Burkina Faso les études menées sur la végétation des inselbergs sont fragmentaires et insuffisantes. Il existe très peu de données sur la végétation des inselbergs et aucune étude n'a encore été menée sur cette végétation suivant un gradient climatique. L'objectif de cette étude est de décrire la végétation ligneuse des inselbergs des quatre secteurs phytogéographiques du Burkina Faso suivant un gradient climatique nord-sud. Les données ont été collectées dans des placeaux de 30 m x 30 m, suivant un échantillonnage stratifié et aléatoire. Des indices de diversité, d'équitabilité, de valeur d'importance et de similitude ont été calculés pour la végétation des inselbergs granitiques et gréseux des secteurs phytogéographiques. Un total de 188 relevés a été réalisé. 143 espèces ligneuses ont été recensées et se répartissent inégalement dans les quatre secteurs phytogéographiques. Plus de trois quarts moitié (79%) de ces espèces se retrouve dans le secteur Sud-soudanien, ce qui le rend plus riche floristiquement. Le secteur le moins riche en espèces est le secteur Nord-sahélien avec 37 espèces (26%). La richesse floristique augmente du nord au sud du gradient climatique et met en évidence la variation taxonomique suivant le gradient latitudinal de précipitation. Les 143 espèces ligneuses recensées sur les inselbergs des quatre secteurs phytogéographiques représentent 65 % des espèces ligneuses et 7 % de la flore totale du Burkina Faso. Les facteurs topographie et nature du substrat n'ont pas un effet significatif (p > 0,05) sur la composition floristique des inselbergs. La densité et la surface terrière des peuplements ligneux varient significativement suivant l'altitude (p < 0,05). Le climat, particulièrement le niveau de précipitation, reste le principal facteur qui influe sur la répartition des taxa devant la nature du substrat, la topographie et l’anthropisation. Les peuplements ligneux des inselbergs des secteurs sud-sahélien et ord-soudanien sont les moins denses. Ils subissent plus de pression anthropique par rapport aux peuplements ligneux des secteurs Nord-sahélien et Sud-soudanien. Les inselbergs les plus hauts ont une végétation ligneuse plus dense que les inselbergs les plus bas.
The author provides an annotated list of epiphyllous bryophytes collected by Dr E. Fischer in Kivu and Rwanda. Most of them belong to the Lejeuneaceae, but some other hepatics and mosses are also represented. A total of 101 hepatics and 17 mosses are reported. In this very important material, 13 new species and 2 varieties for science or for Africa were found: Cololejeunea cardiocapioides , C. fischerii , C. heterolobula , C. kahuziensis , C. lobulolineata , C. pseudo-obliqua , C. pseudo-pusilla , C. sphaerocarpa , C. tenui-parietata , C. tribracteata , Diplasiolejeunea cyanguguensis , C. gradsteinii , Harpalejeunea fischerii , Cololejeunea harrisii Pócs var. magna, and Drepanolejeunea symoensii (Vanden Berghen) Grolle var. minor. Some observations and ideas are given for Cheilolejeunea, in preparation for a future monograph of the genus in Africa and the Mascareno-Malagassy region. Drepanolejeunea , based on the author’s analysis is relatively depauperate in Africa (where some of the species are South East Asian taxa). The study of the genus was complicated because of the use of perianth characters in taxonomical delimitation. However, perianths are seldom encountered and are very variable. In Cololejeunea , the author builds on his earlier works on the genus in different regions and particularly in Madagascar. Some taxa were insufficiently defined and the author tries to separate the different species. The application of subgenera in Cololejeunea remains difficult. For example, C. platyneura is a member of the subgenus Taeniolejeunea, but may be confused with members of subg. Cololejeunea.
Un busard cendré, Circus pygargus, consommateur d'oeufs de Sternes pierregarins, Sterna hirundo
(2003)
On the lagoon of Bouin, in the Baie of Bourgneuf in Vendée (France), a Montagu’s harrier has been observed on several occasions eating the eggs of Common Tern. This type of predation does not appear to be very frequent with this species of raptor.
One of the remaining French otter populations lives on Noirmoutier island where the marine environment offers food resources. A study of the otters' diets will prove if these resources are used or not.
Tandonia rustica (Millet 1843) (Mollusca : Gastropoda), nouvelle espèce de limace pour la Vendée
(2003)
The slug Tandonia rustica has recently been discovered in the forest of Mervent, in Vendée. After a brief description of the site where the gastropod was found, the author describes the biology, ethology and distribution in France of this species.
In 1869 Tacite Letourneux described a new species of gasteropod, Valvata bourguignati, in a spring in south-east Vendée. The name of this new species was later considered to be synonymous with Neohoratia globulina. Recent samplings in the Locus typicus have permitted the revision of this taxon, now named Islamia moquiniana.
A micro-crustacean has recently been discovered in Vendée. It is an Ostracod living in temporary bodies of slightly brackish or fresh water. From the Cyprididae family, Cypris bispinosa is a crustacean whose presence in France is only known from eight countess. It is however one of our largest ostracods, and the lateral spine fixed on each side of its carapace make the species easily recognisable with a lens.
Discovery of a single example of Mirror Orchid (Ophrys speculum) in the coastal forest of Longeville-sur-Mer, in southern Vendée. This orchid, hitherto unknown in Vendée, is very rare in France.
It has been forty years since the Jurassic site of Veillon in Talmont-Saint-Hilaire (Vendée, France), where footprints of vertebrates were found, was plundered. This outstanding site belonging to Vendée's geological patrimony needs to be preserved and developed. Some footprints from Veillon are displayed in the collections of about thirty public institutions and six museums.
Using the fossil dinosaur footprints of the lower Lias of Le Veillon at Talmont-Saint-Hilaire, (Vendée) as a starting point, the reconstitution by pupils of a unique fossil-bearing site is under consideration. The paleobiology and paleoecology of reptiles in this geological site are dealt with.