Linguistik
Refine
Year of publication
Document Type
- Article (1213)
- Part of a Book (784)
- Working Paper (254)
- Review (181)
- Conference Proceeding (166)
- Preprint (122)
- Book (108)
- Part of Periodical (64)
- Report (58)
- Doctoral Thesis (23)
Language
- English (1397)
- German (1061)
- Croatian (298)
- Portuguese (120)
- Turkish (43)
- Multiple languages (25)
- French (21)
- mis (16)
- Spanish (7)
- Polish (4)
Keywords
- Deutsch (437)
- Syntax (151)
- Linguistik (129)
- Englisch (123)
- Semantik (112)
- Spracherwerb (96)
- Phonologie (85)
- Rezension (77)
- Kroatisch (68)
- Fremdsprachenlernen (67)
Institute
- Extern (438)
- Institut für Deutsche Sprache (IDS) Mannheim (113)
- Neuere Philologien (43)
- Sprachwissenschaften (43)
- Universitätsbibliothek (4)
- Sprach- und Kulturwissenschaften (3)
- Gesellschaftswissenschaften (2)
- Medizin (2)
- Präsidium (2)
- SFB 268 (2)
In morphological systems of the agglutinative type we sometimes encounter a nearly perfect one-to-one relation between form and function. Turkish inflectional morphology is, of course, the standard textbook example. Things seem to be quite different in systems of the flexive type. Declension in Contemporary Standard Russian (henceforth Russian, for short) may be cited as a typical example: We find, among other things, cumulative markers, “synonymous” endings (e.g., dative singular noun forms in -i, -e, or -u), and “homonymous” endings (e.g., -i, genitive, dative, and prepositional singular). True, some endings are more of an agglutinative nature, being bound to a specific case-number combination and applying across declensions, e.g., -am (dative plural, all nouns); and some cross the boundaries of word classes, e.g., -o, which serves as the nominative/accusative singular ending of neuter forms of pronouns (and adjectives) and as the nominative/accusative singular ending of (most) neuter nouns as well. Still, many observers have been struck by the impression that what we face here are rather uneconomic or even, so to speak, unnatural structures. But perhaps flexive systems are not as complicated as they seem. What seems to be uneconomic complexity may be, at least partially, an artifact of uneconomic descriptions.
Objektrelativsätze mit haben
(2006)
Objektrelativsätze mit dem Vollverb haben sind im gesprochenen Deutsch vergleichsweise häufig. Sie treten als einfache Objekt-Subjekt-Verb-Strukturen auf, z.B. die ich habe, und auch erweitert durch Modalisierungen und/oder Adverbialphrasen etc., z.B. wie in die ick uff de GRUNDschule schon hatte. Um die Differenzen, die sich zwischen den Verwendungen erkennen lassen, zu erfassen, kann eine standardgrammatische Beschreibung allenfalls als Ausgangsbasis dienen. Ein konstruktionsgrammatisches Vorgehen hingegen, bei dem alle linguistischen Ebenen der Sprachbeschreibung berücksichtigt werden, zeigt die Bandbreite von haben-Relativkonstruktionen auf. In Zusammenhang mit den Matrixstrukturen und unter Berücksichtigung der Diskurspragmatik (informationsstrukturelle und konversationelle Dimensionen) lassen sich vier verschiedene Konstruktionen mit haben-Relativsätzen konturieren: eine Präsentativkonstruktion, eine Topikkonstruktion, eine cleftartige Konstruktion und eine Konstruktion mit identifizierenden haben-Relativsätzen.
Die interaktive Aushandlung von "Subjektiven Krankheitstheorien" (SKT) im Gespräch ist ein bislang wenig untersuchtes Phänomen im Bereich der Arzt/Patient-Interaktion. Hier setzt der vorliegende Beitrag an. Die Datengrundlage besteht aus 10 Erstanamnesegesprächen zwischen Patientinnen mit chronischen Gesichtsschmerzen und einem Zahnarzrt sowie 10 von einem medizinischen Laien durchgeführten Interviews. Es werden die Elemente (das "WAS"), die Darstellungsformen und -verfahren (das "WIE") sowie die Funktionalisierung (das "WOZU") von SKT als Wirkzusammenhang beleuchtet. Die häufig postulierte Dysfunktionalität von Patientendarstellungen erscheint so in einem anderem Licht. Ferner zeigt die Analyse von drei Sequenzen, in denen SKT im Arzt/Patient-Gespräch bearbeitet werden, das Misslingen der Abstimmung von Arzt- und Patientkonzept. Eine dieser Sequenzen wird mit dem Interview verglichen, in dem die Patientin im Gespräch mit dem medizinischen Laien relevante Bestandteile ihrer Theorie preisgibt, die sie dem Arzt gegenüber nicht erwähnt. Ursachen dafür lassen sich u.a. invorgängigen institutionellen Erfahrungen vermuten.
In this article, an account is given of the planning of a trilingual dictionary Yilumbu– French–English. The focus is on the target user, the purpose, nature and typology of the planned dictionary. Attention is also paid to some macro- and microstructural issues. For example, all types of lexical items, including multiword lexical items, are given lemma status. Moreover all items are included according to the word tradition and on account of their usage frequency in the corpus. Apart from these aspects, types of dialectal forms as well as the type of special-field lexical items are also discussed. From a microstructural point of view, this article investigates different kinds of data types to be considered for inclusion in complex articles in particular. User-friendliness parameters and innovative access structure procedures also come into play.
Dictionaries contain lexicographic data whose occurrence is restricted to certain geo-graphical areas, subject fields, professions, etc. It is part of the duties of the lexicographer to give an account of such deviations to ensure a successful retrieval of the information on the part of the user. This contribution presents a discussion on labelling issues in the Dictionnaire Français–Mpongwé. Although the main focus is on the presentation of different types of labelling as well as problems in labelling, textual condensation procedures and mediostructural representations (to-gether with some aspects of the user perspective) are also critically evaluated. It is shown that these procedures reveal some inconsistencies which are not accounted for in the outer texts (front matter and back matter texts) of the dictionary. Finally suggestions are made for the improvement of the access structure of this dictionary.
La nasalisation en Fang-mekè
(2006)
Le fang-mekè qui appartient au groupe linguistique (A75) est parlé dans les provinces de l’Estuaire (Libreville, Kango, et rive gauche de l’Estuaire),du Moyen-Ogooué (Lambaréné, Ndjolé), de l’Ogooué-Ivindo (Makokou) et du Woleu-Ntem (Mitzic). Le seul travail connu à ce jour sur cette langue à été réalisé par Nzang Obame (2004). Il s’agit d’un mémoire de maîtrise à orientation linéaire, portant sur la description phonologique du fang-mekè parlé au quartier Lalala de Libreville et dont le foyer d’origine est situé à la rive gauche de l’Estuaire. On comprendra donc que pour la réalisation de la présente étude portant sur la nasalisation en fang-mekè, nous nous appuyons uniquement sur le travail de Nzang Obame.
Depuis quelques mois, nous avons rassemblé et dépouillé au GRELACO (Groupe de Recherche en Langues et Cultures Orales) un ensemble relativement important de données inédites ou non sur les segments latents (appelés aussi segments flottants) dans les langues bantoues du Gabon. Le présent article se propose donc de faire le point sur ce que nous savons aujourd’hui de ces segments latents dans les langues bantoues du Gabon.
On est parti ici du constat qu’il était impossible à Blanchon de poser les réflexes réels des schèmes tonals des thèmes nominaux du proto-bantou en wumvu de Malinga, à partir du moment où il s’interdisait, sur le plan méthodologique, d’observer le principe d’identité des niveaux de correspondance entre le proto-bantou et le wumvu de Malinga, c’est-à-dire niveau structurel proto-bantou égale niveau structurel wumvu. Nous nous sommes donc attelé dans la section 1 de cette étude à fixer la structure mélodique et tonale des substantifs du wumvu de Malinga, avant de donner les correspondances tonales entre les deux langues à la section 4. Il nous a paru également vicieux de la part de l’auteur d’avancer une explication, fûtelle historique, sur les faits de tonalité observés dans cette langue, dès lors qu’on ne possédait aucune étude quelconque sur la tonalité de cette dernière. Nous avons donc consacré la section 2 de ce travail à l étude des différents processus tonals relevés dans les substantifs du wumvu de Malinga. Dans la section 3, nous avons été amené à mettre en évidence l’incidence de l’accent dans le traitement de la tonalité de cette langue bantoue du Gabon, montrant par là les limites de l’hypothèse explicative de Blanchon. Enfin, en terme de perspective, on ne peut qu’appeler à la réalisation d’une description complète du wumvu de Malinga, afin que son étude historique ne soit que meilleure.
La présente étude revisite la liste des langues bantoues du Gabon contenues dans la classification des langues bantoues de Guthrie (1967 - 1971), en y ajoutant une nouvelle langue, des nouveaux dialectes, et pour la première fois des sous dialectes. Prenant en compte les acquis des classifications antérieures des langues bantoues du Gabon, elle revient sur les propositions de codification de Maho (2003,2006 et 2007) visant à ajouter des nouvelles langues et de nouveaux dialectes dans la liste de Guthrie sans remettre en question le système de codification établi par ce dernier. Des nouvelles propositions sont formulées ici qui réanalysent ou réaménagent les modèles de codification avancés par cet auteur, tout en se portant en faux contre une sacralisation inavouée de la classification de Guthrie qui viserait à mettre ses propositions d’indexation des langues bantoues à l’abris de toute modification ou réaménagement. Enfin, la présente classification revient sur un certain nombre de dénominations et de problèmes orthographiques des noms de langues relevées dans les anciennes classifications, pour proposer des corrections qui tiennent comptent soit du bon sens, soit du point de vue des locuteurs ou des conventions de notation des langues bantoues arrêtées par les linguistes de l’Ecole de Tervuren.