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Einleitung – Satirische Austreibung der Subjektphilosophie der Familie und der Einbruch des Todes – Gefallene Mädchen – Ätherische Zeichen. Clemens Brentanos erster und einziger Roman ‚Godwi oder Das steinerne Bild der Mutter – Ein verwilderter Roman’, weicht von den geläufigen Modellen der Frühromantik, vom Bildungs- und vom Künstlerroman, erheblich und sub-stantiell ab. Nicht einfach ist es allerdings, diese Abweichung literatur- und ideengeschichtlich zu deuten und zu motivieren. Der Roman entsteht im unmit-telbaren Kontext der Jenaer Frühromantik, er erscheint 1800 und 1801, und dieser Bezug bildet bis heute den wichtigsten Deutungsrahmen. Zahlreiche Merkmale wie die Auseinandersetzung mit dem ‚Wilhelm Meister’, die Ironie, Metafiktion und die zahlreichen allegorischen Elemente des Romans sind hier anschließbar. Seine geringe Resonanz im Kreis der Romantiker und die selbst-ironische Distanzierung des Autors – etwa mit dem Wortspiel „Gott, wie schlecht“ – ließen ihn jedoch gerade in diesem Kontext als epigonal und formal mißglückt erscheinen. In der neueren Forschung ist diese Wertung deutlich revidiert worden, und zwar gerade in dem Maß, in dem man seine Differenz zu den Vorbildern zu beschreiben unternahm. Gerade seine konsequente Verweigerung idealistisch-utopischer Synthetisierungen, seien sie natur- oder geschichtsphilosophischer Art, zeigten eine für die Zeit ungewöhnlich radikale philosophische und ästhe-tische Skepsis, die auf Erfahrungen der späteren Moderne vorauszudeuten schien.1 Worauf aber eine solche Skepsis bei einem Autor gründet, der sich mit seinen ersten Werken gerade den Frühromantikern poetisch empfehlen wollte, ist dadurch allerdings keineswegs deutlich geworden ...
De Gryphius à Hallmann, le Trauerspiel, comme forme théâtrale, vit et meurt. Il se crée d’abord en réaction à la crise de légitimité qui affecte le souverain. Si Carolus Stuardus aboutit à une figuration christologique de la royauté, que celle-ci soit étayée ou non par les sources, si Gryphius réaffirme avec force l’identité sacrée du représentant, de manière fort sanglante, la réconciliation du corpus mysticum et du corpus realum, c’est bien que la théorie des Deux Corps du Roi est alors concrètement remise en cause. On sait, grâce à Kantorowicz, qu’elle l’est dans le contexte de la situation politique anglaise, mais on en avait négligé la réalité en Allemagne. Il faut donc soutenir que le Trauerspiel élabore, dans un premier temps, son mode de représentation sur ce point aveugle qu’est l’identité double et quasi schizophrène du monarque – ce que nous avons appelé le double bind –, laquelle entraîne forcément une série de contradictions soumises au regard critique du spectateur. Devant ses yeux, le drame du martyr performe l’emblème qui constitue la souveraineté, rapproche le rex, l’individu royal, du sacerdos, son identité christomimétique qui est menacée la sécularisation de l’absolutisme. L’exemple le plus éclatant en est donné par Carolus Stuardus de Gryphius. Nous avons que, dans les faits, la Révolution anglaise cherche incontestablement à disjoindre les termes de l’allégorie de la double corporalité, à opérer un détournement de celle-ci au profit d’un pouvoir qui n’est plus fondé par un pacte emblématique transcendant qui faisait de Dieu le seul garant du fonctionnement de la souveraineté sacrée. Les Trauerspiele sont donc, avant tout, une réponse aux crises qui remettent en cause l’ordre des choses dans le domaine du politique et le sépare de la théologie. La tragédie baroque silésienne n’est pas une invention, une simple création littéraire tout droit sortie de l’imaginaire de ses auteurs, elle figure une idée du théâtre mettant en relation l’esthétique et la question de la souveraineté, dans la mesure où l’une et l’autre ont partie liée dans l’ordre de la représentation. Dans ce sens, il est possible de comprendre la notion d’origine (Ursprung) telle que l’emploie Benjamin dans le Trauerspielbuch. Il s’agissait donc de le montrer dans un travail propédeutique à la lecture des pièces, travail qui se concentrait sur la question de l’emblème avant d’examiner la transformation du Trauerspiel en genre encadré par des règles implicites. La première partie de notre mémoire a donc contribué à mettre en place les outils d’analyse (« Du texte théorique à la théorie de la représentation »). Tout d’abord spectacle de sang et rituel expiatoire visant à sauver la théologie politique en réunissant de façon violente les Deux Corps du Roi, le Trauerspiel finit en effet par se pacifier en construisant son esthétique sur une série de codes aisément reconnaissables. Nous en arrivions à l’échec du modèle gryphien qui faisait l’objet du premier chapitre de la seconde partie consacrée à l’analyse dramaturgique (« Le sauvetage emblématique précaire du théologico-politique »). Nous y décrivions l’accord tacite conclu au moment de la représentation entre l’auteur, les acteurs et les spectateurs, analogue au pacte emblématique contracté par le souverain médiéval et ses sujets, qui finissait alors par se transformer en simple convention. Les termes du contrat deviennent les topoï qui forment la loi du genre. Aussi, l’emblématique autrefois liée à la vision du monde médiévale se transforme-t-elle en ornement baroque qui sert toutes les causes politiques et derrière lequel se dissimulent les enjeux de pouvoir. La coupure épistémique disjoint le théologique du politique, fait éclater le miroir de la représentation comme l’a montré la lecture spéculaire de Shakespeare. Une fois le règne des analogies terminé, chacun est libre de manipuler les images, qu’il soit poète ou homme de pouvoir, personnage ou spectateur. Nous avions montré cette transformation au deuxième chapitre de l’analyse dramaturgique intitulé « L’élargissement de la perspective politique et scénique ». Partant de constat, l’on pouvait comprendre pourquoi le prince recouvre du voile de l’État ses ambitions d’omnipotence en leur donnant la forme d’un absolutisme tempéré, tandis que le courtisan manipule les emblèmes dans un univers de faux-semblants afin de s’attirer la bienveillance du monarque et de son entourage. Alors que chez Gryphius la performance emblématique tenait à la fois de l’esthétique du théâtre, de son système de représentation, et de son message idéologique, elle se transforme, peu à peu, au cours de l’histoire du Trauerspiel, en numéro d’acteur et en divertissement visuel...
As if to bear out the tenet of this study, the field of black British literature has been transformed enormously over the last ten years or so, while this book was in the making. And for myself, too, this has been a formative process. During this time I’ve been supported, challenged, and encouraged by more colleagues and friends than I can acknowledge here. ...
L’objectif principal de la présente analyse a été de déterminer les similitudes et la concordance idéologiques des poètes Rainer Maria Rilke et René Char. Une comparaison thématique, textuelle et même biographique a alors été possible. En effet, il semble y avoir entre Rainer Maria Rilke et René Char plus de chemins qui secroisent que de voies qui départagent. Le poète de langue allemande et celui de langue française associent une vision du monde et de la poésie profondément analogues. Cecis’explique entre autres pour une très grande partie par le fait que Rilke et Char comptent un même amour et un même intérêt pour des auteurs absolument déterminants. Il a ainsi éte possible de révéler outre Hölderlin et Nietzsche, les noms d’Héraclite, de Baudelaire, de Rimbaud, d’Auguste Rodin, et la liste aurait pu être poursuivie bien au-delà encore… Rilke et Char nourrissent respectivement les mêmes ardeurs pour un art réfléchissant sur lui-même et que l’on peut désormais définir par poésie pensante. L’évocation du philosophe existentialiste Martin Heidegger s’est dans cette perspective doublement imposée, proposant de repenser la poésie notamment rilkéenne sous le signe du Dasein et de l’ontologie du langage, le penseur entretient en parallèle une amitié et un échange spirituels avec René Char. Heidegger voit en la poésie de Char un retour matinal de la présence philosophique et poétique d’Héraclite d’Ephèse. Hölderlin, Rilke et Char rejoignent ainsi le retour de la signification du logos, définitivement moderne. Les oeuvres de Rainer Maria Rilke et de René Char peuvent donc être pensées de la même manière : le Dire profond de leurs poèmes trace un même horizon, il devient site fondamental où le langage de l’être reflète sa propre condition dans sa possibilité de déployer une parole qui témoigne de la relation de l’être avec l’étant. Leurs poèmes offrent ainsi une possibilité méditative au langage, qui désire se découvrir par lui-même, tout en permettant à l’être de retrouver son appartenance originaire au monde alors accueilli dans la dimension de sa parole. La proximité nécessaire au gisement d’une telle parole se trouve ici sans cesse réétablie. La présente étude qui visait ainsi essentiellement à déterminer sous quelle forme et de quelle manière Rainer Maria Rilke et René Char présentent dans leurs oeuvres la source d’un tel dire poétique, expose la nature et les conditions de son jaillissement : les similitudes biographiques des deux poètes sont ici plus qu’évidentes. Rilke et Char partagent effectivement une même approche du monde, leur enfance signifiera origine et puisement d’origine, approche terrienne du verbe et trésor poétique préverbal. L’enfance sera nourriture pour le poème à naître. Mais aussi le péril et la menace auxquels sont exposées la fragilité et la pureté d’une parole qui ne vise jamais à s’établir, sont expérimentés. Les « temps de détresse » hölderliniennes rejoignent ici le « faire sans image »1 de Rilke et « le cycle bas »2 de René Char. Mais le dire poétique est dans son essence un dire multiple et libre, - la parole poétique apporte secours et sens. Le poème naissant, par son combat contre la dépoétisation et le règne d’une parole unidimensionnelle, n’en deviendra que plus déterminé et ciblé encore. Le poème ne réduit pas l’être à la seule fonction d’observer le monde. Le poème chez Rilke et Char va plus loin. Les conditions et la nécessité élucidées et explicités, aussi bien de l’esprit poétique que de l’oeuvre elle-même, nous avons finalement pu nous consacrer à la constellation idéologique et ontologique du verbe poétique, porteur d’un poème par conséquent absolument aérien, libre et profondément réfléchi. Rilke et Char nous proposent alors à travers une même conception de la topologie et de la temporalité du poème, de découvrir un dire matinal, un dire originaire, éternellement vrai par son élan initial que cette parole sait entretenir à la base de son propre gisement et qui lui permet finalement de manifester ce qui demande à apparaître à travers lui. Il a ainsi été possible de démontrer notamment une même philosophie des symboles de la source, du feu et de l’action. L’être poétique se retrouve et se reconnaît dans un chant qui ne l’éloigne jamais de sa source et qui lui permet tout au contraire de s’affirmer à travers lui. Le verbe ne désigne plus le réel, il l’élève à l’espace ouvert de la constellation du poème. Vérité et signification poétique acquièrent une dimension nouvelle. Rainer Maria Rilke et René Char se présentent désormais comme des poètes qui annoncent l’aurore d’un nouvel virement du poétique. À l’image de Friedrich Hölderlin, ils témoignent aujourd’hui de la nuit sacrée que la poésie traverse jusqu’à ce jour encore. Avec Rainer Maria Rilke et René Char, la poésie est sauve. Elle habitera éternellement le site de l’éclosion première du verbe, inscrivant celui-ci dans le cycle matinal de la source,- l’espoir du Dire en poésie semble enfin rétabli.
Schon in den Jahren vor der Veröffentlichung von PISA 2000 wurde von nationalen und internationalen Studien dem deutschen Schulsystem Leistungsschwäche und massive soziale Auslese bescheinigt und über Strukturreformen nachgedacht, die den Schulstreit "hierarchisch gegliedertes System vs. Gesamtschule" entschärfen sollten. Neben einer sechsjährigen Grundschule, wie sie nur in Berlin die Schulreform nach 1945 überlebt hat, wurde auch die Frage erörtert, ob nicht der Streit der politischen Lager zu schlichten wäre, indem man das drei- bzw. viergliedrige System in der Sekundarstufe I auf ein zweigliedriges reduziert, um so vor allem die wachsenden Probleme an Hauptschulen in den Griff zu bekommen. Schließlich war unser Schulsystem ja schon einmal zweigliedrig, als es neben dem Gymnasium, der einstigen "Gelehrtenschule", nur die Volkschule gab, ehe in der zweiten Hälfte des 19.Jahrhundert die Realschule als "Mittelschule" hinzukam und in den 1960er Jahren sozialdemokratisch geführte Landesregierungen die Gesamtschule, zwar nicht in Fläche, aber als vierte Regelschule, durchsetzte. Die Debatte über Zweigliedrigkeit war eine unter Experten, keine öffentliche. Erst die PISA-Studien lenkten die Aufmerksamkeit auf die bereits bestehenden zweigliedrigen Systeme in Sachsen, Sachsen-Anhalt und Thüringen, in Ländern, die nach der Wende nicht bereit waren, die vollständige Anpassung an das Schulsystem im Westen zu vollziehen. Diese drei Länder waren in PISA 2003 die eigentlichen Sieger im innerdeutschen Vergleich, sowohl was das Problem der "Risikogruppe" als auch der sozialen Auslese betraf. Seitdem ist Zweigliedrigkeit ein Thema auch in der öffentlichen Debatte, - verstärkt, wie gesagt, durch die Probleme an der Hauptschule, die von immer weniger Eltern akzeptiert wird, weil sie, mit oder ohne ihren Abschluss, kaum noch eine Perspektive bietet für eine erfolgreiche Bewerbung um einen Ausbildungsplatz. So zwingt das Hauptschulproblem auch unionsregierte Länder, selbst im Süden der Republik, über Strukturveränderungen nachzudenken, und was liegt da näher, wenn man die Gesamtschule bis Ende 10 nicht will, das Gymnasium aber auch in der Sekundarstufe I erhalten möchte, über eine gemeinsame Schule für die Leistungsschwächeren nachzudenken, neben einer Schule für die "Leistungsträger".
Die vorliegende Arbeit befasst sich mit einem spezifischen Phänomen innerhalb der Sprachphilosophie und der linguistischen Pragmatik – den explizit performativen Äußerungen (Austin 1979). Im Zentrum der Arbeit stehen die detaillierte Explikation und der kritische Vergleich zweier prominenter Erklärungsmodelle von Performativen: Einerseits Bach/Harnish’s (1979) Analyse dieser Äußerungen als indirekte Sprechakte, andererseits Searle’s (1989) Behandlung von Performativen als Deklarationen. Die Arbeit gliedert sich wie folgt. Kapitel 1 führt die terminologischen Grundlagen ein und dient der Darstellung des Performativitätsproblems. Kapitel 2 befasst sich mit der Nachzeichnung der Standardisierten Indirektheit von Performativen nach Bach/Harnish (1979) und der Kritik an diesem Modell. Nach einer Einführung in das intentionale Kommunikationsmodell von Grice erfolgt eine Darstellung der allgemeinen Prinzipien von Bach/Harnish’s Kommunikationstheorie, die in expliziter Anlehnung an Grice konzipiert ist. Grundlage für die Behandlung der Analyse expliziter Performative ist vor allem die Darstellung des Speech Act Schema, also des inferentiellen Rasters, das Bach/Harnish sprachlicher Kommunikation zugrunde legen, sowie die Erläuterung der Begriffe der Konventionalisierung und Standardisierung. Die eigentliche Darstellung der Theorie präsentiert zwei unterschiedliche Muster zur inferentiellen Entschlüsselung der indirekten Bedeutung explizit performativer Äußerungen und schließt mit einem Modell, das die beiden Indirektheitsanalysen und Standardisierung integriert. Die Kritik wägt beide Indirektheitsanalysen gegeneinander ab, befasst sich mit der generellen Frage, ob Performative die Eigenschaften indirekter Sprechakte besitzen und untersucht, inwiefern die Annahme des Vollzugs eines assertiven Aktes mit Performativen problematisch ist. Kapitel 3 wendet sich der Searle’schen Deklarationsanalyse performativer Äußerungen zu. Zu Beginn werden die Grundlagen dieses Modells verfügbar gemacht. Dazu wird, neben einem kurzen Überblick über Searle’s Theorie auf dem Stand von „Sprechakte“ (1971), seine Klassifikation illokutionärer Akte detailliert dargestellt. Vor diesem Hintergrund erfolgt die Nachzeichnung des Deklarationsansatzes. In der anschließenden kritischen Betrachtung des Modells wird die Idee der Intentionsmanifestation diskutiert und es wird geprüft ob sich die unterstellte Existenz einer assertiven illokutionären Rolle von Performativen bestätigen lässt. Insbesondere wird schließlich die illokutionäre Kategorie der Deklarationen hinterfragt. Kapitel 4 dient einer vergleichenden Gegenüberstellung der beiden zuvor behandelten Theorien und versucht abzuwägen, welcher Ansatz die Funktion und Eigenschaften explizit performativer Äußerungen besser erfasst. In Kapitel 5 wird der Versuch unternommen, eine alternative Sicht zu entwickeln. Das besondere kommunikative Potential der Klasse der explizit performativen Äußerungen wird dabei mit ihren semantischen und pragmatischen Aspekten in Verbindung gebracht. Auf diese Weise soll ein Ansatz verfolgt werden, der die deskriptive Eigenschaft von Performativen mit ihrer optionalen performativen Verwendung in Beziehung setzt, ohne diese auf eine assertive illokutionäre Rolle zurückführen zu müssen. Kapitel 6 dient einer abschließenden und resümierenden Betrachtung der im Verlauf der Arbeit unternommenen Überlegungen
„Habemus Papam!“ – so schließt Text A und bringt die für Deutschland sensationelle Nachricht, daß ein Deutscher zum Papst gewählt wurde noch einmal mit der entsprechenden rituellen Formel zum Ausdruck. Daß diese Feststellung nicht nur sachlicher Ausdruck für die Tatsache eines Pontifikatswechsel ist, sondern vielmehr einen kirchengeschichtlichen Vorgang mit besonderer Relevanz für die katholische Kirche in Deutschland beschreibt, zeigt sich exemplarisch an den hier analysierten Pressetexten. Während die Texte aus kirchlichen und kirchennahen Medien vor allem dadurch auffallen, daß sie ein gestärktes katholische Selbstbewußtsein ausdrücken, springt bei den Beispielen aus weltlichen Medien hauptsächlich eine neue Offenheit im Umgang mit der katholischen Kirche und ihrer Lehre ins Auge. Die Artikel beider Bereiche betonen auf ihre Weise die emotionalen Aspekte des kirchlichen Lebens. Gleichzeitig thematisieren sie mehr oder weniger intensiv Grundfragen des katholischen bzw. christlichen Glaubens und sind so Beleg dafür, daß sich die Situation der katholischen Kirche in Deutschland durch die Wahl Joseph Ratzingers zum Papst maßgeblich verändert hat. Auch wenn der Umgang der Medien mit der alten „Institution Kirche“ zwischen extrem hoher medialer Aufmerksamkeit im Zusammenhang mit Papst Benedikt XVI. und völliger Mißachtung sonstiger kirchlicher Vorgänge und Themen schwankt, markieren die vorgestellten Texte einen Trend, der zwar nicht auf breiter Front, noch durchgängig zum Tragen kommt, dennoch aber vorhanden ist und neue Berührungspunkte zwischen katholischer Kirche und Medien eröffnet. Dieser Prozeß erscheint eingebettet in die gewachsene Relevanz von Religion und Glaube, so unbestimmt und diffus auch beide in der deutschen Gesellschaft vorhanden sein mögen. Der Pontifikatswechsel hat dazu geführt, daß seit 2005 auch vermehrt katholische bzw. christliche Themen im öffentlichen Diskurs über Religion, Glaube und Spiritualität Beachtung finden und sich stärker gegenüber anderen religiösen und esoterischen Angeboten profilieren können. Anzeichen dafür finden sich mit Blick auf die Medien vor allem auf dem deutschen Buchmarkt. Aber auch die Kirche selbst erfährt Aufwind und scheint trotz weiterhin bestehender Probleme und Schwierigkeiten in einigen Bereichen wieder fester Tritt zu fassen. Papst Benedikt XVI. ist sicher nicht alleiniger Auslöser dieser Entwicklung, seine Wahl und sein Wirken hatten und haben aber offensichtlich katalytische Wirkung und begünstigen einige Ansätze positiv. ...
Worum geht es in dieser Arbeit? Dies ist eine Arbeit über Websites. Darüber, wie sie gelesen und geschrieben werden und wie man das lernen kann. Da es in dieser Arbeit um Lesen, Schreiben und Lernen geht, fließen in sie sowohl Aspekte der Sprachwissenschaft als auch der Sprachdidaktik ein. Was will diese Arbeit? Diese Arbeit hat zwei Ziele, ein sprachwissenschaftliches und ein sprachdidaktisches. In sprachwissenschaftlicher Hinsicht sollen, auf der Grundlage einer gründlichen Analyse seiner Eigenschaften, die Besonderheiten des Lesens und Schreibens im World Wide Web herausgearbeitet werden. Aufbauend auf dieser Analyse sollen im sprachdidaktischen Teil der Arbeit die Kompetenzen ermittelt und in Beziehung zueinander gesetzt werden, die zur Erstellung von Websites notwendig sind. Das so entstehende Kompetenzmodell bildet die Basis für eine zielgerichtete, effektive und evaluierbare Umsetzung der Gestaltung von Websites in der Schule und die Grundlage für weiterführende empirische Arbeiten. Wie ist die Arbeit aufgebaut? Im ersten Kapitel der Arbeit wird die Entwicklung der technischen und strukturellen Formate geschildert, welche die Grundlage des Websiteformats bilden. Darauf aufbauend werden seine wichtigsten Eigenschaften beschrieben. Im zweiten Kapitel wird das Websiteformat von anderen kommunikativen Formaten abgegrenzt und mit Hilfe der besonderen Charakteristika, die es besitzt, sein überwältigender Erfolg erklärt. Im dritten Kapitel wird unter Rückgriff auf Ergebnisse der Leseforschung und empirische Untersuchungen zum Lesen im World Wide Web erarbeitet, welchen Einfluss das Websiteformat auf das Lesen von Texten hat und welche Unterschiede es zum Lesen von Texten in anderen kommunikativen Formaten gibt. Auf dieser Grundlage wird ein Bewertungs- und Analyseraster für die Lesbarkeit von Texten im Websiteformat entwickelt. Im vierten Kapitel wird auf der Grundlage verschiedener Modelle des Schreibprozesses dargestellt, was das Schreiben für das Websiteformat vom Schreiben für andere Formate unterscheidet, was dabei besonders beachtet werden muss und welche Entwicklungen für die Zukunft zu erwarten sind. Dabei werden, unter Berücksichtigung des in Kapitel drei erarbeiteten Bewertungs- und Analyserasters, Hinweise für eine sinnvolle Vorgehensweise bei der Gestaltung von Websites gegeben. Im fünften Kapitel wird vor dem Hintergrund der aktuellen bildungspolitischen Diskussion ein Kompetenzmodell für die Gestaltung von Websites entwickelt, das als Basis für die Festlegung von Bildungsstandards und die Beschreibung der Rahmenbedingungen dient, unter denen diese in der Schule verwirklicht werden können. In einer abschließenden Diskussion werden die wichtigsten Ergebnisse nochmals herausgearbeitet und es wird auf Perspektiven für zukünftige sprachwissenschaftliche und sprachdidaktische Forschungsvorhaben hingewiesen.
Die vorliegende Arbeit beschreibt den ein Jahr lang andauernden Prozess der Entwicklung meiner eigenen Poesiemaschine. Buchrückentext: Wer ist der Hirsch? Und was hat er mit dem Buch zu tun? Der Band dokumentiert auf spielerische Weise den Entstehungsprozess einer außergewöhnlich leistungsfähigen Poesiemaschine. Den drei Versionen dieser Poesiemaschine werden die bildhaften Namen Wurm, Hähnchen und Hirsch gegeben. Inspiriert von Hans Magnus Enzensbergers Einladung zu einem Poesieautomaten wagt sich der Autor «in das Labyrinth» hinein. Nach dem Vorbild der französischen Literaturgruppe Oulipo werden zunächst die Anforderungen an eine Poesiemaschine in formelle, akustische, syntaktische, semantische und kreative Einschränkungen unterteilt. Die Modellierung der syntaktischen und kreativen Aspekte orientiert sich insbesondere an der Installation Poetry Machine des renommierten Medienkünstlers David Link. Neuartig beim Hirsch ist die Verwirklichung phonetischer Algorithmen, die Gedichte mit komplexen Reimen und metrischer Regulierung ermöglichen. Abschließend wirft der Autor einen Blick in die Zukunft. Das Ergebnis stellt eine Goldgrube an Einsichten und Ideen dar für Poesiemaschinen-Entwickler der nächsten Generation. Inhalt: Aus dem Inhalt: «Jenseits der Berechenbarkeit» - Was muss ein Poesie-Erzeuger können? - Gedichtgerüstbau anhand der GGT-Grammatik - Überraschungseffekt - Poesiemaschine Poetry Machine - Carnegie Mellons phonetisches Wörterbuch - WordNet - eine lexikalische Datenbank - POS-Tagger - Syntaktische Formeln mit dem manuellen Tagger - Blocking - Balancing - Phonetischer Beweis - Jenseits des Hirsches (Zukunft der Computerpoesie) - Computing with Words - Stephen Thalers Creativity Machine.
In Hugo von Hofmannsthals ‚Bewegungs-Texten’ wird das Schweigen zu einem beredten Gestus von (bewegten) Körpern und Bildern. Schweigen nicht als Leerstelle, als Negativ des Sprechens, sondern als sein Urgrund generiert Bedeutungen und dringt durch die Weise, wie es jene vermittelt, auf eine Modifikation der Wahrnehmung. Bewegung wird dabei gleichermaßen zum Konzept der Darstellungsabsicht, die eine Transgression des Textuellen anstrebt, wie zur Metapher der Umstrukturierung von Wahrnehmung und Erfahrung des Menschen in der Moderne. Um die ‚stummen’ Künste wie Pantomime, Tanz und Film in den (Be)Griff zu bekommen, stellt Hofmannsthal - ausgehend von der eigenen Beobachter-Erfahrung - den Zuschauer des Schauspiels in den Mittelpunkt seiner Texte. Stets ist in den Szenarien der medienreflexive Blick des Autors auf Bühne, Leinwand und Zuschauer präsent und wird dabei begleitet von Überlegungen zur spezifischen Medialität von Sprache, Musik und Bild. So bedenken beispielsweise auch zahlreiche Texte Hofmannsthals aus der Sammlung der Erfundenen Gespräche und Briefe, die den Zusammenhang von Wahrnehmung, Körper und Sprache thematisieren, den (beweglichen) Standpunkt des Beobachters als eigentlichen Prüfstein des Medialen. Auf diese Weise wird nicht nur erkennbar, wie Medien je unterschiedlich die Wahrnehmungsweisen des Menschen formen, sondern auch wie sie Selbst- und Weltverhältnisse herstellen, indem sie versuchen Absenz in Präsenz zu überführen. Dementsprechend weit gefasst ist Hofmannsthals Medienbegriff. Ihr grundsätzlich symbolischer Charakter verbindet die einzelnen Medien miteinander. Das Interesse des Dichters, der erkennt, dass er niemals „aus seinem Beruf, Worte zu machen, herausgehen“ können wird, konzentriert sich auf die Interdependenzen und die Austauschverhältnisse verschiedener symbolischer Formen, die nichtsdestotrotz nach je eigenen Gesetzmäßigkeiten funktionieren und diesen auch gerecht werden müssen, um ‚das Leben transponieren’ zu können. In den Szenarien für Pantomime, Tanz und Film spürt Hofmannsthal diesen Funktionsweisen nach. Er erkundet den Zusammenhang von Literatur, Musik und Tanz, entdeckt das Wissen des Körpers, dessen Erinnerungsfähigkeit derjenigen der klassischen Memorialtechnik der Schrift gegenübergestellt wird. Er thematisiert über den tanzenden Körper den Konnex von Mimesis und Identität, von Imagination und Wirklichkeit, Projektion und Abbild. Zudem wird der tanzende Körper als Inbegriff des Anderen, Fremden, (Weiblichen) vorgeführt und darüber sein fragwürdiger Status als ‚Natur’ problematisiert. Die vermeintlichen Antagonismen von Natur und Kultur, Leib und Seele, Sprache und Körper, Individuum und Gesellschaft sowie Freiheit und Determiniertheit geraten in Vermittlung und können dergestalt begreiflich machen, wie komplex verschiedene mediale Verfahren der Verkörperung, Einschreibung und Verbildlichung strukturiert und miteinander verzahnt sind. So können mystische Visionen auf der Bühne als filmische Bilderflucht inszeniert, die Schaulust im Kino zum Wahrnehmungsdispositiv einer Pantomime oder der Akt des Schreibens im Film mit dessen Performativiät und der Prozessualität der filmischen Bilderfolge in Beziehung gesetzt werden.
Nach der Veröffentlichung der zweiten Ländervergleichstudie PISA 2003 im Jahr 2005 waren alle Länderministerien mit den seit PISA 2000 eingeleiteten Maßnahmen zufrieden, bis auf Hamburg. Dort gab die Bildungssenatorin, Alexandra Dinges-Dierig, in einer Pressmeldung vom 3.11.05 angesichts einer "Risikogruppe" im Kompetenzbereich Mathematik von 29,1 Prozent zu bedenken, ob die hohe Anzahl von Schulformen in der Sekundarstufe I den Herausforderungen an das Bildungssystem künftig noch gerecht werden könne. Die Stadt hält den Spitzenplatz der gegliederten Systeme der Bundesländer. Neben Gymnasium, Haupt-, Real- und Gesamtschule gibt es noch eine Integrierte Haupt- und Realschule. Besonders nachdenklich stimmte die Hamburger Schulbehörde offensichtlich die seit PISA 2000 besonders erfolgreichen neuen Bundesländer Sachsen, Sachsen-Anhalt und Thüringen, die sich nach der Wende für ein zweigliedriges Schulsystem entschieden hatten.
This paper is intended to show how Latinos in general and Mexican Americans, Cuban Americans, and Puerto Ricans in particular, engage politically in the United States. Latinos execute their influence by voting or in non-electoral activities like campaign work or financial contributions. As an individual, one participates as a member of society and possibly as a member of an interest group, i.e. a party. Thus, to be successful, it is necessary to combine one’s personal interest with that of others in order to form an alliance that, due to its size, may have an impact on the political stage. This study will show which factors are necessary and which steps were taken to gain and enhance Latino political influence. In doing so, it will become clear that Mexican Americans, Cuban Americans, and Puerto Ricans all started their struggle from diverse backgrounds and possess significantly different goals. Although common language unites these three national-origin groups, they do not have the same political and economic resources at their disposal. Decisive differences in immigration politics, naturalization, and economic opportunities become visible and will prove a distinct heterogeneity of Latinos concerning political behavior and goals. Political activities of Mexican Americans, Cuban Americans, and Puerto Ricans will be outlined as well as how they differ from each other. In doing so, it is necessary to take notice of their specific histories and legal experiences upon arrival in the United States. Furthermore, different demographic factors of the three national-origin groups additionally affect political participation. An understanding of Latino political participation should be in the interest of the U.S. public as well as scholars engaging in American Studies. This biggest minority increasingly makes its presence felt in the electoral arena, especially at the state level. In states such as California, Texas, Florida and New Mexico Latinos constitute decisive voting blocs. But also, Latinos nationwide enlarge their political clout, due to cumulative numbers and a more developed political consciousness. With this national and state level significance of the Latino electorate, examining their policy preferences and goals has become progressively more important to the understanding of the U.S. political scene. The approach here is twofold. First, political participation of the Latino population as a whole will be researched; using numbers and results from the presidential election 2004. In this part of the paper, the concept of pan-ethnicity using the label Latino will be used to sum up Spanish-speaking nationalities and their political efforts. In order to be eligible to vote, certain legal requirements are to be met, so factors that account for voting will be outlined first. In accordance with the large share of non-citizens among the Latino population, it is also necessary to examine their non-electoral political activities. The second part will portray Latinos in more detail, examining the three largest national-origin groups. By demonstrating their specific histories and varied experiences and opportunities in U.S. politics, it will become clear that when talking about Latino Politics, it is indispensable to bear in mind the heterogeneity of America’s biggest minority and the side effects this has.
Das Endinger Judenspiel
(2001)
In der heutigen Zeit sieht sich das kulturelle Erbe der Völkergemeinschaft der Gefahr ausgesetzt, von der rasanten Entwicklung der Medientechnologien in den Hintergrund gedrängt und zerstört zu werden. Die Globalisierung von Wirtschaft und Gesellschaft führt auch zu einer kulturellen Globalisierung und damit zur Dominanz des von der westlichen Welt gelebten Kulturimperialismus. Einzelne Kulturformen verlieren ihren Platz in der Kulturweltgemeinschaft und wichtige Kulturgüter wie Literatur, Sprache, Mythen, Darstellungen oder Riten werden nach und nach verdrängt. Aus diesen Gründen ist es notwendig, dass sich die Theater- und Medienwissenschaftler mit diesen Kulturformen auseinandersetzen, sie erforschen und im Bewusstsein der Menschen erhalten. Diese Arbeit stellt eine unabhängige Untersuchung dar, die in dieser Form innerhalb eines geschlossenen gesellschaftlichen Systems nicht möglich gewesen wäre. Die letzte deutschsprachige Dissertation über den Stand der For-schung zu diesem Thema wurde vor knapp vierzig Jahren verfasst. Seitdem ist auch keine Untersuchung der Rezeption dieser Kunstform in Theater, Film und Medien in Europa erfolgt. Meiner Kenntnis nach existiert auch im Iran keine ver-gleichbare wissenschaftliche Arbeit, die sich mit dem untersuchten Themengebiet beschäftigt. Die Ta¬ziyeh ist eine sakrale Theaterform aus dem Iran, die sich über lange Zeit großer Beliebtheit in der eigenen Bevölkerung und Anerkennung durch westliche Reisende erfreute. Obwohl der Vormarsch der Medientechnologien, insbesondere die Verbreitung des Fernsehens und des Kinos im letzten Jahrhun-dert auch dazu geführt hat, dass das Ta¬ziyehritual zurückgedrängt wurde, ist es bemerkenswert, dass modernes Theater, Film und Fernsehen im Iran ihrerseits durch die Ta¬ziyehkultur und –praxis bis heute beeinflusst werden. Ich untersuche in meiner Promotionsarbeit die Geschichte und Auffüh-rung der Ta¬ziyeh, sowie ihre Rezeption im Theater, Film und Fernsehen im Iran. Die Ta¬ziyeh ist ein auf religiösen Riten beruhendes Passionsspiel, welches durch die Ideale und den Glauben der Schiiten begründet wurde und seinen Ursprung im Mythos des  hat. Für das Verständnis der Ta¬ziyeh ist über die Begriffsklärung hinaus sowohl ein grundlegender Überblick über die schiitische Glaubensrichtung, als auch ein Abriss der altiranischen Geschichte und Kultur im ersten Teil dieser Ar-beit unerlässlich. Außerdem werde ich auf die konkrete Ausgestaltung des schiiti-schen Passionsspiels eingehen. Besonders wichtig erscheinen mir hierbei der Ort der Aufführung des Schauspiels, die Dekoration und Requisiten, sowie die Art der Aufführung, zu der eine genaue Beschreibung der Schauspieler, ihrer Rollen, ihrer Kostüme, der begleitenden Musik und der für die Vorstellung benötigten Tiere gehört. Im weiteren Verlauf der Arbeit soll dann detailliert auf die theatralische Entwicklung der Ta¬ziyeh in der Zeit des 15.– 20. Jahrhunderts anhand von Be-richten berühmter Iranreisender eingegangen und eine Rezeption des letzten Jahr-hunderts im Hinblick auf die Ta¬ziyeh besprochen werden. Im dritten Teil der Arbeit analysiere ich nach der Klärung der Ta¬ziyehhistorie und -ästhetik in den ersten beiden Teilen schließlich ausführlich die Rezeption und Praxis der Ta¬ziyeh im modernen Theater, Film und anderen Medien im Iran. Diese Untersuchung bildet aus Sicht der Theater- und Medien-wissenschaften den wesentlichen Kern der Arbeit, in dem die im Untersuchungs-gegenstand beschriebene Synthese herausgearbeitet wird. Dafür werden exempla-risch zwanzig Werke bedeutender Künstler des Irans herangezogen, die den Ein-fluss des sakralen Rituals in einem säkularen Medium eindeutig aufzeigen. Den Abschluss der Arbeit bildet eine Synopsis der Untersuchungen, so-wie ein Ausblick auf die gegenwärtige Entwicklung der Ta¬ziyeh.
Die Rolle des Kulturbildes im interkulturell motivierten Deutschunterricht am Beispiel des Iran
(2006)
Der Vortrag basiert auf meiner Dissertation über die "Interkulturelle Kommunikation an iranischen Sprachinstituten und Universitäten". Er setzt sich zunächst mit den Vorstellungen über die Kultur des deutschsprachigen Raums im Iran und dessen Reflexion in Unterrichtsprozessen auseinander. In diesem Zusammenhang wird die Rolle der Beziehung zwischen Kultur und Sprache im Fremdsprachenunterricht herausgearbeitet. Daher steht die Beschäftigung mit Kulturfragen im Mittelpunkt. Es handelt sich dabei vor allem um zwei typische Beispiele für "interkulturelle Missverständnisse", die bei iranischen Deutschlernenden in ihrem Verständnis der deutschen Kultur sehr häufig vorkommen. Zwei weitere Beispiele werden gezeigt, in denen die kontrastierten Kulturen miteinander übereinstimmen und somit eine feste und unproblematische Grundlage für den Umgang miteinander darstellen. Im Folgenden soll die Rolle der Deutschlehrer und der institutionellen Bedingungen im Unterricht analysiert werden. Gerade der Deutschunterricht in islamischen Ländern ist darauf angewiesen, dass der Lehrer Sprachsituationen bereitstellt, anhand derer er versucht, die von der Ausgangsgesellschaft stammenden interkulturellen Konflikte aufzugreifen und letztlich zu bewältigen. Meine Unterrichtsanalysen zeigen, dass diese Vorgehensweise der Lehrer ohne Steuerung der Institution nicht möglich ist. Da die interkulturell motivierte Deutschvermittlung institutionelle Voraussetzungen verlangt, stellt der Vortrag auch die Frage, ob eine regionale von den beiden Regierungen unabhängige Institution für die Beschäftigung mit den möglichen interkulturellen Konflikten notwendig ist und warum sie bis jetzt nicht zustande gekommen ist. Trotz der neusten politischen Bemühungen um die kulturellen Annäherungen zwischen beiden Ländern gelten immer noch beide Kulturen als "kontrastiert". Der Deutschunterricht in der iranischen Gesellschaft kann diese Kluft nur dann schmälern, wenn die Deutsch anbietenden Institutionen inter- und transkulturelle Aspekte stärker berücksichtigen.
Der Weltfrieden hängt heute mehr denn je von der Kommunikation zwischen den Menschen unterschiedlichster Kulturen ab. Jenseits der Dialoge des Westens und Ostens, des Nordens und Südens liegt das Dynamit von interkulturellen Konflikten. Obgleich zumeist lokal begrenzt, zerreißen sie mit ihrer Sprengkraft Blöcke. Kriege, Entkolonialisierungskämpfe, ökologische und soziale Krisen können ab dem 20. Jahrhundert unversehens ein globales Ausmaß annehmen. ...
In der Arbeit wurde der Deutschunterricht im Iran in Bezug auf seine Gegenstände, Ziele, Methoden und die ihn anbietenden Institutionen auf diskurstheoretischer Grundlage besonders im Hinblick auf Aspekte interkultureller Kommunikation beschrieben und untersucht. Wenn gerade die kommunikativen Aspekte des Deutschunterrichts in den Blick genommen werden, darf nicht übersehen werden, dass dabei nicht nur rein sprachliche, sondern auch kulturelle Aspekte des Lehrens und Lernens zu berücksichtigen sind. Die Ziele der Arbeit in Fragen der Deutschdidaktik ergeben sich aus besonderer Beachtung dieser Aspekte und sind auf Forschung, Lehre und Analysemethoden bezogen. Die einzelnen Kapitel sind explorativ und vermitteln insgesamt einen Eindruck von der Vielfalt der Fragestellungen und so auch von den neueren Entwicklungen und Fragestellungen, die sich in der unterrichtlichen Kommunikation bei iranischen Deutschlernern und –lehrern aufgetan haben. Das umfangreiche Material, das hier erstmals in einer bearbeitungsfähigen Form zur Verfügung gestellt wurde, bietet den Lesern reiche Möglichkeiten, weitere Phänomene interkultureller Kommunikation selbst zu entdecken und zu untersuchen. Darüber hinaus wird sprachliches Handeln im DaF-Unterricht im Hinblick auf „interkulturelle Kommunikation“ und auf die Möglichkeit, die „Diskursanalyse“ als Untersuchungsmethode darauf anzuwenden, beleuchtet.
Wer 1784, nur fünf Jahre vor der großen Revolution und mitten in der großen Bewegung der Aufklärung, zu Christian Gottlieb Jöckers Allgemeinem Gelehrten-Lexicon mit Fortsetzungen und Ergänzungen von Johann Christoph Adelung griff, konnte unter dem Buchstaben C folgenden Eintrag finden: "Cäsar, (Johnnes Baptista,) Syndicus zu Frankfurt um Main, legte aber sein Amt nieder, wegen des damahligen Judentumults. Er hat unter dem Namen Vespasiani Rechtani den Judenspiegel drucken lassen, und die Judenbadstube angehängt, worin er erwiesen daß die Juden höchst schädliche blutsaugende Thiere und Verräther des Vaterlandes und gar nicht zu gedulden seyn ...". Der doppeldeutige Anschluß hat schon seinen Sinn, denn nicht nur in seinem Judenspiegel "beweist" Cäsar die Minderwertigkeit und Schädlichkeit der Juden, sondern vor allem mit seinem Wiederabdruck von "Der Juden badstub. Ein anzeygung jrer manigfeltigen schedlichen hendeI zuo Warnung allen Christen/jren trieglichen listigkeyten zuo entweychen vnd zuo uermeyden", die 1535 zum ersten Mal im Druck erschienen war. Es bedurfte auch fast 250 Jahre später keines erklärenden Hinweises, was mit diesem Wort "Judenbadstube" gemeint sei - offenbar konnte Adelung noch immer darauf vertrauen, daß des bis heute unbekannten Philips von Allendorf dingallegorische Ausdeutung der Abläufe in einer spätmittelalterlichen Badestube jedem Gebildeten, der in seinem Lexicon Rat suchte, bekannt war. Diese Tatsache allerdings bedarf der Erklärung....
Von Ahasver, dem ‚Ewigen Juden’ wird schon im Druck von 1602 erzählt, er habe, nachdem er von Christus zur ewigen Wanderschaft verdammt worden war, die Stadt Jerusalem verlassen und durch alle Teile der Welt wandern müssen. Als er nach Jahrhunderten wieder in das Heilige Land gekommen sei, habe er das Land verwüstet und Jerusalem so vollständig zerstört vorgefunden, dass er es nicht mehr erkannt habe. Mit dieser Bemerkung signalisiert der Autor des kleinen, aber überaus wirkungsmächtigen Traktats den Lesern, dass damit mehr gemeint ist als nur eine Episode auf der Wanderschaft Ahasvers. [...]
Im Jahre 1787 sendet Katharina die Große dem spanischen König Karl III. ein Schreiben, in dem sie darum bittet, dem Hof in Sankt Petersburg sämtliche verfügbaren Materialien bezüglich der Eingeborenensprachen in Amerika zur Verfügung zu stellen. Die Zarin, eine glühende Verfechterin der Wissenschaften und persönliche Freundin Voltaires, beabsichtigte, dieses Material den Gelehrten ihres Hofes für die Erstellung einer vergleichenden Studie über alle bis dato bekannten Sprachen der Welt zu übergeben. Wie Michel Foucault (1974) gezeigt hat, waren die aufgeklärten Europäer jener Zeit überzeugt, die allen sprachlichen Systemen gemeinsamen grammatischen Strukturen entziffern zu können, von denen man annahm, sie stellten die Grundstruktur jeder möglichen Sprache dar. Der Entwurf einer "Allgemeinen Grammatik" setzte die vergleichende Gegenüberstellung verschiedener Sprachen voraus. Hierbei ging es jedoch nicht darum, deren gemeinsamen historischen Ursprung aufzudecken – eine bis zu diesem Zeitpunkt gängige Hypothese (das Hebräische als "Muttersprache" vor der babylonischen Sprachverwirrung) –; Ziel der Untersuchung war es vielmehr, eine universelle, sämtlichen Sprachen zugrunde liegende Sprachstruktur zu Tage zu fördern. Jede Einzelsprache würde demzufolge eine spezifische Ausformung dieser universellen Struktur darstellen. Den Aufklärern am russischen Hof, angeführt von einem Gelehrten namens Pallas, war bekannt, dass die Jesuiten eine ganze Reihe von Werken über die indigenen amerikanischen Sprachen veröffentlicht hatten, und sie baten die Zarin, sie bei der Beschaffung dieses für die Arbeit an ihrem Projekt so wertvollen Materials zu unterstützen. ...
Passionsspiel und geistliche Malerei als Instrumente der Judenhetze in Frankfurt am Main um 1500
(1984)
Am Ende des zweiten Jahrtausends wie am Ende des ersten sind die Menschen von eschatologischen Vorstellungen beunruhigt und fasziniert zugleich. Der Tod wird wieder entindividualisiert und mir Vorliebe im traditionellen Bild des Totentanzes und des tanzenden Todes ausgedrückt. Dies hat auch Auswirkungen auf die wissenschaftliche Beschäftigung mit diesem Thema, die in den letzten Jahren intensiviert wurde. Einige der neueren Arbeiten zu den spätmittelalterlichen Totentänzen und zur Geschichte ihrer produktiven Rezeption werden hier vorgestellt und im Kontext der Traditionsforschung diskutiert.
Die Fibel, das zeigt die gewiß nicht affirmativ gemeinte Lehrlingslektion überdeutlich, muß an die sozialen Erfahrungen der Kinder anknüpfen, um einmal Motivationen schaffen für das Lesenlernen, wozu am Ende des ersten Schuljahres bereits das "weiterführende" Lesen gehört; davon jedoch nicht abzutrennen ist das erzieherische Ziel, dem das Lesen vom ersten Schultag an verpflichtet sein sollte: die sozialen Erfahrungen der Kinder in ihrer gesellschaftlichen Verursachung aufklären zu helfen. Vor dieser generellen Forderung, der viele Fibelherausgeber zustimmen werden, erweisen sich neuere Fibeln insgesamt als in hohem Maße reformbedürftig, auch wenn hier und da schon erfreuliche Reformtendenzen wahrnehmbar sind. Einige Beobachtungen, die direkt Gegenstand der Analyse waren oder nur am Rande notiert wurden, lassen sich am Ende dieser Arbeit - zumindest als Hypothesen für die weitere Diskussion - generalisieren. Fibeln, von der Lesebuchdiskussion nicht berücksichtigt, wurden von dieser dennoch mitbeeinflußt. Die kindliche Umwelt, breit gefächert in die verschiedenen Aktionsbereiche, ist längst zentraler Gegenstand neuerer Fibeln. Die zivilisatorisch veralteten Texte und Illustrationen mit der Mutter am Waschzuber und dem Sämann mit der Säschüssel über der Schulter sind verschwunden bzw. ersetzt durch modernisierte; d. h. aber auch, daß Waschtag und Landarbeit, um bei den genannten Beispielen zu bleiben, noch vielfach Gegenstand von Fibellektionen sind, auch wenn sie in ihrer Bedeutung für die Erfahrungswelt der meisten Kinder gewiß keine Priorität mehr besitzen. Daraus folgt für viele Fibeln nach der Phase der technologischen Modernisierung der alten Inhalte die Notwendigkeit, die Relevanz dieser Inhalte für Sechs/Siebenjährige zu überprüfen. Aber auch dieser Prozeß, der in vollem Gange ist, betrifft noch nicht den Punkt einer Fibelreform, da sich auch bei einer konsequenten Berücksichtigung von Themenbereichen aus der kindlichen Umwelt deren Konfliktzonen aussparen lassen. Genau dieses Verfahren aber provoziert den entscheidenden Vorbehalt auch noch gegen fast neueren Fibeln, in denen wichtige, weil erfahrungsträchtige kindliche Spiel- und Aktionsräume beschrieben werden, ohne daß die dabei auftretenden individuellen, altersbedingten oder durch gesellschaftliche Verhältnisse verursachte Konflikte Berücksichtigung fänden. So entsteht weiterhin das unwahre Bild einer heilen Welt, in der Kinder durchweg eine liebevolle, fleißige Mutter haben und ab und an auch einen netten Vater; in der heiter, ohne Zank und Verdruß, mit Puppen und Eisenbahnen gespielt, in der gesungen, gerodelt und gebadet wird. Verschwiegen werden all die üblen Erfahrungen die Kinder machen müssen: mit ihren Spielsachen, die, kaum benutzt, kaputt gehen; mit anderen Kindern, die aggressiv sind und nicht spielen können; mit ihren Eltern, die geschieden sind, sich längst hätten trennen sollen oder einfach nur normal sind, was schon schlimm genug sein kann; mit Eltern, die ihre Arbeit ruiniert, die nervös, mürrisch oder brutal sind; mit Wohnungen, die keinen Spielraum bieten; mit Hinterhöfen, Vorgärten, Grünanlagen und Straßen, die verboten sind; mit Spielplätzen, die weit weg, zu klein oder von pedantischen Rentnern bewacht werden; mit Schulen, die all das nicht kümmert und darum vielen Kindern verhaßt oder sterbenslangweilig sind usw. Fibelherausgeber, die bereit sind, die kindlichen Bedürfnisse, die sich in solchen negativen Erfahrungen anmelden, in Texten und Illustrationen zu vertreten, müssen auch berücksichtigen, daß die landläufigen Vorstellungen von kindlicher Umwelt bisher geprägt waren von der Umwelt der Mittelschicht Es wäre zwar ein Fortschritt und in gewissem Umfang auch im Interesse aller Kinder, wenn wenigstens, wie das in "Wunderbare Sachen" in einer Reihe von Lektionen konsequent geschieht, Konflikte von Mittelschichtkindern dargestellt würden, auf die Dauer aber ist nicht zu verantworten, all jene Konfliktzonen zu vermeiden, die für Kinder dadurch entstehen oder als besonders schlimm empfunden werden, weil die Eltern zu den gesellschaftlich Benachteiligten gehören. So können beispielsweise Kinder aus der Mittelschicht, wenn sie in der Großstadt außerhalb der Wohnung etwas unternehmen wollen, genau so übel dran sein wie Arbeiterkinder; aber zum einen leben sie für gewöhnlich in geräumigen Wohnungen und/oder ihre Eltern haben am Wochenende und in den Ferien mehr Möglichkeiten, den kindlichen Spiel- und Erfahrungsraum auszuweiten und wissen im allgemeinen mehr darüber, wie notwendig dies für die Entwicklung der Kinder ist. Oder ein anderes Beispiel: die Erfahrungen, die Kinder mit ihren Vätern am Feierabend machen, sind sehr unterschiedlich; auch wenn der leitende Angestellte von seiner Arbeit ähnlich frustriert sein kann wie ein Akkordarbeiter, so hat er im allgemeinen in seiner langen Schulzeit so viel lernen können, daß er dies nicht ausgerechnet seiner Frau und seinen Kindern heimzahlen sollte. Es kann nicht darum gehen, nach den harmlosen, weil konfliktfreien Fibeln für Mittelschichtkinder, mit Eigenheim, Garten und anderen Wohlstandsattributen, nun weniger harmlose für Arbeiterkinder zu produzieren, in denen, ohne Umschweife und unabhängig vom Bewußtseinsstand der Eltern, Schulanfängern die gesellschaftlichen Widersprüche vor Augen geführt werden. Wichtig für eine inhaltliche Revision der Fibel wird vielmehr sein, die sozialen Erfahrungen der Kinder insgesamt ernst zu nehmen, die negativen nicht einfach auszusparen und darüber hinaus auch Konflikte zu behandeln, die für Kinder materiell benachteiligter Eltern besonders schmerzlich sind. Basis solcher Reformen müssen in jedem Falle die sozialen Erfahrungen der Kinder sein; denn nur so kann die Gefahr von Indoktrination vermieden werden, die auch dort gegeben ist, wo über die Köpfe von Kindern hinweg Aufklärung betrieben wird. Für inhaltliche Reformen dieser Art gibt es in einigen Fibeln bescheidene Ansätze - mehr noch nicht.
Die vorliegende Arbeit hat aus verschiedenen Perspektiven untersucht, wie Janet Frame das Genre der Autobiographie verwendet, um einerseits mit ihrer eigenen Sicht den einengenden Darstellungen ihrer selbst und vor allem ihres Gesundheitszustandes entgegenzutreten und andererseits ihre Position als anerkannte neuseeländische Schriftstellerin festzuschreiben. Es ist dargestellt worden, wie erfolgreich diese Um-Schreibung gewesen ist. Wurde vor "An Autobiography" Frames Schizophrenie noch als allbekannte Tatsache betrachtet, so zeigen spätere Artikel, daß die in der Autobiographie vertretene These von der Fehldiagnose allgemein übernommen worden ist. Zwar bleibt auch ein von uns genommenes Stigma weiterhin Teil unserer Identität, weshalb auch nach der Autobiographie noch häufig Bezug auf ihre (vermeintliche) Krankheit genommen wird: "But then, they used to think she was mad […] And so here she is still; alive, sane, taxed, remarkable." Aber es gelingt Frame, eine Persona 'Janet Frame' aufzubauen, hinter der sich ihr privates Selbst 'Janet Clutha' freier bewegen kann....
Die vorliegende Magisterarbeit untersucht verschiedene Formen der Darstellung von Geschichte im Film mit Hilfe der Filmphilosophie von Gilles Deleuze. Ausgangspunkt der Betrachtung sind zunächst die vielfältigen Ansätze der Regisseure des Neuen Deutschen Films, auch und gerade bei der Thematisierung von (deutscher) Geschichte die klassische Unterscheidung zwischen dokumentarischen und fiktionalen filmästhetischen Strategien aufzubrechen. Inwiefern sich diese Vorgehensweise und die dabei entstehenden neuen “Deutschlandbilder” (Anton Kaes) mit Deleuze’ Konzept des Zeit-Bildes (l‘image-temps) in Beziehung setzen lassen, wird hier am Beispiel der Filmtheorie Alexander Kluges und dem unter dessen maßgeblichen Einfluss kollektiv produzierten Film “Deutschland im Herbst” von 1978 diskutiert. Knapp zwanzig Jahre später beschäftigte sich Heinrich Breloers als Fernseh-Großereignis konzipierter Zweiteiler “Todesspiel” erneut mit den Ereignissen des Deutschen Herbstes. Auch hier mischen sich dokumentarische und fiktionale Elemente im Rahmen des “Doku-Fiktion”-Formates, das in seinen Erzählstrategien jedoch umso stärker auf das klassische Modell des Bewegungs-Bildes zurückgreift. Andres Veiels “Black Box BRD” von 2001 und Christopher Roths “Baader” von 2002 knüpfen dagegen - nicht zuletzt in expliziter Ablehnung einer konventionalisierten Fernsehästhetik - erneut an das von Deleuze vor allem für das europäische Nachkriegskino mit dem Begriff des Zeit-Bildes beschriebene Modell einer aufgebrochenen Narration und einer Sinn-Resistenz der visuellen Bilder an: Kontraste und Widersprüche fordern den Zuschauer zur Reflexion über das Dargestellte auf; “Wahrheit” wird hier entweder als von subjektiven Interessen geleitete Sichtweise (“Black Box BRD“) oder als gesellschaftlich konstruierter Mythos (“Baader“) gezeigt. Mit Hilfe der von Nietzsche inspirierten Thesen Deleuze’ zum Wahrheitsmodell des Bewegungs-Bildes einerseits, den “Mächten des Falschen” im Zeit-Bild andererseits versucht die vorliegende Arbeit so zugleich zu zeigen, inwiefern den verschiedenen Bildarten im Hinblick auf die Darstellung von Geschichte notwendig eine politische Komponente innewohnt: Während die verschiedenen Formen des Bewegungsbildes eine bereits konstituierte Gemeinschaft vorgeben, der sich anzuschließen die Filme durch Identifikation ermöglichen, scheint das Zeit-Bild eine wesentlich demokratischere Form des “Wir” zu eröffnen: Es emanzipiert den Zuschauer durch das Miteinander des Aufzeigens der in einer bestimmten Sichtweise versteckten Interessen und der im gleichen Atemzug vorgenommenen, als solche jedoch stets kenntlich gemachten "Parteiergreifung" der Filme zu einem an deren Herausbildung und steten Neuerschaffung gleichberechtigt beteiligten Mitglied dieser Gemeinschaft.
Das Ziel dieser Arbeit ist es, Chronologie und Erscheinungsform volkssprachlicher Schriftzeugnisse zwischen ca. 750 und 1250 im fränkischen Gesamtreich, im ostfränkischen Reich, im entstehenden ‚Deutschen Reich‘, als Folge geistesgeschichtlichen und politischen Wandels in dieser Zeitspanne darzustellen. Explizite soll die disparate Erscheinungsform ‚deutscher‘, volkssprachlicher Texte als Folge sich wandelnder Ziele der Herrscher dargestellt werden: Zielsetzungen, die sich aus dem sich verändernden Weltbild und der sich verändernden politischen Lage ergeben und die das Handeln des Herrschers bestimmen. Anders gefragt: Welche politischen Gründe können fränkische und sächsische Könige und Kaiser im Mittelalter bewogen haben, die ‚deutsche‘ Volkssprache zu fördern und – steht das in Zusammenhang mit der jeweils gültigen Reichsideologie?
In Publikationen zur Frauenliteratur der Weimarer Zeit finden sich, direkt oder mittelbar formuliert, zwei Thesen: Dass zum einen die politisch engagierte Frau in den Romanen eine selten anzutreffende Figur sei und dass zum anderen die Schriftstellerinnen jener Zeit sich politisch eher rückwärtsgewandt verhalten und geäußert hätten. In einer differenzierten Untersuchung wird mit einer Fülle von Beispielen belegt, dass tatsächlich aber vom Ersten Weltkrieg bis zum Ende der Republik zahlreiche Schriftstellerinnen die politischen Vorkommnisse beobachteten, direkt kommentierten oder literarisch ausgestalteten. Den Begriff „rückwärts gewandt“ problematisierend wird erläutert, dass diese Einstufung weder ohne weiteres bestätigt noch verneint werden kann, da Wertbegriffe wie „fortschrittlich“ oder „reaktionär“ nicht eindeutig und zweifelsfrei definiert werden können.
Seit PISA 2000 den Begriff der Risikogruppe in die wissenschaftliche und politische Debatte einführte, sind die leistungsschwachen, lernbehinderten oder einfach langsamen Schülerinnen und Schüler auch solche, die mit einem besonderen Risiko leben. Bezogen auf den in der Studie zentral getesteten Kompetenzbereich Lesen sind es Jugendliche, die am Ende ihrer allgemeinbildenden Schulzeit nicht in der Lage sind, einfache Texte zu lesen und zu verstehen. Im fünfstufigen Kompetenzmodell, das PISA den Testaufgaben zugrunde legt, geht es auf der niedrigsten Stufe, der Kompetenzstufe I, um einfache informatorische Texte, in denen „eine oder mehrere unabhängige, aber ausdrücklich angegebene Informationen zu lokalisieren“ sind und es geht um „das Erkennen des Hauptgedankens des Textes oder der Intention des Autors bei Texten über bekannte Themen“, wobei der Hauptgedanke „entweder durch Wiederholung oder durch früheres Erscheinen im Text auffallend formuliert“ ist; es geht z.B. darum, „eine einfache Verbindung zwischen Information aus dem Text und weit verbreitetem Alltagswissen herzustellen“. ...
Internet und Sprachenlernen
(1998)
Begriffe wie „Datenautobahn“, „Informationsgesellschaft“, „globales Dorf“, „cyberspace“ und „virtual community“ sind allgegenwärtig und deuten auf die umgreifenden Veränderungen hin, die die neuen Informationstechnologien vor allem seit Beginn der 90er Jahre mit sich gebracht haben. Die weltweiten Computernetze ermöglichen in nie zuvor dagewesenem Ausmaß Informationsaustausch und Kommunikation zwischen Menschen in allen Teilen der Welt - und das in Sekundenschnelle. Wir stehen also „mitten in einer technologischen Revolution, die unsere Welt nachhaltiger verändern wird, als es die industrielle Revolution Ende des 19. Jahrhunderts getan hat“ (Kleinschroth 1996, S.11). Auch ein anderer Vergleich wird häufig gezogen: „Die Veränderungen, die sich hier anbahnen, könnten sich mit jenen messen, die die Erfindung des Buchdrucks mit sich gebracht hat“ (Maier/Wildberger 1995, S.181). Diese Entwicklung hat natürlich auch weitreichende Konsequenzen für den Bildungsbereich und wird daher von Pädagogen je nach Standpunkt mit Sorge oder überschwenglicher Euphorie betrachtet. Welche Möglichkeiten bietet das Internet nun also wirklich? Vor allem für den Bereich des Fremdsprachenlernens erscheint ein „Näherrücken“ der Welt als virtuelle Gemeinschaft im „globalen Dorf“ als vorteilhaft, ergeben sich doch völlig neue Kommunikationsmöglichkeiten. Auch der Zugriff auf authentisches fremdsprachliches Material ist leichter, schneller und oft auch billiger geworden, und für den Bereich des Fernlernens ergeben sich durch die weltweite Computervernetzung ganz neue Perspektiven. Dem gegenüber stehen aber auch Nachteile und Probleme beim Einsatz der neuen Technologien, und zwar sowohl didaktische als auch technische. In diesem Zusammenhang taucht daher auch die Wichtigkeit der Vermittlung von „computer literacy“ und informationstechnologischer Bildung auf, denn vor allem in der Zukunft wird es immer wichtiger werden, in der Informations- und Wissensgesellschaft mitreden zu können. (Sprachen-) Lernen über das Internet hat also viele Facetten, allerdings herrscht oftmals noch Unklarheit und Unwissenheit über das Potential dieses neuen Mediums. In dieser Arbeit soll daher untersucht werden, inwieweit sich das Internet zum Lernen und Üben von Fremdsprachen eignet, welche Probleme sich ergeben können und wie das Internet in Schule und Erwachsenenbildung bereits genutzt wird bzw. genutzt werden kann. Im ersten Kapitel wird das Medium Internet vorgestellt, wobei zunächst kurz auf dessen Geschichte und die technischen Grundlagen eingegangen werden soll. Es folgt eine Darstellung der Einsatzmöglichkeiten der einzelnen Internetdienste, und zwar sowohl für das individuelle Lernen als auch für den Gruppenunterricht. Eine zusammenfassende Beschreibung der Vor- und Nachteile des Mediums Internet für das Fremdsprachenlernen schließt das erste Kapitel ab. Das zweite Kapitel beschäftigt sich dann mit dem Einsatz des Internet im schulischen Sprachunterricht, es werden u.a. konkrete E-Mail- und WWW-Projekte, die im Englischunterricht durchgeführt werden können, beschrieben sowie Erfolge und Probleme aus der Praxis dargestellt. Das dritte Kapitel geht auf die Möglichkeiten in der Erwachsenenbildung und im Fernunterricht ein, hier stehen die Aktivitäten von Volkshochschulen und privaten Sprachenschulen im Vordergrund. Im vierten Kapitel werden die wichtigsten Schlußfolgerungen noch einmal zusammengefaßt. Der Anhang enthält zusätzlich Computerausdrucke von einigen im Text erwähnten Webseiten und Ressourcen aus dem Internet. An dieser Stelle möchte ich darauf hinweisen, daß in der Arbeit zwar die Einsatzmöglichkeiten des Internet für das Sprachenlernen im allgemeinen dargestellt werden sollen, sich die meisten praktischen Beispiele jedoch auf die englische Sprache beziehen. Diese Eingrenzung war nötig, da sonst der Aufwand den Rahmen dieser Arbeit gesprengt hätte. Nichtsdestotrotz habe ich mich bemüht, Verweise auf andere Sprachen miteinzubeziehen, denn auch wenn die „Verkehrssprache“ des Internet das Englische ist, gibt es Ressourcen und Kommunikationsmöglichkeiten in fast jeder anderen Sprache. Im übrigen lassen sich ohnehin Aussagen und Vorschläge, die sich auf das Lernen der englischen Sprache beziehen, meist problemlos auf andere Sprachen übertragen.
This paper argues that short (clause-internal) scrambling to a pre-subject position has A properties in Japanese but A'-properties in German, while long scrambling (scrambling across sentence boundaries) from finite clauses, which is possible in Japanese but not in German, has A'-properties throughout. It is shown that these differences between German and Japanese can be traced back to parametric variation of phrase structure and the parameterized properties of functional heads. Due to the properties of Agreement, sentences in Japanese may contain multiple (Agro- and Agrs-) specifiers whereas German does not allow for this. In Japanese, a scrambled element may be located in a Spec AgrP, i.e. an A- or L-related position, whereas scrambled NPs in German can only appear in an AgrP-adjoined (broadly-L-related) position, which only has A'-properties. Given our assumption that successive cyclic adjunction is generally impossible, elements in German may not be long scrambled because a scrambled element that is moved to an adjunction site inside an embedded clause may not move further. In Japanese, long distance scrambling out of finite CPs is possible since scrambling may proceed in a successive cyclic manner via embedded Spec- (AgrP) positions. Our analysis of the differences between German and Japanese scrambling provides us with an account of further contrasts between the two languages such as the existence of surprising asymmetries between German and Japanese remnant-movement phenomena, and the fact that unlike German, Japanese freely allows wh-scrambling. Investigation of the properties of Japanese wh-movement also leads us to the formulation of the "Wh-cluster Hypothesis", which implies that Japanese is an LF multiple wh-fronting language.
Left dislocation in Zulu
(2004)
This paper examines left dislocation constructions in Zulu, a Southern Bantu language belonging to the Nguni group (Zone S 40). In Zulu left dislocation configurations, a topic phrase in the beginning of the sentence is linked to a resumptive element within the associated clause. Typically, the resumptive element is an incorporated pronoun (cf. Bresnan & Mchombo 1987), as illustrated by the examples in (1) and (2). In these examples, the object pronoun (in italics) is part of the verbal morphology and agrees with the noun class (gender) of the dislocate. This situation is schematically illustrated in (3), where co-indexation represents agreement: ...
In this paper I discuss the properties of particle verbs in light of a proposal about syntactic projection. In section 2 I suggest that projection involves functional structure in two important ways: (i) only functional phrases can be complements, and (ii) lexical heads that take complements and project must be inflected. In section 3, I show that the structure of particle verbs is not uniform with respect to (i) and (ii). On the one hand, a particle always combines with an inflected verb; in this respect, particle verbs look like verb-complement constructions. On the other hand, the particle is not a functional phrase and therefore is not a proper complement, which makes the combination of the particle and the verb look more like a morphologically complex verb. I argue that syntactic rules can in fact interpret the node dominating the particle and the verb as a projection and as a complex head. In section 4, I show that many of the characteristic properties of particle verbs in the Germanic languages follow from the fact that they are structural hybrids.
In this article, I discuss some important properties of wh-questions and wh-scrambling in Japanese. The questions I will address are (i) which instances of (wh-) scrambling involve reconstruction and (ii) how the undoing effects of scrambling can be derived. First I will discuss the claim that (wh-) scrambling is semantically vacuous and is therefore undone at LF (Saito 1989, 1992). Then I consider the data that led Takahashi (1993) to the conclusion that at least some instances of wh-scrambling have to be analyzed as instances of "full wh-movement" i.e., overt movement of the wh-phrase in its scopal position. It will be argued that these examples are not instances of full wh-movement in Japanese, but that they also represent semantically vacuous scrambling. Those instances of scrambling that apprently cannot be undone are best explained with recourse to parsing effects. I conclude that wh-scrambling in Japanese is always triggered by a ([-wh]-) scrambling feature. In addition, long distance scrambling (scrambling out of finite CPs) is analyzed as adjunction movement, whereas short distance scrambling is movement to a specifier position of IP. Turning to the mechanisms of undoing, I will argue that only long distance scrambling is undone. This is shown to follow from Chomsky's (1995) bare phrase structure analysis, according to which multi-segmental categories derived by adjunction movement are not licensed at LF. The article is organized as follows. In section 2, the wh-scrambling phenomenon is described. In section 3, I discuss the reconstruction properties of scrambling. In addition, this section provides some basic assumptions about my analysis of Japanese scrambling in general. In section 4, I turn to the analysis of wh-scrambling as an instance of full wh-movement in Japanese. Section 5 provides discussion of multiple wh-questions in Japanese, and section 6 gives the conclusion.
The languages of the world differ with respect to argument extraction possibilities. In languages such as English, wh-movement is possible from Spec IP and from the complement position, whereas in languages such as Malagasy only extraction from Spec IP is possible. This difference correlates with the fact that these language types obey different island constraints and behave differently with respect to wh-in situ and superiority effects. The goal of this paper is to outline an analysis for these differences. The basic idea is that in contrast to languages such as English, in Malagasy-type languages every argument can be merged in the complement position of the selecting head.
Expletives as features
(2000)
Expletives have always been a central topic of theoretical debate and subject to different analyses within the different stages of the Principles and Parameter theory (see Chomsky 1981, 1986, 1995; Lasnik 1992, 1995; Frampton and Gutman 1997; among others). However, most analyses center on the question how to explain the behavior of expletives in A-chains (such as there in English or Þad in Icelandic). No account relates wh-expletives (as one finds them in so-called partial wh-movement constructions in languages such as Hungarian, Romani, and German) to expletives in Achains. In this paper, I argue that the framework of the Minimalist Program opens up the possibility of accounting for expletive-associate relations in A-/A'-chains in a unified manner. The main idea of the unitary analysis is that an expletive is an overtly realized feature bundle that is (sub)extracted from its associate DP. There in an expletive-associate chain is a moved D-feature which orginates inside the associate DP. Similarily, in A'-chains, the whexpletive originates as a focus-/wh-feature in the wh-phrase with which it is associated. This analysis provides evidence for the feature-checking theory in Chomsky (1995). The paper is organized as follows. Section 2 contains the discussion of expletive there. In section 3 I suggest an analysis for whexpletives, and I also explore whether this analysis can be extended to relations between X°-categories such as auxiliary and participle complexes.
Die Doppelobjekt-Konstruktion bildet einen Untersuchungsgegenstand, der in der Vergangenheit die Theoriebildung in der Syntaxforschung wesentlich beeinflusst hat. Untersuchungen zu Doppelobjekt-Konstruktionen sind u.a. folgenreich gewesen für die Kasustheorie sowie für Analysen der Verbbewegung, Satz-, VP- und Argument-Struktur. In diesem Aufsatz stelle ich eine Analyse einiger wichtiger Aspekte der Doppelobjekt-Konstruktion im Deutschen vor. Untersucht wird, in welcher Position die Objekte des Verbs basisgeneriert werden und in welchen abgeleiteten Positionen sie erscheinen. Die Beantwortung dieser Fragen liefert eine Erklärung für das asymmetrische Verhalten der beteiligten Objekte in Bezug auf ihr Bindungs- und Extraktionsverhalten.
In diesem Aufsatz diskutiere ich die Distribution von kohärenten Kontroll-Infinitiven im Deutschen. Es werden die Verbklassen bestimmt, die kohärente Infinitive lizenzieren. Dabei zeigt sich, dass ausschließlich Infinitive 'kohärent' konstruiert werden können, die die Position der Akkusativ NP (bzw. die Position des direkten Objekts) einnehmen. Kontroll-Infinitive in anderen strukturellen Positionen sind zwangsläufig 'inkohärent'. Transparente Infinitive in Sprachen wie dem Polnischen und Spanischen sind in derselben Weise in ihrer Distribution beschränkt. Ich schlage eine einheitliche Analyse der relevanten Daten vor, die weitere distributionelle Generalisierungen bezüglich des Auftretens kohärenter Infinitive korrekt prognostiziert. Für die idiolektale Variation, die unter Sprechern in Bezug auf bestimmte Verben existiert, die kohärente Infinitive lizenzieren, wird eine Erklärung formuliert, die auf der Idee basiert, dass die Bildung dieser Infinitive an die Präsenz eines Inkorporations-Merkmals gebunden ist, das beim Spracherwerb auf der Grundlage positiver Evidenz erworben wird. In this article, I discuss the distribution of so-called 'coherent (control) infinitives' in German. In section 2, I will argue that both coherent as well as incoherent control-infinitives have a sentential status. In section 3, I argue that only infinitives occupying the position of the direct object show the well-known properties associated with coherent infinitives. Control infinitives in other structural positions represent incoherent infinitives. This situation is not limited to German infinitives. Transparent infinitives in Polish and Spanish show the same structural asymmetry. In section 4, I propose a unified analysis for the data that in addition, correctly predicts further restrictions for the distribution of coherent infinitives. In section 5, I propose an account for idiolectal variation in the class of verbs that license coherent infinitives. This account is based on the idea that coherent infinitives require an incorporation-feature in their lexical entry that is acquired on the basis of positive evidence.
In diesem Aufsatz gehe ich der Frage nach, in wie viel unterschiedlichen Positionen Verben im deutschen Satz vorkommen können. Anhand syntaktischer Tests wird gezeigt, daß das Verb im Deutschen in insgesamt drei unterschiedlichen Positionen auftritt und nicht, wie in der traditionellen Grammatik angenommen wird, in nur zwei Positionen (in der rechten und in der linken Satzklammer). Es wird dafür argumentiert, daß die Anwendung des abstrakten Satzschemas, wie es heute gängigerweise in der generativen Grammatikforschung als universelles Satzmodell angenommen wird, die Erklärung einer Vielzahl syntaktischer Phänomene im Deutschen ermöglicht, die mit der traditionellen Verbstellungsanalyse, die von nur zwei Verbpositionen ausgeht, nicht erklärt werden können. Gemäß des universellen Satzschemas repräsentiert die Infl(ection)-Position eine Verbposition im Satz. Diese Position ist identisch mit der rechten Satzklammer. Eine weitere Verbposition ist die V-Position innerhalb des Mittelfelds und eine dritte potenzielle Position für das Verb entspricht der C(omplementizer-) Position (bzw. der linken Satzklammer). Der Aufsatz ist folgendermaßen gegliedert. In der Einleitung schildere ich kurz die unterschiedlichen Auffassungen, die in der Vergangenheit zur Verbstellungsproblematik im Deutschen vertreten wurden. In Abschnitt 2 nenne ich die wichtigsten Argumente, die gegen die Annahme vorgebracht wurden, daß im deutschen Satz für Verben insgesamt drei Positionen zur Verfügung stehen. Im Anschluss daran werden in den Abschnitten 3.1 bis 3.2 Argumente diskutiert, die für drei Verbpositionen sprechen. Abschnitt 3.3 behandelt die Frage, wie vor diesem Hintergrund die Daten aus Abschnitt 2, die sich als problematisch für diese Analyse erwiesen haben, erklärt werden können. In Abschnitt 4 wende ich mich weiterer unabhängiger Evidenz aus dem Bereich der historischen Syntax zu, die für drei Verbpositionen im Deutschen spricht. In Abschnitt 5 gebe ich eine kurze Zusammenfassung der wichtigsten Ergebnisse.
Ausgangspunkt der folgenden Untersuchung ist die Überlegung, daß verschiedene Versionen der Prinzipien- und Parametertheorie unterschiedliche Prognosen bezüglich strukturell ambiger Wortfolgen in Passiv-Konstruktionen des Deutschen machen. Im Rahmen einer Theorie, in der Move-alpha frei appliziert, wie etwa in der Rektions- und Bindungstheorie (Chomsky 1981, 1986a, 1986b), können multiple Derivationen für derartige Abfolgen nicht ausgeschlossen werden, wohingegen eine andere Situation vorliegt, wenn man die entsprechenden Konstruktionen im Rahmen des Minimalistischen Programms analysiert. Hier kann die Anzahl möglicher (und mit einer Wortfolge verträglicher) Derivationen mit Hilfe von Ökonomieprinzipien beschränkt werden. Auf Grundlage verschiedener syntaktischer Tests wird im weiteren gezeigt, daß bestimmte Wortfolgen nur mit einer Derivation verträglich sind, was im Einklang mit einer minimalistischen Analyse der Daten steht. Der Aufsatz ist folgendermaßen gegliedert. In Abschnitt 2 erläutere ich das Grundproblem der multiplen Derivationen, das sich im Deutschen z. B. bei Passiv-Konstruktionen ergibt, wenn man annimmt, daß NP-Bewegung und Scrambling optional erfolgen und ferner keine Beschränkungen für potentielle Derivationen gelten. In Abschnitt 3 diskutiere ich die Voraussetzungen für die Überprüfung der Prognosen der verschiedenen Varianten des Prinzipien- und Parametermodells und versuche anschließend auf Grundlage syntaktischer Tests zu belegen, daß die diskutierten Beispiele tatsächlich nicht strukturell ambig, sondern strukturell eindeutig sind, wie es die Analyse der entsprechenden Konstruktionen im Rahmen des Minimalistischen Programms vorhersagt. Abschnitt 4 beschreibt die Konsequenzen der Analyse für weitere Sprachen wie Niederländisch und Japanisch und zusätzliche Bewegungstypen. Abschnitt 5 enthält die Konklusion.
In this paper I show that Clitic Climbing (CC) in Spanish and Long Scrambling (LS) in German (and Polish) are (im-)possible out of the same environments. For an explanation of this fact I propose a feature-oriented analysis of incorporation phenomena. The idea is that restructuring is a phenomenon of syntactic incorporation. In German and Polish, Agro incorporates covertly into the matrix clause and licenses LS out of the infinitival into the matrix clause. Similarily the clitic in Spanish, which is analysed as an Agro-head, incorporates into the matrix clause. I argue that this movement is necessary for reasons of feature-checking, i. e. for checking of an [+R]- or Restructuring-feature. In section 2 I discuss several differences between CC and LS. For example, the proposed analysis correctly predicts that clitics in contrast to scrambled phrases are subject to several serialization restrictions. Throughout the paper I use the term restructuring only in a descriptive sense, in order to describe the phenomenon in question.
Die schulpolitische Forderung, die seit PISA 2000 wieder auf der gesellschaftlichen und zunehmend auch auf der politischen Tagesordnung steht, ist, dass das so oft beschworene Grundrecht auf Bildung nach allem, was wir inzwischen aus der internationalen Schulforschung wissen, das gemeinsame Lernen über die Grundschule hinaus bis zum Ende der Schulpflicht sein sollte. Doch auch diese Schule gemeinsamen Lernen trägt schwer an dem, was sich in der besonders bildsamen Zeit vor Schulbeginn in unterschiedlichen sozialen Milieus als „kultureller Habitus“ entwickelt hat und das Lernen in der Schule nachhaltig beeinflusst. Das ist zwar auch in einer intakten demokratischen Gesellschaft nicht zu vermeiden, möglich aber ist unter dem Postulat von Bildungsgerechtigkeit, dass es für alle Kinder einen gebührenfreien Platz in einer Kindertagesstätte gibt. Das ist unter dem Betreuungsaspekt und der Vereinbarkeit von Familie und Beruf keine neue Forderung; sie wird aber bislang zu wenig unter dem Aspekt von Bildung gesehen und diskutiert. (V.Merkelbach: Bildungsgerechtigkeit beim Erwerb von Lesekompetenz. http://user.uni-frankfurt.de/~merkelba/) Wenn nach der Veröffentlichung von PISA 2000 ein regelrechter Bildungstourismus zu den so erfolgreichen Schulen in Skandinavien einsetzte und viele die integrierten Systeme dort mit ihrer Philosophie, kein Kind zurückzulassen, kein Kind zu beschämen, bewunderten, so war dabei kaum ein Thema, auf welch solidem Fundament vorschulischer Bildungseinrichtungen diese Systeme im Norden Europas aufbauen können. Das ist für den dänischen Soziologen Gösta Esping-Andersen ein entscheidender Grund, warum es in skandinavischen Ländern soviel besser als bei uns gelingt, mit dem Problem der „sozialen Vererbung“ und ihrer Verstärkung durch die Schule fertig zu werden, - besser auch als in England und in den USA, wo es auch lange schon kein gegliedertes Schulsystem mehr gibt. Dass die Lebenschancen von Kindern nicht nur durch ihre genetische Mitgift determiniert sind, sondern durch das, was sie, bevor sie in die Schule kommen, erfahren und lernen, ist für Esping-Andersen auch ein Grund, warum ein ganzes Jahrhundert der Schulreform in Deutschland es nicht vermocht hat, die Wirkung „sozialer Vererbung“ nachhaltig zu mindern. Dafür seien, wie zahlreiche empirische Studien zeigten, nicht nur familiäre Armut und das Fehlen materieller Mittel schuld, um in die Zukunft der Kinder zu investieren, vielmehr spreche viel dafür, dass kulturelle Faktoren ebenfalls die kognitive, emotionale und sprachliche Entwicklung stark beeinflussten. Wenn das so ist, wenn auch „kulturelles Kapital“ einen großen Einfluss hat, müsse der Kampf um soziale Gerechtigkeit „zugleich die Ungleichheit der kulturellen Ressourcen angreifen“. Gefragt sei eine Politik, „die den Einfluss ungleicher kultureller und kognitiver Ressourcen selbst beeinflusst“. Dass die skandinavischen Länder im Vergleich zu Deutschland, Großbritannien oder den USA einen erheblichen Rückgang in Sozialvererbung verbuchten, liege zum einen in der offensichtlich erfolgreichen Anstrengung zur Reduzierung von Kinderarmut, ein anderer wichtiger Grund sei das langfristig entwickelte Angebot von Bildungseinrichtungen für Kinder im Vorschulalter. Bei nahezu ausgeschöpften weiblichen Erwerbsquoten quer durch alle Bildungsgruppen profitierten „die Kinder aus wirtschaftlich und/oder kulturell schwächeren Haushalten grundsätzlich von denselben pädagogischen Standards und kognitiven Impulsen wie Kinder mit privilegiertem Hintergrund“. (G.Esping-Andersen: Aus reichen Kindern werden reiche Eltern. Vorschläge, wie die Politik dem Phänomen der sozialen Vererbung entgegensteuern kann. In: Frankfurter Rundschau, 20.12.04, S.7)....
Am Streit zwischen Bund und Ländern über die Zuständigkeit in der Bildungspolitik ist im Vorfeld der Bundestagswahl 2005 die Föderalismuskommission gescheitert. Alles, was der Bund nach PISA 2000 unternahm, um länderübergreifende Reformen des leistungsschwachen deutschen Schulsystems anzuregen, wurde von den Ländern, insbesondere den unionsregierten, mit Argwohn bedacht oder als unzulässige Einmischung zurückgewiesen. Selbst beim Vier-Milliarden-Programm der Bundesregierung für den verstärkten Ausbau von Ganztagsschulen war die Ländermehrheit in der KMK nicht bereit, mit dem Bund ein Konzept für die materielle und personelle Grundausstattung solcher Schulen zu vereinbaren. Der Streit ist in der Großen Koalition rasch beigelegt worden – zur vollen Zufriedenheit der Länder und der KMK, die nun ihre Politik des kleinsten gemeinsamen Nenners weiterbetreiben und die Tabuisierung der Strukturfrage aufrechterhalten könnte, wenn nicht ausgerechnet die Ländervergleichsstudie PISA 2003 - deutlicher als bislang wahrgenommen - zu dem Ergebnis käme: Es gibt trotz des Tabus der Strukturfrage gravierende strukturelle Unterschiede zwischen den Bundesländern, den Süd- und Nordländern und vor allem den West- und Ostländern - mit offensichtlich günstigen, weniger günstigen und ungünstigen Voraussetzung für die seit PISA 2000 in der Öffentlichkeit geforderten Reformen des deutschen Schulsystems. Dabei zeigen die Länder besondere Schwächen und kaum signifikante Fortschritte in ihren Reformbemühungen, die neben dem dreigliedrigen System die Gesamtschule eingeführt haben. Besonders erfolgreich sind hingegen seit PISA 2000 Länder, die neben dem Gymnasium nur noch eine Schulart in der Sekundarstufe I anbieten (Sachsen, Thüringen, Sachsen-Anhalt). (V.Merkelbach: Die Strukturfrage ist längst gestellt. http://user.uni-frankfurt.de/~merkelba/) Wie günstig sind im Ländervergleich Hessens Voraussetzungen für eine nachhaltige Reform seiner Schulen und wie werden sie von den beiden großen Parteien eingeschätzt?
British literature since world war II : a selected bibliography of secundary sources with special reference to drama/theatre and narrative prose (period covered : mid-1940 to 2000). Part I: Integrated alphabetical index. Part II: Specific bibliographies (as to author and subject)
Leseförderung und Lesekompetenz : fachdidaktische und bildungspolitische Aspekte der PISA-Debatte
(2003)
Mit Iain Lawrence’ "Die Tochter des Leuchtturmwärters" schließe ich meine Liste "Romane für Kinder, Jugendliche und junge Erwachsene", die ich seit meiner Verabschiedung in den Ruhestand geführt habe. Das eingeschränkte Arbeitsprogramm, das ich mir noch gönne, enthält inzwischen andere Prioritäten. Mit Befriedigung stelle ich fest, dass das Interesse, spannende und motivierende Gegenwartsliteratur für Kinder, Jungendliche und junge Erwachsene im breiten Angebot der Verlage ausfindig zu machen, unter denen, die in lesepädagogischen und literaturdidaktischen Institutionen arbeiten und publizieren, in den letzten Jahren sehr stark gewachsen ist. Gewachsen sind damit auch die Möglichkeiten, den eingeschränkten Kanon an Schullektüre zu erweitern und ein Fundament an Lesebereitschaft und Leselust zu sichern, das auch für die Entwicklung einer allgemeinen Lesekompetenz besonders wirksam zu sein scheint.