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Einleitung – Satirische Austreibung der Subjektphilosophie der Familie und der Einbruch des Todes – Gefallene Mädchen – Ätherische Zeichen. Clemens Brentanos erster und einziger Roman ‚Godwi oder Das steinerne Bild der Mutter – Ein verwilderter Roman’, weicht von den geläufigen Modellen der Frühromantik, vom Bildungs- und vom Künstlerroman, erheblich und sub-stantiell ab. Nicht einfach ist es allerdings, diese Abweichung literatur- und ideengeschichtlich zu deuten und zu motivieren. Der Roman entsteht im unmit-telbaren Kontext der Jenaer Frühromantik, er erscheint 1800 und 1801, und dieser Bezug bildet bis heute den wichtigsten Deutungsrahmen. Zahlreiche Merkmale wie die Auseinandersetzung mit dem ‚Wilhelm Meister’, die Ironie, Metafiktion und die zahlreichen allegorischen Elemente des Romans sind hier anschließbar. Seine geringe Resonanz im Kreis der Romantiker und die selbst-ironische Distanzierung des Autors – etwa mit dem Wortspiel „Gott, wie schlecht“ – ließen ihn jedoch gerade in diesem Kontext als epigonal und formal mißglückt erscheinen. In der neueren Forschung ist diese Wertung deutlich revidiert worden, und zwar gerade in dem Maß, in dem man seine Differenz zu den Vorbildern zu beschreiben unternahm. Gerade seine konsequente Verweigerung idealistisch-utopischer Synthetisierungen, seien sie natur- oder geschichtsphilosophischer Art, zeigten eine für die Zeit ungewöhnlich radikale philosophische und ästhe-tische Skepsis, die auf Erfahrungen der späteren Moderne vorauszudeuten schien.1 Worauf aber eine solche Skepsis bei einem Autor gründet, der sich mit seinen ersten Werken gerade den Frühromantikern poetisch empfehlen wollte, ist dadurch allerdings keineswegs deutlich geworden ...
De Gryphius à Hallmann, le Trauerspiel, comme forme théâtrale, vit et meurt. Il se crée d’abord en réaction à la crise de légitimité qui affecte le souverain. Si Carolus Stuardus aboutit à une figuration christologique de la royauté, que celle-ci soit étayée ou non par les sources, si Gryphius réaffirme avec force l’identité sacrée du représentant, de manière fort sanglante, la réconciliation du corpus mysticum et du corpus realum, c’est bien que la théorie des Deux Corps du Roi est alors concrètement remise en cause. On sait, grâce à Kantorowicz, qu’elle l’est dans le contexte de la situation politique anglaise, mais on en avait négligé la réalité en Allemagne. Il faut donc soutenir que le Trauerspiel élabore, dans un premier temps, son mode de représentation sur ce point aveugle qu’est l’identité double et quasi schizophrène du monarque – ce que nous avons appelé le double bind –, laquelle entraîne forcément une série de contradictions soumises au regard critique du spectateur. Devant ses yeux, le drame du martyr performe l’emblème qui constitue la souveraineté, rapproche le rex, l’individu royal, du sacerdos, son identité christomimétique qui est menacée la sécularisation de l’absolutisme. L’exemple le plus éclatant en est donné par Carolus Stuardus de Gryphius. Nous avons que, dans les faits, la Révolution anglaise cherche incontestablement à disjoindre les termes de l’allégorie de la double corporalité, à opérer un détournement de celle-ci au profit d’un pouvoir qui n’est plus fondé par un pacte emblématique transcendant qui faisait de Dieu le seul garant du fonctionnement de la souveraineté sacrée. Les Trauerspiele sont donc, avant tout, une réponse aux crises qui remettent en cause l’ordre des choses dans le domaine du politique et le sépare de la théologie. La tragédie baroque silésienne n’est pas une invention, une simple création littéraire tout droit sortie de l’imaginaire de ses auteurs, elle figure une idée du théâtre mettant en relation l’esthétique et la question de la souveraineté, dans la mesure où l’une et l’autre ont partie liée dans l’ordre de la représentation. Dans ce sens, il est possible de comprendre la notion d’origine (Ursprung) telle que l’emploie Benjamin dans le Trauerspielbuch. Il s’agissait donc de le montrer dans un travail propédeutique à la lecture des pièces, travail qui se concentrait sur la question de l’emblème avant d’examiner la transformation du Trauerspiel en genre encadré par des règles implicites. La première partie de notre mémoire a donc contribué à mettre en place les outils d’analyse (« Du texte théorique à la théorie de la représentation »). Tout d’abord spectacle de sang et rituel expiatoire visant à sauver la théologie politique en réunissant de façon violente les Deux Corps du Roi, le Trauerspiel finit en effet par se pacifier en construisant son esthétique sur une série de codes aisément reconnaissables. Nous en arrivions à l’échec du modèle gryphien qui faisait l’objet du premier chapitre de la seconde partie consacrée à l’analyse dramaturgique (« Le sauvetage emblématique précaire du théologico-politique »). Nous y décrivions l’accord tacite conclu au moment de la représentation entre l’auteur, les acteurs et les spectateurs, analogue au pacte emblématique contracté par le souverain médiéval et ses sujets, qui finissait alors par se transformer en simple convention. Les termes du contrat deviennent les topoï qui forment la loi du genre. Aussi, l’emblématique autrefois liée à la vision du monde médiévale se transforme-t-elle en ornement baroque qui sert toutes les causes politiques et derrière lequel se dissimulent les enjeux de pouvoir. La coupure épistémique disjoint le théologique du politique, fait éclater le miroir de la représentation comme l’a montré la lecture spéculaire de Shakespeare. Une fois le règne des analogies terminé, chacun est libre de manipuler les images, qu’il soit poète ou homme de pouvoir, personnage ou spectateur. Nous avions montré cette transformation au deuxième chapitre de l’analyse dramaturgique intitulé « L’élargissement de la perspective politique et scénique ». Partant de constat, l’on pouvait comprendre pourquoi le prince recouvre du voile de l’État ses ambitions d’omnipotence en leur donnant la forme d’un absolutisme tempéré, tandis que le courtisan manipule les emblèmes dans un univers de faux-semblants afin de s’attirer la bienveillance du monarque et de son entourage. Alors que chez Gryphius la performance emblématique tenait à la fois de l’esthétique du théâtre, de son système de représentation, et de son message idéologique, elle se transforme, peu à peu, au cours de l’histoire du Trauerspiel, en numéro d’acteur et en divertissement visuel...
As if to bear out the tenet of this study, the field of black British literature has been transformed enormously over the last ten years or so, while this book was in the making. And for myself, too, this has been a formative process. During this time I’ve been supported, challenged, and encouraged by more colleagues and friends than I can acknowledge here. ...
L’objectif principal de la présente analyse a été de déterminer les similitudes et la concordance idéologiques des poètes Rainer Maria Rilke et René Char. Une comparaison thématique, textuelle et même biographique a alors été possible. En effet, il semble y avoir entre Rainer Maria Rilke et René Char plus de chemins qui secroisent que de voies qui départagent. Le poète de langue allemande et celui de langue française associent une vision du monde et de la poésie profondément analogues. Cecis’explique entre autres pour une très grande partie par le fait que Rilke et Char comptent un même amour et un même intérêt pour des auteurs absolument déterminants. Il a ainsi éte possible de révéler outre Hölderlin et Nietzsche, les noms d’Héraclite, de Baudelaire, de Rimbaud, d’Auguste Rodin, et la liste aurait pu être poursuivie bien au-delà encore… Rilke et Char nourrissent respectivement les mêmes ardeurs pour un art réfléchissant sur lui-même et que l’on peut désormais définir par poésie pensante. L’évocation du philosophe existentialiste Martin Heidegger s’est dans cette perspective doublement imposée, proposant de repenser la poésie notamment rilkéenne sous le signe du Dasein et de l’ontologie du langage, le penseur entretient en parallèle une amitié et un échange spirituels avec René Char. Heidegger voit en la poésie de Char un retour matinal de la présence philosophique et poétique d’Héraclite d’Ephèse. Hölderlin, Rilke et Char rejoignent ainsi le retour de la signification du logos, définitivement moderne. Les oeuvres de Rainer Maria Rilke et de René Char peuvent donc être pensées de la même manière : le Dire profond de leurs poèmes trace un même horizon, il devient site fondamental où le langage de l’être reflète sa propre condition dans sa possibilité de déployer une parole qui témoigne de la relation de l’être avec l’étant. Leurs poèmes offrent ainsi une possibilité méditative au langage, qui désire se découvrir par lui-même, tout en permettant à l’être de retrouver son appartenance originaire au monde alors accueilli dans la dimension de sa parole. La proximité nécessaire au gisement d’une telle parole se trouve ici sans cesse réétablie. La présente étude qui visait ainsi essentiellement à déterminer sous quelle forme et de quelle manière Rainer Maria Rilke et René Char présentent dans leurs oeuvres la source d’un tel dire poétique, expose la nature et les conditions de son jaillissement : les similitudes biographiques des deux poètes sont ici plus qu’évidentes. Rilke et Char partagent effectivement une même approche du monde, leur enfance signifiera origine et puisement d’origine, approche terrienne du verbe et trésor poétique préverbal. L’enfance sera nourriture pour le poème à naître. Mais aussi le péril et la menace auxquels sont exposées la fragilité et la pureté d’une parole qui ne vise jamais à s’établir, sont expérimentés. Les « temps de détresse » hölderliniennes rejoignent ici le « faire sans image »1 de Rilke et « le cycle bas »2 de René Char. Mais le dire poétique est dans son essence un dire multiple et libre, - la parole poétique apporte secours et sens. Le poème naissant, par son combat contre la dépoétisation et le règne d’une parole unidimensionnelle, n’en deviendra que plus déterminé et ciblé encore. Le poème ne réduit pas l’être à la seule fonction d’observer le monde. Le poème chez Rilke et Char va plus loin. Les conditions et la nécessité élucidées et explicités, aussi bien de l’esprit poétique que de l’oeuvre elle-même, nous avons finalement pu nous consacrer à la constellation idéologique et ontologique du verbe poétique, porteur d’un poème par conséquent absolument aérien, libre et profondément réfléchi. Rilke et Char nous proposent alors à travers une même conception de la topologie et de la temporalité du poème, de découvrir un dire matinal, un dire originaire, éternellement vrai par son élan initial que cette parole sait entretenir à la base de son propre gisement et qui lui permet finalement de manifester ce qui demande à apparaître à travers lui. Il a ainsi été possible de démontrer notamment une même philosophie des symboles de la source, du feu et de l’action. L’être poétique se retrouve et se reconnaît dans un chant qui ne l’éloigne jamais de sa source et qui lui permet tout au contraire de s’affirmer à travers lui. Le verbe ne désigne plus le réel, il l’élève à l’espace ouvert de la constellation du poème. Vérité et signification poétique acquièrent une dimension nouvelle. Rainer Maria Rilke et René Char se présentent désormais comme des poètes qui annoncent l’aurore d’un nouvel virement du poétique. À l’image de Friedrich Hölderlin, ils témoignent aujourd’hui de la nuit sacrée que la poésie traverse jusqu’à ce jour encore. Avec Rainer Maria Rilke et René Char, la poésie est sauve. Elle habitera éternellement le site de l’éclosion première du verbe, inscrivant celui-ci dans le cycle matinal de la source,- l’espoir du Dire en poésie semble enfin rétabli.
Schon in den Jahren vor der Veröffentlichung von PISA 2000 wurde von nationalen und internationalen Studien dem deutschen Schulsystem Leistungsschwäche und massive soziale Auslese bescheinigt und über Strukturreformen nachgedacht, die den Schulstreit "hierarchisch gegliedertes System vs. Gesamtschule" entschärfen sollten. Neben einer sechsjährigen Grundschule, wie sie nur in Berlin die Schulreform nach 1945 überlebt hat, wurde auch die Frage erörtert, ob nicht der Streit der politischen Lager zu schlichten wäre, indem man das drei- bzw. viergliedrige System in der Sekundarstufe I auf ein zweigliedriges reduziert, um so vor allem die wachsenden Probleme an Hauptschulen in den Griff zu bekommen. Schließlich war unser Schulsystem ja schon einmal zweigliedrig, als es neben dem Gymnasium, der einstigen "Gelehrtenschule", nur die Volkschule gab, ehe in der zweiten Hälfte des 19.Jahrhundert die Realschule als "Mittelschule" hinzukam und in den 1960er Jahren sozialdemokratisch geführte Landesregierungen die Gesamtschule, zwar nicht in Fläche, aber als vierte Regelschule, durchsetzte. Die Debatte über Zweigliedrigkeit war eine unter Experten, keine öffentliche. Erst die PISA-Studien lenkten die Aufmerksamkeit auf die bereits bestehenden zweigliedrigen Systeme in Sachsen, Sachsen-Anhalt und Thüringen, in Ländern, die nach der Wende nicht bereit waren, die vollständige Anpassung an das Schulsystem im Westen zu vollziehen. Diese drei Länder waren in PISA 2003 die eigentlichen Sieger im innerdeutschen Vergleich, sowohl was das Problem der "Risikogruppe" als auch der sozialen Auslese betraf. Seitdem ist Zweigliedrigkeit ein Thema auch in der öffentlichen Debatte, - verstärkt, wie gesagt, durch die Probleme an der Hauptschule, die von immer weniger Eltern akzeptiert wird, weil sie, mit oder ohne ihren Abschluss, kaum noch eine Perspektive bietet für eine erfolgreiche Bewerbung um einen Ausbildungsplatz. So zwingt das Hauptschulproblem auch unionsregierte Länder, selbst im Süden der Republik, über Strukturveränderungen nachzudenken, und was liegt da näher, wenn man die Gesamtschule bis Ende 10 nicht will, das Gymnasium aber auch in der Sekundarstufe I erhalten möchte, über eine gemeinsame Schule für die Leistungsschwächeren nachzudenken, neben einer Schule für die "Leistungsträger".
Die vorliegende Arbeit befasst sich mit einem spezifischen Phänomen innerhalb der Sprachphilosophie und der linguistischen Pragmatik – den explizit performativen Äußerungen (Austin 1979). Im Zentrum der Arbeit stehen die detaillierte Explikation und der kritische Vergleich zweier prominenter Erklärungsmodelle von Performativen: Einerseits Bach/Harnish’s (1979) Analyse dieser Äußerungen als indirekte Sprechakte, andererseits Searle’s (1989) Behandlung von Performativen als Deklarationen. Die Arbeit gliedert sich wie folgt. Kapitel 1 führt die terminologischen Grundlagen ein und dient der Darstellung des Performativitätsproblems. Kapitel 2 befasst sich mit der Nachzeichnung der Standardisierten Indirektheit von Performativen nach Bach/Harnish (1979) und der Kritik an diesem Modell. Nach einer Einführung in das intentionale Kommunikationsmodell von Grice erfolgt eine Darstellung der allgemeinen Prinzipien von Bach/Harnish’s Kommunikationstheorie, die in expliziter Anlehnung an Grice konzipiert ist. Grundlage für die Behandlung der Analyse expliziter Performative ist vor allem die Darstellung des Speech Act Schema, also des inferentiellen Rasters, das Bach/Harnish sprachlicher Kommunikation zugrunde legen, sowie die Erläuterung der Begriffe der Konventionalisierung und Standardisierung. Die eigentliche Darstellung der Theorie präsentiert zwei unterschiedliche Muster zur inferentiellen Entschlüsselung der indirekten Bedeutung explizit performativer Äußerungen und schließt mit einem Modell, das die beiden Indirektheitsanalysen und Standardisierung integriert. Die Kritik wägt beide Indirektheitsanalysen gegeneinander ab, befasst sich mit der generellen Frage, ob Performative die Eigenschaften indirekter Sprechakte besitzen und untersucht, inwiefern die Annahme des Vollzugs eines assertiven Aktes mit Performativen problematisch ist. Kapitel 3 wendet sich der Searle’schen Deklarationsanalyse performativer Äußerungen zu. Zu Beginn werden die Grundlagen dieses Modells verfügbar gemacht. Dazu wird, neben einem kurzen Überblick über Searle’s Theorie auf dem Stand von „Sprechakte“ (1971), seine Klassifikation illokutionärer Akte detailliert dargestellt. Vor diesem Hintergrund erfolgt die Nachzeichnung des Deklarationsansatzes. In der anschließenden kritischen Betrachtung des Modells wird die Idee der Intentionsmanifestation diskutiert und es wird geprüft ob sich die unterstellte Existenz einer assertiven illokutionären Rolle von Performativen bestätigen lässt. Insbesondere wird schließlich die illokutionäre Kategorie der Deklarationen hinterfragt. Kapitel 4 dient einer vergleichenden Gegenüberstellung der beiden zuvor behandelten Theorien und versucht abzuwägen, welcher Ansatz die Funktion und Eigenschaften explizit performativer Äußerungen besser erfasst. In Kapitel 5 wird der Versuch unternommen, eine alternative Sicht zu entwickeln. Das besondere kommunikative Potential der Klasse der explizit performativen Äußerungen wird dabei mit ihren semantischen und pragmatischen Aspekten in Verbindung gebracht. Auf diese Weise soll ein Ansatz verfolgt werden, der die deskriptive Eigenschaft von Performativen mit ihrer optionalen performativen Verwendung in Beziehung setzt, ohne diese auf eine assertive illokutionäre Rolle zurückführen zu müssen. Kapitel 6 dient einer abschließenden und resümierenden Betrachtung der im Verlauf der Arbeit unternommenen Überlegungen
„Habemus Papam!“ – so schließt Text A und bringt die für Deutschland sensationelle Nachricht, daß ein Deutscher zum Papst gewählt wurde noch einmal mit der entsprechenden rituellen Formel zum Ausdruck. Daß diese Feststellung nicht nur sachlicher Ausdruck für die Tatsache eines Pontifikatswechsel ist, sondern vielmehr einen kirchengeschichtlichen Vorgang mit besonderer Relevanz für die katholische Kirche in Deutschland beschreibt, zeigt sich exemplarisch an den hier analysierten Pressetexten. Während die Texte aus kirchlichen und kirchennahen Medien vor allem dadurch auffallen, daß sie ein gestärktes katholische Selbstbewußtsein ausdrücken, springt bei den Beispielen aus weltlichen Medien hauptsächlich eine neue Offenheit im Umgang mit der katholischen Kirche und ihrer Lehre ins Auge. Die Artikel beider Bereiche betonen auf ihre Weise die emotionalen Aspekte des kirchlichen Lebens. Gleichzeitig thematisieren sie mehr oder weniger intensiv Grundfragen des katholischen bzw. christlichen Glaubens und sind so Beleg dafür, daß sich die Situation der katholischen Kirche in Deutschland durch die Wahl Joseph Ratzingers zum Papst maßgeblich verändert hat. Auch wenn der Umgang der Medien mit der alten „Institution Kirche“ zwischen extrem hoher medialer Aufmerksamkeit im Zusammenhang mit Papst Benedikt XVI. und völliger Mißachtung sonstiger kirchlicher Vorgänge und Themen schwankt, markieren die vorgestellten Texte einen Trend, der zwar nicht auf breiter Front, noch durchgängig zum Tragen kommt, dennoch aber vorhanden ist und neue Berührungspunkte zwischen katholischer Kirche und Medien eröffnet. Dieser Prozeß erscheint eingebettet in die gewachsene Relevanz von Religion und Glaube, so unbestimmt und diffus auch beide in der deutschen Gesellschaft vorhanden sein mögen. Der Pontifikatswechsel hat dazu geführt, daß seit 2005 auch vermehrt katholische bzw. christliche Themen im öffentlichen Diskurs über Religion, Glaube und Spiritualität Beachtung finden und sich stärker gegenüber anderen religiösen und esoterischen Angeboten profilieren können. Anzeichen dafür finden sich mit Blick auf die Medien vor allem auf dem deutschen Buchmarkt. Aber auch die Kirche selbst erfährt Aufwind und scheint trotz weiterhin bestehender Probleme und Schwierigkeiten in einigen Bereichen wieder fester Tritt zu fassen. Papst Benedikt XVI. ist sicher nicht alleiniger Auslöser dieser Entwicklung, seine Wahl und sein Wirken hatten und haben aber offensichtlich katalytische Wirkung und begünstigen einige Ansätze positiv. ...
Worum geht es in dieser Arbeit? Dies ist eine Arbeit über Websites. Darüber, wie sie gelesen und geschrieben werden und wie man das lernen kann. Da es in dieser Arbeit um Lesen, Schreiben und Lernen geht, fließen in sie sowohl Aspekte der Sprachwissenschaft als auch der Sprachdidaktik ein. Was will diese Arbeit? Diese Arbeit hat zwei Ziele, ein sprachwissenschaftliches und ein sprachdidaktisches. In sprachwissenschaftlicher Hinsicht sollen, auf der Grundlage einer gründlichen Analyse seiner Eigenschaften, die Besonderheiten des Lesens und Schreibens im World Wide Web herausgearbeitet werden. Aufbauend auf dieser Analyse sollen im sprachdidaktischen Teil der Arbeit die Kompetenzen ermittelt und in Beziehung zueinander gesetzt werden, die zur Erstellung von Websites notwendig sind. Das so entstehende Kompetenzmodell bildet die Basis für eine zielgerichtete, effektive und evaluierbare Umsetzung der Gestaltung von Websites in der Schule und die Grundlage für weiterführende empirische Arbeiten. Wie ist die Arbeit aufgebaut? Im ersten Kapitel der Arbeit wird die Entwicklung der technischen und strukturellen Formate geschildert, welche die Grundlage des Websiteformats bilden. Darauf aufbauend werden seine wichtigsten Eigenschaften beschrieben. Im zweiten Kapitel wird das Websiteformat von anderen kommunikativen Formaten abgegrenzt und mit Hilfe der besonderen Charakteristika, die es besitzt, sein überwältigender Erfolg erklärt. Im dritten Kapitel wird unter Rückgriff auf Ergebnisse der Leseforschung und empirische Untersuchungen zum Lesen im World Wide Web erarbeitet, welchen Einfluss das Websiteformat auf das Lesen von Texten hat und welche Unterschiede es zum Lesen von Texten in anderen kommunikativen Formaten gibt. Auf dieser Grundlage wird ein Bewertungs- und Analyseraster für die Lesbarkeit von Texten im Websiteformat entwickelt. Im vierten Kapitel wird auf der Grundlage verschiedener Modelle des Schreibprozesses dargestellt, was das Schreiben für das Websiteformat vom Schreiben für andere Formate unterscheidet, was dabei besonders beachtet werden muss und welche Entwicklungen für die Zukunft zu erwarten sind. Dabei werden, unter Berücksichtigung des in Kapitel drei erarbeiteten Bewertungs- und Analyserasters, Hinweise für eine sinnvolle Vorgehensweise bei der Gestaltung von Websites gegeben. Im fünften Kapitel wird vor dem Hintergrund der aktuellen bildungspolitischen Diskussion ein Kompetenzmodell für die Gestaltung von Websites entwickelt, das als Basis für die Festlegung von Bildungsstandards und die Beschreibung der Rahmenbedingungen dient, unter denen diese in der Schule verwirklicht werden können. In einer abschließenden Diskussion werden die wichtigsten Ergebnisse nochmals herausgearbeitet und es wird auf Perspektiven für zukünftige sprachwissenschaftliche und sprachdidaktische Forschungsvorhaben hingewiesen.
Die vorliegende Arbeit beschreibt den ein Jahr lang andauernden Prozess der Entwicklung meiner eigenen Poesiemaschine. Buchrückentext: Wer ist der Hirsch? Und was hat er mit dem Buch zu tun? Der Band dokumentiert auf spielerische Weise den Entstehungsprozess einer außergewöhnlich leistungsfähigen Poesiemaschine. Den drei Versionen dieser Poesiemaschine werden die bildhaften Namen Wurm, Hähnchen und Hirsch gegeben. Inspiriert von Hans Magnus Enzensbergers Einladung zu einem Poesieautomaten wagt sich der Autor «in das Labyrinth» hinein. Nach dem Vorbild der französischen Literaturgruppe Oulipo werden zunächst die Anforderungen an eine Poesiemaschine in formelle, akustische, syntaktische, semantische und kreative Einschränkungen unterteilt. Die Modellierung der syntaktischen und kreativen Aspekte orientiert sich insbesondere an der Installation Poetry Machine des renommierten Medienkünstlers David Link. Neuartig beim Hirsch ist die Verwirklichung phonetischer Algorithmen, die Gedichte mit komplexen Reimen und metrischer Regulierung ermöglichen. Abschließend wirft der Autor einen Blick in die Zukunft. Das Ergebnis stellt eine Goldgrube an Einsichten und Ideen dar für Poesiemaschinen-Entwickler der nächsten Generation. Inhalt: Aus dem Inhalt: «Jenseits der Berechenbarkeit» - Was muss ein Poesie-Erzeuger können? - Gedichtgerüstbau anhand der GGT-Grammatik - Überraschungseffekt - Poesiemaschine Poetry Machine - Carnegie Mellons phonetisches Wörterbuch - WordNet - eine lexikalische Datenbank - POS-Tagger - Syntaktische Formeln mit dem manuellen Tagger - Blocking - Balancing - Phonetischer Beweis - Jenseits des Hirsches (Zukunft der Computerpoesie) - Computing with Words - Stephen Thalers Creativity Machine.