BDSL-Klassifikation: 16.00.00 Jahrhundertwende (1880-1914) > 16.15.00 Zu einzelnen Autoren
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Carl Spitteler ne plaçait pas son travail de feuilletoniste au coeur de son oeuvre. Il serait toutefois erroné de considérer les articles qu'il a écrits notamment pour les "Basler Nachrichten", la "Neue Zürcher Zeitung" et le "Bund" bernois comme de simples exercices. Il y abordait des sujets variés dans des contributions habilement rédigées. Le dénominateur commun de ces proses réside dans un plaidoyer pour l'individu contre le collectif, pour la pratique créative contre la théorie esthétique, voire contre toute école et tout dogme spécifiques. Spitteler ne se reconnaissait pas dans les "-ismes" de son temps et se démarquait nettement de la critique littéraire conservatrice qui l'entourait. La langue de ses essais, de ses critiques et de ses commentaires est claire et précise, c'est pourquoi ils sont encore importants aujourd'hui: en tant que témoignages d'une époque, en tant que réflexion sur la fabrique de l'oeuvre et en tant que morceaux de prose étincelants. Ils existent ainsi indépendamment de leur contexte de rédaction. À l'heure actuelle, aucune édition complète de ces petits écrits n'est disponible et une telle publication serait des plus souhaitables.
L'attitude paradoxale de Spitteler face à la culture littéraire qui est devenue, sous le terme de "Bildung", un marqueur identitaire propre à bourgeoisie allemande, se manifeste particulièrement dans ses travaux de journaliste. Dans ses "feuilletons" littéraires, il promet non sans ironie de ne jamais recourir à des citations, ces pierres précieuses qui ornent les discours de l'époque. Toutefois, ses polémiques présupposent bien d'autre formes de références littéraires auprès de ses lecteurs. Un exemple en est l'engagement de Spitteler lors des commémorations du centenaire de la mort de Schiller en 1905: Il prête sa voix à une statue de Schiller pour attaquer de front le culte contemporain de l'écrivain. La critique de la récupération de la tradition classique est ainsi convertie en créativité nouvelle, et elle devient une pierre angulaire de la collection "Lachende Wahrheiten" avec laquelle le journaliste Spitteler annonce ses propres ambitions littéraires.
Si, dans l'opinion publique, l'oeuvre littéraire de Carl Spitteler a été reléguée au second plan par rapport à ses essais et à ses discours, sa poésie lyrique n'est pas encore reconnue à sa juste valeur. Spitteler lui-même en porte une part de responsabilité, puisqu'il a dévalorisé son oeuvre lyrique en tant qu'étude préliminaire à son oeuvre épique. Contrairement au jugement généralisé selon lequel la poésie de Spitteler ne serait pas lyrique, nous voudrions montrer ici le caractère unique de son oeuvre. Spitteler rejette la 'Erlebnislyrik' romantisante et critique la connaissance éloignée de l'expérience ('Alexanderinertum') en littérature. Ces attitudes se concrétisent dans sa collection "Schmetterlinge" par des représentations exceptionnellement fictives et anthropomorphes de variétés spécifiques de papillons, basées sur une observation botanique minutieuse. Enfin, il convient de souligner la volonté de publier des poèmes selon un principe de collection supérieur. En ce qui concerne les "Schmetterlinge", il est proposé ici d'aborder un plan atmosphérique suivant le plan d'un roman d'artiste.
Cette contribution se consacre à la réception de Spitteler au sud des Alpes. Elle décrit notamment l'intérêt de Severino Filippon - germaniste et traducteur luganais - pour son oeuvre, ainsi que la perception du poète épique de Liestal dans les principaux journaux de la Suisse italienne. Il s'avère que Spitteler jouissait d'une certaine notoriété au Tessin, même s'il était loin d'être perçu de la même manière qu'un Francesco Chiesa. Cela n'était pas uniquement dû à une ignorance au sud des Alpes: dans ce contexte culturel, le massif du Saint-Gothard constituait en effet une fracture bien plus importante pour la Suisse que le "fossé" habituellement décrit.
Carl Spitteler est considéré comme un poète élitiste, détourné du monde et dont les oeuvres ne seraient accessibles qu'à un public spécialisé. L'article soumet ce préjugé à une révision critique en montrant comment Spitteler a reçu avec beaucoup d'enthousiasme la culture du divertissement de son temps et a parfois fourni à ses oeuvres des décors populaires. En particulier, le demi-monde des artistes de cirque et des danseurs de variétés semble avoir fait une grande impression sur le poète du "Printemps olympique".
Le "Printemps olympien" de Spitteler est considéré comme une oeuvre plutôt ennuyeuse dans laquelle la recherche a vu, en partie, une mythologie construite par l'auteur. Cette impression est contredite par le plaisir que procure encore aujourd'hui la lecture de ce texte. Cet article vise à cerner ce "plaisir du texte" en analysant les procédés poétiques de Spitteler. La contribution examine la structure du monde fictionnel et démontre qu'elle ne correspond nullement au modèle mythologique. Dans l'univers du "Printemps olympien", les dieux souffrent comme les humains et sont généralement dépourvus de pouvoirs surnaturels. De plus, Spitteler dissout l'identité des dieux en les dotant de nouveaux attributs par rapport au pré-texte (par exemple les Légendes de l'Antiquité classique de Schwab) ou en les faisant entrer dans de nouvelles constellations. Sa langue non plus ne correspond pas à la conception "classique", puisqu'il mélange le dialecte et la langue standard avec nombre de termes de sa propre création, et il a une prédilection particulière pour les mots composés longs. C'est dans le recours à ces moyens et dans le refus de se contenter d'une simple reproduction de la réalité quotidienne que se manifeste sa modernité.
Cet article offre une lecture queer de deux nouvelles de Carl Spitteler. La lecture queer ne signifie pas la recherche d'identités homosexuelles dans les textes ; une telle lecture serait en contradiction avec l'histoire de "Conrad der Leutnant" et "Die Mädchenfeinde". Les nouvelles suivent un jeune homme ("Conrad") et deux garçons encore adolescents ("Mädchenfeinde") et montrent comment ils apprennent à s'adapter à un rôle masculin préconçu qui implique la formation de couples hétérosexuels. Cependant, la thèse des deux textes est que les personnages féminins auxquels les personnages masculins s'ouvrent émotionnellement ne séduisent pas leurs partenaires avec des "charmes féminins". Les hommes (militaires) ou les garçons (pensionnat), élevés dans des contextes véritablement homosociaux, développent pour les personnages féminins un désir qui reflète leur socialisation masculine. Les personnages masculins tombent amoureux d'"images masculines", ce qui signifie que les séductrices doivent symboliquement abandonner leur rôle de femme afin de paraître désirables aux yeux de Conrad, Gerold et Hansli.
Une lecture détaillée des récits de Carl Spitteler, "Xaver Z'Gilgen", "Die Mädchenfeinde" et "Der Salutist", tout en ayant "Conrad der Leutnant" et "Das Bombardement von Åbo" à l'esprit, révèle la manière dont Spitteler écrit autour des années 1890. Un style narratif objectif (appelé "Darstellung" par l'auteur) remplace l'esprit partisan pour les victimes de la domination. Le narrateur auctorial est abandonné et un récit scénique se développe à sa place. En essayant de suivre la recommandation de l'école d'écriture moderniste "show, don't tell!", Spitteler laisse ses lecteurs sans surveillance. Ils doivent se faire leur propre opinion, ce qui donne à ses récits une pérennité durable.
Zur intensiven Auseinandersetzung der Zeitgenossen mit Spitteler steht die Tatsache in Kontrast, dass seine Texte heute aus dem Kanon verschwunden sind: Weder gehören sie, wie noch in den 1960er Jahren, zur Schullektüre noch sind sie Gegenstand literaturwissenschaftlicher Forschung und Lehre. In den 47 Jahren nach Erscheinen von Werner Stauffachers Biographie 1973 sind sehr wenige literatur- und geschichtswissenschaftliche Studien zu Spitteler entstanden. [...] Die Jahrestagung der Schweizerischen Gesellschaft für Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft 2019 nahm sich im Jubiläumsjahr zum Ziel, Spittelers Werk vor dem Hintergrund gegenwärtiger Debatten und aktueller Theorieansätze zu lesen und die Frage nach der "Aktualität von Spittelers Texten" zu stellen. Mögliche Zugänge schienen z. B. auf folgenden Gebieten denkbar:
1. Debatten über die Literatur der Moderne
2. Rezeption der Populärkultur
3. Literatur und Psychoanalyse
4. Race, Class, Gender
5. Jugendbewegung und Reformpädagogik
6. "Denkraum Basel"
7. Zur Debatte um eine 'Schweizer Nationalliteratur'
8. Politische Stellungnahmen
9. Unbekannte Texte
Der vorliegende Aufsatz verfolgt ein einfaches Ziel. Er möchte zeigen, dass die von der Forschung vernachlässigte Nebenfigur des Bäckermeisters die Pointe von Schnitzlers Monolognovelle "Lieutenant Gustl" vorwegnimmt und damit eine wichtige hermeneutische Funktion erfüllt. Die Interpretation des Textes findet im Handeln der Nebenfigur einen wichtigen Anhaltspunkt, wenn man nach der Pragmatik der Publikationshandlung im historischen Kontext fragt und nach einem Grund für die enorme zeitgenössische Wirkung des Textes sucht. Dabei dient der Innere Monolog als Mittel, das provokante Gedankenexperiment über die Kultur der Ehre, das diesem Text zugrunde liegt, von einem fakultativen Diskussionsbeitrag in eine für die Verfechter der Ehre bedrohliche Vorstellung von großer imaginativer Kraft zu verwandeln. Die Figurenrede des Bäckermeisters impliziert nämlich, was in der realen Welt von Schnitzlers Zeitgenossen auf keinen Fall explizit werden soll, in Gustls (fiktiver) Welt am Ende aber umstandslos praktiziert wird: das Fortbestehen einer ausgehöhlten, nach dem Reglement der Ehre tatsächlich ehrlosen Ehrpraxis.
"Wie kann ich die Čechen differenzieren? In städtische u. ländliche (Machar u. Brezina)?" fragte Hugo von Hofmannsthal unsicher Hermann Bahr, als er den Editionsplan für die "Österreichische Bibliothek" konzipierte. Die Frage mag, was die tschechische Literatur betrifft, etwas naiv erscheinen, sie zeigt jedoch, dass Hofmannsthal zumindest von zwei markanten Vertretern der frühen tschechischen literarischen Moderne eine gewisse Kenntnis besaß. Der Dichter und Feuilletonist Josef Svatopluk Machar (1864–1942) lebte seit 1889 in Wien. Bahr hatte ihn im Juli 1892 kennengelernt und bei der Gründung der Wochenschrift "Die Zeit" mit ihm zusammengearbeitet, und auch nach Bahrs Rückzug von dieser Zeitschrift 1899 fungierte Machar als wichtiges Verbindungsglied zu tschechischen Schriftstellern und Politikern einschließlich T. G. Masaryks. In der deutsch-österreichischen Presse zu Beginn des 20. Jahrhunderts auf Machars Namen zu stoßen, war nicht schwer. Öfters wurden seine Konflikte mit der katholischen Kirche erwähnt, die er mit seinen Feuilletons, Gedichten und Vorträgen provozierte. Zudem war er zum meistübersetzten tschechischen Dichter avanciert. Grund hierfür waren nicht nur die Qualität seines Werkes und seine wachsende Popularität bei tschechischen Lesern - derlei tschechische Schriftsteller ließen sich mehrere finden. Der Hauptgrund bestand vielmehr darin, dass er in Wien lebte und etliche seiner dortigen Freunde ihn übersetzt hatten. Einer von ihnen war Emil Saudek, der Hofmannsthal auf den zweiten der oben genannten tschechischen Dichter, den Symbolisten Otokar Březina, aufmerksam machte. Dieser bislang wenig bekannte Umstand soll im Folgenden beleuchtet werden.
Untersuchungen zur Gattung und Metrik der Dionysos-Dithyrambe "Letzter Wille" von Fr. Nietzsche
(2021)
In diesem Aufsatz wird Nietzsches Dionysos-Dithyrambe "Letzter Wille" im Hinblick auf Charakteristiken der Gattung "Hymne", welcher der Dithyrambus als Untergattung zugerechnet werden kann, analysiert. Zwei Aspekte werden besonders berücksichtigt: Sprachgebärden und Freie Rhythmen. Sprachgebärden der Hymnen konnten hier nicht ermittelt werden. Die metrische Struktur des Gedichts wird im Kontext des lyrischen Werkes Nietzsches besonders nach Begriffen von Moennighoff und Schulz (2007) sowie Bunia (2014) untersucht und auf andere, der Gattung "Hymne" zugeschriebene Elemente bezogen. Dabei werden kompositorische Prozesse von "Letzter Wille", wie die Spiegelung von seinen Teilen, herausgehoben, und seine Beziehung zu anderen Gedichten des Autors kurz betrachtet. Zum Schluss widmet sich die Analyse dem Motiv des Dionysischen bei Nietzsche.
Die Zeit danach vorstellen : Überlebensfiguren bei Goethe, Kleist, Nietzsche und Heiner Müller
(2009)
Multiple Magie : zur Verwandlung psychiatrischen Wissens in
Hofmannsthals "Andreas"-Fragmenten
(2005)
In diesem Aufsatz soll Hugo von Hofmannsthals "Andreas"-Projekt als Überlagerung eines psychiatrischen Diskurses durch einen magischen gelesen werden. Ich verfolge in den Fragmenten die Gedankenfigur der Persönlichkeitsspaltung, wie sie in der französischen und amerikanischen Psychiatrie des ausgehenden 19. und frühen 20. Jahrhunderts erarbeitet wurde, und versuche, deren Überschreibung durch Theoreme aus der natürlichen Magie bzw. deren Reformulierungen durch die Rosenkreuzer-Bewegung des 20. Jahrhunderts zu rekonstruieren. Diese Überlagerung, so meine These, ist als eine starke Aneignung der beiden Wissens-Formationen auf dem Boden der Klassischen Moderne zu verstehen: Beschrieben wird eine Transformation, der sowohl die Position eines eximierten Magiers/Psychotherapeuten wie auch die eines in sich geschlossenen metaphysischen bzw. therapeutischen Systems zum Opfer fallen.
Global national? : Theodor Fontanes "Effi Briest" und die zeitgenössische 'Kolonialliteratur'
(2019)
Wenn ein Roman des 19. Jahrhunderts im Vielvölkereck Pommerns spielt, wo sich eine globale Stadtgemeinschaft trifft, Dänemark und Schweden nur eine Bootsfahrt entfernt liegen, eine Hochzeitsreise quer durch Italien führt und ein chinesischer Seefahrer nach Osten weist, dann wären eigentlich alle Voraussetzungen für eine Interpretation unter 'weltliterarischen' Vorzeichen gegeben. Man wäre geneigt, Deutungsmuster der 'histoire croisée', der Transferstudien und des globalen Literaturaustauschs in Anschlag zu bringen. Doch der Roman, von dem die Rede ist, Theodor Fontanes "Effi Briest" (1894/95), verweist auch auf das Gegenteil: auf ein Plot aus der preußischen Adelsgesellschaft, anti-polnische und antisemitische Affekte, globale Ignoranz und imperialistische Projektionen, koloniale Bilder, Geschichten und Gesten. Gerade am Beispiel des wohl bekanntesten Romans von Fontane, der in hohem Maße kanonische Geltung erlangt hat, lassen sich Ambivalenzen der zeitgenössischen Literatur herausarbeiten. Ist das Globale hier zwar angedeutet, aber doch weitgehend national wahrgenommen und dargestellt?
Anhand eines literarischen Textes – Karl Mays "Der Schatz im Silbersee" – möchte ich versuchen, den Zusammenhang, der zwischen lexikalischen Mitteln auf der einen und exotischen Wirkungsweisen auf der anderen Seite besteht, zu beschreiben und zu erklären. Demnach soll das Hauptaugenmerk auf der Lexik, den Einheiten des Wortschatzes, liegen. […] Zentrale lexikologische Fragen sind also: Welche lexikalischen Mittel werden im „Schatz im Silbersee“ eingesetzt, um eine exotische Wirkung hervorzurufen? Warum nehmen wir sie auch tatsächlich als exotisch wahr? Wodurch unterscheiden sie sich von nichtexotischem Sprachmaterial?
Die Tatsache, dass die Verbindung der phantastischen Literatur und des Lachens in der deutschsprachigen Literatur einen wichtigen Stellenwert besitzt, belegen manche Werke der eruierten Autoren der phantastischen Literatur wie Gustav Meyrink, Alfred Kubin, Hans Heinz Ewers, Karl Hans Strobl oder Hans Watzlik. So ist diese eigenartige Mischung z.B. für das Frühwerk Gustav Meyrinks kennzeichnend. Seine frühe Kurzprosa hebt sich von seinen späteren Romanen v. a. durch die Neigung zum Humor und zur Ironie ab. Die Eigenart der frühen Erzählungen, die in den Bänden „Der heiße Soldat und andere Geschichten“ (1903), „Das Wachsfigurenkabinett“ (1907) und „Des deutschen Spießers Wunderhorn“ (1913) erschienen, beruht infolgedessen auf der Verschmelzung der Gattung der Schauergeschichte oder der okkultistischen Geschichte und des Humors.
Hans Castorp auf der Umlaufbahn : über die Personenkonstellation in Thomas Manns "Der Zauberberg"
(2008)
Pluto ist kein Planet mehr. Nach der neuesten Entscheidung existiert wieder eine Planeteneinteilung in unserem Sonnensystem, die der Situation zur Entstehungszeit von Thomas Manns Zauberberg, als der Pluto noch nicht entdeckt war, entspricht. Die Erde hat ihre alten sieben Begleiter wieder. Die Zahl sieben ist im Zauberberg von übergeordneter Bedeutung, so daß es nicht zu sehr verwundern kann, die sieben Götter, die mit den Planetennamen verbunden sind, hier wiederzufinden. Mit diesem Text soll gezeigt werden, daß die sieben Hauptfiguren, die sich mit Hans Castorp zusammen auf dem Zauberberg aufhalten, mit diesen Götterfiguren korrelieren. Dabei soll es selbstverstandlich nicht um eine monokausale Betrachtungsweise des Zauberbergs gehen, sondern um eine ergänzende Studie und einen weiteren Interpretationsansatz dieses überaus vielschichtigen Werks.
Von [den] Tatsächlichkeiten der Mediengesellschaft ausgehend, läßt sich rückblickend beobachten, wie in den klassischen Ehebruchsromanen die mediale Konstruktion und Reproduktion durch Geschriebenes und Gedrucktes, durch Gelesenes, Gesehenes und Gehörtes, durch Brief, Buch, Malerei und Musik wirksam waren. Insbesondere dann, wenn eben diese reproduktive und generative 'dritte Kraft' der "Medien" die einschlägigen Narrative nicht nur "transferiert", sondern in sie "interveniert": einbricht in die Liebes- und Verratsgeschichten […].
Der Briefwechsel [zwischen Mann und Adorno] bietet […] im Kontext der Adornoschen Ästhetik sowie später Erzählungen und Romane Thomas Manns eine hervorragende Möglichkeit, die Arbeit am Spätwerk nachzuvollziehen und als Auseinandersetzung mit dem Alter zu diskutieren. Insbesondere erlauben es die umstrittene Erzählung "Die Betrogene" (1952) und Adornos diesbezügliche Interpretation, die Konstellation von Alter, ästhetischer Theorie und literarischem Schreiben zu diskutieren.