300 Sozialwissenschaften
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Lettres d'Anton Pannekoek
(1976)
Marco Revelli, un des acteurs de l’occupation de l’université de Turin en 1967, est aujourd’hui professeur de sciences politiques de cette même université. Il a publié de nombreux livres et textes sur le fordisme et le post-fordisme. Cet entretien a été réalisé à l’automne 1997 par Dario Azzellini pour la revue berlinoise Arranca ! : la revendication du revenu garanti ne pouvant se comprendre qu’à la lumière des mécanismes du marché du travail, il nous a semblé important de publier cette description claire, rapide et jusqu’à présent inédite en français, des tendances actuelles liées à la phase post-fordiste - entre autres choses, la centralité toujours plus forte du précariat et la faillite nécessaire des institutions syndicales. Propos traduits par Irène Bonnaud. ...
Ce manuel traite, du point de vue des femmes, des enjeux liés à l’entrée des pays africains dans la société de l’information. Il présente, à l’intention des décideurs et acteurs publics, civils et privés, un plaidoyer sur la prise en compte du genre dans les politiques de TIC pour une société africaine de l’information juste, plurielle et inclusive.
Au moment où l’Afrique en général, et le Ghana, en particulier, s’apprêtent à célébrer le centenaire de la naissance d’un des grands hommes politiques de l’Afrique contemporaine, je voudrais, en réponse à mon fils, examiner ces questions : quelle réception peut-on faire aujourd’hui du panafricanisme ? Que sont devenus les grands idéologues de ce mouvement ? L’Afrique a-t-elle encore une chance de rayonner un jour ? Chacun peut continuer la liste des questions. Comme chacun sait, du moins, je suppose, Kwame Nkrumah est né le 21 septembre 1909 et est incontestablement une des figures centrales du panafricanisme. Pendant que j’étais en train de parcourir un journal, mon fils me demande après avoir lu le mot « panafricanisme » : « Qu’est-ce que le panafricanisme ? » Ce terme échappe à toute définition évidente, je veux dire claire, nette et précise. Lors du 7ème congrès de ce mouvement panafricain réuni à Kampala, en Ouganda en 1994, les congressistes n’ont pu livrer une définition univoque. « Deux tendances [se sont affrontées] : celle inspirée de Kwame Nkrumah et des luttes de libération anti-impérialistes, l’autre, plus modérée, prônant une relation ‘’amicale’’ avec l’Occident ». Pour ma part, ne laissant place à aucune ambiguïté je choisirai naturellement la première, non sans relativiser l’importance accordée à l’anti- impérialisme. L’Afrique ne souffre plus du colonialisme mais de ses propres fils. (...) Le panafricanisme de Nkrumah et ses amis est « mort » et notre Afrique contemporaine continue de le tuer. Pour mieux te faire comprendre ce que je veux te dire, je voudrais que tu suives avec moi 3 idées fortes qui vont peut-être te convaincre ou te dégoûter, peu importe. -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
L’école de Frankfort abandonne progressivement les thèses de la philosophie de l’Histoire, dont l’acceptation fournissait une espèce de fondement pour la théorie critique, dans la mesure où l’on pouvait croire aux contenus émancipateurs de la raison inclus au sein même des idées de la société bourgeoise. Nous essayerons de montrer cequi est oublié dans les thèses de la philosophie de l’Histoire à partir de la dialectique du maître et de l’esclave de Hegel, et donc, pourquoi de telles thèses se sont montrées insuffisantes. Enfin, nous chercherons à démontrer que la figure théorique opposée aux thèses de la philosophie de l’Histoire se retrouve dans Über den Begriff der Geschichte de Benjamin. De plus, la récupération d’un tel fondement oublié dans les thèses de la philosophie de l’Histoire détermine, vraisemblablement, la considération morale de la théorie critique habermasienne.