910 Geografie, Reisen
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Menschliche Körper und Räume sind wechselseitig aufeinander bezogen und sehr ähnlichen gesellschaftlichen Konstitutionsbedingungen unterworfen. Dessen ungeachtet wurde der Körper mit seinen Bedeutungen für die Konstruktion und Aneignung von Räumen in der Geographie bisher kaum thematisiert. Dieser Beitrag widmet sich aus feministisch-poststrukturalistischer Perspektive dem dynamischen Wechselverhältnis von Körpern und Räumen. Besonders hervorgehoben werden dabei die Bedeutungen von Fremd- und Eigenwahrnehmung für vielfältige Raumaneignungsstrategien. Damit wird zugleich ein theoretischer Ansatz zur Diskussion gestellt, der neue Betrachtungs- und Analyseebenen eröffnet.
Raum und räumliche Beziehungen sind Konstrukte. Sicht-, Denk- und Interpretationsweisen wirken aus dem Hintergrund der aktuellen und historisch gewachsenen gesellschaftlichen Verhältnisse auf die Herstellung nicht zuletzt sprachlich konstruierter Wirklichkeiten ein. In diesem Beitrag werden die Grundzüge von Poststrukturalismus und Postmodernismus skizziert und das vorliegende Heft in seinem Stellenwert für die (Human-) Geographie begründet. Desweiteren wird in die einzelnen Beiträge des Heftes eingeführt.
Nach der Wiedervereinigung der beiden deutschenStaaten im Jahr 1990 wurde in den neuen Bundesländern der weitgehend verstaatlichte Grund undBoden in Privateigentum zurücküberführt. Da in derDDR eine Wiedergutmachung nationalsozialistischenUnrechts weitgehend ausgeblieben war, wurde dieRestitutionsregelung auf die Eigentumsentziehungenbis 1933 ausgedehnt.Die wenig erforschte «Arisierung» des Grundeigentums während des Nationalsozialismus gewann damitan erneuter Aktualität. Die «Arisierung» als Teilder nationalsozialistischen Judenverfolgung bedeuteteeine vollständige Verdrängung der Juden aus der Wirtschaft und damit auch aus dem Immobilienbereich.Das Ergebnis der «Arisierung» war «eine der grösstenBesitzumschichtungen der Neuzeit».Ziel des Artikels ist es, einen Überblick über die rechtlichen Regelungen und den Ablauf der «Arisierung»des Grundeigentums zu geben und mit einer Fallstudiediesen Prozess für ein konkretes Quartier im OstteilBerlins darzustellen.
Depuis l’indépendance du Burkina Faso et une nouvelle fois après la révolution, plusieurs ébauches pour réformer les lois nationales sur la terre ont échoué (pour passer du droit foncier coutumier à une tenure individuelle et codifiée). Même dans les environs de la boucle du Mouhoun, notre zone d’étude, comme dans d’autres régions rurales du Burkina Faso, des réformes n’ont pu prendre pied. Face à l’échec des tentatives de gestion étatique du foncier, une meilleure compréhension des systèmes fonciers coutumiers est nécessaire. A l’aide d’exemples historiques et des conflits fonciers récents tirés de l’histoire du peuplement régional, la logique et les mécanismes de régulation politiques et sociaux de distribution des terres sont documentés et analysés dans cet article.
L’histoire du peuplement demeure au Burkina Faso un sujet de préoccupation pour les historiens. Les mouvements migratoires et la mise en place des différents groupes ethniques restent très peu précis même pour les populations les mieux connues (Moose, Peul, Gulmanceba). Les limites des données historiques conduisent à l’utilisation de légendes pour expliquer les origines des formations sociales. La légende de la princesse Yennega fonde l’histoire des Moose; celle de Diaba Lompo, l’ancêtre eponyme descendu du ciel avec son cheval à Lompotangou constitue la base des dynasties du pays gulmance selon encore la légende. La séparation entre les Sana et leurs cousins Bisana serait intervenue pour une tête de chien. L’histoire du peuplement des populations à organisation lignagère comme le groupe dagara est encore plus difficile à établir. Il faut en effet, collecter les données sur les mouvements migratoires de chaque lignage pour espérer cerner les origines des familles respectives.
Dans la géographie linguistique et culturelle de l’Afrique de l’Ouest le monde mandé est situé dans la partie Ouest du continent avec son point capital au cours supérieur du Niger. Au Burkina Faso, les groupes mandés ne sont qu’une petite minorité. Vu de tous ces deux coté, le Mandé au Burkina Faso semble donc être un sujet marginal: avec le Burkina se trouvant au bord du monde mandé et avec les groupes mandés étant une minorité dans les sociétés burkinabé. Donc, pourquoi est-ce que nous avons quand même posé les groupes mandés du Burkina Faso au milieu d’un projet pluridisciplinaire et pourquoi est-ce que nous tendons à présenter ici nos élaborations sur ces groupes?
Pendants les années 1997 et 1998, un groupe des chercheurs de SFB 268 a effectué, dans la région de l’Atakora, des recherches botaniques, ethnologiques et géographiques concernant l’histoire du peuplement. Les travaux étaient concentrés sur la partie ouest de la région, c’est-à-dire le triangle Boukombé, Natitingou, Toucountouna. En résultat, il est possible aujourd’hui de faire une chronologie relative à l’histoire du peuplement dans cette région. En contraire, il manque toujours une chronologie absolue, pour cela il faut encore des recherches approfondies. Pourtant nous allons proposer, dans le cours de cette contribution, des hypothèses montrant le cadre, dans lequel une périodisation peut être possible.
Interdépendance du potentiel d'exploitation et la structure d'habitat dans la région de l'Atakora
(2000)
Le département de l’Atakora est une région très contrastée et jusqu’à présent très peu explorée. Son élément le plus saillant est la Chaîne de l’Atakora, une des rares élévations montagneuses de cette partie de l’Afrique occidentale. Le haut-plateau de l’Atakora est caractérisé par une densité de la population relativement basse, comparée au reste de la région, et une végétation variée, qui est jusqu’à présent extrêmement mal connu. Il contraste fortement avec son piémont à l’ouest de la chaîne qui est très densément peuplé et exploité de manière intensive. Notre recherche a été consacrée à la question de savoir si ce sont des facteurs dépendant du géopotentiel ou plutôt des données socio-économiques qui sont responsables pour la disparité actuelle de ce paysage. Partant de l’hypothèse que non seulement les conditions socio-économiques mais aussi les conditions naturelles sont beaucoup plus favorables dans le piémont que sur le plateau, nous avons - par une approche interdisciplinaire - effectué une analyse et une évaluation de ces facteurs. Des méthodes de la télédétection, de la pédologie, de la botanique et de la géographie agraire ont été employées.