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SOMMAIRE EXERGUE……………………………………………………………………2 DEDICACES…………………………………………………………………3 GRATITUDES……………………………………………………………….4 SOMMAIRE………………………………………………………………… 5 INTRODUCTION………………………………………………………….6 O. HISTORIOGRAPHIE…………………………………………………….7 O.1. FORMULATION ET DELIMITATION DU SUJET…………………..8 O.2. INTERET DU SUJET…………………………………………………..9 O.3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DE RECHERCHE…………..10 O.4. CADRE METHODOLOGIQUE……………………………………… 11 PREMIERE PARTIE : LA POETIQUE DU MIRAGE……………… 12 CHAPITRE I : LE CONTEXTE RURAL………………………… 13 · LA VIE AU VILLAGE : QUOTIDIEN DIFFICILE…13, 14 CHAPITRE II : L’ IMMIGRATION………………………………….15 2.1. LE RETOUR DE L’IMMIGRE AU PAYS NATAL 15,16 2.2. LE REVE…………………………………………… 16,17 2.3. MADICKE……………………………………………… 17 DEUXIEME PARTIE : ESSAI DE DECONSTRUCTION DU MYTHE DU MIRAGE……………………………………………………………………18 CHAPITRE III : L’IMMIGRATION EN QUESTION…………………19 3.1. LA DEMYSTIFICATION DE L’OCCIDENT…………19,20 3.2. LA SITUATION DE L’IMMIGRE EN FRANCE…20, 21,22 CONCLUSION……………………………………………………………23,24 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………25,26,27,28 -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Só me resta dizer que se estivesse diante de meu pai, dir-lhe-ia que o grande mérito de Agostinho Neto não foi o de produzir poesia de qualidade, já que os seus textos não ultrapassam o nível sofrível, mas o facto de ele ter dado à sua mensagem uma estrutura poética a fim de fazer vingar o seu projecto político-ideológico, que culminou com a independência do país aos 11 de Novembro de 1975 e é nesta perspectiva que Neto terá de ser recordado, ou seja, como o Fundador da Nação Angolana, porque os seus poemas estão muito aquém do que se poderia considerar uma verdadeira obra de arte.
Was aus dem Mädchen geworden ist. Kleine Archäologie eines Gelegenheitstextes von Anna Seghers
(1997)
(...)[Jochen Vogt sieht] in der autobiographischen Skizze 'Zwei Denkmäler' von 1965 ein Prosastück von dichterischem Rang, bei aller Kürze von hoher thematischer und struktureller Komplexität, gewissermaßen einen "Gelegenheitstext" - mit allen goetheschen Anklängen des Begriffs; einen Schlüsseltext, der zentrale Seghersche Motive anspricht (oder durch Verschweigen deutlich macht) und deshalb auch als Einladung zur Entdeckung dieser Autorin und zur Lektüre ihres Erzählwerks genutzt werden kann. Diese (...) Einschätzung (...) untermauer[t Jochen Vogt], indem (...) [er] den Text zunächst einem kleinen narratologischen Exerzitium (I) unterzieh[t], um seine Erzählstrategie zu verdeutlichen, sodann einige lebens- und werkgeschichtliche Kontexte (II-V) zu klären such[t], die für die Textkonstitution wichtig sind, und aus diesen Beobachtungen schließlich eine These zur Interpretation (VI) und einige weiterführende Überlegungen (VII) entwickl[t].
Following on the ADEA/APNET study on inter-African Book trade that was commissioned in 1999, ADEA tasked APNET to facilitate the production of national book industry updates in each country. The updates are aimed at encouraging commercial development of inter-African book trade and to make available to the public, total systematic and current situations on the book trade in each country.
Der 1969 im Gedichtband “Die Innenwelt der Außenwelt der Innenwelt” veröffentlichte Text “Die drei Lesungen des Gesetzes” entstand zu einem geschichtlich bedeutungsvollen Zeitpunkt: 1968, in der Zeit der Studentenunruhen, am Höhepunkt der kulturrevolutionären Bewegung, die in Deutschland an den Grundfesten der Wohlstands- und Konsumgesellschaft der restaurativen Adenauer- und Postadenauerära rüttelte und den ersten entscheidenden Regierungswechsel seit 1949 herbeiführte. (...) Die “Drei Lesungen des Gesetzes” zeigen (...) modellhaft, wie die Propagierung von Ideologie und die Beschränkung individueller Freiheit in einem reaktionären Staat, der sich aber den Anschein der Demokratie und der Legalität bewahren will, vor sich geht. Die ideologische Botschaft, so macht Handkes Spiel mit dem Gesetzestext deutlich, wird im obrigkeitlichen Diskurs durch Sätze vermittelt, die denen des Gesetzes nachgebildet sind.
Au nombre de ces littératures d'Afrique subsaharienne, il y a la littérature gabonaise. Cependant, par rapport aux autres littératures d'Afrique subsaharienne francophone qui sont plus connues, la littérature gabonaise souffre encore d'un manque de visibilité et d'auteurs de renommée internationale. Et pourtant, il y a dans ce pays une vie et surtout une pratique de la littérature où les genres littéraires ont réussi à s'imposer. Nous donnerons d'abord un aperçu des premières écritures au Gabon; puis, à partir de cinq genres majeurs de la littérature gabonaise bien identifiés, à savoir le théâtre, l'essai, la nouvelle, le roman et la poésie, nous étudierons leur parcours général et leur évolution, depuis les premières publications jusqu'à celles de nos jours.
L’année académique 2003-2004 a été, s’il faut le dire, celle de la sortie officielle et du lancement des activités scientifiques du Centre d’Études en Littérature Gabonaise (CELIG). La tâche première fut celle de la mise en place d’un Conseil de direction du Centre, conformément aux règles en vigueur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université Omar Bongo de Libreville. Cinq postes furent donc créés, et l’équipe se mit au travail aussitôt. Par cet acte, notre jeune Centre entrait dans le juron des centres de recherches et laboratoires de recherche reconnus par l’Université. ...
La situation de la littérature au Gabon a souvent suscité nombre d’interrogations. Généralement perçue comme une littérature nationale jeune, elle ne fait pas pour autant l’économie des débats scientifiques de l’heure sur la littérature en tant qu’institution. Au niveau national, la critique ne l’a pas épargnée. Par rapport à la qualité d’écriture de certaines de ses œuvres, celle-ci a vite réagi. Luc Ngowet, essayiste et critique gabonais, n’a pas tardé à fustiger ce manquement majeur à travers un titre révélateur : « littérature gabonaise : un renouveau en trompe-l’œil. » Magloire Ambourhouët-Bigmann, universitaire et critique gabonais, traduit à son tour cette situation : « La littérature gabonaise suscite toujours d’embarrassantes interrogations : "Existe-t-elle vraiment ?", "Quels sont ses auteurs ?" - silences embarrassés... Même la petite minorité de Gabonais ne doutant pas de la "réalité" de sa littérature la connaît mal. » Mais au delà du livre qui constitue l’élément de base d’une littérature, se constituent autour de celui-ci un ensemble d’acteurs dont les enjeux politiques sont différents les uns des autres. L’analyse sociocritique de la littérature gabonaise envisagée ici, intéresse autant que faire se peut les questions inhérentes aux politiques des acteurs sociaux non écrivains qui, dans leur interaction, se construisent autour de l’œuvre publiée ; c’est-à-dire en amont et en aval de celle-ci. L’autre intérêt soulevé par cette question est le comment s’institutionnalise la littérature au Gabon. Ce que le qualificatif "sociocritique", adjoint au substantif "analyse", nomme ici, c’est en effet, une des tendances ou visions de la sociocritique. Comme le dit Isabelle Tournier : « L’extension internationale de la ou des sociocritique(s) rassemble sous ce terme plusieurs tendances ou écoles, les unes proches de la sociologie de la littérature (Jacques Dubois), d’autres issues de l’analyse des discours (Marc Angenot, Antonio Gómez-Moriana, Régine Robin), d’autres plus préoccupées des fondements d’une sociologie plus littéraire (Pierre Zima), [...]. » C’est la première tendance, celle théorisée par Jacques Dubois, qui va retenir notre attention dans la présente étude. Pour amorcer notre analyse sociocritique de la littérature gabonaise, nous donnerons d’abord un éclairage sur la question de l’institution littéraire envisagée par Jacques Dubois et Jòzef Kwaterko , auteurs de travaux inauguraux sur la question ; puis nous nous intéresserons aux acteurs institutionnels en présence et aux enjeux politiques.
Dans sa biographie parue dans Anthologie de la littérature gabonaise (1976), les co-auteurs Yvonne Léyimangoye et Blaise Nicolas écriront : « il est très tôt initié à la tradition par son père, réputé pour sa connaissance des Sciences sacrées. […]. il apprend auprès de Zuè-Nguéma, Eko Bikoro et Edou Ada l’art de jouer du Mvett. […]. Ecrire le Mvett a été pour lui une manière d’apporter sa contribution à la culture universelle.» (p. 35). L’oeuvre de Tsira Ndong Ndoutoume ne se circonscrit pas uniquement au Mvett. Passionné d’écriture, c’est lui qui publie en 1944 l’une des premières nouvelles de la littérature gabonaise : Que les pieds voyagent afin que les yeux voient. En 1970, avec le tome 1 du Mvett, il est le deuxième gabonais, après André Raponda-Walker, à publier une oeuvre littéraire dans la prestigieuse maison d’édition Présence Africaine.
Mehrere Werke Christian Boltanskis zitieren das Arrangement der Photowand mit den Bildern von Familienangehörigen. Ein Beispiel dafür ist die Installation "Album de photos de la famille D. entre 1939 et 1964" (1971): Rund 180 Schwarzweiß-Familienaufnahmen aus dem Besitz von Boltanskis Freund Marcel Durand wurden abphotographiert, geordnet und ohne Kommentar aufgehängt. Doch wer diese Installation betrachtet, kennt – anders als die korsischen Trauernden in der Gesellschaft ihrer photographierten Ahnen-Gespenster – die dargestellten Personen nicht. Sie haben für uns keine Namen, keinen Status, keine Geschichten. Die Installation steht metaphorisch für ein beliebiges Familien-Gedächtnis, hat eben darum aber keine memoriale Kraft. In einem Selbstkommentar bekräftigt der Künstler, dass es ihm nicht darum ging, einer bestimmten Familie ein Denkmal zu errichten, die Gesichter bestimmter Personen aus der Vergangenheit in die Gegenwart ›blicken‹ zu lassen. Im Gegenteil stehe hier eine Familienphotosammlung für alle möglichen anderen, und Voraussetzung dafür sei die Unbestimmtheit der Abgebildeten: »Warum es gerade dieses Album sein musste? Durand ist ein echter Franzose, trägt den geläufigsten Namen Frankreichs und hat eine total normale Kindheit erlebt – anscheinend. Natürlich hätte ich auch mein eigenes Fotoalbum nehmen können. Aber das wäre viel zu speziell gewesen. Deshalb habe ich ein völlig austauschbares Album ausgewählt.«
Um die Vorwürfe zu entkräften, die gegen sein Stück Der Müll, die Stadt und der Tod erhoben wurden, gab Rainer Werner Fassbinder folgende Inhaltsangabe: "Die Stadt läßt die vermeintlich notwendige Dreckarbeit von einem, und das ist besonders infam, tabuisierten Juden tun, und die Juden sind seit 1945 in Deutschland tabuisiert, was am Ende zurückschlagen muß, denn Tabus, darüber sind sich doch wohl alle einig, führen dazu, daß das Tabuisierte, Dunkle, Geheimnisvolle Angst macht und endlich Gegner findet." Fassbinder äußert sich hier, als hätte er ein Stück im Stil von Brechts Rund und Spitzköpfen geschrieben. Doch gerade er hat dem Dunklen, Geheimnisvollen, Angstmachenden, das er vom Tabu ausgehen sieht, selbständige Gestalt erst gegeben, als er die Figur des "reichen Juden" in den Mittelpunkt seines Stücks rückte. "Dieser Jude", sagt Fassbinder, "ist reich, ist Häusermakler, trägt dazu bei, die Städte zuungunsten der Menschen zu verändern; er führt aber letztlich doch nur Dinge aus, die von anderen zwar konzipiert wurden, aber deren Verwirklichung man konsequent einem überläßt, der durch Tabuisierung unangreifbar scheint." Während die anderen, die Mächtigen der Stadtverwaltung, mit der "Dreckarbeit" jeweils einen Zweck verfolgen, führt der Jude sie um ihrer selbst willen aus. Davon handeln seine Monologe: "Es muß mir egal sein, ob Kinder weinen, ob Alte, Gebrechliche leiden. Es muß mir egal sein. Und das Wutgeheul mancher, das überhör ich ganz einfach. Was soll ich auch sonst. [...] Soll meine Seele geradestehen für die Beschlüsse anderer, die ich nur ausführe mit dem Profit, den ich brauche, um mir das leisten zu können, was ich brauche. Was brauch ich? Brauche, brauche – seltsam, wenn man ein Wort ganz oft sagt, verliert es den Sinn, den es ohnehin nur zufällig hat. Die Stadt braucht den skrupellosen Geschäftsmann, der ihr ermöglicht sich zu verändern. Sie hat ihn gefälligst zu schützen." (S. 681). ...
Gegenstand der Erzählung ist unbestreitbar die Figur Lenz. Dies findet seinen Beleg im Umstand der ständigen und ausschließlichen Aufmerksamkeit, die der Erzähler ihm vom ersten bis zum letzten Satz des Textes zukommen läßt. "Lenz" bedeutet dabei das, was dieser Figur widerfährt, und das ist: daß Lenz wahnsinnig wird. Die Erzählung stellt den Ausbruch seines Wahnsinns als eine Entwicklung dar, in der folgende drei Phasen zu unterscheiden sind. ...
Das nur mehr in einem einzigen Exemplar existente und 1904 von V. Manheimer erstmals wieder neu herausgegebene Buch "Sonnete" ist die erste Veröffentlichung deutschsprachiger Lyrik des gerade zwanzigjährigen Andreas Gryphius (1616-1664). Die heute gebräuchliche Bezeichung als "Lissaer Sonette" verdankt sich ihrer durch die Not gebotenen Drucklegung im polnischen Lissa Anfang 1637. ...
Johann Christoph Gottscheds (1700-1766) Definition der Komödie findet sich in seinem poetologischen Hauptwerk, dem "Versuch einer critischen Dichtkunst vor die Deutschen" (CD). Es hatte mit seinem ersten Erscheinen 1730 bis zu dem im Jahre 1751 insgesamt vier Auflagen – eine für die damalige Zeit und in Anbetracht des Gegenstandes gewaltige Resonanz. Setzt man das 18. Jhd. einmal naiv als dasjenige der Aufklärung voraus, legt allein diese Verbreitung die Vermutung nahe, es müsse sich bei der CD um ein aufklärerisches Werk handeln. Und rechnet man sonstige Werke und Betätigungen Gottscheds hinzu, die allgemein als eindeutig von aufklärerischem Geist getragen gelten, so ist die Vermutung längst zur Gewißheit geworden. Das jedenfalls bei der sicherlich überwiegenden Anzahl von epochal deutenden Interpretationen.
Gleichwohl finden sich zum einen Gegenstimmen, zum anderen bei der genannten herrschenden Richtung Widersprüche. Deswegen soll hier das Problem des Verhältnisses der CD zur Aufklärung noch einmal behandelt, und zwar anhand Gottscheds Komödienbegriff. In Teil A wird er unter Rekurrierung auf die allgemeinpoetischen Grundzüge der CD erläutert, und zwar vornehmlich im Hinblick auf seine Zweckbestimmung. Anhand ihrer wird in Teil B die Auseinandersetzung mit der Aufklärung geführt, indem die abstrakt in Frage kommenden Verhältnismöglichkeiten der Reihe nach getestet werden. Das Ergebnis bringt schließlich Teil C.
"Hegels philosophische Entwicklung in seiner Jenaer Zeit bildet eine eigene Epoche innerhalb seines Denkens, die durch eine rapide Folge von einander ablösenden systematischen Entwürfen gekennzeichnet ist". Die Illustration eines kleinen Schrittes dieser Entwicklung soll in der vorliegenden Arbeit für die Philosophie des Geistes erfolgen. Es wird zuerst (I.) die Fassung von 1805/06 relativ ausführlich dargestellt, um anschließend (II.) in einem Vergleich mit der Geistphilosophie von 1803/04 die Motive anzudeuten, die zu ihrer veränderten Abfassung geführt haben dürften. Gegenstand der Arbeit sind so allein diese beiden Textgruppen. Die Miteinbeziehung weiterer Bezüge zu vorangehenden und nachfolgenden Werken Hegels sowie übergreifend Betrachtungen zum jeweiligen Systemganzen – denn die Geistphilosophie ist ja Teil eines Systems – muß aus Gründen der Umfangsbeschränkung unterbleiben.
Auftretende Redundanzen entspringen dem Bemühen um größtmögliche Klarheit, die sich der Schwierigkeit der infrage stehenden Texte nicht ohne Weiteres abgewinnen läßt.
Es war Walter Mehring, der Ernst Tollers (1893-1939) Werk "Hoppla, wir leben!" (1927) ein "Barrikaden-, Börsen- und Irrenhaus-Zeitdrama" nannte. Derselbe Mehring, von dem Titel und Mittelchanson stammen und dem das Stück zusammen mit Piscator gewidmet ist. Hier kommt es auf die Bezeichnung als Zeitdrama an. Denn auch G. Rühle oder A. Lixl rechnen das Drama dieser Gattung zu. ...
Das Interesse der vorliegenden Arbeit ist theaterpraktisch. Die Frage lautet, in welcher Form die Komödie "The Rivals" auf gehobenen deutschsprachigen Bühnen der Gegenwart einen Platz haben kann. Das Theater kümmert nur die Qualität eines Dramas für seine Rezeption beim Publi-kum. So zielt auch diese Untersuchung auf eine rezeptionsästhetische Bewertung von "The Rivals" für „uns heute“. Ausgeschlossen sind alle Überlegungen zur literar- oder die sozialhistorischen Bedeutung von Werk oder Autor. Eine Stückbewertung wird noch anspruchsvoller, wenn das Werk fremdsprachig ist. Es ergibt sich die Notwendigkeit einer Prüfung vorhandener Übersetzungen oder das Anfertigen einer neuen. Die Prüfung verkompliziert sich nochmals, falls die Übersetzung zugleich eine Bearbeitung des Originals ist.
O trabalho aqui apresentado tem como objectivo elaborar um estudo sobre um bairro de um país africano e, consequentemente realizar um projecto sob a forma de plano para essa mesma área. O país em causa é a Guiné-Bissau e o bairro escolhido foi o de Quelélé, um bairro dentro do perímetro da grande Bissau com uma evolução típica de bairro suburbano, com todas as vantagens e desvantagens que daí advêm. Esta escolha não foi aleatória, muito pelo contrário, fazer um plano para um bairro de Bissau sempre foi um desejo meu desde quecomecei a sentir o que é o Urbanismo. Mais importante do que isso será sem dúvida a relação e o sentimento que tenho para com muitas pessoas daquele país. Tive a oportunidade de conhecer um pouco do que é a Guiné-Bissau numa primeira fase quando vivi por um período de ano e meio em Bissau durante os anos de 90 e 91, e durante os últimos anos nas viagens que espaçadamente me são possibilitadas. Infelizmente no decorrer dos anos 97 e 98 a Guiné-Bissau viu-se a braços com uma guerra interna que mergulhou o país outra vez nos limites de pobreza e sobrevivência. Os motivos não são alvo de minha preocupação para este trabalho, mas sim o estado em que ficou o país tanto a nível humano como a nível de infraestruturas. É assim que nasce o Plano de Urbanização para o Bairro do Quelélé. Este bairro encontrava-se na linha da frente durante a guerra e foi, infelizmente bastante massacrado. Podia ter escolhido outro dos tantos bairros quesofreram com a guerra, mas é com este bairro que tenho uma relação especial. Foi me dada a oportunidade de lá passar muitas horas a viver e a confraternizar com muitas pessoas que hoje vivem horas particularmente difíceis. É a essas pessoas que dedico este trabalho.
Dès 1980, on assiste à des publications qui séduisent par l'esthétique du verbe, le charme surréaliste de la description des unités de temps, de lieux, de personnages, d'intérêts et une certaine charge évocatrice de l'histoire et de la philosophie des peuples du Gabon. C'est le début d'un certain éveil de la conscience littéraire.
Sans qu'il soit besoin de faire la ronde des romans de la dernière période, force est de constater qu'aucun auteur ne prend le risque d'aller au-devant de ce qu'ils semblent tous considérer comme des «sujets de danger», de ces sujets qui touchent à la politique et à la vie de leurs acteurs. La problématique des romans gabonais se construit alors sur la base du consensus de la peur. Écrire sur les politiques crée une névrose dont aucun écrivain ne voudrait payer les frais. À noter pour conclure que le silence du romancier gabonais pourrait bien sourdre du « prince », lui-même écrivain et capable comme tel d'influencer le monde de l'écriture. Dire le politique dans le roman pourrait porter à contredire les publications dithyrambiques qui font l'apologie de ce que les poètes souhaitent voir se concrétiser en vain. Alors, qui prendra le risque de faire le démenti?
A Unita, na pessoa do seu presidente, JMS, demonstrou com uma estrutura de poder, marcada por nuances tradicionais e por querelas palacianas, pôde colocar a mulher nas situações mais extremas e caricatas. Para a questão em análise, não se trata de um conflito entre a instituição da família tradicional, assente na poligamia, e a moderna, que postula pela família monogâmica com os valores a si adstritos. Trata-se do uso, do abuso e da coisificação da mulher, em consequência de um poder autocrático que por vezes, e não foram poucas, mostrou ter perdido o controlo da situação. As mulheres de Jonas Savimbi dividem-se em aquelas que mais amou - e assumiu como “primeira-dama”, mas que também, por razões que se desconhecem mais odiou -, as amantes, que teve filhos com algumas delas, e outras, fruto de relações fortuitas, cujo segredos elas guardam a sete chaves.
A saga dos Chingunji
(2009)
Na verdade, é possível estabelecer um paralelo entre os Kennedy e os Chingunji. Isso poderia ser útil para se encontrar alguns pontos em comum sobre as fontes de uma saga. As sagas acontecem, por norma, em famílias numerosas, inteligentes, dinâmicas, empreendedoras, com um grande protagonismo social e político, que agem em função do projecto familiar de um patriarca. Diz-nos Klein que, para o caso dos Kennedy, a saga abateu-se sobre esta família pelo facto de Patrick Kennedy, um irlandês, que emigrou para os Estados Unidos da América, em 1858, ter deixado um legado de humilhação que estimulou a “imprudência e o comportamento arriscado dos seus descendentes”. Patrick Kennedy morreu aos 35 anos de tuberculose. Talvez não seja o caso do patriarca dos Chingunji, Eduardo Jonatão Chingunji. No entanto, não resta dúvida alguma de que o legado por ele deixado – meter-se na vida política – tenha, sob o efeito de bola de neve, levado todos os seus descendentes para o caminho dramático que se conhece.
INTRODUCTION I/ INSTANCES DU RECIT a/ Le Narrateur b/ Le Narrataire c/ Le focalisateur II/ LES TRACES DU "MOI" a/ La crise de l’identité b/ L’ancrage anthropologique III/ STYLE DE L’AUTEUR Style hermétique CONCLUSION -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
· Des hommes comme les autres ? · De la biologie à l'analyse de genre · La hiérarchie des droits · La mise en oeuvre de la Plate-Forme d'Action de Beijing · La Section I de la PFA : "les droits fondamentaux de la femme" · Droits économiques et politiques : participer à la prise de décision · La "Déclaration de Luxembourg" · De l'égalité de genre à la lutte contre les disparités dans le monde · Références
Au moment où l’Afrique en général, et le Ghana, en particulier, s’apprêtent à célébrer le centenaire de la naissance d’un des grands hommes politiques de l’Afrique contemporaine, je voudrais, en réponse à mon fils, examiner ces questions : quelle réception peut-on faire aujourd’hui du panafricanisme ? Que sont devenus les grands idéologues de ce mouvement ? L’Afrique a-t-elle encore une chance de rayonner un jour ? Chacun peut continuer la liste des questions. Comme chacun sait, du moins, je suppose, Kwame Nkrumah est né le 21 septembre 1909 et est incontestablement une des figures centrales du panafricanisme. Pendant que j’étais en train de parcourir un journal, mon fils me demande après avoir lu le mot « panafricanisme » : « Qu’est-ce que le panafricanisme ? » Ce terme échappe à toute définition évidente, je veux dire claire, nette et précise. Lors du 7ème congrès de ce mouvement panafricain réuni à Kampala, en Ouganda en 1994, les congressistes n’ont pu livrer une définition univoque. « Deux tendances [se sont affrontées] : celle inspirée de Kwame Nkrumah et des luttes de libération anti-impérialistes, l’autre, plus modérée, prônant une relation ‘’amicale’’ avec l’Occident ». Pour ma part, ne laissant place à aucune ambiguïté je choisirai naturellement la première, non sans relativiser l’importance accordée à l’anti- impérialisme. L’Afrique ne souffre plus du colonialisme mais de ses propres fils. (...) Le panafricanisme de Nkrumah et ses amis est « mort » et notre Afrique contemporaine continue de le tuer. Pour mieux te faire comprendre ce que je veux te dire, je voudrais que tu suives avec moi 3 idées fortes qui vont peut-être te convaincre ou te dégoûter, peu importe. -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Tagungsbericht: Veranstalter: Urs Meyer/ Gabi Pahnke, Johann-Gottfried-Seume-Gesellschaft zu Leipzig e.V.; Ludwig Stockinger, Universität Leipzig Datum, Ort: 03.06.2010-05.06.2010, Leipzig Bericht von: Urs Meyer, Universität Fribourg: Obgleich Johann Gottfried Seume (1763-1810) bis heute vor allem als der "Spaziergänger nach Syrakus", als Reisender fern seiner Heimat, in Erinnerung geblieben ist, war der sozialkritische Schriftsteller, Dichter und Publizist der Spätaufklärung auch überzeugter sächsischer Landsmann – und bisweilen sogar heimwehkrank nach seiner "Vaterstadt" Leipzig. Immer wieder trieb es ihn fort aus seiner Heimat, doch kehrte er auch immer wieder zurück. Damit drängt es sich auf, Seumes Verhältnis zu Leipzig, zu der Stadt, in der er über 25 Jahre seines Lebens verbrachte, zum Gegenstand einer Tagung zu machen, die im Rahmen von Feierlichkeiten zum 200. Todestag des Dichters in Leipzig stattfand.
Der Stellenwert der Familie, ihre Aufgaben und ihre Struktur sind Gegenstand breit geführter Debatten in Politik, Medien, Gesellschaft und diversen wissenschaftlichen Disziplinen. Auch Literatur und Kunst haben die Familie als Topos längst wiederentdeckt. Im Zuge der zunehmenden globalen Migrationsbewegungen rücken dabei nun auch interkulturelle Fragestellungen ins Zentrum des Interesses. Die Familie im Kontext der Interkulturalitätsforschung stand auch im Zentrum einer interdisziplinären Tagung an der Universität Freiburg. Unter dem Titel „Familienkonstellationen aus interkultureller Perspektive“ gingen Literatur- und Medienwissenschaftlerinnen, Soziologinnen und Ethnologinnen der Frage nach, wie sich Migrationsprozesse auf Familienkonstellationen und deren Zusammenhalt auswirken und wie dies in Literatur und Film inszeniert wird. Die Tagungsbeiträge eröffneten durch ihre interdisziplinäre Ausrichtung ein vielfältiges Forschungsfeld und verdeutlichten die Aktualität des Themas.
La littérature africaine d’expression française a pris depuis les années 1960 un tournant décisif où explosent le paradoxe, l’étrange, l’extraordinaire, l’outrecuidance, l’impertinence et toutes sortes de subversions de fond et de forme. Comme un cyclone esthétique et éthique, l’inspiration artistique en général, romanesque en particulier, souffle un vent libérateur exubérant dans les esprits qui semblent possédés par l’exaltation dionysiaque. Cet enthousiasme revêt les allures d’une véritable efflorescence baroque. On peut s’interroger sur l’utilisation du terme « baroque » qui s’applique à la littérature française sous Henri IV et Louis XIII, caractérisée par une grande liberté d’expression, et faisant contrepoids au classicisme et au réalisme. L’équilibre, la symétrie, la régularité manifestés dans les oeuvres d’art de la Renaissance européenne se sont altérés et compliqués pour de nombreuses causes dont les plus évidentes sont les guerres religieuses, l’accroissement de la richesse déclenché par les découvertes de l’or, et enfin le poids grandissant du surnaturel dans les esprits. L’art baroque a eu des représentants dans toute l’Europe. L’un des plus célèbres est l’Anglais Shakespeare [2]. La poésie, le théâtre et le roman ont souvent été baroques dans l’Europe des XVIe, XVIIè et XVIIIe siècles [3]. Au fond, à l’instar du romantisme, les traits ou éléments propres au baroque sont décelables chez des artistes de tout temps et de tout pays. Le baroque ne distingue pas uniquement les écrivains inclassables du fait qu’ils ne respectent pas les règles ordinaires ou classiques. Peuvent être qualifiés de baroques tous les auteurs africains qui ont le culte de tout ce qui est choquant, bizarre, excentrique et inattendu. Plus que tout autre créateur africain, le Congolais Sony Labou Tansi a cultivé le goût du baroque. Cet art est en pleine floraison dans ses ouvrages, en particulier dans son roman intitulé La vie et demie, publié en 1979 à Paris par les Editions du Seuil et qui a reçu le Prix spécial du premier Festival de la Francophonie qui s’est tenu la même année. La biobibliographie de Marcel Sony, le texte, le contexte et le prétexte révèlent un phénomène majeur dans la littérature africaine. Cette étude veut être une contribution à l’histoire de l’esthétique littéraire et non pas à l’histoire des écrivains. -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
In den gut eineinhalb Jahrzehnten, die seit der Bibliographie von Hans-Harald Müller und Wilhelm Schernus (Nr. 140) vergangen sind, hat sich die Perutz-Forschung etabliert. Dies zeigt schon ein flüchtiger quantitativer Vergleich. Der Abschnitt "Wissenschaftliche Untersuchungen" bestand damals aus einer Handvoll Magisterarbeiten und Dissertationen; in der vorliegenden Bibliographie nimmt die Sekundärliteratur mehr als die Hälfte des Raums ein. Die Rechtfertigung einer neuen Perutz-Bibliographie liegt denn auch vor allem darin, ein aktuelles, möglichst vollständiges Verzeichnis der wissenschaftlichen Literatur zu Leo Perutz (unter Einschluß der vor 1990 erschienenen Titel) vorzulegen. Der Abschnitt "Primärliteratur" schließt dagegen chronologisch an Müller und Schernus an.
Pendant plusieurs décennies, la littérature congolaise s’est fait remarquer au niveau continental. Beaucoup d’auteurs et particulièrement les romanciers ont intéressé la critique littéraire tant qu’ils se sont distingués des autres écrivains africains par leur « façon d’écrire ». Par sa taille et le nombre de ses habitants, le Congo au XXè siècle peut être considéré comme le pays qui a le plus d’écrivains, en particulier les romanciers dont la qualité des oeuvres est manifeste. Et comme l’affirment Alain Rouch et Gérard Clavreuil, "la littérature congolaise compte actuellement parmi les meilleures, les plus prolifiques et les plus homogènes d’Afrique noire"[1] De son côté, Roger Chemain renchérit dans la préface à Tarentelle noire et diable blanc de Sylvain Bemba. Pour lui , le Congo en Afrique francophone « compte le plus fort pourcentage d’écrivains par rapport à l’ensemble de la population »[2]. Parmi les écrivains qui ont marqué l’histoire du roman congolais, on peut citer des noms célèbres tels Jean Malonga, Guy Menga, Sylvain Bemba, Jean Pierre Makouta MBoukou, Henri Lopes, Sony Labou Tansi, Emmanuel Dongala, Tchichélé Tchivéla, Tchicaya U Tam’Si... qui sont devenus aujourd’hui des classiques de la littérature (négro) africaine d’expression française. D’une façon générale, l’histoire du roman congolais se fonde sur un itinéraire marqué par deux « mouvements », deux façons d’écrire. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Bei einem Künstler, über den man, von seinen Werken abgesehen, kaum etwas weiß, und dessen eigene Äußerungen oft eher kreatürlichen Rülpsern gleichen, ist man auf das Wenige angewiesen, das mit einiger Gültigkeit über ihn gesagt wird. Es stammt, wie könnte es anders sein, von Heiner Müller. Dennoch soll von Müllers Bemerkung, die Gotscheff, wie er selbst sagt, „für eineinhalb Tage berühmt gemacht hat", hier nicht die Rede sein. Denn alles, was Müller anläßlich von Gotscheffs „Philoktet“- Inszenierung (Sofia 1983) schreibt, stimmt, und doch ist es - das ist das Schicksal unendlich oft zitierter Bemerkungen – in Gefahr, zur Hohlformel zu gerinnen. Das ist nicht Müllers Schuld, sondern die derjenigen, die sie aus Alternativlosigkeit bis zum Abwinken wiederholen. Dabei ist die Schwierigkeit, zu Begrifflichkeiten vorzudringen, mehr als verständlich: Theaterabende zu beschreiben ist eine eigene Kunst. Zwanzig Jahre mit Gotscheff, über dreißig gesehene Inszenierungen, Mitarbeit an einigen, und nun die als Einladung verkleidete Drohung, darüber etwas schreiben zu sollen. Wo und wie anfangen? Ich will versuchen, Gotscheffs Arbeit inhaltlich und ästhetisch in einen größeren Zusammenhang zu stellen.
Der Nobelpreis käme ihr – abgesehen von dem Geldsegen – wie eine Strafe vor, meinte Elfriede Jelinek. Plötzlich wurde sie, die Scheue, von der Weltöffentlichkeit grell ausgeleuchtet. Die Dichterin antwortete auf die ihr eigene Weise mit der Positionsbestimmung "Im Abseits": Nichts, was man tue, zähle; das einzige, was man ernte, sei ein Verweis. Das ist für eine erklärte Moralistin ein katastrophaler Befund, ihr bleibt "nur" die Ästhetik. Ästhetik versus Moralismus ist, allen Scheinwerfern zum Trotz, aber nur eines der immer noch schwer begreifbaren Spannungsfelder, aus denen heraus sie arbeitet und schöpft, andere wären hinzuzufügen: der Drang zu psychoanalytisch unterfütterten, archaisch-antiken Konstellationen und ihre erklärte Sehnsucht nach Oberfläche ("Ich will seicht sein!"), der Haß auf die Unterhaltungsindustrie und das leidenschaftliche Surfen im weltweiten Netz, das Spiel mit den Möglichkeiten der Mode und die Affinität zum Tod. Es scheint überhaupt so zu sein, daß all ihre Texte, unabhängig von ihrem jeweiligen Gegenstand, mit großer Obsession um den Tod kreisen, um ein Phänomen also, das wir als existentielles und politisches Phänomen – wie keine Gesellschaft zuvor – gelernt haben zu verdrängen. Das Jelinek'sche Äquivalent hierzu ist der permanente Redezwang, seine Kehrseite die Angst vor dem Abhandenkommen der Sprache und in Konsequenz hieraus: das Schweigen. Wie geht all das zusammen? Geht es überhaupt zusammen?
Politikpartizipanten in einen staunenden Fernsehzuschauer verwandelt worden.“ In ein für Populismus jedweder Art anfälliges Stimmvieh. Aus dem Volk ist eine Masse geworden, die sich lobbyistisch für Partikularinteressen zusammenfindet, ohne noch über ein Gemeinsames zu verfügen. So entsteht gewissermaßen ein neuer Tribalismus, ein Tribalismus der Gleichgesinnten mit einer Oligarchie von Stammesfürsten. Das ehemalige Ganze zerfliegt in seine Teile und begünstigt so die Herrschaft abstrakter globaler Größen – so in etwa. Was heißt das aufs Theater bezogen? Tatsache ist zunächst einmal: Der Demos und der aus ihm abgeleitete Staat bezahlt das Theater, stützt es mit Subventionen, obwohl es nicht den Interessen des gesamten Volks, sondern nur denen einer Sondergemeinschaft entspricht. Spricht irgendetwas für diesen empörend anmutenden Befund? Gibt es Reformbedarf?
Ein kobheerianischer Frachter bringt einen rätselhaften Passagier auf die Raumstation Deep Space Nine. Der Mann leidet offenbar unter einer seltenen Krankheit, dem Kalla-Nohra Syndrom. Major Kira Nerys (Nana Visitor) lässt den Unbekannten festnehmen, denn er weckt einen Verdacht in ihr. Wie fast alle Folgen der Serie StarTrek, hierzulande besser bekannt als Raumschiff Enterprise, präsentierte auch Duet (die deutsche Fassung wurde unter dem Titel Der undurchschaubare Marritza ausgestrahlt) 1993 ein moralisches Dilemma. Und wie in so vielen Folgen von StarTrek spielten die Sternenvölker der Cardassianer und der Bajoraner dabei eine besondere Rolle. Doch davon später. Auch nach 1997, als in der nächsten Staffel Voyager sich StarTrek auf den Weg nach Hause zur Erde, machte trübten die spannungsreichen Beziehungen zwischen Cardassianern und Bajoranern so manches Mal die Stimmung an Bord.
DEDICACES GRATITUDES INTRODUCTION- - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - -7 Formulation, délimitation et choix du sujet- - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 9 Hypothèse de recherche- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -11 Cadre méthodologique- - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 13 PREMIERE PARTIE : INSCRIPTION DU DON DANS L’OEUVRE D’AMINATA SOW FALL CHAPITRE I : TYPOLOGIE DES DONS- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 17 I.1.Le don des biens et services I.2.Le don de soi et de temps CHAPITRE II : ACTEURS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 19 II.1.Le donateur II.2.Le donataire II.3.L’intermédiaire CHAPITRE III : AUTOUR DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -21 III.1.Le don comme forme d’échange III.2.Le don comme facteur d’intérêt DEUXIEME PARTIE : DON ET SOCIETE CHAPITRE IV : MOTIVATIONS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -25 IV.1.La religion et l’indigence IV.2.La culture africaine CHAPITRE V : AVANTAGES DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27 V.1.Le don comme acte humanitaire V.2.Le don comme vecteur du lien social CHAPITRE VI : DESAGREMENTS DU DON- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -29 VI.1.L’émergence des classes VI.2.La dette morale CONCLUSION- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 31 BIBLIOGRAPHIE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 32 -------------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
« Et si les crocodiles pleuraient pour de vrai… » est une nouvelle dans laquelle, semblet-il, l’écrivain et théoricien Ludovic Emane Obiang paraît asseoir une conception du monde et de la littérature basée sur une figure profonde de même qu’un phénomène essentiel que sont la figure du crocodile et le phénomène de la reconstruction. Sa nouvelle paraît nous plonger au coeur d’une question essentielle source de véritables angoisses. Les crocodiles pleurent-ils ? Et s’ils pleurent, pleurent-ils pour de vrai ? A quoi devons nous faire attention lorsqu’on nous invite à penser à partir de la figure du crocodile ? Ensuite, en quoi cette figue de crocodile a-t-elle rapport avec quelque chose de l’ordre de la reconstruction, car comme le souligne Ludovic Obiang, le maître mot de sa nouvelle est le phénomène de la reconstruction ? Qu’est-ce que la reconstruction ? A quoi renvoie la réalité du crocodile ?
En 1999, un roman vient révolutionner la pratique littéraire au Gabon : Le jeune officier. OEuvre dédiée à Martin Heidegger, elle développe à sa manière les préoccupations du philosophe concernant l’être, l’oubli de l’être et le caractère aléthéique de la vérité. Les pages qui suivent sont consacrées à ce roman d’un style particulier qui insère le roman gabonais entre modernité et post-modernité. A travers un résumé, un commentaire du discours du jeune officier et la lecture du discours de soutenance de Brice levy Koumba1, nous tenterons de découvrir l’oeuvre. Le résumé est à la première personne, fait par le jeune officier lui-même. -------------------------------------------------------------------------------------------- CRELAF (Cercle de Reflexion des Etudiants en Littératures Africaines), Département de Littératures Africaines, Université Omar Bongo, Gabon
Pour Eric Joël Békalé, la chasse illustre « le parcours de l’homme sur terre ». Ce parcours vise la réalisation de l’homme véritable. L’homme véritable, se conçoit comme « un être pas comme les autres1 ». A la base, il prend conscience que l’homme est un état qui se construit. Au final il n’a plus rien de commun car il devient « le début et la fin de toute chose». La chasse comme processus de réalisation de l’humain dans sa propriété, est aussi l’opération par laquelle l’homme quête son bonheur par le plaisir, le savoir et le pouvoir. Il doit pour se faire réduire la peur et trouver sa place. Car celui qui a peur n’est pas un homme et celui qui n’est pas un homme se prive l’accès au bonheur. « La chasse est une affaire d'homme. Que celui qui a peur de mourir mange les feuilles de manioc ».
L’analyse qui suit a pour objet la notion du double chez Alain Mabanckou. Cette notion est étudiée telle qu’elle se donne à lire dans Mémoire de porc-épic, roman paru en 2006 aux éditions du Seuil. Ce qui nous intéresse ici c’est le rapport possible existant entre double, parole et ponctuation. Présenté ainsi, nous cherchons à comprendre cette particularité du texte de Mabanckou qui est une longue phrase sans ponctuation, sinon n’étant ponctuée que par des virgules.
O declínio do estado-nação : seu impacto nos países africanos, com destaque particular para Angola
(2009)
No caso de Angola, a nova ordem mundial foi de igual modo devastadora e não podia chegar no pior momento. A classe dirigente angolana e as suas elites, esforçam-se para seguir, à letra, os ditames do Ocidente. Em cada dia que passa é corrente vermos, no país, a tentativa de adoptar os modos de falar da antiga potência colonial e os modos de pensar, vestir, costumes de consumo, habitação, e a linguagem política do Ocidente. O significado, os valores autóctones, as estruturas familiares, as solidariedades clânicas, as cosmogonias comunitárias e as condutas que este geram foram simplesmente mutiladas, pervertidas e desacreditas. A cultura tradicional foi negada e asfixiada por uma cultura de imitação, porque institucionalmente se organizou o processo para o seu esquecimento, o que nos põe, cada vez mais, no abismo da periferia. Trata-se de uma tragédia, para um país como Angola que sustenta e alimenta, em grande medida, os ditos governos transnacionais que nos depilam a cada dia que passa.
A abordagem conceptual da categoria etnia, e as acções práticas dela derivadas, encontram-se, em Angola, profundamente matizadas pelo paradigma colonial. Sabe-se que em Angola os vários grupos étnicos, tal como aconteceu noutras paragens, foram agrupados em função de critérios linguísticos o que, durante o regime colonial, permitiu utilizar tal facto para um maior domínio e exploração dos mesmos.