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La grande stèle du pharaon Aménophis II a été découverte par le prof. Ahmed Bada wipendant l'une de ses fructueuses campagnes de fouilles à Mit-Rahineh. En un temps record, il en a publié le texte et la traduction, en la livrant ainsi sans retard à l'étude des savants (2). Prenant en considération les nombreuses localités, syriennes et palestiniennes, à identifier et les difficultés, grammaticales et lexicographiques, à surmonter, on ne peut pas ne pas apprécier l'effort du Dr Baclawi, en majeure partie couronné de succès. Notre collègue ne se cachait certes pas que, par-ci par-là, il pouvait y avoir quelque chose à ajuster et à rectifier. Et si ses diverses occupations lui laissaient plus de loisir, il l'aurait peuf-être fait lui-même, un jour ou l'autre. Nous n'avons pas l'intention de revÎser tout le texte. A notre connaissance, ce travail est en train d'être faÎt par un autre. Nous nous bornerons à passer en revue trois passages, à savoir : la traversée de l'Oronte, la chasse dans les environs de Kadesh et la veillée de nuit après la prise de deux villes palestiniennes.
Dans son sermon pour la fête de la Toussaint 1331, le pape Jean XXII affirme que les âmes des saints ne jouissaient pas de la vision béatifique de Dieu avant le jugement dernier. Sur l'origine de cette opinion, qui agita toute la chrétienté pendant plusieurs années, les explications les plus variées ont été avancées. Après leur revue critique, il est établi que la source de cette hypothèse est en fait saint Bernard, et à travers lui, Ambroise, Augustin et Grégoire. Voulant sauver la vision béatifique immédiate, le cardinal Jacques Fournier proposa une interprétation alternative très personnelle des sermons de saint Bernard.