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Bio-bibliographie de quelques médecins naturalistes voyageurs de la marine au début du XIXe siècle
(1968)
Nous avons essayé de mettre un peu de clarté dans ce sujet en dressant un tableau des principaux voyages. Pour les rédiger, nous nous sommes servis de la prelnière étude parue à ce suj et : celle de BAJOT. Louis Marie BAJOT, né en 1775, était chef de bureau au Ministère de la Marine. Il fut membre fondateur de la Société de Géographie et correspondant de Daremberg. Nous avons retrouvé dans les papiers de ce dernier une lettre de BAJOT, datée de 1860, du Tremblay par Montfort l'Amaury, où il avait pris sa retraite et où il a dû mourir. Nous avons recoupé le travail de BAJOT par celui d'OLLIVIER, par celui, plus récent, de BOUDET et enfin par les grands ouvrages de LA RONCIÈRE et de Paul-Emile VICTOR et ses collaborateurs, sans oublier le livre récent de Mlle Agnès BÉRIOT. En ce qui concerne la bibliographie et les travaux des médecins naturalistes, nous nous sommes servis du «Répertoire bibliographique » très précieux établi par Ch. BERGER et H. REY (1874) et des thèses récentes de LE FUR, LE BOZEC, NOEL et ZOBEL. Nous avons complété cette documentation par des recherches personnelles effectuées dans les dossiers des Archives du Service historique de la Marine; à la Bibliothèque de l'Ecole des Langues Orientales et à la Bibliothèque Nationale. Notre plan sera le suivant: I) Les grands voyages maritimes du début du XIX' siècle. Il) Notices bio-bibliographiques se rapportant aux naturalistes-voyageurs ayant pris part à ces voyages.
Dans son sermon pour la fête de la Toussaint 1331, le pape Jean XXII affirme que les âmes des saints ne jouissaient pas de la vision béatifique de Dieu avant le jugement dernier. Sur l'origine de cette opinion, qui agita toute la chrétienté pendant plusieurs années, les explications les plus variées ont été avancées. Après leur revue critique, il est établi que la source de cette hypothèse est en fait saint Bernard, et à travers lui, Ambroise, Augustin et Grégoire. Voulant sauver la vision béatifique immédiate, le cardinal Jacques Fournier proposa une interprétation alternative très personnelle des sermons de saint Bernard.