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Los campañas de 2006, 2007 y 2008 en Alcorrín han puesto de manifiesto la importancia del lugar para los primeros contactos entre fenicios e indígenas en el extremo occidental de la provincia de Málaga, que las dataciones radiométricas han situado en la segunda mitad del siglo IX a.C. Este proyecto ha permitido documentar una imponente fortificación del Bronce Final, conocida con anterioridad sólo a nivel superficial. La realización de prospecciones geofísicas nos revela un incipiente urbanismo que irá siendo conocido en detalle en futuras actuaciones. Estos trabajos se han completado con la excavación de un edificio singular, de planta cuadrangular y compartimentada, con un pavimento de conchas en su acceso. Entre los materiales, escasos y mayoritariamente consistentes en cerámica a mano, cabe señalar la presencia de dos grafitos fenicios sobre cerámica.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
Background: Environmental noise is ubiquitous in population growth processes, with a well acknowledged potential to affect populations regardless of their sizes. It therefore deserves consideration in population dynamics modelling. The usual approach to incorporating noise into population dynamical models is to make some model parameter(s) (typically the growth rate, the carrying capacity, or both) stochastic and responsive to environment fluctuations. It is however still unclear whether including noise in one or/and another parameter makes a difference to the model performance. Here we investigated this issue with a focus on model fit and predictive accuracy. To do this, we developed three population dynamical models of the Ricker type with the noise included in the growth rate (Model 1), in the carrying capacity (Model 2), and in both (Model 3). We generated several population time series under each model, and used a Bayesian approach to fit the three models to the simulated data. We then compared the model performances in fitting to the data and in forecasting future observations. Results: When the mean intrinsic growth rate, r, in the data was low, the three models had roughly comparable performances, irrespective of the true model and the level of noise. As r increased, Models 1 performed best on data generated from it, and Model 3 tended to perform best on data generated from either Models 2 or Model 3. Model 2 was uniformly outcompeted by the other two models, regardless of the true model and the level of noise. The correlation between the deviance information criterion (DIC) and the mean square error (MSE) used respectively as measure of fit and predictive accuracy was broadly positive. Conclusion: Our results suggested that the way environmental noise is incorporated into a population dynamical model may profoundly affect its performance. Overall, we found that including noise in one or/and another parameter does not matter as long as the mean intrinsic growth rate, r, is low. As r increased, however, the three models performed differently. Models 1 and 3 broadly outperformed Model 2, the first having the advantage of being simple and more computationally tractable. A comforting result emerging from our analysis is the broad positive correlation between MSEs and DICs, suggesting that the latter may also be informative about the predictive performance of a model.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.