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Stadtpolitik greift immer häufiger auf »best practices« aus anderen Städten zurück und nutzt sie als Blaupausen für ihre Entwicklungskonzepte. Doch was geschieht, wenn globalisierte Politikmodelle auf lokale Gegebenheiten heruntergebrochen werden? Neue Fragestellungen für die Humangeografie – die Frankfurter Wissenschaftler erforschen dies an konkreten Beispielen für die Mainmetropole.
Dass die Stadt seit der Krise des Fordismus nicht mehr als ein eher ausführendes Organ des Wohlfahrtsstaates fungiert, sondern selbst unter Wettbewerbsbedingungen für die Aktivierung endogener Wachstumspotenziale und die Schaffung von Wohlstand und Arbeitsplätzen verantwortlich ist, hat seit längerem unter dem Begriff der „unternehmerischen Stadt“ Einzug in die kritische Stadtforschung erhalten. Gefordert werden aber immer wieder konkrete empirische Untersuchungen im Spannungsfeld zwischen zunehmendem interkommunalem Standortwettbewerb und den lokalen Regulationsformen vor Ort. Stadtpolitik verfügt auch weiterhin über eine relative Autonomie und kann somit durchaus einen Unterschied – beispielsweise in der Ausgestaltung der Sozialpolitik – machen. Als empirisches Ergebnis einer Untersuchung der Transformationsprozesse am Beispiel der Stadt Münster im Bundesland Nordrhein-Westfalen lässt sich festhalten, dass der Wandel zu einem „Unternehmen Münster“ samt den Folgen für benachteiligte Bevölkerungsgruppen nicht etwa kriseninduziert gewesen ist, sondern erstens politisch gewollt und strategisch durchgesetzt wurde. An Hand einer Analyse der diskursiven Deutungsmuster innerhalb der städtischen Verwaltung wird zweitens deutlich, dass das Ideal der unternehmerischen Stadt als hegemoniales Deutungsmuster von den leitenden Akteuren so verabsolutiert und verinnerlicht worden ist, dass sie ihr Handeln auch ohne direkten Zwang primär an dem Ideal der Verbesserung der lokalen Wettbewerbsfähigkeit ausrichten. Die unternehmerischen Stadtumstrukturierungsprozesse haben lokalpolitische Konflikte provoziert. Die daraus resultierenden sozialen Kämpfe konnten zwar die grundsätzliche Transformation zu einer unternehmerischen Stadt und die drastischen Kürzungen im Sozialbereich nicht verhindern, aber auf Grund plebiszitärer Elemente in der nordrheinwestfälischen Kommunalverfassung durchaus Teilerfolge erzielen.
Critical perspectives have become more visible in German human geography. Drawing on an analysis of the debate around the German reader "Kulturgeographie" published in 2003, we suggest that this case provides new insights into the "geography of critical geography". We briefly discuss the history of critical geography in Germany, leading to a comparison of the conditions of critical geography around 1980 and in recent years. The focus is on two factors in the changed role of critical perspectives in German geography: (1) the growing internationalisation of German geography, which opened new avenues and allowed new approaches to enter the discipline; and (2) the high citation indices of "critical" journals, which leads to an enhanced reputation and a high significance of international critical geography in the German discipline. However, we draw an ambiguous conclusion: the increased role of critical approaches in German geography is linked to a growing neoliberalisation of academia and a decline of critical approaches in other disciplines.
Critical perspectives have become more visible in German human geography. Drawing on an analysis of the debate around the German reader “Kulturgeographie” published in 2003, we suggest that this case provides new insights into the “geography of critical geography”. We briefly discuss the history of left geography in Germany, leading to a comparison of the conditions of left geography around 1980 and in recent years. The focus is on two factors in the changed role of critical perspectives in German geography: (1) the growing internationalisation of German geography, which opened new avenues and allowed new approaches to enter the discipline; and (2) the high citation indices of “critical” journals, which leads to an enhanced reputation and a high significance of international critical geography in the German discipline. However, we draw an ambiguous conclusion: the increased role of critical approaches in German geography is linked to a growing neoliberalisation of academia and a decline of critical approaches in other disciplines.
IFLS-Journal. Nr. 15, 2010
(2010)
Los campañas de 2006, 2007 y 2008 en Alcorrín han puesto de manifiesto la importancia del lugar para los primeros contactos entre fenicios e indígenas en el extremo occidental de la provincia de Málaga, que las dataciones radiométricas han situado en la segunda mitad del siglo IX a.C. Este proyecto ha permitido documentar una imponente fortificación del Bronce Final, conocida con anterioridad sólo a nivel superficial. La realización de prospecciones geofísicas nos revela un incipiente urbanismo que irá siendo conocido en detalle en futuras actuaciones. Estos trabajos se han completado con la excavación de un edificio singular, de planta cuadrangular y compartimentada, con un pavimento de conchas en su acceso. Entre los materiales, escasos y mayoritariamente consistentes en cerámica a mano, cabe señalar la presencia de dos grafitos fenicios sobre cerámica.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
Background: Environmental noise is ubiquitous in population growth processes, with a well acknowledged potential to affect populations regardless of their sizes. It therefore deserves consideration in population dynamics modelling. The usual approach to incorporating noise into population dynamical models is to make some model parameter(s) (typically the growth rate, the carrying capacity, or both) stochastic and responsive to environment fluctuations. It is however still unclear whether including noise in one or/and another parameter makes a difference to the model performance. Here we investigated this issue with a focus on model fit and predictive accuracy. To do this, we developed three population dynamical models of the Ricker type with the noise included in the growth rate (Model 1), in the carrying capacity (Model 2), and in both (Model 3). We generated several population time series under each model, and used a Bayesian approach to fit the three models to the simulated data. We then compared the model performances in fitting to the data and in forecasting future observations. Results: When the mean intrinsic growth rate, r, in the data was low, the three models had roughly comparable performances, irrespective of the true model and the level of noise. As r increased, Models 1 performed best on data generated from it, and Model 3 tended to perform best on data generated from either Models 2 or Model 3. Model 2 was uniformly outcompeted by the other two models, regardless of the true model and the level of noise. The correlation between the deviance information criterion (DIC) and the mean square error (MSE) used respectively as measure of fit and predictive accuracy was broadly positive. Conclusion: Our results suggested that the way environmental noise is incorporated into a population dynamical model may profoundly affect its performance. Overall, we found that including noise in one or/and another parameter does not matter as long as the mean intrinsic growth rate, r, is low. As r increased, however, the three models performed differently. Models 1 and 3 broadly outperformed Model 2, the first having the advantage of being simple and more computationally tractable. A comforting result emerging from our analysis is the broad positive correlation between MSEs and DICs, suggesting that the latter may also be informative about the predictive performance of a model.
La biodiversité comprend la plénitude de la vie dans toutes ses formes. Sa protection et son usage durable doivent ainsi être une partie intégrante d’une politique orientée vers l’avenir et ancrer de plus en plus dans la conscience politique et publique. La condition préalable pour cela est une meilleure compréhension des effets des actions humaines sur la biodiversité et une connaissance plus approfondie de sa valeur. La recherche scientifique contribue de façon indispensable à la préservation des biomes, des espèces et gènes. Elle ne se limite pas à fournir les connaissances fondamentales qui sont nécessaires pour arrêter le progrès de la disparition de la biodiversité. Bien plus, ce sont les chercheurs eux-mêmes qui, ensemble avec leurs partenaires locaux, élaborent des stratégies pour un usage durable de la biodiversité. Explorer la flore et la faune du continent africain, et mesurer les changements observés dans leur milieu naturel afin de les réduire, tels sont les objectifs de BIOTA (Biodiversity Monitoring Transect Analysis in Africa / Transect d´Analyse du suivi de la Biodiversité en Afrique de l´Ouest). Ce réseau de recherche a été créé en 1999 ensemble par les chercheurs africains et allemands. Vu la grande importance de BIOTA, cette initiative est non seulement financée par le Ministère fédérale de l’Education et de la Recherche, mais entre-temps aussi par plusieurs Etats africains et institutions partenaires. «BIOTA Ouest» a été lancé au début de 2001. Parmi les résultats de cette coopération réussie figurent le centre de biodiversité à Ouagadougou (Burkina Faso) et l’Atlas «BIOTA Ouest» actuel. Je me réjouis de l’apparition de cet atlas, qui constitue une vue d’ensemble compréhensive aussi bien que compréhensible des nombreux résultats de recherche et recommandations pratiques, car la biodiversité est une condition essentielle pour le fonctionnement de l’écosystème et, partant, le fondement de la vie humaine et de l’activité économique.
In den Vorlesungen zur Gouvernementalität skizziert Foucault die Art und Weise, in der im modernen Staat «aus der Distanz» regiert wird. Diese wird im Artikel dargestellt, materialistisch «geerdet», und es werden hierauf aufbauend die Begriffe Risiko und Versicherheitlichung diskutiert. Die Tauglichkeit dieser Herangehensweise wird anhand der aktuellen Grenz- und Migrationspolitik der EU illustriert, und es werden die in diesem Kontext produzierten Räume skizziert.
Introduction: Researchers experience increasing pressures to connect with bodies that finance their projects. In this climate, critical scholars face many obstacles as they seek to navigate the treacherous waters of securing external funds. To debate these challenges, the ACME Editorial Collective organized a panel for the 2009 Annual Meeting of the Association of American Geographers in Las Vegas. This intervention represents a follow-up discussion and collective writing process among some of the panelists and members of the audience who attended the panel.
Below, we examine the neoliberalization of the current funding systems, discuss the implications for research practice, and make suggestions for critical engagement and transformation. Our suggestions, however, will not be easy to implement, as we can infer from the experience of the radical scholars of the post-1968 generation whose ascension into the upper echelons of North American and European university systems was also associated with the neoliberalization of the funding systems. This intervention represents a modest contribution in the tradition of critical research practice of creating the possibilities for progressive change.
Fluviale Sedimente und Ablagerungen aus küstennahen Bereichen werden im mediterranen Raum häufig herangezogen, um die Reaktionen von Fusssystemen auf Klimawandel, menschliche Einflussnahme und andere Faktoren zu rekonstruieren. Arbeiten, die mit systembasierten Ansätzen auf Einzugsgebietsebene quantitative Aussagen ermöglichen, sind jedoch rar. In der vorliegenden Arbeit wird für das Einzugsgebiet des Rio Palancia, Spanien, ein quantifizierter Sedimenthaushalt vorgestellt, der die Sedimentproduktion des Hinterlandes über die Sedimentpfade mit der Speicherung im Einzugsgebiet und der Lieferung zum Flussdelta verbindet. Ziel ist es, den anteiligen Einfluss von Steuergrößen wie Neotektonik, Klimawandel und Landnutzung auf den spätquartären Sedimentfluss in dem 969,9 km2großen Einzugsgebiet zu bestimmen. Das Einzugsgebiet des Rio Palancia ist Teil der südlichen Ausläufer der Iberischen Kette und mündet bei Sagunto in das Mittelmeer. Mit Hilfe von photogrammetrischen und geomorphologischen Kartierungen, Felddaten (Aufschlussuntersuchung, Rammkern-sondierung) sowie geophysikalischen Messmethoden wurden die Geometrien sowie die internen Strukturen von Sedimentablagerungen untersucht. Auf diesen Grundlagen konnte ein GIS-basiertes Sedimentbudget mit quantitativen Abschätzungen für Budgetkomponenten entlang der Sedimentkaskade erstellt werden. Der Talboden des Rio Palancia-Einzugsgebietes wird dominiert von mehreren pleistozänen und holozänen Degradierungsniveaus, die sich in pleistozäne Kiese und Sande eingeschnitten haben. Bedeutende holozäne, fluviale Sedimentation kann hauptsächlich im mittleren und unteren Einzugsgebiet belegt werden. Obwohl ausgedehnte landwirtschaftliche Terrassenanlagen auf dem Talboden und den Hängen von einem starken anthropogenen Einfluss zeugen, ist davon auszugehen, dass die Degradierung des Talbodens noch bis etwa 390 AD auf den Ausgleich eines sich erhöhten Flussgradienten durch vorangegangene Aggradation zurückzuführen ist. Landwirtschaftliche Nutzung durch Terrassenfeldbau, die seit dem dritten Jahrhundert BC im Arbeitsgebiet belegt ist, deutet auf eine nachhaltige Abkopplung der Sedimentlieferung von den Hängen und pleistozänen bzw. holozänen Sedimentquellen zum aktiven Flussbett hin. Dies resultiert seit dem Mittelalter in einer Potenzierung des vorherrschenden Verengungs- bzw. Einschneidungstrend des aktiven Gerinnebettes. Die Ergebnisse weisen auf ein kompliziertes Zusammenspiel von neotektonischem Erbe, klimagesteuertem Abflussregime und späterer menschlicher Einflussnahme hin, die den Sedimentfluss vom Hinterland zur Küstenzone maßgeblich steuern.
IFLS-Journal. Nr. 16, 2011
(2011)
Im Kontext des Wandels des fordistischen Wohlfahrtsstaates, hin zu einer neoliberalen Formation von Staatlichkeit, werden seit den 1980er Jahren Veränderungen der sozioökonomischen
Strukturen von Städten, wie auch innerhalb des Städtesystems, beobachtet. Das politische Argumentationsmuster der Städtekonkurrenz ist ein Resultat dieser Veränderung, wobei
es in die Verantwortungen der Städte verlagert wird, sich als Standort profilieren zu müssen, indem Aufwertungsmaßnahmen durchgeführt und städtische Potenziale ausgebaut werden
(Heeg und Rosol 2007: 492). Bob Jessop spricht in diesem Zusammenhang von einer Naturalisierung der neoliberalen Prinzipien, die auf der Ebene der Stadt zur Folge hat, dass Städte als chancengleich und damit selbstverantwortlich für ihre ökonomische Lage, d.h. für ihr Wohlergehen und die Möglichkeit attraktive Orte für Unternehmen und Bevölkerung zu sein, gesehen werden (Jessop 2002: 468). Folglich verschieben sich auch die Prioritäten der Stadtplanung,
so dass nicht mehr die Versorgung der Bevölkerung und der Abbau von sozialräumlichen Disparitäten als Ziel der Stadtplanung an erster Stelle stehen, sondern das Hauptziel
zunehmend darin besteht, die fiskalische und wirtschaftliche Wettbewerbsfähigkeit der Städte selbst zu erhalten (Schneider-Sliwa 1996: 318). Um im Wettbewerb zu bestehen, gilt es eine prosperierende, attraktive Innenstadt als Aushängeschild der Stadt vorweisen zu können bzw.
herzustellen.
In Rüsselheim wird die Situation der Innenstadt, gemessen an der wirtschaftlichen Lage, momentan sehr negativ beurteilt. Auch Zeitungsartikel zeichnen ein pessimistisches Bild der
Rüsselsheimer Innenstadt1: So druckt die Frankfurter Rundschau, um ein Beispiel heraus zu greifen, eine großformatige Kollage, bestehend aus den Schaufenstern der vielen leerstehenden Ladenflächen (Frankfurter Rundschau 27/28.02.10: R24). Die Sanierung der Innenstadt befindet sich bereits seit den 1990er Jahren in der Vorbereitung. Von der Stadt in Auftrag gegebene Studien attestieren dem gesamten öffentlichen Raum eine erhebliche Beeinträchtigung seiner Funktion als Geschäftsstandort, da die städtebauliche Gestalt nicht der für den Einzelhandel erforderlichen Aufenthaltsqualität und Atmosphäre gerecht wird. Dem soll mit umfassenden Sanierungsmaßnahmen begegnet werden, die als Antwort auf den Städtewettbewerb und die Standortkonkurrenz zu verstehen sind, in denen sich die Stadt besser aufstellen möchte. Die Planungen sind, so meine These, ausgerichtet auf eine Zielgruppe, die noch nicht vor Ort ist, d.h. Maßnahmen sollen die Stadt, insbesondere die Innenstadt, für eine „gewünschte Bevölkerung― erst attraktiv machen. Die derzeitigen Nutzungen und BewohnerInnen entsprechen nicht den Vorstellungen einer repräsentablen Innenstadt, worauf mit einer Umdefinition des Stadtraumes reagiert wird, um bestimmte Nutzungen zu verdrängen. In meiner Diplomarbeit möchte ich mich mit dem Diskurs um die Innenstadtsanierung in Rüsselsheim beschäftigen. Rüsselsheim erscheint mir für dieses Vorhaben sehr interessant, da sich die Diskussionen in dem großen Widerspruch zwischen Hoffnungen und Visionen für die Planung mit dem Ziel der Herstellung einer prosperierenden Stadt und der Ohnmacht, ob der unlösbaren (finanziellen) Situation, bewegen. Zudem spielt das Verhältnis der Stadt zu Opel eine Rolle, da die Wahrnehmung der Stadt verknüpft ist mit der Wahrnehmung der Situation
des Unternehmens Opel und auch Stadtentwicklung und Unternehmensentwicklung miteinander verschränkt sind, was sich im Stadtbild wieder findet. Womöglich lässt das den Diskurs um Planungen im Bezug auf den Wandel vom Fordismus zum Postfordismus besonders deutlich zu Tage treten, da Rüsselsheim zu Zeiten des Fordismus massiv expandierte und heute in diesem Zusammenhang stehende, strukturelle Probleme zu bearbeiten hat. Diese Situation ist mitbestimmend für die Diskussion um die durchzuführenden Sanierungsmaßnahmen.
Leuchtturm statt AfE-Turm : hegemoniale Kämpfe im Umzugsprozess der Goethe-Universität Frankfurt
(2011)
Im Kontext des Bildungsstreiks 2010, bei welchem die Leitung der Frankfurter Goethe-Universität das von Studierenden friedlich besetzte Casino auf dem IG-Farben-Campus polizeilich räumen ließ, formulierten wir als Studierende am Institut für Humangeographie eine Protestnote, in der wir uns vor allem für ein selbstbestimmtes und kritisches Lernen aussprachen.
Das in der Folge entstandene autonome Projektseminar ist aus unserer Unzufriedenheit mit den im Vorlesungsverzeichnis angebotenen Seminaren motiviert und darüber hinaus mit dem Wunsch verbunden, aus den „klassischen“, frontal organisierten Seminarstrukturen auszubrechen und andere Formen des Arbeitens zu erproben. Der vorliegende Projektbericht ist der Nachweis, dass dies am Institut für Humangeographie möglich ist. Für diese Möglichkeit sind wir dem Institut im Ganzen und den Vielen, die trotz enger Zeitbudgets die Rahmenbedingungen ermöglichten, zu Dank verpflichtet.
Zugleich ist dieser Bericht allerdings auch der Nachweis, dass der Autonomie unter gegebenen Bedingungen Grenzen gesetzt sind, dass sich autonome Initiativen an der Universität in einem „kontrollierten Möglichkeitsfeld“ (Schreibwerkstatt des AK Kritische Geographie 2011) bewegen. Um unsere Arbeit entsprechend der Studienordnung in die heilige Kuh der bolognareformierten Abschlüsse – den Credit Points – eintauschen zu können, mussten diverse formale Voraussetzungen erfüllt werden. Dazu gehörte, dass wir einen vorgegebenen workload erbringen mussten und am Ende ein zu bewertendes Ergebnis stand. Schließlich war eine mit den nötigen Befugnissen ausgestattete Person erforderlich, die jene zu beurteilen und zu bescheinigen in der Lage war – der Dank geht in diesem Falle an Bernd Belina.
Wesentlich wichtiger aber war für uns seine inhaltliche Begleitung des Seminars. In Absehung akademischer Statusgruppenunterschiede und einer „klassischen“ Seminarleiter_innenposition nahm er als zwar erfahrenerer aber gleichberechtigter Diskussionsteilnehmer an unseren Debatten teil und gab uns manche hilfreiche Anregung. Ein ähnlicher Dank geht an Sebastian Schipper, der uns in den Untiefen der Diskursanalyse ein guter Lotse war.
Bereits zu Beginn des autonomen Projektseminars einigten wir uns darauf, ein gemeinsames Endprodukt zu erstellen, welches auch Anderen, die sich mit dem Umzug und dem organisatorischen Umbau der Goethe-Universität kritisch auseinandersetzen, als Material zugänglich sein sollte. Dieser Wunsch erfüllt sich dankenswerterweise darin, dass unser Abschlussbericht hier im Forum Humangeographie publiziert ist. Zugleich hat aber auch diese Möglichkeit ihre Grenzen. So dürfen unsere Inhalte zwar veröffentlicht und zur Diskussion gestellt werden, aber nur unter der Bedingung, dass ein_e Professor_in des Instituts die Publikation begleitet und die Verantwortung für die formale und stilistische Richtigkeit trägt. Zudem ist der Anlass dieser Publikation, unsere Ergebnisse zur Diskussion zur Verfügung zu stellen und damit auch dem neoliberalen Geist an der Goethe-Universität etwas entgegenzusetzen. Unter Bedingungen der neoliberalisierten Lehre und Forschung verwandelt sich eine solche Publikation aber auch zum affirmativen Eintrag im Lebenslauf. Unter den gegenwärtigen Strukturen können wir dem nichts als unsere Reflexion und Kritik entgegenstellen.
Die Erkenntnis, dass wir uns in solcherlei kontrollierten Möglichkeitsfeldern bewegen, hat im Verlauf des autonomen Projektseminars zu Diskussionen um die auftretenden Widersprüche geführt. So war es bspw. für einige weniger problematisch als für andere, dass die Publikation eine_n professorale_n Betreuer_in benötigt. Ein anderer Diskussionspunkt war der Zwang, ein den akademischen Standards entsprechendes Endprodukt zu erstellen, welches zudem bewertet werden musste. Während für einige die Möglichkeit wichtiger war, dass die Veranstaltung überhaupt stattfinden konnte, empfanden es andere als starke Einschränkung einer selbstbestimmten Arbeitsweise. Am Ende bleibt die Erkenntnis, dass Kompromisse unabdingbar sind, wenn eigener Anspruch und kontrolliertes Möglichkeitsfeld aufeinanderprallen. Ergänzt werden diese „äußeren“ Widersprüchlichkeiten durch „interne“ divergente Interessenspositionen. Auch hier waren Kompromisse unabdingbar. Diese spiegeln und reproduzieren zugleich gesellschaftliche Machtverhältnisse als interne Gruppendynamiken. Trotzdem liegt der zentrale Vorteil unseres Projektseminars gegenüber einer „klassischen“ Universitätsveranstaltung gerade darin, dass wir permanent versuchten, solche Widersprüchlichkeiten und machtförmigen Kompromisse offenzulegen und zu diskutieren.
Schließlich wollen wir mit dem vorliegenden Bericht zeigen, dass Studierende in der Lage sind, erkämpfte und zuerkannte Freiräume zu nutzen und diese mit Inhalten zu füllen. Wir wollen Andere dazu ermuntern uns zu folgen. Auch Ihr werdet an die Grenzen der kontrollierten Möglichkeitsfelder stoßen und einen Weg finden (müssen), mit diesen umzugehen oder sie zu überwinden. Nichtsdestotrotz lohnt sich der Aufwand!
Urban areas develop on formal and informal levels. Informal development is often highly dynamic, leading to a lag of spatial information about urban structure types. In this work, an object-based remote sensing approach will be presented to map the migrant housing urban structure type in the Pearl River Delta, China. SPOT5 data were utilized for the classification (auxiliary data, particularly up-to-date cadastral data, were not available). A hierarchically structured classification process was used to create (spectral) independence from single satellite scenes and to arrive at a transferrable classification process. Using the presented classification approach, an overall classification accuracy of migrant housing of 68.0% is attained.
Im Vordergrund dieser Dissertation steht die Methode der Mikromorphologie, die verknüpft mit weiteren bodenkundlichen Analysen sowohl bodenkundliche Fragen, als auch siedlungsfunktionale Fragen beantworten kann. Die Methode dient also ideal der Verknüpfung von Bodenkunde und Archäologie. Der Begriff Archäopedologie beschreibt genau diese Verknüpfung – die Anwendung bodenkundlicher Methoden zur Bearbeitung archäologischer Fragestellungen. Inhalt des ersten Themenschwerpunktes dieser Arbeit ist der Vergleich von Böden und Sedimenten des Tells Chuera und seiner Umgebung. Ziel war es, die Böden hinsichtlich verschiedener Ausgangssubstrate, unterschiedlicher Entwicklungsdauer und Reliefpositionen miteinander zu vergleichen. Es konnte nachgewiesen werden, dass die Böden des Untersuchungsgebietes sich in Bezug auf ihre unterschiedlichen Substrate unterscheiden lassen. Auf den natürlichen Substraten des Waditals, den Hochflutsedimenten des Wadis Chuera, können ausschließlich haplic Calcisols ausgewiesen werden. Diese Böden sind durch einen Kalkanreicherungshorizont im Unterboden gekennzeichnet. In den anthropogen beeinflussten Substraten des Tells können ebenso vornehmlich Calcisols beschrieben werden. Diesen Böden wird ein technic vorangestellt, da sie sich in technogenen Substraten, wie z.B. Lehmziegelmaterial entwickelt haben. Geht der auf dem Tell als Konstruktionsmaterial verwendete Gips in die Bodengenese ein, werden Gypsisols gebildet. In allen untersuchten Böden sind dieselben pedogenen Prozesse wirksam: Bioturbation, Kalktranslokation und Gefügebildung. Eine Unterscheidung hinsichtlich ihrer Entwicklungszeiträume kann nicht getroffen werden. Sowohl auf dem Siedlungshügel, auf dem die Bodenentwicklung in dem Siedlungshiatus von 600 Jahren und nach der Aufgabe der Siedlung untersucht werden konnte, wie auch in der Umgebung, laufen unabhängig vom Zeitfenster dieselben Prozesse ab. Die Böden weisen keine bedeutenden pedogenetischen Unterschiede auf, die gravierende ökologisch-klimatische Veränderungen anzeigen und somit die Aufgabe der Siedlung erklären könnten. Der zweite Teil der Dissertation widmet sich der mikromorphologischen Analyse von Siedlungsresten. Kulturschichten ausgewählter Standorte (Oberstadt, Unterstadt, Straßen, Räume) wurden hinsichtlich ihrer Nutzung untersucht. Anhand von Dünnschliffanalysen konnten innerhalb der beprobten Areale verschiedene Bereiche klar abgegrenzt werden. So deuten Phytolithschichten innerhalb eines Gebäudes auf Pflanzenmatten hin, die typischerweise in Ruhe- oder Essensbereichen als Bodenbelag dienten. Darüber hinaus konnten auch Hinweise auf den Aufenthalt von Tieren in der Siedlung gefunden werden. Dies war durch den Nachweis von Dungresten und zahlreichen fäkalen Sphäruliten, die Schafen oder Ziegen zuzuordnen sind, möglich. Ob die Tiere in direkter Nachbarschaft zu den Menschen lebten, konnte bislang noch nicht geklärt werden. Gesichert ist, dass Tier und Mensch gemeinsam die Straßen und Gassen von Tell Chuera genutzt haben.
In weiten Teilen zentraleuropäischer Mittelgebirge wird das anstehende Gestein durch periglaziäre Lagen verhüllt. Diese polygenetisch entwickelten Lockergesteinsdecken sind Schichten im geologisch-sedimentologischen Sinne und das Ausgangsmaterial der Bodenbildung. Ihre Substrateigenschaften, die durch pedogenetische Prozesse lediglich modifiziert werden, beeinflussen maßgeblich die ökologischen Standortbedingungen. Bisher waren nur sehr wenige Informationen zum Aufbau des oberflächennahen Untergrundes und der Böden des hessischen Spessarts vorhanden. Deswegen wurden im Rahmen dieser Arbeit in fünf Untersuchungsgebieten die Verbreitung und Eigenschaften der periglaziären Lagen und Böden mit Hilfe von umfangreichen Geländeuntersuchungen, Laboranalysen und mikromorphologischen Analysen erfasst. Die Ergebnisse belegen die Koppelung verschiedener Bodentypen mit bestimmten Schichtungskombinationen periglaziärer Lagen. Mit Hilfe von Dünnschliffanalysen wird die Wirksamkeit unterschiedlicher bodenbildender Prozesse in den Substraten näher beleuchtet. In lösslehmreichen, lithologisch dreigeteilten Lockergesteinsdecken sind Parabraunerden entwickelt. Die Untersuchung der Bodendünnschliffe offenbart jedoch, dass ein Teil der Tongehaltsdifferenz auf Sedimenteigenschaften der Deckschichten zurückzuführen ist: In der Mittellage finden sich Reste einer Paläobodenbildung in Form von Toncutanbruchstücken und tonigen Aggregaten. Teilweise wurde dieses Material auch bei der Formung der Hauptlage aufgearbeitet und als tonige Aggregate in die schluffige Matrix inkorporiert. Rezente Lessivierungsprozesse maskieren lediglich den schichtungsbedingten Tongehaltsunterschied und damit auch den Einfluss der Paläobodenreste auf die heutige Profilgestalt. In den höher gelegenen Gebieten des Gebirges stellen Braunerden aus Hauptlage über Basislage den am weitesten verbreiteten Bodentyp. Der Lösslehmanteil in der Hauptlage ist gegenüber den Profilen am Westrand des Spessarts deutlich geringer, lösslehmreiche Mittellagen kommen kaum vor. Mikromorphologische Analysen bestätigen Geländebefunde, nach denen sich die Verbraunung auf die lösslehmhaltigen Sedimente (Hauptlage, in die Basislage eingemischtes Hauptlagenmaterial) beschränkt. Lessivierungsprozesse dagegen sind nicht an bestimmte Schichten oder Substrate gebunden: Toneinspülungen sind in allen periglaziären Lagen nachweisbar und die Verlagerung findet schichtübergreifend statt. Sehr viele Bodenprofile zeigen Podsolierungstendenzen, trotzdem bleibt der Braunerdecharakter der Profile bestimmend. Stärkere Podsolierung beschränkt sich auf durch den Menschen in der Vergangenheit stark veränderte Substrate. Weitere Fragestellungen für die Dünnschliffuntersuchungen waren die qualitative Bewertung der Überformungsintensität periglaziärer Lagen durch bioturbate Prozesse sowie die Identifikation von Solumsedimenten, die granulometrisch kaum vom liegenden Hauptlagenmaterial zu unterscheiden sind.
Agriculture of crops provides more than 85% of the energy in human diet, while also securing income of more than 2.6 billion people. To investigate past, present and future changes in the domain of food security, water resources and water use, nutrient cycles, and land management it is required to know the agricultural land use, in particular which crop grows where and when. The current global land use or land cover data sets are based on remote sensing and agricultural census statistics. In general, these only contain one or very few classes of agricultural land use. When crop-specific areas are given, no distinction of irrigated and rainfed areas is made, whereas it is necessary to distinguish rainfed and irrigated crops, because crop productivity and water use differ significantly between them.
To support global-scale assessments that are sensitive to agricultural land use, the global data set of Monthly Irrigated and Rainfed Crop Areas around the year 2000 (MIRCA2000) was developed by the author. With a spatial resolution of 5 arc-minutes (approximately 9.2 km at the equator), MIRCA2000 provides for the first time, spatially explicit irrigated and rainfed crop areas separately for each of the 26 crop classes for each month of the year, and includes multi-cropping. The data set covers all major food crops as well as cotton, while the remaining crops are grouped into three categories (perennial, annual and fodder grasses). Also for the first time, crop calendars on national or sub-national level were consistently linked to annual values of harvested area at the 5 arc-minutes grid cell level, such that monthly growing areas could be computed that are representative for the time period 1998 to 2002.
The downscaling algorithm maximizes the consistency to the grid-based input data of cropland extent [Ramankutty et al., 2008], crop-specific total annual harvested area [Monfreda et al., 2008], and area equipped for irrigation [Siebert et al., 2007]. In addition to the methodology, this dissertation describes differences to other datasets and standard scaling methods, as well as some applications. For quality assessment independent datasets and newly developed quality parameters are used, and scale effects are discussed.
Supplementary Appendices document crop calendars for irrigated and rainfed crops for each of the 402 spatial units (Appendix I), data sources of harvested area and of cropping periods for irrigated crops, country by country (Appendix K), as well as data quality parameters (Appendix L, including spreadsheet files).
Mit der Unterzeichnung des Vertrages von Lissabon im Dezember 2009
haben die Mitgliedstaaten der Europäischen Union einen weiteren Schritt
getan, um die EU als einheitlichen geopolitischen Akteur zu positionieren.
Allerdings werden die verschiedenen außenpolitischen Strategien
häufig ausschließlich in Brüssel und ohne Einbeziehung der Sichtweisen
derer, an die sich diese Strategien richten, formuliert. Das Projekt »Euro-
Gaps«, initiiert von Veit Bachmann und Martin Müller, untersucht in den
nächsten drei Jahren, inwiefern Lücken zwischen den offiziellen EU-Darstellungen
und den Vorstellungen und Erwartungen der externen Kooperationspartner
in Subsahara-Afrika und der Schwarzmeer-Region bestehen.
Im Rahmen dieser Dissertation wurde die spätpleistozäne und holozäne Landschaftsentwicklung im Umfeld der im Tal des Wadis Chuera in Nordsyrien liegenden bronzezeitlichen Siedlung Tell Chuera untersucht. Durch die Kombination von hochgenauen Vermessungen, Satellitenbildauswertungen und Untersuchungen der Wadisedimente konnten mehrere flussgeschichtliche Entwicklungsphasen erarbeitet und in einen chronostratigraphischen Rahmen eingeordnet werden. Über ein grobsandig-kiesiges System eines verzweigten Flusses wurden mindestens bis ins Obere Pleistozän mächtige Kieslagen im Untersuchungsgebiet sedimentiert. Innerhalb einer fossilen Rinne abgelagerte lössähnliche Sedimente, welche die Kiesfolgen partiell überlagern, konnten relativchronologisch ins Obere Pleistozän gestellt werden und dokumentieren vermutlich eine trockene Phase. Durch die mit scharfer Diskordanz über den Kiesen abgelagerten pelitischen Hochflutsedimente wird ein abrupter flussdynamischer Umbruch von dem eines ursprünglich verzweigten Flusses zu dem eines mäandrierenden Flusses mit Hochflutsedimentation nachgewiesen. IRSL-Datierungen stellen den Beginn der Ablagerung der Hochflutsedimente ins letzte Glazial. Der größte Teil der Sedimente wurde jedoch im frühen und mittleren Holozän (ca. 9 und 5 kaBP) abgelagert, so dass zu Beginn der Hauptsiedlungsphase am Tell Chuera (3. Jahrtausend v.Chr.) die Oberfläche der Überschwemmungsebene ihr heutiges Niveau nahezu erreicht hatte. Bis dahin führten großflächige Überschwemmungen zur Hochflutsedimentation in der Aue. Ein erneuter Wechsel der fluvialen Geomorphodynamik und der Sedimentationsverhältnisse zeigt sich darin, dass die letzten ca. 5000 Jahre keine nennenswerte Sedimentation in der Hochflutebene zu verzeichnen war. Es kam zu einer bis heute stattfindenden, lateralen Verlagerung der Mäander des Wadis und damit der Aufarbeitung von Teilen der Kiese und Hochflutsedimente. Siedlungsspuren im Wadiverlauf weisen auf eine Periodizität des Abflusses des Wadis Chuera zwischen etwa 4.7 und 4.2 kaBP hin. Die Theorie einer verstärkten Akkumulation von Kolluvien der Rahmenhöhen im Wadital als direkte Folge eines steigenden Siedlungsdrucks während der Hauptsiedlungsphase konnte widerlegt werden. Vielmehr handelt es sich bei den vermeintlichen Kolluvien um fluvial aufgearbeitete Hochflutsedimente. Anthropogene Eingriffe in den Landschaftshaushalt lassen sich in Form von Kalkkrustensteinbrüchen und einem komplexen Wegenetz nachweisen.
Einleitung:
Wahrscheinlich hat es seit den 1970er Jahren nicht mehr so viele kritische Initiativen von Geographiestudierenden an Hochschulen in deutschsprachigen Ländern gegeben wie heute. Ihre Aktivitäten reichen von Lesekreisen, Tutorien, Exkursionen, Film- und Vortragsreihen bis zu politischen Aktionen, wobei viele Initiativen über den Arbeitskreis (AK) Kritische Geographie vernetzt sind. Parallel zu dieser erfreulichen Beobachtung findet ein fundamentaler Umbau der Hochschule statt. Die zunehmende Ökonomisierung des Studiums durch den Bologna-Prozess birgt die Gefahr, Gesellschaftskritik auf dem Altar der Verwertbarkeit und der "Praxisrelevanz" zu opfern. Diese Entwicklungen geben Anlass, das Verhältnis zwischen der Arbeit kritischer Initiativen und den reformierten Universitäten kritisch zu hinterfragen und damit den Zusammenhang zwischen Bologna-Prozess, Neoliberalisierung und kritischer Wissenschaft für die geographische Hochschullehre aus einer studentischen Perspektive zu beleuchten, wird doch ein nicht unbedeutender Teil der kritischen Geographie von Studierenden getragen.
Im Folgenden werden wir kurz auf den Bologna-Prozess eingehen, anschließend die Fragestellung und das methodische Vorgehen erläutern, um darauf aufbauend die empirischen Ergebnisse vorzustellen und zu diskutieren.
„Gehört die Stadt überhaupt? Wir wollen mit der Frage die Möglichkeiten, die eine Stadt bietet, ausfindig machen und vor allem die Grenzen, die die gesamte Stadt durchziehen, benennen und angreifen.“ (Wem gehört die Stadt?-Netzwerk 2008)
Die Frage, ob eine Stadt im Allgemeinen und Frankfurt im Besonderen überhaupt gehört, muss eindeutig mit „ja“ beantwortet werden. Unter kapitalistischen Bedingungen und insbesondere im Zuge der globalen Enteignungsökonomie (Zeller 2004) und der Neoliberalisierung des Städtischen (Heeg, Rosol 2007; Mullis 2011) befinden sich städtische Räume – von der Wohnung bis zum öffentlichen Raum – im Privateigentum und sind zunehmend der Profitorientierung unterworfen. Einher gehen damit massive Ausschlüsse von den städtischen Qualitäten all derer, die gemäß dieser Logik nicht als nützlich, kreativ, angepasst – sprich: verwertbar – gelten.
Während diese Ausschlüsse global zu beobachten sind, ist ihre jeweilige Manifestation pfadabhängig von lokalen Kräfteverhältnissen und Entwicklungen. Exemplarisch lassen sich für die Metropolregion Rhein/Main und insbesondere die Kernstadt Frankfurt fünf zentrale Felder skizzieren, auf denen sich Ausgrenzungsprozesse manifestieren. So gehört erstens das Frankfurter Wohnungsangebot zum teuersten der Bundesrepublik. Der komplette Innenstadtbereich ist durchgentrifiziert und erlebt mittlerweile – wie bspw. im Nordend und in Bockenheim– eine „Supergentrifizierung“ (Holm 2010). In der Folge werden subalterne Bevölkerungsschichten aus diesen städtischen Vierteln verdrängt oder müssen mit immer höheren Belastungen kalkulieren. Die Bugwelle der Gentrifizierung pflügt in den letzten Jahren auch durch ehemals noch relativ bezahlbare Stadtteile – Bahnhofsviertel3, Gallus4, Mainfeld5 und Ostend6 sind hier aktuelle und gravierende Beispiele (Schulze 2012; MHM 2010).
The aim of this article is to show the difference between an interpretative-hermeneutic ethnographic approach deeply embedded in the history of anthropology and ethnographic methods introduced as part of a social science repertoire. Taking the classical "network" as an example, it contrasts the way this concept is generally used in studies on translocal mobility with interpretations of ethnographic research. This not only opens up critical reflections on the role of "networks" when it comes to understanding translocality as a lived experience, but also illustrates what it actually means to follow an interpretative-hermeneutic approach in which ethnographic material is seen to serve as a way to ground, question and refine abstract concepts. The article thus argues that it is through ethnographies and their inherent openness towards the field that a more enriching and creative engagement with theories and methodologies can be achieved than qualitative social science approaches usually allow for.
In the aftermath of an increasing integration of property and financial markets, the real estate industry is subject to soaring internationalization processes. Since international institutional investors appeared, transnational real estate investments have increased tremendously. In recent years, Central and Eastern European countries have been becoming more attractive to institutional investors and are therefore being integrated into international market structures. Within these countries, Warsaw emerged as the most dynamic and important real estate market. But what are the mechanisms and practices through which the real estate market of Warsaw becomes international? Which networks, intermediaries and frames are necessary to constitute a mature real estate market? The article argues that international real estate consultants are playing a crucial role in the underlying internationalization process. They are acting at the interface between investors, developers, construction companies and tenants and are therefore becoming a crucial hinge between real estate actors. With the example of the Warsaw real estate market we argue that international real estate consultancies are key drivers of the transformation process from a local to a global market. They transfer global knowledge, competence and practices and implement transparent and professional structures in the emerging Warsaw real estate market.
Drawing on the example of a research project on the extension of the margins of the global agricultural market through the workings of agribusiness in Ghana, this paper explores what contribution ethnographic approaches can make to the study of quotidian market constructions in organizational settings. It demonstrates how ethnographies of marketization can be grasped conceptually, epistemologically and methodologically, as well as what practical and methodological challenges such a practice-oriented approach towards the everyday organization of markets might encounter. By doing so, the paper offers a methodological contribution to the interdisciplinary field of marketization studies. Moreover, this paper urges economic geographers to further harness the epistemological potential of ethnographic approaches.
Mobilität ist Kultur“ – mit diesem Motto wird seit mehreren Jahren für das Verkehrs- und Mobilitätskonzept der Stadt Zürich geworben. Das Ziel dieses Züricher Konzepts ist die lang-fristige Etablierung einer nachhaltigen Mobilitätskultur. Eine wesentliche Teilstrategie bei der Umsetzung des Konzepts ist dabei neben verkehrsplanerischen Aspekten (z.B. die gezielte Förderung bzw. der Ausbau des ÖPNV sowie des Fuß- und Radverkehrs) die umfassende und frühzeitige Information der Bevölkerung über Verkehrsplanungsverfahren und die Beteili-gung an den entsprechenden Entscheidungen. Weiterhin wird hervorgehoben, dass bereits die Mobilitätsstrategie selbst das Ergebnis eines gemeinsamen Meinungsbildungsprozesses von Bevölkerung, Planung, Politik und Wirtschaft ist. In Zürich wird nachhaltige Mobilitätskultur demnach nicht nur als neues Leitbild der Verkehrsplanung, sondern als umfassender Pla-nungs-, Kommunikations- und Kooperationsansatz verstanden (Ott 2008: 1ff.; Schreier 2005: 127ff.; Tiefbau- und Entsorgungsdepartment der Stadt Zürich 2005: 1ff.).
Gerade im Zusammenhang mit Konzepten zu nachhaltiger Mobilität wird die Notwendig-keit der Kommunikation mit den Bürgern nicht nur in Planungen einzelner Kommunen, son-dern auch in theoretischen Beiträgen häufig thematisiert. So hebt beispielsweise Banister (2008: 80) hervor, dass bei Verkehrsplanungsmaßnahmen die Kommunikation – also die In-formation und Beteiligung der Bevölkerung – aber auch ein entsprechendes Marketing we-sentliche Elemente zur Steigerung der Akzeptanz nachhaltiger Mobilitätspolitik sind. Auch Beckmann (2005: 10, 16f.) betont die Notwendigkeit der Kommunikation mit den Bürgern und zivilgesellschaftlichen Gruppen, um die Akzeptanz und Wirksamkeit verkehrsplane-rischer Maßnahmen, aber auch soziale Lernprozesse im Bereich der Mobilität zu fördern. Bedingt durch die besondere Stellung direktdemokratischer Elemente im politischen Sys-tem der Schweiz hatte die Bevölkerung dort bereits lange vor der Einführung solch moderner Planungsansätze weitreichende Möglichkeiten zur Einflussnahme auf politische Entscheidun-gen (Linder 2009: 574ff.). So hebt z.B. Bratzel (1999: 183ff.) die Ablehnung der städtischen U-Bahn-Planung durch die Züricher Bevölkerung als wegweisende Richtungsänderung hervor und bewertet die Möglichkeiten zur Interessenartikulation und auch deren Durchsetzung sei-tens der Bürger als wichtigen Einflussfaktor der Entwicklung des städtischen Verkehrs. Dabei stellt sich die Frage, ob der Einfluss der Züricher Bevölkerung auf die städtische Verkehrspolitik und damit auch auf die Entwicklung der lokalen Mobilitätskultur eher einen Sonderfall darstellt, oder ob auch in anderen Städten die Bürger in ähnlicher Weise die Mobi-litätskultur mit geprägt haben. Im Rahmen dieser Arbeit wurde deshalb näher untersucht, welchen Einfluss die Bevölke-rung einer Stadt über ihr eigenes Verkehrsverhalten hinaus auf die Herausbildung der jeweili-gen Mobilitätskultur hat. Für die Analyse wurde ein Vergleich der Entwicklung der Mobili-tätskulturen in Zürich und Frankfurt am Main vorgenommen, wobei der Einfluss der Bevölke-rung auf zentrale Debatten und Entscheidungen im Mittelpunkt stand. Frankfurt ist als Ver-gleichsstadt in besonderer Weise geeignet, da Frankfurt einerseits im Hinblick auf die Stadt- und Wirtschaftsstruktur sowie die Herausforderungen im Verkehrsbereich teilweise große Ähnlichkeiten zu Zürich aufweist (Langhagen-Rohrbach 2003: 40, 44ff., 60ff.). Andererseits bestehen im Hinblick auf das politische System bzw. die politische Kultur aber auch charakte-ristische Unterschiede (Linder 2009: 567ff.; Dreßler 2010: 165ff.). Von Interesse bei der Un-tersuchung war insbesondere auch die Frage nach den Motiven für die Beteiligung der Bevöl-kerung, d.h. ob die eigentliche Intention bei der Beeinflussung städtischer Verkehrspolitik durch die Bürger die bewusste Gestaltung von Verkehr und Mobilität in der Stadt war, oder ob andere Beweggründe im Vordergrund standen. Dabei galt es ebenso herauszuarbeiten, in-wiefern die Entwicklung der Mobilitätskultur einer Stadt auch mit einer bestimmten politi-schen Kultur der Beteiligung oder einem speziellen gesellschaftlichen Kontext verknüpft ist.
Für die Untersuchung wurde, aufbauend auf einer eingehenden Analyse des Begriffs „Mobilitätskultur“ selbst und möglicher Einflussfaktoren auf die urbane Mobilitätskultur, zunächst ein Vergleich der aktuellen Mobilitätskulturen in Zürich und Frankfurt vorgenom-men. Im Anschluss an eine Gegenüberstellung der jeweiligen Rahmenbedingungen der Ent-wicklung wurde dann abschließend eine vergleichende Analyse des Einflusses der Bevölke-rung auf zentrale Debatten und Ereignisse bei der Entwicklung der lokalen Mobilitätskultur durchgeführt. Bei der Analyse der Züricher Mobilitätskultur im Rahmen der Vergleiche wur-de lediglich auf die bereits vorhandene theoretische Literatur und statistische Erhebungen zurückgegriffen. Für die Untersuchung der Frankfurter Mobilitätskultur wurden zur Ergän-zung dieser Quellen zwei Experteninterviews und eine fallbezogene Analyse einschlägiger Artikel einer Frankfurter Tageszeitung durchgeführt.
Der Mietspiegel ist ein Instrument im deutschen Vergleichsmietensystem, mit dem die Mietpreise auf dem privaten Wohnungsmarkt reguliert werden sollen. Frankfurt am Main war Pionier bei der Durchsetzung des Mietspiegels in der Bundesrepublik: Bereits in den 1960er Jahren wurden Mietprognosen von der Vereinigung der Haus-, Grund- und Wohnungseigentümer (Haus & Grund) veröffentlicht, die bei Rechtsstreitigkeiten schlichtende Funktion erfüllen sollten; 1974 kam es zur Bildung einer Kommission, in der neben der Stadt Frankfurt u.a. Repräsentant_innen der beiden Mietparteien vertreten waren und die den ersten Mietspiegel herausgab (vgl. Lammel 2007: 4); 1990 kam es schließlich zur bundesweit ersten Erstellung eines Mietspiegels mittels der Regressionsanalyse – einer Methode, die damals von Seiten der Vermieter_innenverbände heftig angefeindet wurde (vgl. ebd.: 6ff., Hummel 1993), mittlerweile jedoch allgemein als anerkannt gilt (vgl. BMVBW 2002: 39). In Frankfurt kommt diese Methode bis heute zur Anwendung, obwohl sie nach wie vor in der Kritik der Vermieter_innenverbände steht (vgl. exemplarisch Ridinger 2011). Entsprechend lehnten diese bspw. den Mietspiegel 2008 geschlossen ab, während die Mieter_innenverbände ihm durchweg zustimmten (vgl. Amt für Wohnungswesen 2008: 4). Haus & Grund äußerte sich damals in Vertretung der Kleineigentümer_innen wie folgt:
„Der einseitig von der Stadt aufgezwungene Mietspiegel kann seinen Hauptzweck, nämlich für eine Befriedung zwischen Mietern und Vermietern zu sorgen, nicht erfüllen“ (Haus & Grund 2009).
2010 wendete sich das Bild: Während die Vermieter_innenverbände dem neuen Mietspiegel mehrheitlich zustimmten, stimmte ein Mieter_innenverband dagegen und zwei enthielten sich der Stimme. Beispielhaft auch hier die Erklärung von Haus & Grund:
„Frankfurter Vermieter können aufatmen. Der neue Frankfurter Mietspiegel 2010 ermöglicht Mietsteigerungen um durchschnittlich 4,4 Prozent. (...) Die Innenstadt wurde durch die Einführung von zwei neuen Wohnlage-Kategorien stark aufgewertet, die Liste der Durchgangsstraßen wurde merklich reduziert, und der restaurierte Stilaltbau erhält endlich die Zuschläge, die ihm gebühren. Freuen dürfte viele Vermieter zudem, dass auch Balkone, Terrassen, Loggien und Rollläden wieder Zuschläge erhalten, ebenso wie modernisierte Bäder“ (Haus & Grund 2011a).
In der Folge kam es zu teilweise drastischen Mieterhöhungen, die zum Protest verschiedener Stadtteilinitiativen führten (FR 2011b, 2011c). In der Diskussion um die Fortschreibung des Mietspiegels 2010 wurde von der IG BAU seine Abschaffung gefordert (vgl. FR 2012d).
IFLS-Journal. Nr. 17, 2012
(2012)
Sedimentbilanzen haben sich als Methode zur Quantifizierung von Sedimentflüssen in Raum und Zeit in den Geowissenschaften etabliert. Sie eröffnen die Möglichkeit, differenzierte Aus¬sagen über die Erosions- und Sedimentationsdynamik von Einzugsgebieten zu treffen. Ziel der vorliegenden Arbeit ist es, die holozäne Erosions- und Sedimentationsentwicklung im mesoskaligen Mittelgebirgseinzugsgebiet des Speyerbachs im Pfälzerwald zu erfassen, und räumlich und zeitlich möglichst differenziert darzulegen. Um Langzeit-Sedimentbilanzen für den Speyerbach zu berechnen wurden verfügbare Daten zum Boden, eine eigene Kartierung der Erosion und Sedimentation sowie eine intensive (OSL und 14C-) Datierung zweier Stand¬orte durchgeführt. Die Sedimente wurden durch eine direkte Kartierung erfasst. Die Erosions¬tiefe errechnet sich aus der Subtraktion der aktuellen Mächtigkeit der Hauptlagen und der Parabraunerden vom initialen Zustand (= Berechnungsgrundlage).
Die Sedimentbilanz I basiert auf öffentlich zugänglichen bodenkundlichen Punkt- und Flächendaten und hat eine Erosion von ~27 Mio. m³ mit einem Einzugsgebiets-Sedimentaus¬tragsverhältnis (CSDR) von 31,5 % ergeben. Die Sensitivitätsanalyse belegt eine hohe Abhängigkeit des Ergebnisses von der Wahl der Berechnungsgrundlage. Aufgrund fehlender Daten sind eine höhere räumliche Auflösung sowie Aussagen zur zeitlichen Entwicklung nicht möglich.
Die Berechnung der Sedimentbilanz II erfolgte auf der Grundlage eigens erhobener Punkt- und Flächendaten, womit die Anwendung eines nested approach möglich wurde: Neben der Gesamtbilanz für den Speyerbach (sechste Strahler-Ordnung) wurden Bilanzen für Teilein¬zugsgebiete erster und vierter Strahler-Ordnung erstellt, anhand derer die Skalenabhängigkeit der Sedimentdynamik diskutiert werden konnte. Es wurden ~109 Mio. m³ und ein CSDR von 5 % errechnet und ebenfalls eine hohe Sensitivität gegenüber der Änderung der Erosionstiefen festgestellt.
Die erfolgreiche Datierung von periglazialen Deckschichten zweier Bodenprofile unterstützt die Ergebnisse der Landnutzungsrekonstruktion aus Literaturdaten und historischen Karten und zeigt, dass in den Tälchen erster Ordnung Erosion verstärkt in der Neuzeit stattfand. Nur in den lösslehmbeeinflussten Gebieten hat sich die Besiedlung im Frühmittelalter in der Ablagerung von Bodensedimenten abgebildet. Es wurden frühholozäne Umlagerungsprozesse am Hang identifiziert. Aufgrund der guten Datierungseigenschaften der sandigen periglazia¬len Lagen wäre das Untersuchungsgebiet geeignet, der Frage nach der Parallelisierung der frühholozänen Umlagerungen von Hangsedimenten mit Klimaschwankungen nachzugehen.
Die vorliegende Arbeit liefert mit den erstellten Sedimentbilanzen und der Darlegung der Landnutzungsverhältnisse ein regionales Beispiel für Mittelgebirgsräume im Rhein-Einzugs¬gebiet. Die mikro- bis mesoskaligen Ergebnisse folgen der generellen Tendenz anderer welt¬weiter Studien, wonach die Sedimentaustragsverhältnisse mit steigender Einzugsgebietsgröße abnehmen. Die Werte der Sedimentbilanz II liegen jedoch deutlich unter denen der Lössge¬biete und belegen, dass sich die Zwischenspeicherung in der Mittelgebirgsregion höher ist. Die räumliche Differenzierung zeigt regionale Unterschiede, die auf der Zugänglichkeit, der administrativen Zugehörigkeit und die naturräumliche Ausstattung zurückzuführen sind. Arbeiten in anderen Sandsteinregionen Deutschlands sind derzeit im Gange und werden in Zukunft eine Einschätzung der vorliegenden Untersuchung zulassen.
Calcium-deficiency rickets (CDR) is a metabolic bone disease in children that is characterized by impaired mineralization and severe bone deformities. As CDR is often an endemic phenomenon that is almost exclusively restricted to tropical areas, environmental conditions are currently considered to be a possible predisposing factor for the CDR. Apart from a lack of macronutrients and micronutrients, an oversupply of potentially toxic elements (PTEs) in the soil-plant pathway of the CDR areas is thought to be involved in the aetiology of CDR. This study is the first to comprehensively analyze the impact of the environment on Ca deficiency and the resulting CDR.
To analyze the impact of the environment on CDR in developing countries, a rural region near Kaduna City, northern Nigeria, was chosen as a study area. From this area, cases of CDR have been reported since the early 2000s with a prevalence rate of 5%. Within this study area, 11 study sites, including areas with a high CDR prevalence (HR), a low CDR prevalence (LR) and no CDR prevalence (NR), were visited. In these HR, LR and NR study sites, the bedrock was investigated and the types of parent materials were identified. Local farmers were interviewed to determine the type and intensity of the land use. The soil types were determined along toposequences. The soil textures as well as the clay mineral fractions were determined. The pH values were measured, and the contents of organic carbon (OC) were determined. The potential cation-exchange capacity (CECpot) and the base saturation (BS) were analyzed. Furthermore, the total and plant-available macronutrient, micronutrient and PTE concentrations were measured in the soils. The drinking water was analyzed for pH values and the concentrations of Ca, Se and F were measured. The maize was analyzed for the Ca, Mg, K and P, Se and phytic acid (PA) contents.
The field and laboratory analyses on the bedrock showed that the HR, LR and NR study sites near Kaduna City, northern Nigeria, were underlain by Older Granites. A direct link between the distribution of the bedrock, the parent materials and the prevalence of CDR was not found. Interviews with the local farmers showed that the land use in the Kaduna study area is dominated by the cultivation of cash crops and food crops. Field analyzes on the soil types in the Kaduna study area showed that the distribution of the soil types is highly dependent on the topography and the distribution of the parent materials. In near vicinity to the inselbergs, Lixisols had developed on grus slope deposits. In the lower pediment and plain positions, Acrisols had developed on grus slope deposits and pisolite slope deposits. In the upper plains, Plinthosols had developed on pisolite slope deposits and in the river valleys, Fluvisols had developed on river deposits. Such soil types and soil type distributions are typical for granite-underlain areas in the northern guinea savanna of West Africa. Similarly, the physical soil conditions were representative for the soils of the northern guinea savanna: sandy topsoils, clayey subsoils and relatively high contents of kaolinite clay minerals in the clay fractions. With regard to the geochemical composition, no significant difference was found between the soils of the Kaduna study area and the soils of other granite-underlain areas in West Africa. Only the concentrations of P were considerably low in the soils of the Kaduna study area. However, P deficiency is a typical phenomenon in West African savanna soils and is not restricted to CDR areas. The micronutrient concentrations in the soils were low, but not critically low. Laboratory analyses on the amounts of PTEs showed that compared to worldwide background levels and international critical limits the PTE concentrations were very low in the soils of the Kaduna study area. In the drinking water, neither a significant lack of macronutrients and micronutrients, nor a noticeable oversupply of PTEs was found. The maize in the HR, LR and NR study sites contained normal contents of Mg, K and P, low contents of Ca and Se as well as slightly elevated concentrations of PA compared to West African food composition tables. Comparisons between the mineral contents of traditional and modern maize cultivars showed that the traditional maize cultivars contained significantly higher contents of Ca and noticeably lower concentrations of PA than the modern maize cultivars.
A direct link between the environmental conditions and the CDR in the Kaduna study area was considered unlikely, as neither a statistically significant lack of macronutrients and micronutrients, nor a statistically significant oversupply of PTEs was found in the environment of this area. Instead, the results indicated that the nutrition rather than the environmental conditions that impacts the prevalence of CDR.
"Ich bin mit dem Pedelec zur Arbeit gekommen – das ist super. Ich fahre mit gutem Gewissen, komme relativ schweißfrei an und habe meine Portion Bewegung auch schon gehabt." Aussagen wie diese sind für die sozialwissenschaftliche Begleitforschung zur Elektromobilität wegweisend, denn sie zeigen, was Menschen dazu antreibt, auf umwelt- und ressourcenschonende Verkehrsmittel umzusteigen. Während im Bereich der Automobilität ein Durchbruch (noch) nicht in Sicht ist, erfreut sich das E-Bike zunehmender Beliebtheit.
Within the emerging field of cultural neuroscience (CN) one branch of research focuses on the neural underpinnings of “individualistic/Western” vs. “collectivistic/Eastern” self-views. These studies uncritically adopt essentialist assumptions from classic cross-cultural research, mainly following the tradition of Markus and Kitayama (1991), into the domain of functional neuroimaging. In this perspective article we analyze recent publications and conference proceedings of the 18th Annual Meeting of the Organization for Human Brain Mapping (2012) and problematize the essentialist and simplistic understanding of “culture” in these studies. Further, we argue against the binary structure of the drawn “cultural” comparisons and their underlying Eurocentrism. Finally we scrutinize whether valuations within the constructed binarities bear the risk of constructing and reproducing a postcolonial, orientalist argumentation pattern.
Wie China sich im vergangenen Jahrzehnt in Afrika engagiert hat, ist zwar auffällig, aber nicht einzigartig: Auch andere wirtschaftlich dynamische Länder Asiens, wie etwa Japan, Indien, Malaysia oder Korea, sind in fast allen Ländern auf dem afrikanischen Kontinent aktiv. Umgekehrt machen sich Tausende Afrikaner auf den Weg nach Asien – Händler, Unternehmer und Studierende – und fangen an, die asiatischen Gesellschaften zu verändern. Die neuen wirtschaftlichen, kulturellen und politischen Kontakte eröffnen Afrika Möglichkeiten, die seit dem Ende des Kolonialismus verbreiteten Muster in seinen internationalen Beziehungen zu verändern und aus einer Vielzahl neuer Handlungsoptionen auszuwählen – jenseits des "Westens"
Im Interview mit Dr. Anne Hardy wagt RMV-Stiftungsprofessor Martin Lanzendorf einen Blick in die Zukunft: Die flexible, zweckangepasste Wahl von Verkehrsmitteln ist die Regel und wird durch die Vernetzung mit Smartphones erleichtert, Radfahrer und Fußgänger erobern die Straße zurück – und die Goethe-Universität entwickelt neue Initiativen im Mobilitäts- und Energiemanagement.
Im Neoliberalismus sind die politischen Handlungsspielräume für das zu Selbstführung und -verwertung verdammte Kreativsubjekt eng geworden und auch im Unternehmen Stadt werden politische Prozesse zunehmend Marktlogiken und „-zwängen“ untergeordnet. Am Beispiel der Auseinandersetzungen über die Planung eines KulturCampus in Frankfurt am Main und mit Hilfe neuerer Theorien des Politischen untersucht dieser Artikel aktuelle Formen des Unvernehmens gegen hegemoniale Formen unternehmerischer Politik und lotet neue Möglichkeiten politischer Subjektivitäten in der kreativen Stadt aus, wie sie derzeit u.a. im Kontext der Recht-auf-Stadt-Bewegung und in den performance studies erprobt werden. Dabei wird der Frage nachgegangen, inwiefern diese neuen Formen des Widerstandes in der Lage sind, die marktlogischen, postdemokratischen Regeln von Politik selbst zum Thema, neue Subjektpositionen artikulierbar und Stadt politisch wieder verhandelbar zu machen.
IFLS-Journal. Nr. 18, 2013
(2013)
Bislang war in deutschen Städten das Wohnen im Eigentum – entweder im Eigenheim oder in der Eigentumswohnung – die Ausnahme. Insbesondere in Großstädten dominierte das Wohnen zur Miete. Gegenwärtig ändert sich dies: Großstädte wie Frankfurt, Berlin, Hamburg, Köln und München sind gegenwärtig geprägt von einer Kauflust privater und institutioneller Investoren. Zugleich hat in vielen Städten ein Ausverkauf und/oder Vermarktlichung des öffentlichen Wohnungsbestandes stattgefunden. Dies hat dazu beigetragen, dass die Preise sehr stark angestiegen sind. In dem Beitrag wird die aktuelle Entwicklung auf städtischen Wohnungsmärkten in Deutschland als Folge einer Finanzialisierung von Immobilien sowie einer Responsibilisierung im Bereich der Wohnversorgung analysiert. Es wird gefragt, welche Folgen dies in Städten hat.
Während aktuelle empirische Daten Hinweise auf einen Wandel der Mobilitätsorientierung von Jugendlichen und Heranwachsenden in Agglomerationen liefern, ist im ländlichen Raum der Trend zur individuellen Motorisierung ungebrochen. Die vorliegende Synthese des Forschungsstandes deutschsprachiger und internationaler Forschungsliteratur stellt Erkenntnisse zum Mobilitätsverhalten und zu mobilitätsbezogenen Einstellungen sowie bisher durchgeführte Maßnahmen zur Beeinflussung des Mobilitätsverhaltens von Personen in der Altersgruppe bis ca. 27 Jahre vor.
Questions about how human-environment-relations can be conceptualized in a non-dualistic way have been intensively discussed throughout the last decades. The majority of the established realist and constructivist perspectives aim at explaining a given situation by analytically dissecting it. Unfortunately, such an interactionist perspective systematically reproduces the dualistic division between humans, environment and nature.
In contrast, this paper offers a transactive perspective origin in classical pragmatism and discusses its meta-theoretical consequences for human-environment-research. A transactionist perspective interprets the world as a flow of unique and entangled events. Instead of ontologically separating humans and environment, it advocates to look at their relations as being part of a "connatural world". Such a point of view raises new ethical and political questions for geographical human-environment research, argues for a renaissance of ideographic methodologies and hints to a fruitful unity of geographical inquiry.
Das schlanke Buch bietet einen kompakten, aber nuancierten Überblick über feministische Kriminologien. Allerdings beschränkt sich Claire M. Renzetti weitgehend auf eine Analyse des US-amerikanischen Kontexts. Zudem wird gesellschaftliche Restrukturierung vor allem als Wandel des Frauenanteils unter kriminologischen Wissenschaftler_innen, Gesetzesübertretenden sowie Polizeikräften, Richter_innen oder Strafvollzugsbeamt_innen thematisiert, während z. B. Prozesse der Neoliberalisierung keine Berücksichtigung finden. Schließlich fehlen relevante jüngere Ansätze wie Foucault’sche oder neuere materialistische Perspektiven. Insgesamt liefert das Buch damit vor allem bezüglich der Frühphasen feministischer Kriminologie in den USA hilfreiche Einordnungen.
Divergierende Ansprüche an Kletterrouten führen derzeit zu Konflikten im Alpenraum. Da aus sozialgeographischer Sicht keine Raum-, sondern nur Handlungsprobleme existieren, lohnt ein Blick auf die im Hintergrund wirksamen sozialen Strukturen. Unter Rückgriff auf WERLENs Modell der "'gemachten' Räume“, SCHIMANKs "Werkzeugkasten" und die Neue Phänomenologie nach SCHMITZ analysiert dieser Text die zum Teil handgreiflichen Querelen inmitten alpiner Wildnis und beantwortet aus handlungstheoretisch-phänomenologischer Perspektive die Frage, wem die alpinen Kletterfelsen "gehören".
Dieser Text hinterfragt das Paradox des „sicheren Risikosports“ Hallenklettern anhand soziologischer Reflexion. Dazu werden mathematisch-logische, ethnographische und juristische Perspektiven eingenommen, um einer naiven Statistikgläubigkeit entgegenzuwirken, den gesunden Menschenverstand nach GEERTZ in Zweifel zu ziehen und das Konstrukt der eigenverantwortlichen Selbstgefährdung auf seine Passfähigkeit hin zu prüfen. Die Analyse zeigt auf, dass die momentane Verantwortungszuweisung nur eine mögliche Alternative darstellt und leider nicht die optimalste. Denn sie verhindert letztlich eine effektive Unfallprävention.
Die Goethe-Universität ist einer der größten Verkehrserzeuger der Stadt Frankfurt. Der Bericht zum Mobilitätsmanagement stellt zunächst die drängendsten Herausforderungen an der Goethe-Universität exemplarisch für den größten Campus, den Campus Westend, dar. Anschließend werden Maßnahmen zur Verbesserung der Situation abgeleitet und hinsichtlich ihrer Wirkung, ihrer zeitlichen Realisierung und der notwendigen Kosten abgeschätzt. Übergreifend wird die Einführung eines institutionalisierten Mobilitätsmanagements für die Goethe-Universität vorgeschlagen. Damit können – in enger Abstimmung mit weiteren städtischen Akteuren – Maßnahmen zu einer sowohl effizienteren als auch umweltfreundlicheren und sicheren Gestaltung des Verkehrs von Studierenden und Beschäftigten umgesetzt werden.
IFLS-Journal. Nr. 19, 2014
(2014)
Susanne Heeg & Marit Rosol: Vorwort
Svenja Keitzel, Janine Pößneck & Ole Werner: Zwangsräumungen in Frankfurt am Main - Wandel des Wohnungsmarktes und seine Folgen
Eva Kuschinski: Sozialer Wohnungsbau lohnt sich nicht - Ökonomisierung der Frankfurter Wohnungspolitik am Beispiel der ABG Frankfurt Holding
Nicole Dornig & Andreas Blechschmidt: Betrieblicher Wohnungsbau im Wandel: Eine Untersuchung am Beispiel der Eisenbahnersiedlung in Frankfurt-Nied
Jakob Hebsaker & Pieterjan Dom: Alternatives Wohnen zwischen Häuserkampf und GmbH – Zur Entwicklung der Idee des Mietshäuser Syndikats
Lucas Pohl & Franziska Vaessen: Die Möglichkeit von Irrelevanz: Zur stadtpolitischen Auseinandersetzung um selbstverwaltete (Frei-)Räume am Beispiel des „Instituts für vergleichende Irrelevanz“ in Frankfurt am Main
Lara-Maria Mohr & Franziska Schmidt: Wohnraum verdichten, Wohnraum vernichten? - Bürgerbeteiligung bei der Planung von innerstädtischer Nachverdichtung
Amrei Biedermann, Andre Mascarinas & Anna-Lena Ripperger: Wie die Verbriefung von Gewerbeimmobilien deutsche Städte verändert – das Beispiel City Tower in Offenbach am Main
Der vorliegende 12. Band des vom Institut für Humangeographie herausgegebenen „Forum Humangeographie“ beschäftigt sich mit politischen Fragen rund um Wohnen und Immobilienentwicklung in Städten. Er vereint theoretisch fundierte und zugleich aktuelle empirische Beiträge zur Verwertung, Nutzung und Gestaltung der gebauten Umwelt, aber auch zu den Fragen, was der Verlust von Wohnraum bedeutet und welche alternativen Ansprüche an die gebaute Umwelt formuliert werden. Im regionalen Fokus dieses Sammelbandes stehen Frankfurt am Main und Offenbach als Teil der Rhein-Main-Region. Dieser räumliche Bezug hat forschungspraktische (z.B. Zugänglichkeit von Expert_innen), aber auch inhaltliche Gründe, da sich in dieser Region Wohnen und die gebaute Umwelt im besonderen Maße als gesellschaftliches Konfliktfeld – gekennzeichnet durch Phänomene wie Büroleerstand, Wohnungsmangel und Widerstand gegen Wohnen als Ware – erweisen und untersuchen lassen. Die Rhein-Main-Region ist wie andere große deutsche Metropolregionen von einem angespannten Immobilienmarkt geprägt, der das Ziel volatiler, d.h. in Bezug auf Umfang und Objekte sehr stark schwankender, Investments ist. Bis 2008 flossen Investitionen vorrangig in den Bürobestand, im Zuge der Finanz- und Schuldenkrise wurden Investments institutioneller Anleger jedoch in den Wohnungsmarkt umgelenkt (Scharmanski 2013; Heeg 2013). Hintergrund hierfür sind einerseits eine steigende Zahl von sog. notleidenden Krediten („non-performing loans“) im Büroimmobilienbereich (vgl. Biedermann et al., Kap. 7) und andererseits anziehende Mieten und Eigentumspreise auf dem Wohnungsmarkt, welche Investitionen in Wohnimmobilien lukrativ werden lassen (Kholodilin/Mense 2012). In der Folge werden vermehrt Luxuswohnungen erstellt und wird preiswerter Wohnraum vernichtet.
Ein ungebremster Klimawandel „[…] würde[n] die physikalische Geografie der Welt transformieren. Eine radikale Änderung der physikalischen Geografie der Welt muss unbedingt starke Auswirkungen auf die humane Geografie haben – wo Menschen leben und wie sie leben.“(Stern 2006: iv)
Unser Erdsystem sowie unser Gesellschafts- und Wirtschafssystem zeichnen sich durch ihre Offenheit, Prozesshaftigkeit und Dynamik aus; sie befinden sich in einem ständigen Wandel. Auch das Weltklima hat sich schon immer verändert; gekennzeichnet durch einen Wechsel von Kalt- und Warmzeiten. Doch heute dominiert der Faktor Mensch das Erdsystem: Mit der industriellen Revolution und dem Übergang in ein kapitalistisches Gesellschafts- und Wirt-schaftssystem hat sich auch der natürliche Treibhauseffekt entscheidend beschleunigt. Durch vom Menschen verursachte Emissionen, ist die CO2-Menge in unserer Atmosphäre heute be-reits um ein Drittel höher als sie in den Jahrmillionen vor Beginn der Industrialisierung jemals war (Gebhardt und Glaser 2007: 963; Bernstein et al. 2008). Die Qualität und Tragweite des Phänomens Klimawandel ist von solchem Ausmaß, dass die natürliche wie soziale Umwelt dadurch aus ihren Fugen geraten kann.
Der Ruf nach einem „Rettungsschirm für Kommunen“, einem „Stärkungspakt Stadtfinanzen“ oder „kommunalen Entschuldungsfonds“ rückt in regelmäßigen Abständen die ernste Lage einer Vielzahl klammer Kommunen ins öffentliche Bewusstsein. Die drohende Überschuldung deutscher Städte und Gemeinden stellt parallel zur Entwicklung der globalen Finanz- und Wirtschaftskrise eine besorgniserregende Realität dar. Große Löcher in den Kommunalhaushalten sind dabei kein Phänomen der jüngsten Vergangenheit, vielmehr macht sich die angespannte Finanzlage in vielen Kommunen bereits seit Jahren vor Ort bemerkbar. Beispielsweise in den Bereichen von Kultur, Jugendeinrichtungen, Beratungsstellen, Museen, Bibliotheken, Sportplätzen, Freibädern, Freizeitangeboten und Tierparks sind Ausgabenkürzungen an der Tagesordnung, die die Einwohner_innen alltäglich mit der finanziellen Unterausstattung auf Lokalebene konfrontieren. Außerdem dokumentiert ein rasanter Anstieg des Kreditvolumens im vergangenen Jahrzehnt die klamme Lage der Kommunen. Im Krisenjahr 2009 sind die sogenannten Kassenkredite, die kurzfristige Engpässe im Kommunalhaushalt ausgleichen sollen, auf fast 35 Milliarden Euro angestiegen und haben bundesweit mittlerweile ein Volumen von 48 Milliarden Euro überschritten (Deutscher Städtetag 2013).
Diese enorme Schuldenlast ist vor allem als Resultat einer strukturellen Unterfinanzierung der Städte zu werten, welche nicht zuletzt die Erbringung der kommunalen Daseinsvorsorge im Infrastrukturbereich gefährdet sowie wie bei der städtischen Gas-, Wasser- und Elektrizitätsversorgung oder im engeren sozialen Bereich. Um die lokale Verantwortung für die Versorgungssicherheit wiederzugewinnen, gab es in den letzten Jahren vermehrt Projekte, um Versorgungsbetriebe wieder in städtisches Eigentum zurückzuführen (Libbe 2011; Verband kommunaler Unternehmen 2012). Unter dem Stichwort Rekommunalisierung wurde die Gründung eigener Stadtwerke bereits als Abkehr von einer Privatisierungslogik (Candeias et al. 2009) präsentiert. In diesem Licht erscheint Kommunalpolitik mitunter als Alternative zu renditeorientiertem Wirtschaften.
Eine solche Darstellung übersieht allerdings, dass kommunales Handeln eng in den wachstumsorientierten Finanzmarktkapitalismus eingebunden ist. Diese Einbindung hat eine materielle Basis und tritt beispielsweise dann zu Tage wenn Kommunen auf Grund der konjunkturellen Flaute in der internationalen Finanz- und Wirtschaftskrise stark unter steigenden Ausgaben für Sozialtransfers sowie unter sinkenden Steuereinnahmen leiden. Zusätzlich besteht aber auch eine diskursive Einbindung, die sich darin äußert, dass die Pflicht zur Fiskaldisziplin in bundesdeutschen Kommunen bereits eine vergleichbare Bedeutung erlangt hat wie in den Haushaltsplänen der Nationalstaaten der Euro-Zone. Schon werden in Anlehnung an die Einführung nationaler Schuldenbremsen kommunale Schuldenbremsen diskutiert (Bertelsmann Stiftung 2013). Das kann kaum verwundern, da in einer Mehrzahl der Kommunen schon kurz nach der Subprimekrise die Verantwortlichen zu einem wettberwerbsorientierten Politikverständnis zurückkehrten und konservative Konzepte der Krisenlösung anwendeten(Belina und Schipper 2009). Zum aktuellen Zeitpunkt gibt es daher wenig Anlass Kommunalpolitik auf einem alternativen Entwicklungsweg zu glauben.
In der Region Rhein-Main steht mit dem Rhein-Main-Mobilitätspanel (RMP) seit dem Jahr 2008 ein Datensatz zur Verfügung, der im Vergleich zu früheren Datensätzen eine verbesserte Beschreibung der regionalen Mobilitätsentwicklung ermöglicht. In dieser Methodenstudie wird überprüft, inwieweit Anschlussmöglichkeiten dieses Datensatzes mit anderen regionalen Datensätzen bestehen. Das Ziel dieser Studie ist somit die Prüfung, inwiefern in der Region Rhein-Main vorliegende Mobilitäts- und andere (insbesondere raumbezogene) Daten mit dem RMP kombiniert werden können, um daraus neue Erkenntnisse und Handlungsoptionen für die Entscheidungsträger vor Ort zu entwickeln. Im Rahmen der Studie werden sowohl ein Vergleich der Stichprobenzusammensetzung und der Erhebungsmethodik als auch der erfassten Kennziffern durchgeführt und Möglichkeiten zur Kombination mit Raumstrukturdaten überprüft. Weiterhin werden zentrale Mobilitätskennziffern der betrachteten Erhebungen (MiD 2002, 2008; SrV 2008; Deutsches Mobilitätspanel 2002-2008) gegenübergestellt und die Anwendbarkeit des harmonisierten und kombinierten Datensatzes hinsichtlich einer inhaltlichen Fragestellung überprüft.
In Südtirol wurde 2014 erstmals ein landesweiter Fahrradwettbewerb organisiert, der die Südtiroler Bevölkerung auf spielerische Weise davon überzeugen sollte, für Alltagswege auf das Fahrrad umzusteigen. Die 1.219 Teilnehmenden am Wettbewerb sind insgesamt mehr als 850.000 Kilometer geradelt. Diese Evaluation soll zeigen, ob der Fahrradwettbewerb eine erfolgreiche Maßnahme war, um den Radverkehr in Südtirol zu fördern, also ob tatsächlich eine Verlagerung vom motorisierten Individualverkehr auf den Radverkehr erreicht wurde. Der Erfolg ähnlicher Wettbewerbe wurde bislang vor allem in den Teilnehmer- und Kilometerzahlen gemessen, eine wissenschaftliche Evaluation der durch die Kampagnen erreichten (Verlagerungs-)Effekte fand bislang kaum statt. Die Evaluation des Südtiroler Fahrradwettbewerbs orientiert sich am MaxSumo-Leitfaden zur Evaluation von Mobilitätsmanagementmaßnahmen. Zusätzlich wurden die Motive und Wünsche der Teilnehmenden und Veranstalter herausgearbeitet und der Südtiroler Fahrradwettbewerb mit anderen Fahrradwettbewerben verglichen.
Für Arbeitswege charakteristisch sind eine räumliche und zeitliche Konzentration in Richtung Arbeitsplatzzentren und zu Tagesrandzeiten sowie ein überdurchschnittlich hoher Anteil des motorisierten Individualverkehrs an der Verkehrsmittelnutzung. So tragen Arbeitswege bedeutend zur zyklischen Belastung der Verkehrsinfrastruktur sowie zu städtischen Verkehrs- und Umweltproblemen bei. Da die Verkehrsmittelnutzung vor allem auch auf Arbeitswegen unter stabilen Rahmenbedingungen außerdem in hohem Maße routinisiert abläuft, kommt sogenannten Umbruchsereignissen in Mobilitätsbiographien eine zentrale Bedeutung hinsichtlich einer Reflexion des Mobilitätsverhaltens zu. Aufgrund dessen wird in dieser Arbeit zum einen untersucht, inwiefern überregionale Wohnumzüge (zwischen Bremen, Hamburg und dem Ruhrgebiet) zu einer Veränderung der Verkehrsmittelnutzung auf Arbeitswegen beitragen. Darauf aufbauend wird mittels multivariaten binär-logistischen Regressionsmodellen untersucht, welche Bedeutung veränderte raumstrukturelle Rahmenbedingungen sowie a priori vorhandene Verkehrsmittelpräferenzen für diese Veränderungen haben. Die Ergebnisse zeigen zum einen, dass es im Anschluss an Wohnumzüge zu einer signifikanten Veränderung der Verkehrsmittelnutzung auf Arbeitswegen in Form von einer Anpassung dessen an die mobilitätsbezogenen Rahmenbedingungen des Zielortes des Wohnumzugs kommt. Anhand der multivariaten Regressionsmodelle kann darüber hinaus ein signifikanter Einfluss raumstruktur- und präferenzbezogener Faktoren auf die Veränderung der Verkehrsmittelnutzung auf Arbeitswegen nachgewiesen werden. Da sich der Einfluss dieser Faktoren je nach Verkehrsmittel zum Teil sehr unterschiedlich gestaltet, werden aus diesen Ergebnissen abschließend verkehrsmittelspezifische Maßnahmen, z.B. zur Gestaltung eines (betrieblichen) Mobilitätsmanagements, abgeleitet.
Der Aufsatz schlägt die Verbindung und Erweiterung von Analysen des (neoliberalen) Regierens mit nicht-subjektzentrierten und affekttheoretischen Ansätzen vor. Anhand einer Analyse des sozialpolitischen und sozialarbeiterischen Umgangs mit Wohnungslosen wird nachvollzogen, welcher Gewinn sich aus der Verbindung von gouvernementalen und affekttheoretischen Perspektiven ergeben kann. Aus einer gouvernementalen Perspektive wird zunächst nachgezeichnet, wie Affekte und Emotionen in Räumen des betreuten Wohnens für Wohnungslose zum Gegenstand fürsorglicher Intervention werden. Im betreuten Wohnen kommen Mikrotechniken zum Einsatz, die auf eine "ausgewogene" emotionale Bindung an Wohnräume und ihr Inventar hinarbeiten. Das betreute Wohnen ist von Problematisierungen durchzogen, die Wohnungslosigkeit als emotionale Haltung der Rastlosigkeit und Unruhe, als einen Mangel an Verbundenheit mit Orten und Dingen deuten. Gleichzeitig wird den Untergebrachten häufig auch eine übersteigerte affektive Bindung an Dinge unterstellt, die sogenannte "Horder" und "Messies" an einer sozial unauffälligen Haushaltsführung hindere. Eine gouvernementale Analyse kann die therapeutische Rationalität sichtbar machen, die diesen Problematisierungen zugrunde liegt. Eine gouvernementale Analyse allein bietet gleichwohl keine Möglichkeit, alternative Erzählungen über die Bedeutung affektiver Beziehungen für das Wohnen zu entwickeln. Mithilfe unterschiedlicher affekttheoretischer Ansätze geht der Aufsatz daher auch der Frage nach, wie sich jenseits therapeutisierender Perspektiven über das Wohnen und die Bedeutung von Bindungen an Orte und Dinge nachdenken lässt. Nicht-subjektzentrierte Konzepte von Affektivität ermöglichen solche alternativen Erzählungen und eröffnen neue Fluchtlinien der Kritik: Wohnen wir sichtbar als immer schon "betreut", eingelassen in ein Netz von intersubjektiven und interobjektiven Beziehungen.
Den Ausgangspunkt für diese Dissertation bildeten die seit 2010 verstärkt stattfindenden Diskussionen um das Thema Elektromobilität, deren politischer Fokus auf das Elektroautomobil gerichtet ist, was insbesondere in dem Ziel von 1 Mio. Elektroautos, die bis 2020 in Deutschland unterwegs sein sollen, zum Ausdruck kommt. Während die Fortschritte in diesem Bereich aber relativ verhalten waren, hatte sich zu diesem Zeitpunkt bereits die Fahrrad-Elektromobilität aus einem Schattendasein gelöst und in den letzten Jahren erhebliche Zuwächse erzielen können. Nach Erkenntnissen des Zweirad-Industrie-Verbandes (ZIV 2013) hat sich die Anzahl verkaufter Pedelecs zwischen 2009 und 2012 kontinuierlich von 150.000 auf 380.000 erhöht.
Im Rahmen der Dissertation wurde über die Analyse der Akzeptanz, Nutzung und Wirkung von Pedelecs untersucht, ob durch die verstärkte Nutzung dieser technologischen Innovation ein Beitrag zu einem nachhaltigeren und zukunftsfähigen Mobilitätssystem geleistet werden kann. Das Ziel der Untersuchung mit dem Schwerpunkt der berufsbezogenen Mobilität war es, herauszufinden, ob und ggf. wie durch eine Verstärkung der Praxis des Pedelec‐Fahrens ein Wandel innerhalb des Mobilitätssystems erreicht werden kann.
Als Ergebnis der Dissertation kann festgehalten werden, dass die Chancen für einen Wandel des Mobilitätssystems derzeit sehr gut stehen und Pedelecs, als vergleichsweise nachhaltige Fahrzeuge, dazu einen aktiven Beitrag leisten können. Zwar findet die dazu notwendige Nutzung, die insbesondere aber nicht ausschließlich zu einer Reduzierung von Automobilität führt, derzeit noch auf einem relativ niedrigen Niveau statt, so dass von einem systemwirksamen Beitrag noch nicht gesprochen werden kann. Es konnten aber, neben der Substitutionswirkung, noch weitere Wirkungen identifiziert werden, die ebenfalls Beiträge zu einem nachhaltigeren Mobilitätssystem leisten können. Damit wird deutlich, dass eine weitere Förderung von Pedelecs, die als notwendig erachtet wird, nicht nur der Pedelec-Mobilität zugutekommen kann, sondern nachhaltiger Mobilität insgesamt.
IFLS-Journal. Nr. 20, 2015
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