580 Pflanzen (Botanik)
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Anhand eines Datensatzes von 1.708 Vegetationsaufnahmen aus 154 bayerischen Naturwaldreservaten wurde die realisierte ökologische Nische von 25 Baumarten hinsichtlich Lichtbedarf bzw. Schattentoleranz untersucht. Für jede Baumart wurde die Stetigkeit des Vorkommens in Baumschicht und Verjüngung berechnet. Für jede Aufnahme wurde die dem Bestandesunterwuchs zur Verfügung stehende Lichtmenge durch Berechnung des mittleren ungewichteten Licht-Zeigerwertes (mL) aller vorkommenden Arten (ohne Baumschicht) auf einer Relativskala geschätzt. Für jede 0,5-Einheiten-Stufe von mL wurde die Präferenz jeder Baumart, getrennt nach Baum- (> 5m) und Verjüngungsschicht (< 5m), als Differenz zwischen relativer Häufigkeit der jeweiligen Art und der relativen Häufigkeit aller Aufnahmen in der mL-Stufe im gesamten Datensatz berechnet. Die Präferenzprofile von Baumschicht und Verjüngungsschicht bildeten die Grundlage einer numerischen Klassifikation von 6 lichtökologischen Nischen typen. Diese Typen werden hinsichtlich ihrer Bindung an bestimmte Entwicklungsphasen und Strukturen der natürlichen Walddynamik diskutiert, mit geläufigen Einteilungen der Baumarten verglichen und im Hinblick auf eine Prognose des Verhaltens unter sich ändernden Umweltbedingungen ausgewertet. – Während sich Edellaubbäume des Tilio-Acerion in den Reservaten sehr ähnlich wie Fagus und Abies verhalten, bilden die Baumarten der Eichenmischwälder eine lichtökologische Gruppe mit rückläufiger Verjüngungstendenz. Unter den übrigen Halbschattbaumarten hebt sich eine Gruppe heraus, welche sich in geschlossenen Beständen vorausverjüngt und nach Störung in die Baumschicht vordringt. Pionierbaumarten bleiben in Naturwaldreservaten weitestgehend auf Sonderstandorte, wo ihre Verjüngung viel Licht vorfindet, beschränkt.
Les végétations arbustives des voisinages des cours d’eau ont été étudiées à partir de 34 relevés phytosociologiques réalisés entre septembre 2001 et décembre 2003, en utilisant la méthode phytosociologique de Braun Blanquet. Deux associations végétales en sont décrites: Feretio-Khayetum senegalensis et Celtido-Diospyroetum mespiliformis. Une alliance nouvelle et un ordre nouveau sont créés pour les regrouper. Il s’agit du Feretio-Khayion senegalensis et du Diospyro-Khayetalia senegalensis. Cet ordre rassemble les groupements vallicoles de la zone de transition soudano sahélienne et est considéré comme vicariante géographique du Pterygotetalia Lebrun et Gilbert 1954. Aussi, le Diospyro-Khayion senegalensis all. nov est consirédéré comme vicariante géographique du Khayo-Pterygotion Schmitz 1950 et du Psychotrio-Tecleion Schmitz 1971. Mots clés: Diospyro-Khayetalia senegalensis, Diospyro-Khayion senegalensis, Parc Régional du W du fleuve Niger
Les résultats de 227 relevés phytosociologiques selon l’approche phytosociologique effectuées au Parc Urbain Bangr-Wéoogo de Braun-Blanquet (1932) montrent que malgré son contexte de forte pression anthropique avec plus d´un million d’habitants aux alentours, cette forêt urbaine conserve encore de nos jours une diversité floristique appréciable avec 327 espèces inventoriées comprenant 117 espèces ligneuses et 210 espèces herbacées. Cette flore qui est répartie dans 11 groupements individualisés grâce aux espèces différentielles, est constituée essentiellement de phanérophytes et de thérophytes. La répartition phytogéographique des espèces montre leur appartenance à plusieurs empires phytogéographiques dominés par les espèces Soudano-Zambeziennes et Pantropicales. La richesse floristique du parc qui contraste avec son environnement, est le résultat d’une politique d’aménagement et de conservation efficace de la biodiversité initiée par l'État et ses partenaires depuis 1936. Mots clés: Flore, conservation, aménagement, spectre biologique, Parc Urbain, Ouagadougou, Burkina Faso, groupements végétaux
L´analyse de dix groupements ligneux et dix espèces dominantes a été faite du nombre de tiges à l’hectare et des classes de diamètre des populations correspondantes. Il ressort que les groupements les plus denses sont ceux à Combretum nigricans Lepr. ex Guill. & Perr., Anogeissus leiocarpus (DC.) Guill. & Perr., Acacia hockii De Wild. et A. dudgeoni Craib. ex Holland, tandis que les moins denses sont ceux à Gardenia ternifolia Schumach. & Thonn., Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn. et Piliostigma thonningii (Schumach.) Milne-Redh. La répartition des individus en classes de diamètre a révélé que tous les groupements sont stables, c’est-à-dire capables de se renouveler par la régénération naturelle. Mais la structure des espèces dominantes présente beaucoup d’irrégularités liées à leurs exigences écologiques, aux feux de brousse et aux attaques d’éléphants. Toutefois, la plasticité écologique et la biologie de certaines espèces leur confèrent assez de structures de populations stables. Mots clés: Aires protégées, Burkina Faso, Groupements ligneux, Structure de population
Impact of protected areas and land use on regeneration of Acacia woodland’s in Eastern Burkina Faso
(2008)
Regeneration success, persistence strategies (seedlings vs. coppicing), and population trend of Acacia spp. were tested under two land-use regimes in eastern Burkina Faso: (i) protected areas shielded to livestock grazing pressure, to logging, and using early annual fire as a management system; (ii) areas with high human impact (heavily and extensive livestock grazing, harvesting for wood and for medicinal plants). Generally, a good regeneration rate of Acacia species was observed in protected areas and a poor regeneration rate in areas with high human impact. Nevertheless, some species affiliated to the subgenus Aculeiferum as A. dudgeoni and A. polyacantha showed a good regeneration under both land use regimes. Juvenile plants less than 25 cm height of A. dudgeoni and A. gourmaensis increased by 116 to 50 % in areas with human impact as compared to their populations in protected areas. With SCD slopes varying from –0.40 to -0.70, the protected Acacia woodland displayed a stable population structure due to abundance of recruitment, and coppicing persistence (more common in the subgenus Aculeiferum) favoured by early annual fire. Consequently, the protected areas are favourable for Acacia woodland regeneration. Conversely, SCD slopes are positive or close to zero in areas of anthropogenic regime and showed a declining population, especially more marked with the subgenus Acacia due to permanent seed and seedling removal by livestock grazing. Nevertheless, the number of seedlings of some species was higher in areas under human pressure than in protected areas, especially for the subgenus Aculeiferum, improving the genetic variability and thus the long-term maintenance of the population. Key words: Acacia, early fire, land use, sudano-sahelien zone
La présente étude menée sur la végétation ligneuse du parc national d’Arly a pour objectif de caractériser la diversité et la structure des différents groupements végétaux en relation avec les conditions écologiques. 243 relevés phytosociologiques ont été réalisés. Ces relevés font ressortir 109 espèces ligneuses et 10 groupements par la méthode d’analyse DCA. La diversité des groupements végétaux a été caractérisée par le calcul des indices de diversité. Pour chaque groupement ligneux, 10 relevés ont été choisis de manière aléatoire pour des mesures dendrométriques. Les individus dont le diamètre à 1,3 m du sol est supérieur à 5 cm ont été mesurés. La structure des groupements a été décrite à travers la répartition des individus en classe de diamètre, le calcul de la densité et de la surface terrière. La relation entre la diversité et la structure des groupements a été établie sur la base d’analyse de corrélation. Les groupements ligneux distingués sont répartis suivant le gradient topographique. L’analyse de la structure démographique en classe de diamètre montre que les peuplements des différents groupements végétaux sont stables, ce qui traduit leur adaptation aux facteurs écologiques stationnelles telles que le feu et les conditions de sol. Les forêts claires à Tamarindus indica et Combretum paniculatum et les forêts galeries à Vitex chrysocarpa et Garcinia livingstonei sont les formations les plus denses et les groupements ligneux les plus diversifiés. A l’opposé, les savanes arbustives clairsemées à Euphorbia sudanica et Combretum niorense et celles à Acacia sieberiana sont moins denses et constituent les groupements les plus pauvres en espèces. Ainsi, il existe une relation entre la diversité et la structure des groupements des formations ligneuses. Les conditions édaphiques et topographiques occupées par ces groupements expliquent à la fois leur diversité et leur structure. Mots clés: groupements ligneux, relevés, stabilité, sol
Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica (formerly "Etudes sur la flore et la végétation du Burkina Faso et des pays avoisinantes") is a refereed, international journal aimed at presenting high quality papers dealing with all fields of geobotany and ethnobotany of the Sudano-Sambesian zone and adjacent regions. The journal welcomes fundamental and applied research articles as well as review papers and short communications. English is the preferred language but papers written in French will also be accepted. The papers should be written in a style that is understandable for specialists of other disciplines as well as interested politicians and higher level practitioners. Acceptance for publication is subject to a referee-process. In contrast to its predecessor (the "Etudes …") that was a series occurring occasionally, Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica is a journal, being published regularly with one volume per year. Edited by Rüdiger Wittig (Frankfurt), Sita Guinko (Ouagadougou), Brice Sinsin (Cotonou), Adjima Thiombiano (Ouagadougou).
Sobre Bryozoa do Brasil
(1941)
Die Rose und der Winter
(1893)
Arabidopsis cell walls contain large amounts of pectins and hemicelluloses, which are predominantly synthesized via the common precursor UDP-glucuronic acid. The major enzyme for the formation of this nucleotide-sugar is UDP-glucose dehydrogenase, catalysing the irreversible oxidation of UDP-glucose into UDP-glucuronic acid. Four functional gene family members and one pseudogene are present in the Arabidopsis genome, and they show distinct tissue-specific expression patterns during plant development. The analyses of reporter gene lines indicate gene expression of UDP-glucose dehydrogenases in growing tissues. The biochemical characterization of the different isoforms shows equal affinities for the cofactor NAD+ (~40 µM) but variable affinities for the substrate UDP-glucose (120–335 µM) and different catalytic constants, suggesting a regulatory role for the different isoforms in carbon partitioning between cell wall formation and sucrose synthesis as the second major UDP-glucose-consuming pathway. UDP-glucose dehydrogenase is feedback inhibited by UDP-xylose. The relatively (compared with a soybean UDP-glucose dehydrogenase) low affinity of the enzymes for the substrate UDP-glucose is paralleled by the weak inhibition of the enzymes by UDP-xylose. The four Arabidopsis UDP-glucose dehydrogenase isoforms oxidize only UDP-glucose as a substrate. Nucleotide-sugars, which are converted by similar enzymes in bacteria, are not accepted as substrates for the Arabidopsis enzymes.
1. Die Feldbeobachtungen der vorliegenden Untersuchung sind in der Zeit vom 10. VII. bis 9. VIII. 1964 in Westspitzbergen in den Gebieten von Isfjorden und Hornsund (Abb. 2) gemacht worden. Die Fjeldheidevegetation wurde auf 58 Probeflächen von je 25 m2 untersucht. 2. Bei der Besprechung der Fjeldheidevegetation wird zunächst der Begriff »Fjeldheide» definiert und mit dem Begriff »Tundra» verglichen. Zugleich wird die Zonität der (oro)arktischen Vegetation erörtert und mit den in Grönland, Fennoskandien und Nowaja Semlja vorgenommen Zoneneinteilungen verglichen. Im Rahmen der Dreizoneneinteilung der (oro)arktischen Vegetationszone werden in Spitzbergen die mittel- und die oberoroarktische Stufe angetroffen. 3. In der untersuchten Fjeldheidevegetation wurden 5 Artengruppen und entsprechend 5 Heidetypen herausgearbeitet: 1. Deflations-, 2. Flechten-, 3. trockene und 4. frische Moosheide sowie 5.Schneebodenstellen. Die Grenze zwischen den Typen und auch zwischen den innerhalb eines jeden Typs anzutreffenden Westküsten- und Binnengebietvarianten sind fliessend. Das Westküstengebiet umfasst die Untersuchungsstellen 1-6, das Binnengebiet (=Innenfjord- und Binnenlandgebiet) die Punkte 7-20. 4. Das Westküstengebiet gehört vorwiegend ins Bereich der metamorphierten, das Binnengebiet wiederum ins Gebiet der nicht metamorphierten Gesteine. Für die Entstehung der die obigen Gebiete charakterisierenden Varianten wird jedoch nach meiner Meinung dem Grossklima die ausschlaggebende Bedeutung beigemessen. Die Westküste ist hygrisch und thermisch ozeanischer als das Binnengebiet (Abb. 6). Dieser Umstand macht sich in der Vegetation auch in den Mangenverhältnissen der Typen geltend: an der Westküste viele Deflationsheiden und SchneebodensteIlen (siehe S. 43). Ferner ist die Höhengrenze der mittelarktischen Stufe an der Westküste tiefer (siehe S. 43). Die Phänologie der Pflanzen lässt an der Westküste Verspätung der Entwicklung erkennen (siehe Tab. 9 und 10). An der Westküste steht die Fjeldheidevegetation auf gröberem Untergrund (siehe Tab. 8), und das Eis reicht weiter herunter als im Binnengebiet. 5. Beim Vergleich der Fjeldheidetypen miteinander wurden Unterschiede in der Dicke des Auftaubodens und in der Phänologie der Pflanzen beobachtet, welche Umstände mit der Dicke der Schneedecke zusammenhängen dürften. Die Dicke des Auftaubodens wird zu den frischen Moosheiden hin geringer und nimmt dann an den SchneebodensteIlen wieder zu (Tab. 8). Die Entwicklung der Pflanzen setzt umso zeitiger ein, je trockener der Typ ist (Tab. 9 und 10). 6. Mit Hilfe der Literatur wird der Versuch gemacht, Vegetationen ausfindig zu machen, die sich mit den Fjeldheidetypen Spitzbergens identifizieren (= Horistisch gleichartig sind; vgL Abb. 11) oder vergleichen lassen (= floristisch andersartig, aber an mehr oder minder gleichartigen Standorten). Zusammenfassend wird hauptsächlich anhand der Literatur ein vorläufiger Vorschlag für die Vegetations gebiete Spitzbergens gemacht (Abb. 10).
Vor einigen Jahren habe ich bereits über die Verbreitung und Ökologie der Seidenbiene Colletes collaris Dours berichtet (Westrich 1997). Diese Art ist in Deutschland extrem selten. Ihr aktueller Verbreitungsschwerpunkt liegt im Kaiserstuhl (Westrich et al. 2000). Die Untersuchungen von Pollenladungen von Weibchen aus dem gesamten Areal hatten gezeigt, daß die Art oligolektisch und auf Asteraceae spezialisiert ist. Als Pollenquellen bisher bekannt geworden sind Aster linosyris, Hieracium umbellatum, Picris hieracioides, Senecio erucifolius, Solidago virgaurea und Carduus acanthoides. Im Jahr 2006 machte ich im Kaiserstuhl ergänzende Beobachtungen zum Blütenbesuch, über die ich hier berichte.
Im Winter 1994/1995 wurden in drei Landschilfbeständen am Bodensee (Aach-Ried, Wollmatinger Ried, Konstanz) 294 Schilfgallen von Lipara lucens (Chloropidae) gesammelt. Davon wurden 223 für die Zucht und 82 für den Laborversuch zur Prüfung der Überfl utungstoleranz ausgewählt. Die gefluteten Gallen wurden entweder ½ Tag, 2 Tage oder 4 Tage bei Außentemperaturen im Februar unter Wasser gesetzt und anschließend mit 141 weiteren Gallen (Kontrolle) in Zuchtgläser verbracht. Neben Lipara lucens wurden folgende Arten aus den Gallen gezogen: Apidae (Bienen): Hylaeus pectoralis, Osmia leucomelana; Sphecidae (Grab wespen): Pemphredon lethifer, Trypoxylon attenuatum; Eumenidae (solitäre Falten wespen): Stenodynerus xanthomelas; Gaster up tionidae (Schmal bauchwespen): Gasteruption assectator, Gasteruption phragmiticola; Chrysi didae (Goldwespen): Chrysis cyanea; Eulophidae: Melittobia acasta. Die dominanten Arten waren: Hylaeus pectoralis and Pemphredon lethifer. Die Unterschiede im Artenspektrum der einzelnen Probeflächen waren teils beträchtlich. Insbesondere die Besiedlung durch Hylaeus pectoralis variierte von Lokalität zu Lokalität. Die stark ruderalisierte Probestelle bei Konstanz-Lindenbühl wies das höchste Artenspektrum auf und Pemphredon lethifer hatte hier die höchste Besiedlungsdichte. Dies deutet auf gestörte Verhältnisse im Vergleich zur Probefläche im Aach-Ried hin, einem weitgehend natürlichen Landröhricht. Sowohl aus den Kontrollgallen als auch aus den gefluteten Gallen sind jeweils mehrere Arten, teils in größerer Zahl geschlüpft. Die Unterschiede in der Schlüpfrate (72,4 % bei den Kontrollgallen, 66,7 % bei einer Flutungsdauer von ½ Tag, 69,3 % bei einer Flutungsdauer von 2 Tagen und 51,7 % bei einer Flutungsdauer von 4 Tagen) erklären sich daraus, daß unterschiedlich viele Gallen nicht besiedelt waren. Dies resultiert demnach nicht aus einem möglichen Einfl uß der Überfl utung. Dies hat sich durch ein nachträgliches Öffnen der Gallen bestätigt. Die Gallenerzeugerin Lipara lucens verträgt eine Überflutung ohne Schädigung ebenso wie ihre Parasitoide. Die als Folgesiedler auftretenden nestbauenden Bienen und Grabwespen sind an die Überfl utung dadurch angepaßt, daß entweder ihre Brutzellen mit spezifi schen Materialien ausgekleidet sind (Hylaeus pectoralis) oder daß die winterliche Diapause in selbstgesponnenen Kokons als Ruhelarve überdauert wird (Pemphredon lethifer, Trypoxylon attenuatum). Daraus resultiert: Eine Überflutung im Winterhalbjahr während eines Zeitraumes von ½ Tag bis zu 4 Tagen beeinflußt die Schlüpfrate der Gallenbesiedler nicht. Diese Aussage gilt streng genommen jedoch nur für die Versuchsbedingungen mit sauberem und stehendem Wasser. Belastetes See- oder Flußwasser hat möglicherweise eine andere Auswirkung auf die Gallenbewohner. Stark fließendes Wasser kann die Schilfgallen abknicken und weg spülen. In den zusammengeschwemmten Genisten sind sie erhöhter Feuchtigkeit, stärkerer Verpilzung und damit einer stärkeren Schädigung ausgesetzt.
Two botanical pesticides, Neem Azal-T/S (NA) and Quassia amara, one biopesticide, Bacillus thuringiensis subsp. aizawai (Bta) and one combination of Bta + NA were tested against 2nd and 4th instar larvae of the noctuids Helicoverpa armigera (Hübner) and Spodoptera exigua (Hübner) on field beans under both laboratory and greenhouse conditions. The maximum mortality of 58 and 27 % was obtained in Bta + NA treatments in case of 2nd and 4th instar larvae of H. armigera under laboratory conditions followed by Bta (50 and 14 %) and NA (34 and 7 %) alone treatments. Under greenhouse conditions a mortality of 69 and 26 % was observed in case of Bta + NA treatments in 2nd and 4th instar larvae of H. armigera followed by Bta (67 and 20 %) and NA (56 and 10 %) alone. The mortality of H. armigera larvae was higher under greenhouse conditions. There was a significant difference in the mortality between 2nd and 4th instar larvae both under laboratory and greenhouse conditions. The mortality of H. armigera was higher in 2nd instar than in the 4th instar larvae in all treatments. Similar results were obtained in case of S. exigua both under laboratory and greenhouse conditions. The results indicate that Bta and NA have the potential to the control of H. armigera and S. exigua either independently or in combination, when used at the right stage of the field populations. The uassia-extracts tested did not show a high efficacy against larvae of H. armigera and S. exigua.
In der vorgelegten Arbeit wurden 50 Mutationen von Aminosäuren im Bereich der Chinoloxidationsbindungsstelle (Qo-Site) des bc1-Komplexes aus Paracoccus denitrificans untersucht. Hierzu wurden die Mutanten erstellt, Kinetiken der Substratbindung bestimmt und EPR Spektren aufgenommen. Mit den gleichen Methoden wurden auch verschiedene Klasse I und Klasse II Inhibitoren der Qo-Site untersucht. Wenngleich der Reaktionsmechanismus auch mit Hilfe dieser Mutationen nicht vollständig aufgeklärt werden konnte, so konnten doch neue Einsichten in die Funktionsweise des bc1-Komplexes gewonnen werden. Verschiedene Modelle wurden vorgeschlagen, um die energetisch günstige aber thermodynamisch unwahrscheinliche Verzweigung der beiden Elektronen des Ubichinols auf die beiden Redoxketten des bc1-Komplexes der Atmungskette zu beschreiben. Da die Redoxpotentiale der beiden primären Elektronenakzeptoren extrem unterschiedlich sind, scheint es zwingend zu sein, dass beide Elektronen den Hochpotentialzweig (Rieske, Cytochrom c1, Cytochrom c) durchlaufen. Energetisch bietet jedoch die Wiederverwendung eines der beiden Elektronen den immensen Vorteil der realen Verdopplung der Protonenpumpleistung. Die wichtigsten Mutationen der vorliegenden Arbeit betreffen die vermuteten direkten Bindungspartner des Ubichinols, bE295 und fH155. Das Histidin ist Teil der beweglichen Rieske Untereinheit des bc1-Komplexes, das Glutamat ist Teil eines hoch konservierten Abschnitts des Cytochrom b. Aufgrund der gemessenen Wirkungen der untersuchten Mutationen auf die kinetischen Kennzahlen und EPR Parameter der eingesetzten Substrate und Inhibitoren lassen sich folgende Schlüsse ziehen. Die Bindung des Chinol-Substrats in der Qo-Site benötigt die korrekte Ausrichtung und den unveränderten Bindungspartner fH155 der Rieske [2Fe-2S]-Gruppe. Das Fehlen des zweiten vermuteten Bindungspartners bE295, der ein Teil des hochkonservierten PEWY-Loops ist, wird hingegen toleriert. Die Aktivitäten bei Mutationen dieser Aminosäure liegen mit bis zu 56% im Vergleich zum Wildtyp (bE295A) relativ hoch. Auch unter Berücksichtigung von möglichen bypass Reaktionen ist es fraglich, ob das Glutamat des PEWY-Loops ein direkter Bindungspartner des Substrats ist. Der Inhibitor Stigmatellin bindet im bc1-Komplex von Paracoccus denitrificans irreversibel in der Qo-Site, auch wenn einer der beiden vermuteten Bindungspartner (bE295 bzw. fH155) nicht verfügbar oder verändert ist. Daraus kann man schließen, dass die Bindung des Stigmatellins im Wesentlichen von seiner Seitenkette im Bereich des Chinol-Eintrittskanals des bc1-Komplexes stabilisiert wird. Wechselwirkungen der bizyklischen Kopfgruppe mit Aminosäuren der Chinoloxidationsbindungstasche sind hierfür nicht zwingend notwendig. Weitere durchgeführte Mutationen lassen folgende weitere Rückschlüsse zu: Der korrekte Bindungsraum der Qo-Site ist für eine maximale Umsatzgeschwindigkeit des bc1-Komplexes erforderlich. Dies zeigen Mutationen von bG158 und bV161. Die Struktur des hochkonservierten PEWY-Loops ist mitentscheidend für die Aktivität des bc1-Komplexes. Störungen der Konfiguration in diesem Bereich führen zu einer deutlichen Abnahme der Aktivität. Dies lassen Mutationen von bY297, bP294 und bW296 erkennen. Der ef-Loop hat einen Einfluss auf die Bewegungsvorgänge der Rieske-Kopfgruppe. Er ist jedoch nicht sehr flexibel (bL286H). Veränderungen im Wasserstoffbrückennetzwerk der Rieske-Kopfgruppe führen zu einer deutlichen Verminderung der Elektronentransferraten (bY159F, bS157A und bF151H). Die Bindungsregionen von Klasse I Inhibitoren in der Qo-Site überlappen mit denen des natürlichen Substrats. Sie sind jedoch nicht identisch, was sich im unterschiedlichen Verhalten einiger Mutationen auf die Aktivität von Substrat und die Inhibitionswirkung von Klasse I Hemmstoffen ausdrückt. Die Untersuchungen der Auswirkungen von Mutationen auf einen vermuteten Wasserkanal im Bereich des Häm bL und auf eine angenommene Zinkbindungsstelle im gleichen Bereich zeigen keine eindeutig interpretierbaren Ergebnisse. Die Mutationsstudien im Bereich des Cytochrom c1 wurden begonnen. Zusätzliche Mutanten in diesem Bereich könnten weiterführende Aufschlüsse über die Wechselwirkung der Rieske-Kopfgruppe mit Cytochrom c1 bringen. Die vorgelegte Studie lässt erkennen, dass die Vorgänge in der Qo-Site des bc1-Komplexes aus Paracoccus denitrificans höchst komplex sind. Zusätzliche Untersuchungen der erzeugten Mutanten mit Hilfe weiterer Detektionsmethoden, insbesondere CD- und FTIR-Messungen, könnten in Zukunft eine noch bessere Einsicht in die Vorgänge dieses wichtigen Komplexes der Atmungskette geben.
Zur Geschichte, Cultur und Classification der Georginen oder Dahlien : nebst zwei colorirten Tafeln
(1836)
1. The root tip of Cucurbita maxima possesses a single histogen from which all the primary root tissues arise. 2. The primary root is exarch, tetrarch. Differentiation of the large central metaxylem vessels is retarded; pith is not present. 3. The primordium of a secondary root is formed from the cortex, including the endodermis, as well as the pericycle of the primary root. 4. The transition extends from approximately 1 cm. below the peg to just above it. At the lowest level pith differentiates in the center and the metaxylem takes a peripheral position just within the phloem. Each primary xylem strand diverges into two arms extending laterally and joining the metaxylem. These arms separate, resulting in a siphonostele of four tangential transition bundles. These divide into two parts each, forming a total of eight bundles which become endarch. 5. Of these eight bundles usually two pairs anastomose, then divide into three, producing a total of ten bundles which continue through the hypocotyl. Additional bundles may arise. 6. The bundle is considered bicollateral on the basis of ontogeny; it shows a differentiation of internal phloem from the procambial tissue at the same time that the external metaphloem differentiates. (The study of a single species allows no interpretation on the basis of phylogeny.) 7. A suggestion is made concerning the differentiation of two types of phloem, the one called fascicular phloem and the other called connective phloem. Differences in origin, structure, and distribution of the two types are described. 8. In the cotyledonary node tangential anastomoses produce a cotyledonary plate of four parts. Continuations from these form two traces to each cotyledon. Before the cotyledon diverges completely, each trace branches laterally to form a basal vein from which arise four or more bundles which are the principal veins in the blade of the cotyledon. 9. The bundles of the epicotyl differentiate against the parts of the cotyledonary plate. The epicotyl is retarded in its development except for the median trace to the first foliage leaf. The early differentiation of this trace may account for the characteristic short first internode.
Die Wachstumsperiode des Frühjahres 1933 mit den schnellen, großen Schwankungen von Temperatur und Wetter, oft innerhalb weniger Stunden, zeigte bei vielen Pflanzen der Olmützer Flora die verschiedensten Verkrümmungen, Schrurnpfungen, Verfärbungen an Blatt und Blüte. Die Ursache davon war eine Art Verkühlung (Unterkühlung), hervorgerufen durch den genannten Witterungscharakter. Als Folgen dieser Erkältungen, die beim Erfrieren der Pflanze den Höchstgrad erreichen, stellen sich vielfach Änderungen des normalen chemisch-physiologischen Wachstumsprozesses, aber auch Änderungen des normalen physikalischen Gleichgewichtszustandes im Gewebe ein: so erfolgt eine Reduktion des Atmungsprozesses, die Einstellung oder Verminderung synthetischer Aufbauprozesse (Chlorophyll!), Zerfall der Proteine in N-haltige Spaltungsprodukte, weiters Kälte-Kontraktion des Lellprotoplasmas, Plasmolyse, Änderung des colloidalen Zellinhaltes u. v. m. Besonders die schnell einsetzende, längere, große Unterkühlung nach warmen Tagen bewirkt unter Anderem bei der wachsenden Pflanze ein starkes Zusammenziehen des Primordialschlauches der Zelle und damit ein unregelmäßiges, mehr oder minder großes Durchtreten des Zellwassers in die Interzellularräume des Pflanzengewebes. Die dadurch notwendig entstehenden abnormen, oft einseitigen Druck- und Spannungsänderungen im Gewebsparenchym sind es nun hauptsächlich, die sich - in Verbildung der normalen Organform der Pflanze - als zeitweilige Verkrümmungen, Wellungen, Schrumpfungen , Verfärbungen u. ä. verraten, später aber wieder ausgleichen, wenn normale Wachstumsbedingungen eintreten. Die typischen Formen solcher „ Wettersiörungen" des Wachstums der Pflanzen - die "Verkühlung der Pflanze" und der "Kälte-Ikterus" - seien unter Nr. 655 u. 656 dieser Abhandlung - (VI. Teil) näher erwähnt. Über weitere publizierte Krankheiten und Mißbildungen an Pflanzen der Olmützer Flora siehe: Nr. 1-271, (1. T.), Jg. 36, 1925, cas. Vlast. spol. Mus. v Olumouci, Nr. 272-331, T.), Jg. 38, 1927, s.o. Nr. 332-440, T.), Jg. 62, 1931, Verh. des Naturf. Ver. in Brünn. Nr. 441-550, (4. T.), Jg. 63, 1932, s.o. Nr. 55 1-650, (5. T.), Jg. 64, 1933, s.o. Nr. 651-750, (6. T.), Jg. 65, 1934, s.o.
Plastid behavior in reciprocally different crosses between two races of Medicago truncatula Gaertn.
(1962)
During my mork on the inheritance of symmetry characters in Medicago (1956), chance played into my hands a case of fairIy pronounced reciprocal differentes in the behavior of plastids in a cross between two local races of Medicago truncatula GAERTN. which so far I know are not given even varietal rank. The facility in producing the hybrids encouraged me to investigate the material, and the results are reported in this paper.
Introductory chapters on the geography, vegetation and history of botanical ex loration are followed by a catalogue of 331 species of wild vascular plants, 90% of which represent first records for the island. Synonymy, references, localities and ecological data are given for each species in a condensed form. The taxonomy, nomenclature and distribution of some taxa are discussed; in one case (Silene cythnia) a drawing and a distribution map are supplied. Nomenclatural novelties are validated in the genera Centaurea, Matricana, Melica (by W. Hempel) and Trifolium. A phytogeographical and ecological analysis of the flora demonstrates its striking banality and the unexpectedly high proportion of anthropophytes. No pliytogeographical link with tlie other E. Aegean Isiands and Anatolia exists, but there are some affinities with the Cyclades. The observations are consistent with the hypotliesis of a long insular isolation leading to a strong depletion or even destruction of the original flora, which has been replaced by long-distance dispersed and anthropophytic elements.
Phykologie - Blütezeiten und Ruhepausen einer Wissenschaft im Nebenamt (Fallbeispiel Grünalgen)
(2002)
Phykologie (Algenforschung) ist der Öffentlichkeit dem Namen nach und als wissenschaftliche Disziplin kaum geläufig. Innerhalb der Botanik (Biologie) besteht die Algenkunde gleichsam "implizit" als eine Vielfalt von Entwicklungssträngen, die selten gebündelt sind, vielmehr leicht immer wieder abreißen können, denen sich aber immer wieder auch neue Stränge hinzugesellen. Die Phykologie erforscht, im Gegensatz etwa zum Studium der Blütenpflanzen, nur wenige aus dem Alltagsleben vertraute Gewächse. Ihre Untersuchungsobjekte wurden (und werden immer noch) erst nach und nach entdeckt, weshalb sich die Vorstellung, was eine Alge ist, ständig wandelt. Viele sind ohne Mikroskop gar nicht wahrzunehmen. Forschungsgegenstand und Forschungsaufgabe bilden durch ihre fortwährende Umgestaltung die Leitgedanken der Botanik und Biologie überhaupt ab, wobei die Beziehung reziprok ist. Eine lebhafte Fluktuation von ausübenden Personen und Paradigmata ist ebenso charakteristisch für die Phykologie wie eine ausgeprägte Inter- bzw. Transdisziplinarität und ein hohes aktives internes Innovationspotential. Am Beispiel der traditionellen, heute so nicht mehr bestehenden, »Chlorophyta« wird untersucht, wie diese Sippe zunächst für makroskopisch sichtbare Meeresalgen etabliert wurde. Dann wurden ihr schrittweise verschiedene binnenländische Formenkreise von Algen zugeordnet, bis hin zu den grünen Phytoflagellaten. In der jüngsten Entwicklungsphase haben sich die "grünen Algen" als heterogener Komplex mehrerer voneinander unabhängiger Entwicklungslinien erwiesen, die bis auf eine über das Niveau der Algen nicht hinausgekommen sind, wohl aber zum Landleben fähige Vertreter haben. Als Wurzelbereich der echten Landpflanzen erwies sich überraschend ein kleiner Verwandtschaftsbereich der Algenklasse der Charophyceae.
Symbolae ad floram graecam : Aufzählung der im Sommer 1885 in Griechenland gesammelten Pflanzen [7]
(1899)
The genus Squamidium, a group of mosses with a tropical to subtropical American-African distribution, consists of two sections and seven species (prior to this study 27 species were recognized): sect. Squamidium (S. leucotrichum, S. livens, S. isocladum, S. nigricans, S. brasiliense) and sect. Macrosquamidium (S. macrocarpum and S. diversicoma). Twenty-four names are treated as syn. nov., three are provisionally excluded pending an examination of their types, and one new combination is made: Orthostichopsis pilotrichelloides (Sehnem) Allen & Crosby. Section Squamidium ist characterized by immersed capsules, stolon leaves with entire margins, and a relatively high basal membrane. Section Macrosquamidium is characterized by exserted capsules, stolon leaves with sharply recurved marginal teeth, and a relatively low basal membrane. The genus is retained in the Meteoriaceae. Within the Meteoriaceae Squamidium, is most closely related to Zelotmeteorium from which it differs only by its lack of squarrose-recurved leaves and its more well-developed alar cells. Squamidium, which in the absence of sporophytes has been confused consistently with Orthostichopsis, is separated from that genus on the basis of its lack of pseudoparaphyllia, weaker costae, lack of a distinct region of reddish cells across the leaf base, and strongly decurrent alar cells.
Sesame, Sesamum indicum L. (syn.S. orientale L.) belongs to family Pedaliaceae and is perhaps the oldest oilseed crop known to man. It is an annual, maturing in 70 to 140 days, but usually in 105 days or less, and contains 45-60% oil in its small, flat, oblong seeds which, may be white, brown or black.
Die vorliegende Untersuchung wurde im Rahmen des Verbundprojekts „BIOTA West Afrika“ durchgeführt und befasst sich mit der raum/zeitlichen Analyse der Landbedeckung und der räumlichen Modellierung von Mustern der Pflanzenvielfalt in drei Untersuchungsgebieten in Burkina Faso und Benin. Der erste Teil der Untersuchung beinhaltet die Dokumentation und Analyse der Landbedeckung und Landnutzung und ihrer raum/zeitlichen Veränderungen entlang eines Klimagradienten vom ariden Norden Burkina Fasos bis in den semiariden Norden Benins. Auf der Basis von multitemporalen LANDSAT - Satellitendaten und umfangreichen Geländedaten werden im sahelischen und den sudanischen Untersuchungsgebieten Karten der Landbedeckung mit hoher räumlicher und thematischer Auflösung erstellt. Je nach Untersuchungsgebiet können zwischen zehn und fünfzehn Landbedeckungsklassen differenziert werden. Die Gesamtklassifikationsgüte erreicht Werte zwischen 74% und 87%. In den sudanischen Untersuchungsgebieten werden Landnutzungsveränderungen mit Hilfe von LANDSAT - Satellitendaten, Luftbildern und Geländedaten über einen Zeitraum von ca. 15 Jahren (1986 – 2001) dokumentiert. Für beide Untersuchungsgebiete werden gravierende Landnutzungsveränderungen festgestellt. Der Anteil der ackerbaulich genutzten Fläche steigt für das nordsudanische Untersuchungsgebiet von 17% auf 41% und für das südsudanische Untersuchungsgebiet von 10% auf 14%. Im Mittelpunkt des zweiten Teils dieser Untersuchung steht die Frage nach den räumlichen Mustern der Pflanzenvielfalt und ihrer zeitlichen Veränderungen in den Untersuchungsgebieten der Sahel-, der Nord- und Südsudanzone. Zur Bearbeitung dieser Aufgabenstellungen kommt ein breites Methodenspektrum zur Anwendung. Kernstück der Untersuchung ist die Entwicklung eines verbesserten methodischen Ansatzes der Biodiversitätsmodellierung. Dazu werden bereits existierende räumliche Modellierungsansätze durch die Einbindung von Satellitendaten weiterentwickelt. Auf der Basis von georeferenzierten botanischen Daten (aktuell über 4500 pflanzensoziologische Aufnahmen mit insgesamt 104000 Datensätzen) werden für das sahelische, nord- und südsudanische Untersuchungsgebiet modellierte Verbreitungskarten von 138, 123 und 165 Pflanzenarten erstellt. Die Güte der Karten wird auf der Basis von unabhängigen Geländedaten überprüft. Die einzelnen Verbreitungskarten werden gebietsweise zusammengefasst, so dass im Ergebnis für jedes Untersuchungsgebiet eine hochauflösende Karte der Pflanzenvielfalt vorliegt. Im Rahmen einer Fallstudie werden die zeitlichen Veränderungen der Verbreitungsgebiete von Nutzbaumarten über einen Zeitraum von 13 Jahren untersucht. Es werden aktuelle und historische Verbreitungsgebiete der Nutzbaumarten auf der Basis von hochauflösenden Satellitendaten modelliert und die Veränderungen der Verbreitungsgebiete vor dem Hintergrund des Landnutzungswandels im Untersuchungsgebiet analysiert. Für 17 der 18 untersuchten Baumarten werden rückgängige Verbreitungsgebiete beobachtet.
Crépin (1891) arranged 55 species of Rosa into 15 sections. Three of those sections contain taxa native to the British Isles, and members of several further sections have been reported as naturelized. In the discussion below, accepted names are shown in bold, while rejected names are given in italics.
Flora des tropischen Arabien
(1939)
Die vorliegende Schrift verfolgt das Ziel, in weiteren Kreisen unseres Volkes Verständnis und Interesse für den volkswirtschaftlichen Wert unserer Kolonien zu wecken. Vor allem möchte sie auch der Jugend einen Einblick geben in die weiten Gebiete neuer Arbeit und nationaler Aufgaben, vor die wir durch den Erwerb überseeischer Besitzungen gestellt werden. Zu dem Zweck ist das für unsere Kolonien wichtigste Arbeitsgebiet, der Anbau und die Gewinnung pflanzlicher Erzeugnisse, in den Vordergrund gestellt und ausführlicher behandelt worden.
Catalog of the mosses of Japan compiled by the author in 1991 was revised. This new catalog lists all names of genera and species of mosses described or reported from Japan, based on all literature available to the author up to the end of January 2004. The new catalog is comprised of 1,135 species of mosses belonging to 332 genera. These taxa are listed in alphabetical order. Each valid epithet is followed by author citation, literature, distributional area in Japan, and Japanese name.
Aeration in higher plants
(1979)
A systematic revision of the genus Dichaeu (Orchidaceae) in Costa Rica is presented. The taxonomic history of the genus and its phylogenetic position are discussed, with emphasis on infragenenc grouping. Characters of vegetative and floral morphology are treated, and their taxonoiilic significance is discussed. Twenty-nine Dichnea taxa are recognized for the flora of Costa Rica, and a key to species is provided. Each taxon is described on the basis of Costa Rican material, illustrated in a composite plate, and its distribution in the country is assessed. Distribution maps for all the taxa are given. Overall distribution, derivation of name, notes on species ecology, and diagnostic features are presented for each taxon. Lectotypes are selectcd for D. acostae Schltr., D. acroblephara Schltr., D. amparoana Schltr., D. costaricensis Schltr., D. dammeriana Kraenzl., D. lycopodioides Rchb. f. ex Kraenzl., D. poicillantha Schltr., D. selaginella Schltr., D. tuercklheimii Schltr., Epidendrum echinocarpon Sw., and E. trichocarpon Sw. A new species, D. gomez-lauritoi, is described and illustrated from the wet Caribbean plains of central Costa Rica.
A taxonomic revision of the genus Syntrichia Brid. (Pottiaceae, Musci) in the Mediterranean Region and Macaronesia has been carried out, thus contributing to knowledge of its distinguisliing morphological characters, geographic distribution and nomenclature. Some 3000 specimens, including the most of type material, were studied. An identification key, morphological descriptions, photographs and numerous observations on taxonomic and nomenclatural problems of the 23 taxa accepted in the study area, are provided. New records for some countries of the Mediterranean basin and Macaronesia are given. Five new Synonyms are proposed. The designations of 11 new lectotypes are included and the name Syntrichia aciphylla var. calva J.J. Amann is excluded from the genus Syntrichia.
Die allgemein angewandten Namen der europäischen Orchideentaxa belaufen sich derzeit auf über 580 Namen, Synonyme nicht eingeschlossen. Die Übersicht soll die Namensfülle der gebräuchlichen Taxa und ihrer Synonyme (soweit erforderlich) in alphabetischer Reihenfolge aufzeigen. Taxa auf der Rangstufe der Varietät sind nicht enthalten.
Wirthschaftliche und wirthschaftspolitische Rückblicke auf Wald und Jagd in den Jahren 1894, 1895
(1897)
Report of the botanist
(1872)
The present publication is intended to be a monograph on the family of Burmanniaceae. It is divided into three parts: General Part, Critical Part and Taxonomical Part. The first part, General Part, contains general remarks on the taxonomy, distribution and use of the family. The second part, Critical Part, contains general and geobotanical remarks on the genera of the family, whereas the third part, the Taxonomical Part, gives the determination keys to the tribes, subtribes, genera, sections, subsections and species, the description of these groups with literature, distribution and the indications of the types. New varieties, species and larger groups are described in the taxonomical part in foot-notes.
Die Gattung Orobanche
(1830)
Fragments mycologiques
(1848)
Beitraege zur Kenntniss der myrmecophilen Pflanzen und der Bedeutung der extranuptialen Nectarien
(1891)
Von den biologischen Fragen des heutigen Tages, die der Beantwortung harren, giebt es wohl wenige, die so ungemein die allgemeine Aufmerksamkeit gefesselt haben wie die Frage über die wechselseitigen Beziehungen von Pflanzen und Ameisen, wie sie sich im Laufe der Zeit entwickelten und worüber Delpino, Belt, Beccari u. A. höchst interessante Thatsachen zu Tage gefördert haben. ...
In the plant kingdom, particularly in the phanerogamic flora, hermaphroditism is by far the most common, yet the number of other sex forms is not negligible. This study was undertaken with the view of ascertaining the relative proportions in which such sex forms occur. For this purpose Engler and Prantls "Natürliche Pflanzenfamilien" with all the Nachträge (which are complete up to 1912) have been used. The lists that follow are the results of this examination.
Compared to all other organisms with 1 to 3 heat stress transcription factors (Hsfs) or Hsf-related factors, plants have extraordinarily large Hsf families with more than 20 Hsfs. Plant Hsfs are classified into three classes according to their oligomerization domains which is built of hydrophobic heptad repeats (HR) in two parts, HR-A and HR-B. Both parts may be immediately adjacent (class B), or they are separated by insertion of 21 (class A) and 7 amino acid residues (class C). In plant Hsf family, detailed investigations are so far limited to Hsfs A1a, A2, A3, A4d, A9, and B1. They strongly indicate functional diversification to be the main reason for the coexistence of multiple Hsfs. As an example the functional triad of HsfA1a, HsfA2, and HsfB1 is essential for all three phases of the hs response, (i) the triggering of the response by HsfA1a as master regulator, (ii) the maintenance and high efficiency of hs gene transcription by cooperation of HsfA1a with Hsfs A2 and B1, and finally, (iii) the restoration of house-keeping gene transcription during the recovery phase mediated by HsfB1 in cooperation with house-keeping transcription factors. The results presented in this thesis for Hsfs A4 and A5 open completely different aspects of functional diversification and cooperation of Hsfs. HsfA4 and HsfA5 homooligomerize and bind to corresponding HSE motifs. But in contrast to the highly active HsfA4, HsfA5 is completely inactive as transcriptional activator. Yeast two hybrid and GST pull-down techniques showed that both Hsfs have strong tendency for heterooligomerization. Using fluorescence microscopy the HsfA4/A5 heterooligomers were found to localize in the nucleus. These complexes are transcriptionally inactive due to the impairment of DNA binding. The repressor function of HsfA5 requires only its OD and no additional factors, e.g. a putative co-repressor recruited by the C-terminal domain, are involved. Evidently, the repressor effect mainly results from the interference with the oligomeric state of HsfA4b, which is essential for efficient DNA binding and activator functions. EST database search revealed that plants have a single HsfA5 and usually two A4-type Hsfs. Using bioinformatics tools, Hsfs A4 and A5 were found to be phylogenetically closely related and clearly distinct from the other members of the Hsf family. On the basis of RT-PCR and Microarray data the representatives of the A4/A5 group are well expressed in different plant tissues albeit at very different levels which change with the developmental stages and stress conditions In rice and Arabidopsis, HsfA4 functions as an anti-apoptotic factor for stress induced oxidative damages. Based on my results, I hypothesize that HsfA5 functions as a novel type of selective repressor, regulating the function of A4-type Hsfs in plants. Considering the high sequence conservation with in plant Hsf family, it is tempting to speculate that this role of Hsf4/A5 pair is a fundamental feature of the Hsf system in plants.
Prodromus florae Timorensis
(1841)
Während über Flora und Vegetation der Wälder, Savannen und Äcker Westafrikas zahlreiche Veröffentlichungen vorliegen, hat man sich mit der ruderalen Flora und Vegetation der Siedlungen bisher nur wenig beschäftigt. Im Rahmen der Forschungen des SFB 268 wurde daher in zwei Ortschaften von Burkina Faso eine Bestandsaufnahme der spontan im Siedlungsbereich und in seiner engeren Umgebung an Ruderalstandorten auftretenden Pflanzenarten durchgeführt, wobei, gemäß den Zielen des SFB 268, auf eine interdisziplinäre Relevanz der Ergebnisse Wert gelegt wurde. Daher standen die Fragen nach der Nutzung der Spontanflora durch die Bevölkerung im Vordergrund des Interesses. In der vorliegenden Arbeit wird über die für die menschliche Ernährung genutzten krautigen Wildpflanzen des Siedlungsbereiches berichtet.
Les ferrières sont par définition les amas des déchets de la réduction du fer. De par son origine elles constituent des lithosols qui ont beaucoup évolué dans l’espace et dans le temps. A notre connaissance très peu d’études se sont penchées sur cette végétation qui couvre actuellement les sites de réduction du fer. L’inventaire floristique de plusieurs sites en zone soudanienne montre la fréquence de certaines espèces sur les ferrières. L’étude de la chorologie de toutes les espèces confondues ligneuses et herbacées, montrent que la plupart sont constituées par des espèces zoochores et quelques espèces anémochores. Elles sont disséminées principalement par les animaux d’élevage, par les oiseaux. Cette communication synthétise les données des différentes prospections et les premiers résultats de nos observations et analyses. Elle a deux objectifs : de montrer l’importance des activités anthropiques dans la formation du paysage végétal d’une part, et d’autre part de mettre en évidence le processus de colonisation des sols nus et des ferrières en zone soudanienne.